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Mutations économiques et démographiques en Chine : croissance ou développement ? / Economic and Demographic Mutations in China : Growth or Development?

Karkanis, Dimitrios 07 June 2016 (has links)
Le processus de croissance économique de la Chine ces dernières décennies, tiré principalement par la dynamique du secteur des exportations, est accompagné par une croissance démographique rapide. Cette croissance contribue à la création d’une base considérable de consommateurs potentiels et à la constitution d’un grand réservoir en ressources humaines. Faisant partie du groupe des pays dits « émergents », le cas de la Chine présente un intérêt particulier dans le but d’examiner dans quelle mesure la croissance économique se traduit par un processus simultané de développement, cette dernière notion étant étroitement liée à l’amélioration de la vie humaine. La thèse est structurée en trois parties principales. La première partie concerne l’analyse des mutations économiques et démographiques en Chine pendant les dernières décennies, notamment depuis la montée au pouvoir du Deng Xiao Ping en 1978. L’analyse opérée établit d’abord une distinction entre les processus de globalisation et de libéralisation économique, ce, simultanément avec l’évaluation des évolutions de population liées au processus de transition démographique. Dans cette même partie est proposée par la suite une analyse des changements institutionnels liés aux politiques appliquées dans un contexte économique et démographique fortement évolutif. Dans la deuxième partie, la construction d’une base de « diagnostic » concernant certains risques et opportunités liés aux défis du développement de la Chine dans la période actuelle permet de déboucher sur la formulation des principales hypothèses de la recherche. La troisième partie évalue les hypothèses de travail identifiées et tente de construire la distinction proposée entre croissance et développement. Au-delà de la construction et de l’évaluation des hypothèses, la posture épistémologique corollaire de la thèse consiste à appréhender en ouverture disciplinaire le phénomène de co-évolution entre les variables économiques et démographiques dans le cas chinois. Les questions posées autour de la notion du développement imposent, en effet, une approche bidisciplinaire, à la fois économique et démographique. / The process of economic growth in China during the last decades, mainly driven by the dynamics of the export sector, is accompanied by a simultaneous and rapid population growth. This growth contributes, in turn, to the creation of a vast amount of potential consumers, as well of a large human resources reservoir, at a national level. Being part of the group of countries well known as “emerging”, the case of China is of special interest, in order to examine if and how economic growth can result in a simultaneous development process, the latter concept being closely related to the improvement of human life.This PhD thesis is structured mainly in three parts. The first part concerns the analysis of economic and demographic changes in China over the last decades, especially since the rise to the country’s leadership of Deng Xiaoping in the year 1978. The analysis carried out first distinguishes the processes of economic globalization and liberalization, at the same time with the evaluation of population trends related to the demographic transition process. Later in the same part, an analysis of institutional changes becomes available, associated with the national policies applied in this highly evolving economic and demographic context. During the second part, the construction of a “diagnosis base” concerning selected risks and opportunities, related to the challenges on China’s development in the current period, allows us to formulate the key assumptions of this research. Finally, the third part comes exactly to evaluate our identified key assumptions, while attempting to define the proposed distinction between the concepts of growth and development. Apart from the construction and the evaluation of our key assumptions, the corollary epistemological posture of this thesis is to examine, through a disciplinary openness, the phenomenon of the co-evolution between economic and demographic variables in the Chinese case. The questions raised about the concept of development require, in fact, a bi-disciplinary approach, both from an economic and demographic view.
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Les pôles de compétitivité / The competitiveness clusters

Agbessi, Sonagnon Hervé 13 November 2013 (has links)
Les mutations économiques induites par la mondialisation et la concurrence des pays émergents ont entraîné, en 2004, le lancement par l'Etat d'une politique industrielle articulée autour des pôles de compétitivité. Contrairement à la finalité redistributive de l'aménagement du territoire, les pôles de compétitivité n'ont pas été choisis selon une logique de type «aménagement volontaire de l'espace », ni déterminés par rapport à une vision qui irait dans le sens d'un rééquilibrage des potentiels de recherche sur le territoire national. La politique des pôles de compétitivité porte directement sur des projets et non plus sur l'aménagement global du territoire. Les activités de R&D menées en partenariat par les acteurs du Pôle imposent néanmoins un cadre juridique permettant d'identifier et d'intéresser chaque partenaire aux résultats en fonction des règles ou des critères définis par eux. Il n'est cependant pas exclu que les conflits puissent provenir de la normalisation. En effet, les pôles de compétitivité devraient être prêts à consentir des redevances sur leurs brevets à prix coûtant sous peine d'être sanctionnés, pour abus de position dominante. Le financement des pôles de compétitivité étant limité par la réglementation européenne des aides d'Etat, il importe de trouver, comme aux Etats-Unis et au Japon, d'autres sources de financement privé de l'innovation, notamment le recours au capital-risque. Mais les pôles de compétitivité seraient-ils de nature à proposer et à créer des produits innovants prometteurs susceptibles d'encourager la prise de risques par les investisseurs ? / The global economic transformations driven by globalization and competition from emerging countries led, in 2004, the launching by the Government of an industrial policy built around the competitiveness clusters. Contrary to the redistributive purpose of the territory planning, the competitiveness clusters were not chosen according to a logical type « voluntary spatial planning», or determined by reference to a vision that goes in the direction of a rebalancing of research potential in the country. Policy of competitiveness clusters bears directly on projects and not on the overall territory planning. The R & D conducted in partnership with actors of competitiveness clusters impose a legal framework to identify and interest each partner in the results according to the rules or criteria defined by them. However, it is possible that conflicts may arise from standardization. Indeed, the competitiveness clusters should grant royalties on their patents at cost. If not, they should be punished for abuse of dominant position. The financing of competitiveness clusters is limited by European’s regulation on state aid. It leads the need to find, as in the United States and Japan, other sources of private financing of innovation, including the use of venture capital. But would the competitiveness clusters propose and create promising innovative products that encourage risk-taking by investors ?
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Restructurations et droit social / Restructuring and social law

Gadrat, Magali 09 December 2014 (has links)
Dans un contexte économique instable, résultant notamment de la mondialisation des échanges, de la financiarisationde l’économie et de l’accélération des mutations technologiques, caractérisé de surcroît par l’apathie endémique de lacroissance économique française, la prospérité et la survie des entreprises dépendent de leur capacité à s’adapter enpermanence aux évolutions du marché pour pouvoir sauvegarder leur compétitivité, assurer leur développement etfaire face à une concurrence toujours plus vive. Si les restructurations sont indispensables pour assurer la pérennité desentreprises dont dépendent le maintien de l’emploi, le dynamisme du marché du travail et la création de richesse, ellesmettent fréquemment en péril les intérêts des salariés. Nombre d’entre elles menacent ainsi leur emploi et partant leursécurité économique et matérielle, mais également leurs droits collectifs qu’il s’agisse des avantages issus de leurstatut collectif ou de leur droit à participer à la détermination de leurs conditions de travail et à la gestion del’entreprise via leurs représentants, dont le mandat peut être affecté par une restructuration. Si ces opérations mettenten péril les intérêts des salariés et génèrent un coût social largement assumé par la collectivité nationale, le droit, enparticulier le droit social, ne peut remettre en cause les projets de restructuration. Ces décisions et leur mise en oeuvrerelèvent en effet de la liberté d’entreprendre des dirigeants de l’entreprise à laquelle le droit social ne saurait porteratteinte en s’immisçant dans leurs choix économiques et stratégiques. L’objet de cette étude est donc d’exposercomment, en dépit de son incapacité à influer sur les décisions de restructurations, le droit social tente d’en limiter lecoût social, en préservant au mieux les intérêts des salariés. / In an unsettled economic climate, the result in particular of globalisation of trade, the financialisation of the economyand accelerating technological change, further marked by the endemic apathy of French economic growth, theprosperity and survival of companies depend on their capacity to adapt constantly to market trends in order tosafeguard their competitiveness, to ensure their development and to stand up to ever increasingly harsh competition.Whilst restructuring is essential to ensure the long-term survival of companies, on which maintaining jobs, a dynamiclabour market and the creation of wealth all depend, it frequently endangers the interests of employees. Manyrestructuring operations thus threaten their employment and consequently their economic and material security, butalso their collective rights when it comes to advantages resulting from their collective status or their right to participatein determining their working conditions and in the management of the company through their representatives, whosemandate may be impacted by a restructuring operation. While such operations endanger the interests of employees andgenerate a social cost borne to a large extent by the national community, law, and in particular social law, cannotchallenge restructuring projects. Such decisions and their implementation fall within the purview of the freedom to actenjoyed by corporate managers that social law cannot in any way impede by interfering in their economic and strategicchoices. The purpose of this study is therefore to show how social law, despite its inability to influence restructuringdecisions, seeks to limit the social cost by preserving as best as possible the interests of employees.

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