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Voices and Silences: Exploring English and French Versions at the National Film Board of Canada, 1939-1974

York, Christine January 2014 (has links)
Voices and Silences: Exploring English and French Versions at the National Film Board of Canada, 1939-1974 Abstract The National Film Board of Canada (NFB) is unique as a state-sponsored filmmaking institution for its bilingualism: it has consistently produced and distributed films in English and French and made versions of some of those films in the opposite language. This doctoral thesis fills a gap in existing literature on the NFB and in translation studies by taking the versions as its object of study. The corpus is drawn from the vast body of audiovisual productions made by the NFB between 1939 and 1974, when voice-over was the preferred mode of audiovisual translation. Voice-over can refer to either the translated narration that replaces the original voice of narration-led documentaries, or to the audiovisual voice-over of documentaries built around interviews and spontaneous speech. Against the backdrop of asymmetrical language relations between English and French in Canada, this thesis offers a retelling of the NFB’s early history that emphasizes the intertwining threads of English and French production and identifies several approaches to version making. From 1939 to the mid-1950s, with English-language production dominant at the NFB and little original production in French, versions from English to French were a central element of film in Quebec. They bear witness to an interventionist approach to translating, whereby the original film is treated as raw material that can be shaped to appeal to local audiences. Subsequently, an increase in French original production, reflecting changing documentary aesthetics and growing nationalism in Quebec, led to a correspondingly higher number of French-to-English versions. These versions adopted a mediating approach by adding a narrator’s voice in English to originals that eschewed narration, bringing the innovative French films into conformity with the traditional model. The period from 1967 to 1974 is one of fragmentation and is characterized by a high level of non-translation, whether of the Challenge for Change/Société nouvelle films or those of Studio D. The few films that were versioned, however, showed great sensitivity to language. Non-translation of a different kind can be found in many Aboriginal films produced at the NFB. The NFB’s long-standing commitment to translation makes it a valuable site for studying audiovisual translation practices and changing language relations in Canada. Voix et silences : Une exploration des versions anglaises et françaises produites par l’Office national du film du Canada, 1939-1974 Résumé L’Office national du film du Canada (ONF), institution financée par l’État pour la création d’œuvres cinématographiques, se distingue par son bilinguisme, car il a toujours produit et distribué ses films en anglais ou en français tout en prenant soin de fournir une version dans la langue opposée. La thèse se penche sur ces versions et vient combler un vide dans les recherches sur l’ONF ainsi qu’en traductologie. Le corpus à l’étude provient d’une vaste production audiovisuelle réalisée entre 1939 et 1974, époque où le mode de traduction privilégié des documentaires était la voix hors-champ. Ce terme désigne autant la narration traduite qui remplace la voix originale que la voix en surimposition utilisée pour les entrevues et le discours spontané. La thèse relate les débuts de l’ONF dans le contexte des relations asymétriques entre l’anglais et le français au Canada et porte un regard neuf sur les liens entre les studios anglophones et francophones en plus de décrire certaines tendances dans la production de versions. De 1939 jusqu’au milieu des années 1950, lorsque l’anglais dominait, par rapport aux rares films produits originalement en français, les versions françaises traduites de l’anglais contribuèrent substantiellement à la cinématographie québécoise. Elles témoignent d’une stratégie de traduction interventionniste, par laquelle le film original est considéré comme une matière première que l’on peut manipuler afin d’accrocher le public local. Par suite d’un changement dans l’esthétique du documentaire et de la montée du nationalisme québécois, les originaux en langue française s’accrurent et entraînèrent une augmentation des versions du français à l’anglais. Celles-ci usèrent d’un mode de médiation qui consistait à rajouter une voix narrative anglophone aux films novateurs en français, du fait qu’ils avaient évacué la narration, soumettant ainsi les créations originales au modèle traditionnel. La période de 1967 à 1974 en est une de fragmentation se caractérisant par un nombre élevé de films non traduits, tels que ceux produits dans le cadre du programme Challenge for Change/Société nouvelle ou par le Studio D. Les quelques productions qui furent traduites, cependant, connurent des versions d’une grande sensibilité linguistique. Un phénomène de non-traduction, mais d’un autre ordre, s’observe par ailleurs dans certains films autochtones. Depuis longtemps, l’ONF s’est engagé à traduire ses productions; c’est ce qui en fait un site riche pour l’étude des pratiques de la traduction audiovisuelle et du changement des relations entre les langues au Canada.
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L'éducation cinématographique, une nouvelle approche pour les écoles secondaires québécoises

Décarie, Kim 12 1900 (has links)
Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de ses documents visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal. / Cette recherche propose de se questionner sur la présence — ou l'absence — du cinéma dans les écoles secondaires québécoises en 2011. Ce mémoire s'amorce par un bref historique de l'éducation cinématographique au Québec, qui permet de démontrer la récurrence des recommandations émises en faveur de l'éducation cinématographique depuis les années 60 au Québec, et qui met en contexte la situation actuelle de l'éducation cinématographique. Il s'attarde ensuite à la notion de culture, telle qu'entendue dans la réforme du programme de formation de l'école québécoise, survenue au début des années 2000 au Québec, et ce afin de souligner l'incongruité de l'absence du cinéma dans le parcours scolaire des étudiants. Il tente également de démontrer l'urgence d'inclure le cinéma au corpus étudiant afin de former les élèves à l’analyse critique et informée des images, urgence qui découle en partie de l'omniprésence des images en société. Ce mémoire analyse également les différents outils pédagogiques liés au cinéma qui sont offerts aux enseignants des écoles secondaires québécoises par l'Office national du film du Canada et par l'Association des cinémas parallèles du Québec, pour ensuite les mettre en parallèle avec le projet cinématographique développé par Alain Bergala en France. / This thesis proposes to question the presence — or absence — of cinema in secondary schools of the province of Quebec in 2011. It begins with a brief history of film education in Quebec, which demonstrates the recurrence of recommendations for film education since the 60s in the province, and puts into context the current situation of education film. It then focuses on the concept of culture, as described in the recent reform of the Quebec's educational program, which occurred in the early 2000s, in order to emphasize the incongruity of the absence of cinema in the program. It also demonstrates the urgency of including the cinema to the educational program to train students in critical analysis of images, urgency stems in part from the pervasiveness of images in society. This thesis then analyzes the various educational tools related to cinema that are available to high school teachers in Quebec, mostly offered by the National Film Board of Canada and the Association des cinémas parallèles du Québec, and compares them with the educational project linked to cinema developed by Alain Bergala in France.
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L'éducation cinématographique, une nouvelle approche pour les écoles secondaires québécoises

Décarie, Kim 12 1900 (has links)
Cette recherche propose de se questionner sur la présence — ou l'absence — du cinéma dans les écoles secondaires québécoises en 2011. Ce mémoire s'amorce par un bref historique de l'éducation cinématographique au Québec, qui permet de démontrer la récurrence des recommandations émises en faveur de l'éducation cinématographique depuis les années 60 au Québec, et qui met en contexte la situation actuelle de l'éducation cinématographique. Il s'attarde ensuite à la notion de culture, telle qu'entendue dans la réforme du programme de formation de l'école québécoise, survenue au début des années 2000 au Québec, et ce afin de souligner l'incongruité de l'absence du cinéma dans le parcours scolaire des étudiants. Il tente également de démontrer l'urgence d'inclure le cinéma au corpus étudiant afin de former les élèves à l’analyse critique et informée des images, urgence qui découle en partie de l'omniprésence des images en société. Ce mémoire analyse également les différents outils pédagogiques liés au cinéma qui sont offerts aux enseignants des écoles secondaires québécoises par l'Office national du film du Canada et par l'Association des cinémas parallèles du Québec, pour ensuite les mettre en parallèle avec le projet cinématographique développé par Alain Bergala en France. / This thesis proposes to question the presence — or absence — of cinema in secondary schools of the province of Quebec in 2011. It begins with a brief history of film education in Quebec, which demonstrates the recurrence of recommendations for film education since the 60s in the province, and puts into context the current situation of education film. It then focuses on the concept of culture, as described in the recent reform of the Quebec's educational program, which occurred in the early 2000s, in order to emphasize the incongruity of the absence of cinema in the program. It also demonstrates the urgency of including the cinema to the educational program to train students in critical analysis of images, urgency stems in part from the pervasiveness of images in society. This thesis then analyzes the various educational tools related to cinema that are available to high school teachers in Quebec, mostly offered by the National Film Board of Canada and the Association des cinémas parallèles du Québec, and compares them with the educational project linked to cinema developed by Alain Bergala in France. / Pour respecter les droits d'auteur, la version électronique de ce mémoire a été dépouillée de ses documents visuels. La version intégrale du mémoire a été déposée au Service de la gestion des documents et des archives de l'Université de Montréal.
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« Je suis le premier spectateur » : l’œuvre de Pierre Perrault ou le cinéma comme processus / “I’m the first spectator” : the work of Pierre Perrault or the cinema as process

Scheppler, Gwenn 15 April 2009 (has links)
Cette thèse a comme objectif de comprendre comment l’œuvre de Perrault a interagi avec la société québécoise lors de la Révolution Tranquille et de ses prémisses. Nous focalisons en particulier notre attention sur la façon dont la démarche artistique du cinéaste a pu être influencée par la culture populaire québécoise, et comment elle a en retour réinvesti cette dernière. Nous analysons donc les relations entre l’œuvre du cinéaste et trois contextes distincts : les représentations de la nation québécoise et leur historicité au vingtième siècle ; la relation ambivalente entre cinéma et société québécoise depuis la naissance de cet art de masse ; les réminiscences de la tradition orale dans la culture populaire et le cinéma. Pour bien comprendre la démarche de Perrault et son inscription dans la société québécoise, nous proposons de considérer l’œuvre selon une perspective globale, qui embrasserait à la fois les films et les écrits ainsi que le dispositif de production et de diffusion des films, dans l’idée que tous ces éléments formaient en réalité un tout cohérent et indivisible dans l’idée que Perrault se faisait de son cinéma. Nous proposons donc l’idée que le « cinéma de la parole » doit s’envisager d’une façon inhabituelle : son cœur ou son sens ne sont pas spécifiquement localisés dans les films, ni même dans leur réception, mais dans un long « processus » d’échange qui s’initie avant le tournage et est supposé se poursuivre au-delà de la projection du film fini : ce serait ce processus d’échange, d’interrelation et de co-définition qui serait l’objet véritable du cinéma de Perrault, ou du moins est-ce ce que nous allons démontrer. Le concept de « processus », que nous développons tout au long de cette étude, constitue donc le cadre de notre analyse « contextuelle ». Il recouvre également la façon dont le cinéaste concevait son cinéma : notre analyse se place donc dans une perspective herméneutique.Ultimement, le fait de concevoir et d’analyser le cinéma de Perrault en terme de processus permet d’envisager une conception différente du cinéma basée sur l’exemple de ce cinéaste : un phénomène historique et socioculturel complexe intimement relié aux évolutions d’une société donnée, et dont les significations dépendent des contextes où il se déploie et avec lesquels il entretient un rapport d’échange. / This thesis aims to a better understanding of the ways in which Pierre Perrault’s work interacted with Québécois society during the Quiet Revolution and with the ideas on which it was based.Specifically, it will focus on the way in which the filmmaker’s artistic conception might have been influenced by Québécois popular culture and how it has, in turn, reinvested it. I will analyse the relationships between the filmmaker’s work and three distinct contexts: the representations of the Québécois nation and their historicity in the 20th century; the ambivalent relationship between cinema and Québécois society since the birth of this mass media; and the reminiscences of oral tradition in popular culture and cinema.In order to properly understand Perrault’s creative practice an its inscription in the Québécois society, I propose to consider his work from a global perspective, which includes the films and the essays, as well as the film production and distribution, with the idea that all these elements formed in fact a coherent and indivisible whole in the ways in which Perrault thought of his filmmaking. I thus suggest the idea that the “cinéma de la parole” must be considered from a fresh perspective: its core or its meaning are not specifically found in the films themselves, nor in their reception, but in a long “process” of sharing that begins before the film’s recording and that is meant to continue beyond the screening of the finished work: the true aim of Perrault’s cinema is the very process of exchange, of interrelation and co-definition. The concept of “process”, which will be developed throughout this entire study, constitutes a frame for its “contextual” analysis. It also encompasses the way in which the filmmaker conceived his work as cinematographer; my analysis can thus be situated within a hermeneutic tradition.Finally, describing and analysing Perrault’s cinema in terms of process also allows us to consider a different conception of film based on Perrault’s example: a complex historical and socio-cultural phenomenon intimately tied to the evolutions of a given society, and whose meanings depend on the contexts in which it grows and with which it maintains a relationship based on exchange.
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"Je suis le premier spectateur" : l'oeuvre de Pierre Perrault ou le cinéma comme processus

Scheppler, Gwenn January 2009 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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"Je suis le premier spectateur" : l'oeuvre de Pierre Perrault ou le cinéma comme processus

Scheppler, Gwenn January 2009 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal

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