• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 3
  • 3
  • Tagged with
  • 6
  • 6
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

A cultura digital como acontecimento : movimentos na rede dos sentidos

Pavan, Paula Daniele January 2017 (has links)
Appuyée sur les présupposés théoriques de l’Analyse du Discours (AD), basée sur Michel Pêcheux, cette thèse analyse les mouvements de sens opérés par l’événement énonciatif de la culture numérique dans le domaine du Ministère de la Culture (MinC) à partir de la gestion de Gilberto Gil. Les matérialités signifiantes mobilisées permettent de travailler avec la culture numérique sous deux perspectives : celle du discours institutionnel et celle du discours des groupes sociaux. Ainsi, au cours de l’écriture, je fais un battement entre la théorie et l’analyse, ainsi qu’entre ces perspectives à propos du croisement entre la culture et l’internet. Le regard que je lance sur la culture la considère comme un processus de production de sens et comme un champ de disputes traversé par des contradictions. En suivant cette approche, je pénètre dans les méandres de la culture numérique, je présente son contexte socio-historique-idéologique, je dessine ses contours et j’observe les effets de sens produits à partir de la délimitation d’une formation discursive (FD) et son complexe interdiscoursif. Il s’agit de la FD-Gouvernementale dans ses relations d’alliance et de force avec d’autres FDs : FD-Mouvements Sociaux, FD-Culture Libre, FD-Informatisation et FD-Nationaliste. À partir de l’organisation de la scène discursive dans laquelle la culture numérique est énoncée, j’examine les querelles matérialisées au sein de cette FD quand y est produite une fissure par le déclenchement d’une nouvelle position-sujet, la position-sujet progressiste, qui commence à établir des relations internes de divergence avec une autre déjà enracinée, la position-sujet conservatrice, et des relations externes, surtout d’alliance, avec les FDs voisines. Lorsqu’elle est signifiée à partir de cette nouvelle position-sujet, la culture numérique cause, par l’intervention de sens pré-construits, des mouvements de répétition et de transformation. Ces mouvements produisent un effet de discours fondateur pour la culture numérique dans le domaine gouvernemental, ainsi qu’ils instaurent un processus d’actualisation de la mémoire sociale, discursive, d’archive, métallique, discursive numérique et culturelle, dans un jeu entre mémoire et actualité, tradition et invention. Cette agitation motive aussi l’examen des effets de sens que la culture numérique produit dans sa relation avec l’appropriation technologique et avec la création, ce qui permet de discuter sur comment il peut y avoir autant d’espace pour la création comme un simulacre que pour la création comme mécanisme de transformation sociale, culturelle et historique. Les mouvements de sens analysés se présentent également dans l’hétérogénéité de points de vue accueillis par la nouvelle position-sujet, lesquels sont matérialisés par la prise de position des groupes sociaux par rapport à la culture numérique. C’est par l’instauration de points de reproduction, faille et lutte que des sujets de groupes sociaux divers signifient la culture numérique et s’y signifient – processus qui implique dès l’adhésion aux savoirs déjà produits institutionnellement jusqu’à la transformation de ces sens. C’est, par conséquent, à ces différents mouvements que je m’intéresse pendant les quatre chapitres de la thèse, en cherchant à parcourir l’ordre de la culture numérique dans ses «clivages souterraines» lorsque je travaille avec des opacités, des contradictions, des jeux de force et des relations de pouvoir comportés par elle. / Amparada nos pressupostos teóricos da Análise do Discurso (AD) fundamentada em Michel Pêcheux, esta tese analisa os movimentos de sentidos operados pelo acontecimento enunciativo da cultura digital no âmbito do Ministério da Cultura (MinC) a partir da gestão de Gilberto Gil. As materialidades significantes mobilizadas permitem trabalhar com a cultura digital sob duas óticas: a do discurso institucional e a do discurso dos grupos sociais. Sendo assim, no decorrer da escrita, realizo um batimento tanto entre teoria e análise, quanto entre essas perspectivas acerca do cruzamento entre cultura e internet. O olhar que lanço sobre a cultura a considera como um processo de produção de sentidos e como um campo de disputas permeado por contradições. É seguindo esse enfoque que adentro nos meandros da cultura digital, apresento seu contexto sócio-histórico-ideológico, delineio seus contornos e observo os efeitos de sentido que produz a partir da delimitação de uma formação discursiva (FD) e seu complexo interdiscursivo. Trata-se da FD-Governamental em suas relações de aliança e de força com outras FDs: FD-Movimentos Sociais, FD-Cultura Livre, FD-Informatização e FD-Nacionalista. A partir da organização da cena discursiva em que a cultura digital é enunciada, perscruto as contendas materializadas no seio dessa FD quando nela se produz uma rachadura pela eclosão de uma nova posição-sujeito, a posição-sujeito progressista, que passa a estabelecer relações internas de divergência com outra já alicerçada, a posição-sujeito conservadora, e relações externas, sobretudo de aliança com as FDs do entorno. Ao ser significada desde essa nova posição-sujeito, a cultura digital provoca, através da intervenção de sentidos pré-construídos, movimentos de repetição e de transformação. Esses movimentos produzem um efeito de discurso fundador para a cultura digital no âmbito governamental, bem como instauram um processo de atualização da memória social, discursiva, de arquivo, metálica, discursiva digital e cultural, num jogo entre memória e atualidade, e entre tradição e invenção. Essa agitação motiva ainda o exame dos efeitos de sentido que a cultura digital produz em sua relação com a apropriação tecnológica e com a autoria, o que possibilita discutir sobre o modo como nela pode haver espaço tanto para a autoria como simulacro, quanto para a autoria como mecanismo de transformação social, cultural e histórica. Os movimentos de sentidos de que trato se mostram igualmente na heterogeneidade de pontos de vista que a nova posição-sujeito acolhe, os quais são materializados pela tomada de posição dos grupos sociais com relação à cultura digital. É através da instauração de pontos de reprodução, falha e luta que sujeitos de grupos sociais diversos significam a cultura digital e se significam nela – processo que envolve desde a adesão aos saberes já produzidos institucionalmente até a transformação desses sentidos. É, portanto, sobre esses diferentes movimentos que me detenho nos quatro capítulos da tese, buscando percorrer a ordem da cultura digital em suas “clivagens subterrâneas” ao trabalhar com opacidades, contradições, jogos de força e relações de poder por ela comportados.
2

A cultura digital como acontecimento : movimentos na rede dos sentidos

Pavan, Paula Daniele January 2017 (has links)
Appuyée sur les présupposés théoriques de l’Analyse du Discours (AD), basée sur Michel Pêcheux, cette thèse analyse les mouvements de sens opérés par l’événement énonciatif de la culture numérique dans le domaine du Ministère de la Culture (MinC) à partir de la gestion de Gilberto Gil. Les matérialités signifiantes mobilisées permettent de travailler avec la culture numérique sous deux perspectives : celle du discours institutionnel et celle du discours des groupes sociaux. Ainsi, au cours de l’écriture, je fais un battement entre la théorie et l’analyse, ainsi qu’entre ces perspectives à propos du croisement entre la culture et l’internet. Le regard que je lance sur la culture la considère comme un processus de production de sens et comme un champ de disputes traversé par des contradictions. En suivant cette approche, je pénètre dans les méandres de la culture numérique, je présente son contexte socio-historique-idéologique, je dessine ses contours et j’observe les effets de sens produits à partir de la délimitation d’une formation discursive (FD) et son complexe interdiscoursif. Il s’agit de la FD-Gouvernementale dans ses relations d’alliance et de force avec d’autres FDs : FD-Mouvements Sociaux, FD-Culture Libre, FD-Informatisation et FD-Nationaliste. À partir de l’organisation de la scène discursive dans laquelle la culture numérique est énoncée, j’examine les querelles matérialisées au sein de cette FD quand y est produite une fissure par le déclenchement d’une nouvelle position-sujet, la position-sujet progressiste, qui commence à établir des relations internes de divergence avec une autre déjà enracinée, la position-sujet conservatrice, et des relations externes, surtout d’alliance, avec les FDs voisines. Lorsqu’elle est signifiée à partir de cette nouvelle position-sujet, la culture numérique cause, par l’intervention de sens pré-construits, des mouvements de répétition et de transformation. Ces mouvements produisent un effet de discours fondateur pour la culture numérique dans le domaine gouvernemental, ainsi qu’ils instaurent un processus d’actualisation de la mémoire sociale, discursive, d’archive, métallique, discursive numérique et culturelle, dans un jeu entre mémoire et actualité, tradition et invention. Cette agitation motive aussi l’examen des effets de sens que la culture numérique produit dans sa relation avec l’appropriation technologique et avec la création, ce qui permet de discuter sur comment il peut y avoir autant d’espace pour la création comme un simulacre que pour la création comme mécanisme de transformation sociale, culturelle et historique. Les mouvements de sens analysés se présentent également dans l’hétérogénéité de points de vue accueillis par la nouvelle position-sujet, lesquels sont matérialisés par la prise de position des groupes sociaux par rapport à la culture numérique. C’est par l’instauration de points de reproduction, faille et lutte que des sujets de groupes sociaux divers signifient la culture numérique et s’y signifient – processus qui implique dès l’adhésion aux savoirs déjà produits institutionnellement jusqu’à la transformation de ces sens. C’est, par conséquent, à ces différents mouvements que je m’intéresse pendant les quatre chapitres de la thèse, en cherchant à parcourir l’ordre de la culture numérique dans ses «clivages souterraines» lorsque je travaille avec des opacités, des contradictions, des jeux de force et des relations de pouvoir comportés par elle. / Amparada nos pressupostos teóricos da Análise do Discurso (AD) fundamentada em Michel Pêcheux, esta tese analisa os movimentos de sentidos operados pelo acontecimento enunciativo da cultura digital no âmbito do Ministério da Cultura (MinC) a partir da gestão de Gilberto Gil. As materialidades significantes mobilizadas permitem trabalhar com a cultura digital sob duas óticas: a do discurso institucional e a do discurso dos grupos sociais. Sendo assim, no decorrer da escrita, realizo um batimento tanto entre teoria e análise, quanto entre essas perspectivas acerca do cruzamento entre cultura e internet. O olhar que lanço sobre a cultura a considera como um processo de produção de sentidos e como um campo de disputas permeado por contradições. É seguindo esse enfoque que adentro nos meandros da cultura digital, apresento seu contexto sócio-histórico-ideológico, delineio seus contornos e observo os efeitos de sentido que produz a partir da delimitação de uma formação discursiva (FD) e seu complexo interdiscursivo. Trata-se da FD-Governamental em suas relações de aliança e de força com outras FDs: FD-Movimentos Sociais, FD-Cultura Livre, FD-Informatização e FD-Nacionalista. A partir da organização da cena discursiva em que a cultura digital é enunciada, perscruto as contendas materializadas no seio dessa FD quando nela se produz uma rachadura pela eclosão de uma nova posição-sujeito, a posição-sujeito progressista, que passa a estabelecer relações internas de divergência com outra já alicerçada, a posição-sujeito conservadora, e relações externas, sobretudo de aliança com as FDs do entorno. Ao ser significada desde essa nova posição-sujeito, a cultura digital provoca, através da intervenção de sentidos pré-construídos, movimentos de repetição e de transformação. Esses movimentos produzem um efeito de discurso fundador para a cultura digital no âmbito governamental, bem como instauram um processo de atualização da memória social, discursiva, de arquivo, metálica, discursiva digital e cultural, num jogo entre memória e atualidade, e entre tradição e invenção. Essa agitação motiva ainda o exame dos efeitos de sentido que a cultura digital produz em sua relação com a apropriação tecnológica e com a autoria, o que possibilita discutir sobre o modo como nela pode haver espaço tanto para a autoria como simulacro, quanto para a autoria como mecanismo de transformação social, cultural e histórica. Os movimentos de sentidos de que trato se mostram igualmente na heterogeneidade de pontos de vista que a nova posição-sujeito acolhe, os quais são materializados pela tomada de posição dos grupos sociais com relação à cultura digital. É através da instauração de pontos de reprodução, falha e luta que sujeitos de grupos sociais diversos significam a cultura digital e se significam nela – processo que envolve desde a adesão aos saberes já produzidos institucionalmente até a transformação desses sentidos. É, portanto, sobre esses diferentes movimentos que me detenho nos quatro capítulos da tese, buscando percorrer a ordem da cultura digital em suas “clivagens subterrâneas” ao trabalhar com opacidades, contradições, jogos de força e relações de poder por ela comportados.
3

A cultura digital como acontecimento : movimentos na rede dos sentidos

Pavan, Paula Daniele January 2017 (has links)
Appuyée sur les présupposés théoriques de l’Analyse du Discours (AD), basée sur Michel Pêcheux, cette thèse analyse les mouvements de sens opérés par l’événement énonciatif de la culture numérique dans le domaine du Ministère de la Culture (MinC) à partir de la gestion de Gilberto Gil. Les matérialités signifiantes mobilisées permettent de travailler avec la culture numérique sous deux perspectives : celle du discours institutionnel et celle du discours des groupes sociaux. Ainsi, au cours de l’écriture, je fais un battement entre la théorie et l’analyse, ainsi qu’entre ces perspectives à propos du croisement entre la culture et l’internet. Le regard que je lance sur la culture la considère comme un processus de production de sens et comme un champ de disputes traversé par des contradictions. En suivant cette approche, je pénètre dans les méandres de la culture numérique, je présente son contexte socio-historique-idéologique, je dessine ses contours et j’observe les effets de sens produits à partir de la délimitation d’une formation discursive (FD) et son complexe interdiscoursif. Il s’agit de la FD-Gouvernementale dans ses relations d’alliance et de force avec d’autres FDs : FD-Mouvements Sociaux, FD-Culture Libre, FD-Informatisation et FD-Nationaliste. À partir de l’organisation de la scène discursive dans laquelle la culture numérique est énoncée, j’examine les querelles matérialisées au sein de cette FD quand y est produite une fissure par le déclenchement d’une nouvelle position-sujet, la position-sujet progressiste, qui commence à établir des relations internes de divergence avec une autre déjà enracinée, la position-sujet conservatrice, et des relations externes, surtout d’alliance, avec les FDs voisines. Lorsqu’elle est signifiée à partir de cette nouvelle position-sujet, la culture numérique cause, par l’intervention de sens pré-construits, des mouvements de répétition et de transformation. Ces mouvements produisent un effet de discours fondateur pour la culture numérique dans le domaine gouvernemental, ainsi qu’ils instaurent un processus d’actualisation de la mémoire sociale, discursive, d’archive, métallique, discursive numérique et culturelle, dans un jeu entre mémoire et actualité, tradition et invention. Cette agitation motive aussi l’examen des effets de sens que la culture numérique produit dans sa relation avec l’appropriation technologique et avec la création, ce qui permet de discuter sur comment il peut y avoir autant d’espace pour la création comme un simulacre que pour la création comme mécanisme de transformation sociale, culturelle et historique. Les mouvements de sens analysés se présentent également dans l’hétérogénéité de points de vue accueillis par la nouvelle position-sujet, lesquels sont matérialisés par la prise de position des groupes sociaux par rapport à la culture numérique. C’est par l’instauration de points de reproduction, faille et lutte que des sujets de groupes sociaux divers signifient la culture numérique et s’y signifient – processus qui implique dès l’adhésion aux savoirs déjà produits institutionnellement jusqu’à la transformation de ces sens. C’est, par conséquent, à ces différents mouvements que je m’intéresse pendant les quatre chapitres de la thèse, en cherchant à parcourir l’ordre de la culture numérique dans ses «clivages souterraines» lorsque je travaille avec des opacités, des contradictions, des jeux de force et des relations de pouvoir comportés par elle. / Amparada nos pressupostos teóricos da Análise do Discurso (AD) fundamentada em Michel Pêcheux, esta tese analisa os movimentos de sentidos operados pelo acontecimento enunciativo da cultura digital no âmbito do Ministério da Cultura (MinC) a partir da gestão de Gilberto Gil. As materialidades significantes mobilizadas permitem trabalhar com a cultura digital sob duas óticas: a do discurso institucional e a do discurso dos grupos sociais. Sendo assim, no decorrer da escrita, realizo um batimento tanto entre teoria e análise, quanto entre essas perspectivas acerca do cruzamento entre cultura e internet. O olhar que lanço sobre a cultura a considera como um processo de produção de sentidos e como um campo de disputas permeado por contradições. É seguindo esse enfoque que adentro nos meandros da cultura digital, apresento seu contexto sócio-histórico-ideológico, delineio seus contornos e observo os efeitos de sentido que produz a partir da delimitação de uma formação discursiva (FD) e seu complexo interdiscursivo. Trata-se da FD-Governamental em suas relações de aliança e de força com outras FDs: FD-Movimentos Sociais, FD-Cultura Livre, FD-Informatização e FD-Nacionalista. A partir da organização da cena discursiva em que a cultura digital é enunciada, perscruto as contendas materializadas no seio dessa FD quando nela se produz uma rachadura pela eclosão de uma nova posição-sujeito, a posição-sujeito progressista, que passa a estabelecer relações internas de divergência com outra já alicerçada, a posição-sujeito conservadora, e relações externas, sobretudo de aliança com as FDs do entorno. Ao ser significada desde essa nova posição-sujeito, a cultura digital provoca, através da intervenção de sentidos pré-construídos, movimentos de repetição e de transformação. Esses movimentos produzem um efeito de discurso fundador para a cultura digital no âmbito governamental, bem como instauram um processo de atualização da memória social, discursiva, de arquivo, metálica, discursiva digital e cultural, num jogo entre memória e atualidade, e entre tradição e invenção. Essa agitação motiva ainda o exame dos efeitos de sentido que a cultura digital produz em sua relação com a apropriação tecnológica e com a autoria, o que possibilita discutir sobre o modo como nela pode haver espaço tanto para a autoria como simulacro, quanto para a autoria como mecanismo de transformação social, cultural e histórica. Os movimentos de sentidos de que trato se mostram igualmente na heterogeneidade de pontos de vista que a nova posição-sujeito acolhe, os quais são materializados pela tomada de posição dos grupos sociais com relação à cultura digital. É através da instauração de pontos de reprodução, falha e luta que sujeitos de grupos sociais diversos significam a cultura digital e se significam nela – processo que envolve desde a adesão aos saberes já produzidos institucionalmente até a transformação desses sentidos. É, portanto, sobre esses diferentes movimentos que me detenho nos quatro capítulos da tese, buscando percorrer a ordem da cultura digital em suas “clivagens subterrâneas” ao trabalhar com opacidades, contradições, jogos de força e relações de poder por ela comportados.
4

L'action culturelle mise à nu par ses métiers (1788-1988)

Mathieu, Isabelle 30 November 2009 (has links) (PDF)
L'action culturelle a fait l'objet de nombreux travaux, notamment dans ses relations avec la ou les politique(s) de la culture, ou encore à travers l'étude théorique et pratique d'un de ses modes opératoires privilégiés, la médiation culturelle. Entre ces deux champs de recherche, les acteurs culturels, en tant que groupe professionnel, n'ont jamais suscité d'étude spécifique, ni en sociologie des professions, ni en sciences de l'information et de la communication. Le présent mémoire se propose d'explorer cette question de la professionnalité des acteurs culturels, particulièrement en ce qu'ils contribuent à la mise en œuvre de la médiation. Après avoir fait le constat que ces praticiens forment un ensemble aux contours extrêmement flous qui ne permet pas de définir une profession homogène et structurée, il convient de s'interroger sur les raisons de cette absence de professionnalité. Révélateur d'un déficit de légitimité sociale pour une activité dont les liens avec l'accomplissement du processus démocratique sont affirmés haut et fort, ce phénomène renvoie aux fondements de la construction de la doctrine républicaine française. Dès lors s'impose une double exploration, synchronique et diachronique. Celle-ci fait apparaître, à l'intersection de deux autres champs professionnels qui contribuent également à la démocratie - l'enseignement et le journalisme - comment les acteurs culturels ont échoué à construire un territoire professionnel autonome. Écartelés entre les exigences des principes fondamentaux de la liberté d'expression et de la liberté de conscience, entre leur dépendance vis-à-vis du champ artistique et l'absence d'espace public susceptible d'être le cadre d'une véritable médiation, ils constituent, au sein d'un secteur culturel hypertrophié mû par des principes parfois contradictoires, un ensemble de fonctions en forme de chaîne, dont la porosité des différents maillons entre eux interdit la définition tant d'une professionnalité que d'une profession.
5

Le théâtre au Maroc : pour une institutionnalisation de la politique culturelle / Theater in Morocco : for an institutionalization of cultural policy

Chahdi, Mahmoud 15 December 2016 (has links)
La nécessité d'une politique culturelle, aujourd'hui au Maroc, s'impose tant au niveau politique que social. Il est urgent que s'élabore une vision d'ensemble cohérente, respectant les engagements pris par le Maroc au lendemain du printemps arabe, à travers la nouvelle constitution de 2011, en raison d'une pratique artistique qui tire ses origines de la période située avant l'indépendance. Le parcours qu'ont connu les différents arts, parmi lesquels le théâtre a joué un rôle important, a dessiné un paysage culturel diversifié, et actuellement conscient de la nécessité de conduire un projet politique que pourraient adopter les différents acteurs institutionnels. L'État a en effet la responsabilité de définir, de soutenir, mais surtout de protéger le secteur culturel. Le choix de la pratique théâtrale, comme principal outil d'analyse du secteur culturel, vient de sa nature éminemment sociale, qui lui a permis d'être proche d'un public marocain, à la fois populaire et savant, mais notre approche prend plus largement en compte ce qui relève de l'art et de la culture au Maroc. / The urgent requisite for a cultural policy in Morocco imposes itselt today with unrivalled expectancy on both political and social planes. Owing to an artistic practice whose origins hark back to the period prior to lndependence, it is indeed urgent to develop an overall coherent vision that highly esteems the commitments pledged by Morocco shortly after the Arab Spring through the new constitution of 2011. The course that the various arts have known, including the theater that has played an important role, has drawn various and sundry cultural landscapes, and is now mindful of the need to lead a political project which yet various institutional actors could adopt. Actually, the state has the responsibility to define, support, and, more importantly, protect the cultural sector. The choice of the histrionic praxis, which elbows itself as the most significant toolkit of overhauling the cultural sector, tends to corne from its eminent social nature, which grants it the privilege of getting closer to popular and scholarly pulses of the Moroccan public. Our approach here takes much more into account than what is an art and culture in Morocco.
6

L'Etat et le patrimoine photographique : des collectes aléatoires aux politiques spécifiques, les enrichissements des collections publiques et leur rôle dans la valorisation du statut de la photographie : France, seconde moitié du XXe siècle / The state and the photographic heritage : from contingent collecting to a defined policy : the enrichment of public collections and their role in the enhancement of the status of photography in the second half of the 20th century

Figini-Véron, Véronique 19 November 2013 (has links)
En France, après une longue période d'accumulation silencieuse dans les institutions publiques patrimoniales, la photographie fait l'objet de politiques d'enrichissement spécifiques, dans la seconde moitié du XXe siècle, qui influent sur l'évolution de son statut. Dès la fin des années 1930, les responsables du cabinet des Estampes de la Bibliothèque nationale engagent un processus de réévaluation où le médium photographique est enfin considéré comme objet de collection. S'engage alors un programme d'enrichissement audacieux selon une voie duale, documentaire et artistique, où la Bibliothèque nationale ambitionne de devenir un musée de la photographie, le premier en France. En plus de la photographie documentaire qui reste une priorité, l'intérêt des conservateurs se porte d'une part, sur les grands ensembles de photographies du XIXe siècle en vue d'initier une histoire de la photographie sur le modèle de l'histoire de l'art; et d'autre part, sur les auteurs contemporains. La démarche est pionnière et durable, mais elle n'est pas suffisante pour faire reconnaître la photographie comme un art à l'échelle nationale. Près de quarante ans plus tard, en 1976, le secrétariat aux Affaires culturelles s'empare enfin des questions photographiques, mais les quatre directions ministérielles concernées par la photographie réagissent de manière inégale. Dans un environnement photographique qui évolue vers une orientation culturelle, des collections nationales sont créées à la Fondation nationale de la Photographie à Lyon (FNP), au musée national d'Art moderne (MNAM), au Fonds national d'Art contemporain (FNAC) et au musée d'Orsay; et la photographie est enfin reconnue comme un art. Dans les années 1980, sous l'effet conjugué du «Mois de la Photo» de la Ville de Paris et de la politique en faveur de l'art contemporain développée par le ministère de Jack Lang, un des événements artistiques majeurs de la fin du XXe siècle prend forme : la photographie entre dans le champ des arts plastiques. / Photography in France, after a long period of silent accumulation in public cultural institutions, became the object of specific collecting in the second half of the twentieth century. This had a bearing on its status. From the late 1930s onwards, curators in the print cabinet of the Bibliothèque Nationale in a process of re-evaluation at last came to consider the photograph as an object for collection. They set out therefore on a daring collection program with a double focus: documentation and artistic quality. With this the BN declared its ambition to become the leading museum of photography in France. Alongside documentary photographs, which remain a priority, conservatorial interest centered on both large groups of 19th century photographs intended to inaugurate a history of photography modeled on art history, and on contemporary creators. This was a pioneering, and durable approach, but insufficient for a recognition of photography as a national art. Some forty years later, in 1976, the secretariat of Cultural Affairs took over questions concerning photography. But the four ministerial branches concerned by photography reacted in an unequal manner. In a photographic environment evolving towards a cultural orientation, national collections were initiated at the Fondation National de la Photographie, Lyon (FNP), in the Musée National de I' Art Contemporain (MNAM), at the Fonds National d'Art Contemporain (FNAC) and at the Musée d'Orsay. At last photography was recognized as an art. During the 1980s, thanks to the combined effect of the City of Paris, 'Month of the photo', and the favorable policy towards contemporary art of Jack Lang's ministry, one of the major artistic events of the late 20th century took place: photography entered the realm of the plastic arts.

Page generated in 0.101 seconds