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La diffusion culturelle internationale : les enjeux de la politique de prêts d'oeuvre et d'expositions du MNAM-CCI (Centre Georges Pompidou) pendant la période 2000-2007

Kinoshita, Harumi 17 November 2011 (has links) (PDF)
Le musée contemporain ne se caractérise plus seulement comme un lieu voué à préservation, conservation et présentation des collections mais comme un lieu inscrit dans des réseaux, comme le montre l'étude de la politique de diffusion : celle-ci est l'objet de ma thèse en sciences de l'information et de la communication intitulée " La diffusion culturelle à l'échelle internationale : les enjeux de la politique du prêt des œuvres et des expositions du Mnam-Cci (Centre Georges Pompidou) pendant la période 2000-2007 ".Le Mnam-Cci est l'un des plus importants musées au monde grâce à sa collection d'art moderne et contemporain. Il offre non seulement des expositions temporaires mais aussi de nombreuses activités culturelles : cinémas, conférences, concerts, spectacles. Sa collection se compose de 60 000 œuvres, est empruntée auprès des musées du monde entier.Compte tenu de la richesse de la collection, la politique du prêt des œuvres est l'une des stratégies importantes du musée. Dans la perspective d'une étude muséologique, l'analyse de la politique du prêt des œuvres nous paraît des plus pertinentes.La première partie de la thèse met en évidence les mécanismes de la circulation des œuvres et celles des expositions dans un contexte des territoires à l'échelle internationale. La deuxième partie de la thèse décirt la circulation des biens culturels à l'heure de la mondialisation. La dernière partie de la thèse montre le développement de la stratégie communicationnelle à l'échelle internationale à travers la politique de diffusion.C'est ainsi que ce travail montre la diffusion culturelle à l'échelle internationale par l'intermédiaire de la politique du prêt des œuvres et des expositions du Mnam-Cci.
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Palais de Tokyo – Monument der moderne kunstpolitik und ästhetik im 20. und 21. Jahrhundert / Palais de Tokyo – Monument of Modernity Art Politics and Aesthetics in the 20th and 21st centuries

Fellmann, Benjamin 09 December 2016 (has links)
Projeté pour des musées nationaux et municipaux d’art moderne à l’occasion de l’exposition universelle de 1937, le Palais de Tokyo à Paris est aujourd’hui un centre d’art contemporain international, connu aussi en lien à l’esthétique relationnelle proposée par son cofondateur (avec Jérôme Sans) Nicolas Bourriaud. Une étude de sa genèse jusqu'au site contemporain manquait jusqu’alors. En se fondant sur des expositions centrales et des vastes matériaux d’archives de la politique et administration des Beaux-Arts, cette étude traite dans un premier temps des pensées et institutions l’occupant dès sa conception : MNAM (1937-1977), conception du Centre Pom-pidou, Musée d’Art et d’Essai (1977-1986), Institut des Hautes Études en Arts Plastiques (IHE-AP, 1988-1990) préfiguration d’Orsay, Maison de la Photographie (1984-1993), projet du Palais des Images/Palais du Cinéma (1984-1998, avec Cinémathèque, FÉMIS, BIFI), puis Site de créa-tion contemporaine (2002-). Dans un deuxième temps nous présentons son rôle en tant que mo-nument de la pensée du rôle de l’art dans la société: Dès sa genèse dans le contexte d’un échan-ge international sur les musées modernes des années trente, jusqu’au débats contemporains d’une esthétique politique, notamment de l’art relationnel, du discours de l’art participatif, du « New Institutionalism » et l’esthétique philosophique. L'étude se propose aussi d'apporter une compréhension générale de la genèse de l’esthétique relationnelle et ses critiques principales. Le Palais de Tokyo est conçu comme monument, espace d’une mémoire sociale de l’art selon Aby Warburg et un cadre théorique s’appuyant sur Walter Benjamin, qui informe de son rôle décisif dans le développement de critères formels de la théorie sociale de l’art au 20ème et 21ème siècle. / Projected for national and municipal museums of modern art on the occasion of the 1937 world fair, the Palais de Tokyo in Paris today is an international centre of contemporary art, known, too, by virtue of relational aesthetics brought forward by its co-founder (with Jérôme Sans) Nicolas Bourriaud. A monographic study of its genesis up to the contemporary site was yet mis-sing. This study examines the thought and projects that occupied it, based on central exhibitions and vast materials from the archives of cultural politics and arts administration: National Muse-um of Modern Art (1937-1977), the conception of the Centre Pompidou, Musée d’Art et d’Essai (1977-1986), Institut des Hautes Études en Arts Plastiques (IHEAP, 1988-1990), préfiguration d’Orsay, Maison de la Photographie (1984-1993), a project for Palais des Images/Palais du Ci-néma (1984-1998, with Cinémathèque, FÉMIS, BIFI), Site de création contemporaine (2002-). The study also focuses on its role as monument of the thinking of art’s function in society, from the context of an international exchange on modern museums in the thirties, up to contemporary debates of political aesthetics, particularly of relational art, the discourse of participatory art, ‘New Institutionalism’ and philosophical aesthetics. The study also provides a global view on the genesis of relational aesthetics and its principal critiques. Thus, the Palais de Tokyo is consi-dered as monument, a space of social memory of art following Aby Warburg and a theoretical frame based on Walter Benjamin, informing on its crucial role in the development of formal criteria of theories of art’s social role in the 20th and 21st centuries.
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L'Etat et le patrimoine photographique : des collectes aléatoires aux politiques spécifiques, les enrichissements des collections publiques et leur rôle dans la valorisation du statut de la photographie : France, seconde moitié du XXe siècle / The state and the photographic heritage : from contingent collecting to a defined policy : the enrichment of public collections and their role in the enhancement of the status of photography in the second half of the 20th century

Figini-Véron, Véronique 19 November 2013 (has links)
En France, après une longue période d'accumulation silencieuse dans les institutions publiques patrimoniales, la photographie fait l'objet de politiques d'enrichissement spécifiques, dans la seconde moitié du XXe siècle, qui influent sur l'évolution de son statut. Dès la fin des années 1930, les responsables du cabinet des Estampes de la Bibliothèque nationale engagent un processus de réévaluation où le médium photographique est enfin considéré comme objet de collection. S'engage alors un programme d'enrichissement audacieux selon une voie duale, documentaire et artistique, où la Bibliothèque nationale ambitionne de devenir un musée de la photographie, le premier en France. En plus de la photographie documentaire qui reste une priorité, l'intérêt des conservateurs se porte d'une part, sur les grands ensembles de photographies du XIXe siècle en vue d'initier une histoire de la photographie sur le modèle de l'histoire de l'art; et d'autre part, sur les auteurs contemporains. La démarche est pionnière et durable, mais elle n'est pas suffisante pour faire reconnaître la photographie comme un art à l'échelle nationale. Près de quarante ans plus tard, en 1976, le secrétariat aux Affaires culturelles s'empare enfin des questions photographiques, mais les quatre directions ministérielles concernées par la photographie réagissent de manière inégale. Dans un environnement photographique qui évolue vers une orientation culturelle, des collections nationales sont créées à la Fondation nationale de la Photographie à Lyon (FNP), au musée national d'Art moderne (MNAM), au Fonds national d'Art contemporain (FNAC) et au musée d'Orsay; et la photographie est enfin reconnue comme un art. Dans les années 1980, sous l'effet conjugué du «Mois de la Photo» de la Ville de Paris et de la politique en faveur de l'art contemporain développée par le ministère de Jack Lang, un des événements artistiques majeurs de la fin du XXe siècle prend forme : la photographie entre dans le champ des arts plastiques. / Photography in France, after a long period of silent accumulation in public cultural institutions, became the object of specific collecting in the second half of the twentieth century. This had a bearing on its status. From the late 1930s onwards, curators in the print cabinet of the Bibliothèque Nationale in a process of re-evaluation at last came to consider the photograph as an object for collection. They set out therefore on a daring collection program with a double focus: documentation and artistic quality. With this the BN declared its ambition to become the leading museum of photography in France. Alongside documentary photographs, which remain a priority, conservatorial interest centered on both large groups of 19th century photographs intended to inaugurate a history of photography modeled on art history, and on contemporary creators. This was a pioneering, and durable approach, but insufficient for a recognition of photography as a national art. Some forty years later, in 1976, the secretariat of Cultural Affairs took over questions concerning photography. But the four ministerial branches concerned by photography reacted in an unequal manner. In a photographic environment evolving towards a cultural orientation, national collections were initiated at the Fondation National de la Photographie, Lyon (FNP), in the Musée National de I' Art Contemporain (MNAM), at the Fonds National d'Art Contemporain (FNAC) and at the Musée d'Orsay. At last photography was recognized as an art. During the 1980s, thanks to the combined effect of the City of Paris, 'Month of the photo', and the favorable policy towards contemporary art of Jack Lang's ministry, one of the major artistic events of the late 20th century took place: photography entered the realm of the plastic arts.

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