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Le rôle social du chercheur en science : exploration des différentes composantes du rôle de chercheur en science à travers l'analyse du discours des chercheurs et du cadre normatif

Sénéchal, Jean-François 18 April 2018 (has links)
La science est cette entreprise inachevée et inachevable à travers laquelle l'homme tente, par le truchement de l'exploration de la nature, du vivant et de la matière, de se connaître lui-même. De toutes les époques, ce mouvement vers le savoir a été ennobli. La puissance de la technique (technè) s'est depuis intégrée à cette entreprise. Au seul pouvoir de comprendre, se sont ajoutés les pouvoirs d'agir et de faire, et conséquemment de bien ou mal agir et faire. Les visées de cette science désormais technoscience sont des plus ambitieuses: redéfinir l'identité biologique humaine, maîtriser la nature, contrôler les naissances et la reproduction, modifier le rapport de l'humain à la terre et sa façon de se nourrir, améliorer sa qualité de vie et espérer repousser la mort. Plusieurs de ces développements scientifiques récents engendrent toutefois, dans la population, des craintes et peurs dont l'intensité et la mesure semblent proportionnelles à la grandeur des ambitions annoncées. En réponse à ces inquiétudes et critiques, mais surtout de façon à rétablir ce lien de confiance entre la science et la société, des mesures de contrôle de la science ont été mises en place. L'une d'elles consiste à établir un cadre normatif de plus en plus précis au sein duquel le rôle du chercheur et ses balises d'exercice seraient mieux définis. À travers ce processus, une conception du rôle social du chercheur s'est progressivement façonnée. Qu'est-ce qu'un chercheur aujourd'hui? Quel est son rôle? Comment doit-il agir en société? Le cadre normatif de la recherche en science propose une conception de ce rôle, mais cette dernière est-elle adéquate? Se pourrait-il qu'elle soit seulement une réponse à une peur qu'on aurait trop précocement transmutée en interdit? Et surtout, correspond-elle à la compréhension qu'ont les chercheurs en science de leur propre rôle? La question du rôle social du chercheur est complexe et ses composantes sont multiples. D'une part, le chercheur a la tâche de s'engager dans la société. Dans cette visée, il est invité à participer à la construction du bien commun, à respecter les valeurs promues au sein de la collectivité et à se plier aux contraintes que cette dernière tente de lui imposer. Au coeur de cette première dimension du rôle social du chercheur sont promues les valeurs de dignité de la personne humaine, de bienfaisance, de justice et d'équité. D'autre part, le chercheur aurait aussi la curieuse tâche de se dégager de cette même société. Dans cette visée, on l'invite plutôt à se distancier de cette société, à promouvoir une forme d'autonomie dans l'exercice libre de sa profession, et à servir d'autres valeurs comme le savoir, la vérité et la collégialité. L'équilibre dynamique et circonstancié entre ces deux visées puissantes, profondes, et qui entrent parfois en contradiction, définit le plus adéquatement l'exercice prudent du rôle de chercheur et de scientifique en société.
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La domestication de la biodiversité

Brisson, Ghislain 13 April 2018 (has links)
J'analyse un épisode récent de négociation d'une nouvelle image formelle de la nature. La popularisation de l'idée de biodiversité dans les années 1980-90 a engendré un effort d'actualisation des représentations institutionnelles de la nature : les espèces menacées et les aires protégées cèdent le pas, tout en s'y intégrant, aux indicateurs de la diversité biologique. Comment l'objectivité et la légitimité de cette nouvelle image de la nature est-elle négociée? Comment l'idée de biodiversité est-elle domestiquée dans un outil cognitif tel qu'un indice de biodiversité? Mon analyse s'appuie sur les travaux en sociologie de la science qui postulent que les produits d'une entreprise scientifique n'ont rien d'évident et qu'ils sont le résultat d'une négociation des paramètres de la ± bonne ¿ science. Dans cette optique, je mets en relief les différentes conceptions de la ± bonne ¿ science qui s'opposent parmi les acteurs qui participent à la conception de l'Indice canadien de la biodiversité.
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La conception de la fonction sociale de la science chez des enseignants québécois de sciences du secondaire et du collégial

Berthelot, Michèle 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2015
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Le consentement comme risque partagé : l'exigence éthique dans la problématique du consentement à la recherche expérimentale impliquant des « sujets » humains

April, Marie-Josée 12 April 2018 (has links)
Thèse présentée à la Faculté des études supérieures de l'Université Laval comme exigence partielle du programme du doctorat en philosophie offert à l'Université de Sherbrooke en vertu d'un protocole d'entente avec l'Université Laval: Faculté de philosophie, Université Laval, Québec et Faculté de théologie, d'éthique et de philosophie, Université de Sherbrooke, Sherbrooke / Notre réflexion s'appuie sur l'observation que la problématique éthique de la recherche scientifique tend à s'enfermer dans une sorte d'impasse juridiste qui, à la limite, exclut de son propre champ le sujet-patient-objet-de-recherche qu'elle a pour tâche de protéger. Il nous est apparu important d'étudier comment se développe cette impasse, quelle est sa logique interne, quelles sont les tendances qui la renforcent et marginalisent petit-à-petit le sujet-patient-objet-de-recherche qu'elle dit être au centre de ses préoccupations. Cette dérive "positiviste" est renforcée par la nature même du développement des sciences, et particulièrement des sciences biologiques et médicales, qui, de leur côté, et pour des raisons historico-épistémologiques indépendantes de la juridification de l'éthique, perdent également de vue le sujet-patient-objet-de-recherche dont elles ont pour tâche de favoriser "l'amélioration" de la vie et notamment de la santé. Pour remettre le sujet-patient-objet-de-recherche au centre des préoccupations de la recherche scientifique d'une part et éthiques de l'autre, il serait intéressant de disposer d'un modèle fonctionnant déjà et ayant fait ses preuves, où cette exclusion se serait puissamment inversée en inclusion téléologique. Or un tel modèle est à l'oeuvre dans l'approche des soins palliatifs. De ce modèle, qui nous apprend un certain nombre de choses extrêmement stimulantes, nous pouvons tirer un certain nombre de recommandations en vue d'une transformation du paradigme juridiste de l'éthique de la recherche scientifique.
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Sciences, technologie et société: cornucopians contre doomsdaywriters aux Etats-Unis

Philippart, Eric January 1993 (has links)
Doctorat en sciences sociales, politiques et économiques / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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