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La construction du moi et les rituels (autobiographie et récits)

Bureau, Ginette. January 1998 (has links)
Thèses (Ph.D.)--Université de Sherbrooke (Canada), 1998. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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Le monde, l'autre et moi : méditation sur le phénomène de la connaissance /

Bonenfant, Hugues. January 1997 (has links)
Thèse (M.A.)--Université Laval, 1997. / Bibliogr.: f. 110-114. Publié aussi en version électronique.
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La fonction de transcendance dans le processus de croissance

Girard, Raymond January 1980 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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L'écriture stendhalienne et les défis du Je /

Thomas, Edwige, January 1900 (has links)
Texte partiel de: Thèse de doctorat--Littérature française--Paris 21, 2003. / Bibliogr. p. 589-670. Index.
5

The concept of self in British and American idealism

Tallon, Hugh Joseph. January 1939 (has links)
Thesis (Ph. D.)--Catholic University of America, 1939. / Bibliography: p. [139]-143.
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Zones fossilisées /

Tremblay, François-Léo, January 1988 (has links)
Mémoire (M.A.)-- Université du Québec à Chicoutimi, 1988. / Document électronique également accessible en format PDF. CaQCU
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La construction du moi et les rituels, autobiographie et récits

Bureau, Ginette. January 1998 (has links) (PDF)
No description available.
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Dialectique des regards : l'autre et la construction du récit de soi dans l'auto-filmage pathographique

Cibilleau, Aurélien 24 April 2018 (has links)
Le présent mémoire entend analyser la pratique de l’auto-filmage dans deux films : La Pudeur ou l’impudeur (Hervé Guibert) et Tarnation (Jonathan Caouette). Nous regroupons ces long-métrages sous l’étiquette « auto-filmage pathographique ». Le malade, s’émancipant de l’imagerie médicale et des pratiques cinématographiques institutionnelles, reprend l’image filmique à son compte, aidé en cela par une technologie toujours plus ergonomique. Cette résurgence de l’image du corps malade dans le champ social ne se fait pas sans heurt ; l’exposition de corps décharnés et agoniques convoque un imaginaire catastrophiste et contredit les rituels d’effacement du corps auxquels procède la société occidentale. La forme que prend le récit de soi dans l’auto-filmage pathographique dépend de la maladie qui affecte chaque créateur. Nous observons une redéfinition de la sincérité, en lien avec l’exercice autobiographique. Il s’agit d’utiliser, dans l’auto-filmage pathographique, certains procédés fictionnels pour créer un discours sur soi-même dont la véracité repose sur d’autres critères que ceux communément admis. L’auto-filmage pathographique suppose en ce sens un véritable changement d’attitude et la mise en place de techniques de soi. Il induit une forme de réconciliation avec sa propre identité physique et psychique. En cela, l’écriture filmique de soi est un agent transformateur de la vie et un exercice spirituel. Les réalisateurs ne sont cependant pas uniquement tournés vers eux-mêmes. Chacun inclut quelques privilégiés au coeur de sa démarche. Le soin de soi, dans l’auto-filmage pathographique, ne se désolidarise pas du soin des autres. Auto-filmage et caméra subjective entretiennent un lien dialectique qui donne son sens à l’auto-filmage pathographique et voit leur antagonisme éclater. L’individu s’auto-filmant n’est pas seul ; sa démarche n’est pas qu’un solipsisme. Elle se voit dépassée par l’émergence de l’autre dans le champ ou parfois même, sa prise en main de la caméra. / The aim of this essay is to analyse the use of filming oneself by certain film directors and particularly in the two following films: La Pudeur ou L’Impudeur (Herve Guibert) and Tarnation (Jonathan Caouette). We have grouped these movies into one category: “auto-filmage pathographique’’. Cameras are nowadays so much easier to use than in the past, so much so that patients are able to easily use them to challenge powerful medical and cinematographic institutions. These shocking images of wounded and mutilated bodies may also have a catastrophic impact on our imaginative minds as we are not accustomed to them. The author’s illness influences the way the self-narrative script is led. This autobiographical exercise enables a complete new redefinition of sincerity to be revealed. The aim is to use fictional processes to create a speech about oneself whose truth depends on other criteria than that commonly used. Therefore “l’auto-filmage pathographique” requires a profound change of behavior & the use of Michel Foucault’s “techniques de soi”. It implies reconciliation with one’s physical & mental identity. Therefore cinematographic self-narrative is not only a life changing element but also a spiritual exercise. The directors do not however uniquely point the cameras towards themselves. Each one includes a few privileged individuals, possibly family members, in their films. The focus on oneself is not meant to dissociate the director from the others around him. Therefore there is a link between self-filming and the use of subjective camera. The director is not alone, his approach is not a solipsism. Although self-filming may indicate egotistical intentions, it is not a selfish exercise, shown through the appearance of others, who may even take the camera into their own hands.
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Le monde, l'autre et moi : méditation sur le phénomène de la connaissance

Bonenfant, Hugues 05 November 2021 (has links)
L'amour de la sagesse impose à la connaissance rationnelle de trouver ses propres assises et celles-ci, depuis l'oracle delphique, ne peuvent émerger clairement que d'un repli radical et critique du je sur lui-même, hors de la turbulance du Monde. À ce titre, l'intentionnalité réflexive dans la phénoménologie de Husserl se dévoile comme fondation possible, à la fois originaire et ultime, de toute connaissance pouvant être jugée certaine. Cependant, l'Homme vit dans le monde, il ne se réduit pas en la sublimation d'un pur ego. Comment pourra-t-il espérer connaître le Monde s'il en est partie prenante? Comment pourra-t-il espérer connaître Autrui si ce dernier peut aussi se mettre en marge du Monde? Et Soi-même? Il nous semble que seul l'Amour bien compris nous permette d'unir réellement tant l'immanence que la transcendance, au sein de la subjectivité connaissante. Tout notre présent effort tend à l'harmonisation concrète de la subjectivité et de la connaissance véritable.
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"Mais je n'avais pas le droit d'abandonner la partie" : le récit autobiographique, entre équilibre et déséquilibre : le cas de Thomas Bernhard

Chaloux-Gendron, Virginie 18 March 2021 (has links)
Le récit autobiographique, et à plus forte raison le récit d’enfance autobiographique, trace une frontière difficile à circonscrire. L’écrivain la ressent, pourtant. Elle existe. Mais cette frontière semble n’avoir ni commencement ni fin et est d’abord l’histoire d’une limite qu’il porte en lui et doit franchir, afin de reculer les yeux ouverts. « On court pour échapper à quelque chose mais on l’emporte avec soi », répondait Thomas Bernhard à Andrée Müller lors d’un entretien en 1979. C’est dans cette perspective que ce mémoire propose d’étudier les cinq récits autobiographiques de Thomas Bernhard. L’écriture ne permet pas au narrateur de retrouver la forme antérieure du Moi tel qu’il était avant que des forces destructrices s’abattent sur lui. Inévitablement, les traumatismes déforment le Moi. Or il est possible, par le biais du langage, de décomposer, de fragmenter les diverses forces à l’oeuvre et de trouver leur point d’application, soit l’endroit où elles agissent en soi. Puisque le récit autobiographique ne dépend pas toujours de la vérité du texte par rapport au monde dans lequel il se situe, ou se situait, il est entendu qu’il peut au contraire faire la promotion d’un nouveau monde et engager, en se fondant sur la liberté qui la caractérise, de nouvelles expériences. Les théories de la subjectivation et de la reconnaissance, ainsi que celles portant sur la vulnérabilité et la honte, guident ma réflexion et m’aident à répondre à la question suivante : que peut l’écriture face aux jeux de relais entre équilibre et déséquilibre psychiques? C’est à la mise en scène d’un soi oscillant constamment entre ces deux pôles que me convie Bernhard, un spectacle auquel chacun d’entre nous prend part à l’instant où il ouvre un de ses récits.

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