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Normenbegründung in der analytischen Ethik /

Kellerwessel, Wulf. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Habili-schr. / Bibliogr. p. 506-545. Index.
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On valid law and valid moral norms /

Flodin, Mats. January 1986 (has links)
Th.--Law--Lund university, 1986.
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Normative theory in international relations : a pragmatic approach /

Cochran, Molly, January 1999 (has links)
Doctorat de philosophie--University of London--London, 1996. / Bibliogr. p. 281-292. Index.
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Normative theory in international relations a pragmatic approach /

Cochran, Molly. January 1999 (has links)
Thèse (Ph. D.)--University of London, 1996. / In MyiLibrary. Titre de l'écran-titre (visionné le 10 juin 2008). Description based on print version record. Bibliogr.: p. 281-292.
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Normative theory in international relations a pragmatic approach /

Cochran, Molly, January 1999 (has links)
Thesis (Ph. D.)--University of London, 1996. / Includes bibliographical references (p. 281-292) and index.
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De l'affect à l'effet : le rôle des émotions dans le maintien des normes

Grégoire, Jean-François 17 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2010-2011 / L'analyse de notre rapport à la normativité nécessite que nous répondions non seulement à la question de ce que nous nous devons les uns les autres, question centrale de la morale, mais également à celle de savoir comment nous arrivons à saisir, en commun et dans une multiplicité de contextes, ce que nous nous devons effectivement les uns aux autres. Dans ce mémoire, je chercherai à démontrer que c'est grâce aux affects que les individus arrivent à saisir en commun les enjeux et les obligations qui pèsent sur eux dans une grande variété de contextes. Je poursuivrai un objectif double. D'abord, je souhaite développer une version originale de la thèse épistémique émotiviste, largement inspirée de celle de Jesse Prinz, selon laquelle la disposition à ressentir des émotions est nécessaire pour formuler des jugements moraux. Ensuite, je souhaite offrir une présentation des principales émotions morales discutées dans la littérature philosophique.
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Le rôle social du chercheur en science : exploration des différentes composantes du rôle de chercheur en science à travers l'analyse du discours des chercheurs et du cadre normatif

Sénéchal, Jean-François 18 April 2018 (has links)
La science est cette entreprise inachevée et inachevable à travers laquelle l'homme tente, par le truchement de l'exploration de la nature, du vivant et de la matière, de se connaître lui-même. De toutes les époques, ce mouvement vers le savoir a été ennobli. La puissance de la technique (technè) s'est depuis intégrée à cette entreprise. Au seul pouvoir de comprendre, se sont ajoutés les pouvoirs d'agir et de faire, et conséquemment de bien ou mal agir et faire. Les visées de cette science désormais technoscience sont des plus ambitieuses: redéfinir l'identité biologique humaine, maîtriser la nature, contrôler les naissances et la reproduction, modifier le rapport de l'humain à la terre et sa façon de se nourrir, améliorer sa qualité de vie et espérer repousser la mort. Plusieurs de ces développements scientifiques récents engendrent toutefois, dans la population, des craintes et peurs dont l'intensité et la mesure semblent proportionnelles à la grandeur des ambitions annoncées. En réponse à ces inquiétudes et critiques, mais surtout de façon à rétablir ce lien de confiance entre la science et la société, des mesures de contrôle de la science ont été mises en place. L'une d'elles consiste à établir un cadre normatif de plus en plus précis au sein duquel le rôle du chercheur et ses balises d'exercice seraient mieux définis. À travers ce processus, une conception du rôle social du chercheur s'est progressivement façonnée. Qu'est-ce qu'un chercheur aujourd'hui? Quel est son rôle? Comment doit-il agir en société? Le cadre normatif de la recherche en science propose une conception de ce rôle, mais cette dernière est-elle adéquate? Se pourrait-il qu'elle soit seulement une réponse à une peur qu'on aurait trop précocement transmutée en interdit? Et surtout, correspond-elle à la compréhension qu'ont les chercheurs en science de leur propre rôle? La question du rôle social du chercheur est complexe et ses composantes sont multiples. D'une part, le chercheur a la tâche de s'engager dans la société. Dans cette visée, il est invité à participer à la construction du bien commun, à respecter les valeurs promues au sein de la collectivité et à se plier aux contraintes que cette dernière tente de lui imposer. Au coeur de cette première dimension du rôle social du chercheur sont promues les valeurs de dignité de la personne humaine, de bienfaisance, de justice et d'équité. D'autre part, le chercheur aurait aussi la curieuse tâche de se dégager de cette même société. Dans cette visée, on l'invite plutôt à se distancier de cette société, à promouvoir une forme d'autonomie dans l'exercice libre de sa profession, et à servir d'autres valeurs comme le savoir, la vérité et la collégialité. L'équilibre dynamique et circonstancié entre ces deux visées puissantes, profondes, et qui entrent parfois en contradiction, définit le plus adéquatement l'exercice prudent du rôle de chercheur et de scientifique en société.
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De la description à la prescription : recherches pour une phénoménologie de la normativité à partir de l'oeuvre de Husserl

Desmeules, Marie-Hélène 24 April 2018 (has links)
"Thèse en cotutelle" / Si certains héritiers de la phénoménologie ont cherché à libérer l’apparaître des normes qui lui étaient imposées, il en allait autrement chez Husserl. Les normes étaient d’abord appliquées aux visées de sens elles-mêmes, lesquelles étaient dites « correctes » ou « incorrectes ». Autre façon de dire que la phénoménologie ne pouvait faire l’économie des normes : point de description sans prescription, et sans prescription à la description. Dire que le projet phénoménologique est essentiellement descriptif, c’est cependant admettre que les normes s’y tiennent en retrait. Le premier défi d’une phénoménologie des normes est donc de les mettre au jour. De plus, en son versant critique, la phénoménologie des normes doit justifier notre droit de les poser et de les appliquer normativement. À ce titre, elle sera une phénoménologie du caractère normatif des normes. Suivant les traces de Husserl, nous considèrerons d’abord les enjeux normatifs liés à la logique, puis les autres normes reconnues par lui. Ces normes étant assimilées à l’obtention d’une évidence ou d’un certain type d’évidence, elles avaient toutes un usage théorique. Nous ferons cependant l’hypothèse que certaines normes peuvent avoir un usage pratique. Cette hypothèse se heurtera à un obstacle de taille chez Husserl, qui proposait de justifier les devoirs pratiques grâce aux valeurs et non par les normes. Déconstruisant chacun des présupposés normatifs ayant conduit Husserl à recourir aux valeurs en éthique, nous paverons la voie à une éthique phénoménologique, normative et suspensive. Mots-clés : phénoménologie, Edmund Husserl, normativité, normes, logique normative, éthique, valeurs, volonté, action, devoir. / If some of phenomenology’s heirs sought to free that which appears from the norms imposed upon it, it was not Husserl’s main concern. He applied norms foremost to sense itself, which was then said to be « correct » or « incorrect ». This was another way of saying that phenomenology could not avoid norms : no description without prescription, and without prescription to description. To say that the phenomenological project is essentially descriptive is to admit that norms keep out of the limelight in phenomenology. The first challenge of a phenomenology of norms is therefore to shine a spot upon them. Moreover, in its critical orientation, a phenomenology of norms must justify our right to posit and apply them normatively. As such, it is a phenomenology of the normative character of norms. Following Husserl’s reflection, I will first consider the normative stakes linked to logic and then the other norms he recognized. As norms were assimilated to evidence or to some type of evidence, they all had a theoretical use. I will assume, however, that some norms may have a practical function. This hypothesis will encounter a major obstacle, as Husserl proposed to justify practical ougths by means of values instead of norms. By deconstructing each of the normative presuppositions that led Husserl to rely on values in ethics, I will pave the way for a phenomenological, normative and suspensive ethic. Keywords : phenomenology, Edmund Husserl, normativity, norms, normativ logic, ethic, values, will, action, ought.

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