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Les bassins sédimentaires protérozoïques du lac Tilly et de la rivière Laforge : leur place dans l'agencement structural du territoire du Nouveau-Québec dégagé par photographies de satellites et cartes aéromagnétiques

Portella, Philippe 04 November 1980 (has links) (PDF)
Ce mémoire se composera donc de deux parties PREMIERE PARTIE : Etude géologique des bassins sédimentaires protéozoïques de la région du lac Tilly et de la rivière Laforge. Elle traite principalement de la stratigraphie et de la sédimentologie de la formation sédimentaire de Sakami, en mettant l'accent sur l'incidence de la fracturation sur la sédimentation à partir de l'exemple du bassin du lac Tilly. Une étude pétrographique sommaire sera entreprise sur les sédiments : la woodhouséite fera l'objet d'un paragraphe particulier. Les minéralisations uranifères seront décrites brièvement. DEUXIEME PARTIE : Etude et interprétation de la tectonique cassante. Le premier chapitre sera consacré à l ' étude structurale de la region du lac Tilly et de la rivière Laforge : un mécanisme de mise en place des bassins sédimentaires sera proposé. Le deuxième chapitre traitera de l'agencement structural du Territoire du Nouveau Québec: un modèle de décrochement dextre sera établi. Les bassins sédimentaires protérozoïques des formations de Sakami, de Chakopinau (région des lacs Cambrian et Castignon) et des groupes de Pachi et du Golfe de Richmond (région du Golfe de Richmond), seront replacés dans ce vaste contexte structural. Les relations des différents réseaux de dykes de diabase avec les systèmes majeurs de fracturation sont mises en évidence ; le rôle de la zone gneissique de Kapuskasing sera discuté.
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Variabilité interannuelle du budget du carbone dans une tourbière aqualysée de la portion nord est du bassin versant de la rivière La Grande

Cliche Trudeau, Noémie 02 1900 (has links) (PDF)
À la limite écotonale de la toundra forestière et de la pessière à lichen, une hausse des conditions d'humidité enregistrée depuis le Petit Âge Glaciaire a causé un rehaussement de la nappe phréatique régionale. Dans les fens structurés de la région, cette hausse de la nappe phréatique a entraîné une dégradation progressive des buttes et des lanières qui séparent les mares permettant alors la fusion de ces dernières par coalescence. Il résulte de ce phénomène une augmentation de la superficie couverte par les mares au détriment des portions terrestres des tourbières favorisant le maintien de biotopes caractérisés par une nappe phréatique affleurante. Dans une tourbières de la région de Laforge (Abeille), nous avons mesuré les flux de méthane (CH4), dioxyde de carbone (C02) et carbone organique dissout (DOC) afin de déterminer l'influence d'une nappe phréatique affleurante et d'une importante proportion de mare sur le bilan annuel du carbone. 83% de la tourbière à l'étude est soit couverte par les mares (42%), les dépressions (28%) et lanières (13%) et présente une nappe phréatique en moyenne supérieure à 7 cm sous la surface. Les flux de CO2 et de CH4 ont été mesurés le long d'un gradient microtopographique durant les saisons de croissance de 2009 et 2010 et les flux de DOC ont été mesurés à l'exutoire de la tourbière en 2010. L'identification des contrôles environnementaux a permis la modélisation du budget annuel de carbone de la tourbière Abeille. La tourbière à l'étude a été une source de carbone durant les deux années échantillonnées. Trois variables permettent d'expliquer ce phénomène : la durée de la saison froide, les conditions météorologiques durant la saison de croissance et le ratio mare/portion terrestre. Les flux hivernaux sont de faible envergure et la photosynthèse est inhibée en sol gelé. Ainsi, la saison froide représente 210-214 jours d'émissions nettes de CO2 et de CH4 vers l'atmosphère et joue un rôle important dans le budget annuel. Durant la saison de croissance, nous avons observé que des conditions chaudes et sèches diminuent la capacité de la végétation à effectuer la photosynthèse tout en augmentant le taux de respiration qui contrebalance alors l'absorption de CO2. La tourbière peut toutefois représenter un puits de carbone en conditions humides et chaudes puisque la photosynthèse est plus importante que la respiration. Les portions aquatiques sont également une importante source de carbone. Elles émettent en moyenne 5 fois plus de méthane que les compartiments terrestres et représentent 80% du budget annuel de méthane extrapolé spatialement. La respiration mesurée dans les mares est similaire à celle mesurée en milieu terrestre mais les flux sont unidirectionnels. Ainsi, les flux en provenance des mares représentent 57-60% du budget annuel de CO2 extrapolé spatialement. Enfin, les tourbières aqualysées représentent une source de carbone dont la magnitude est déterminée par les conditions météorologiques durant la saison de croissance. Une projection du bilan futur de carbone pourra être effectuée à partir de scénarios climatiques issus du Modèle Régional Canadien du Climat (MRCC). ______________________________________________________________________________
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Reconstitution paléoécologique du développement des mares dans deux tourbières minérotrophes structurées du Québec subarctique

Tremblay, Louis 12 1900 (has links) (PDF)
Dans le secteur nord-est du bassin versant de La Grande Rivière (Québec subarctique, Canada), les tourbières structurées montrent les signes d'un ennoiement récent : expansion des mares et leur coalescence, mortalité des arbres et dégradation des lanières de végétation. Ces symptômes suggèrent l'occurrence d'un processus nommé « aqualyse », c'est-à-dire une détérioration physique du milieu par l'expansion des mares qui le composent, augmentant la surface aquatique et dégradant l'assise tourbeuse de l'écosystème. Quatre carottes de tourbe ont été récoltées dans les mares des tourbières de l'Aéroport (54°6'2"N, 72°30'59"W) et de l'Ours (54°2'56''N, 72°27'25"W), situées dans le secteur de Laforge-1. Dans le but d'étudier la relation potentielle entre le phénomène d'aqualyse et les fluctuations hydroclimatiques de l'Holocène, des analyses macrofossiles, de thécamoebiens (rhizopodes) et de perte au feu ont été réalisées sur les profils de tourbe. Trente-trois datations SMA au radiocarbone ont également été effectuées le long des quatre carottes étudiées afin d'élaborer la chronologie des événements hydrologiques. Les résultats démontrent que l'accumulation de la tourbe dans Aéroport et Ours a débuté respectivement vers 6700 et 6400 cal. BP alors que les deux sites amorçaient la transition d'un milieu aquatique à un écosystème tourbeux à la faveur de conditions climatiques sèches. Les zones topographiquement plus basses sont demeurées ennoyées et marécageuses plus longtemps et sont devenues terrestres (tourbière) vers 4600 et 5950 cal. BP dans les tourbières de l'Aéroport et de l'Ours respectivement. Les mares se sont développées à partir de dépressions humides qui se sont formées en réponse à des facteurs allogènes et autogènes vers 6000, 5000, 4000 et 2000 cal. BP pour les sites OursM4, OursM3, AeroM2 et AeroM4 respectivement. Par ailleurs, le manque d'indicateurs associés à l'occurrence de mares, la mauvaise préservation des sédiments et la possibilité de taux d' accumulation négatifs dans les mares ont limité la capacité des auteurs à détecter les phases d'aqualyse (développement de mares) au sein des profils de tourbe. Les résultats suggèrent que les mares OursM4, OursM3, AeroM2 et AeroM4 se sont développées à des âges maximaux de 4220, 4000, 3420 et 1480 cal. BP respectivement. La mise en place des mares s'est donc effectuée à la faveur d'une hausse générale des conditions d'humidité depuis l'épisode néoglaciaire il y a environ 4000 ans. L'initiation isolée de la mare AeroM4 suggère cependant que des processus autogènes peuvent suffire à déclencher le développement de mares. Les symptômes récents de dégradation du drainage observés à la surface des tourbières de l'Aéroport et de l'Ours, sont probablement le résultat d'une intensification récente du phénomène d'aqualyse à travers une expansion des mares. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Tourbières, mares, paléoécologie, thécamoebiens, macrofossiles végétaux.
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La place du Grand Nord dans la sémiosphère québécoise

Riopel, Hélène 03 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire s'intéresse à l'appropriation du Grand Nord québécois par les Québécois dans le contexte actuel de reconquête du pouvoir par les Autochtones. Partant du postulat que la toponymie aide les individus et les sociétés à s'approprier l'espace et à le transformer en territoire, nous avons essayé de comprendre à travers l'étude de la toponymie toute la complexité des relations qui lient les Québécois à ce Grand Nord si éloigné et si différent du Québec de base. Pour ce faire, nous avons cherché, à partir d'un corpus composé de 198 noms de lieux, à identifier les origines des toponymes et à comprendre les motivations qui ont poussé les Québécois, les Canadiens anglais et les Autochtones à nommer, différemment ou pas, les terres arctiques québécoises. Une étude comparative des toponymies anglaise, française et autochtone a révélé des différences majeures entre les territorialités nordiques des Québécois, des Canadiens anglais et des Autochtones. La politique toponymique menée par le pouvoir québécois depuis les années 1960 témoigne ainsi de la volonté de la Province de s'approprier le Grand Nord québécois et d'exclure les noms de lieux autochtones et anglais du paysage toponymique. Cette volonté d'appropriation s'est traduite toutefois depuis 40 ans par une faible territorialisation effective du Grand Nord par les Québécois. En somme, la toponymie française du Grand Nord québécois atteste d'un geste symbolique de territorialisation des terres arctiques par les Québécois, un geste qui porte en lui les stigmates du colonialisme car il témoigne de la détermination des Québécois à exclure les Autochtones de territoires que les Québécois, au final, n'ont pas tout à fait territorialisés. En cela, ce mémoire contribue à l'étoffement d'une grille d'analyse toponymique typique de la géographie postcoloniale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : toponymie, Nord, territorialité, appropriation, post-colonialisme.
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Reconnaissance identitaire et mouvement coopératif dans l’expérience des Inuit du Nunavik

Merrien, Anne-Marie 12 1900 (has links)
Les coopératives évoluent dans une multitude de régions et de cultures. Plus qu’un élément secondaire, l’aspect culturel et identitaire du développement coopératif est au cœur de ses enjeux de développement et de sa définition-même. En effet, historiquement, l’implantation et le développement des coopératives ont été associés à des réalités identitaires importantes, comme l’illustrent les expériences coopératives acadiennes, basques, québécoises et inuites. Cette thèse étudie l’expérience des 14 coopératives du Nunavik et de leur fédération. Coopératives de consommateurs multiservices, dont les membres sont presque tous Inuit, elles sont l’initiative d’acteurs variés (État, religieux, gérant de magasins). Les premières coopératives ont été mises sur pied à partir de la fin des années 1950 et ont rapidement été gérées par les Inuit eux-mêmes. Venues briser le monopole qu’avait la Compagnie de la Baie-d’Hudson, l’établissement des coopératives au Nunavik correspond également à un changement fondamental dans l’économie et la politique du territoire et des communautés qui y vivent. Grâce à une soixantaine d’entretiens semi-dirigés et plusieurs séjours sur place, cette étude de cas suggestif permet de comprendre la contribution des coopératives membres de la Fédération des coopératives du Nouveau-Québec (FCNQ) à la reconnaissance identitaire des personnes et des collectivités touchées par leurs activités. En mobilisant la théorie de la reconnaissance et de la liberté sociale d’Axel Honneth (2000, 2014) et l’approche du triple mouvement coopératif (Draperi, 2007), l’analyse de l’expérience des coopératives du Nunavik révèle des attentes et des effets de reconnaissance associés à la reconnaissance affective, juridique et de la contribution à la société. Ces effets agissent sur différents types de capitaux, par le biais de moyens mis en place par les coopératives. Certaines conditions internes spécifiques aux coopératives influencent également la reconnaissance identitaire des Inuit. Cette thèse contribue à une meilleure compréhension des coopératives en matière de reconnaissance identitaire et culturelle. Elle rend compte de l’imbrication des besoins et aspirations des membres et offre des précisions de définitions quant à ces deux termes centraux aux théories coopératives. De l’expérience des coopératives du Nunavik, on peut dégager le constat que la prise en compte profonde et concomitante des trois mouvements coopératifs (mouvement de pensée, mouvement social et mouvement d’entreprise) produit une reconnaissance identitaire des personnes et des collectivités. Les coopératives constituent un moyen et un lieu de reconnaissance affective (par la réponse aux besoins de base et la mise en place d’un lieu de rencontre), de reconnaissance juridique (par le biais des principes démocratiques, de responsabilisation et des valeurs d’égalité et d’équité) et de reconnaissance des particularités et compétences (par la participation de chacun à la réalisation d’une mission commune et leurs activités d’éducation et de formation). Ultimement, elles permettent aux individus et aux collectivités d’exercer leur liberté sociale et d’assurer le respect de leur dignité. / Cooperatives operate in a multitude of regions and cultures. More than a secondary element, the cultural and identity aspect of cooperative development is at the heart of its development issues and its very definition. Indeed, historically, the establishment and development of cooperatives have been associated with important identity realities, as illustrated by the Acadian, Basque, Quebecois and Inuit cooperative experiences. This thesis studies the experience of the 14 Nunavik cooperatives and their federation. Multiservice consumer cooperatives, whose members are almost all Inuit, they are the initiative of various actors (state, religious, store managers). The first cooperatives were established in the late 1950s and were quickly managed by the Inuit themselves. Coming to break the monopoly of the Hudson's Bay Company, the establishment of cooperatives in Nunavik also corresponds to a fundamental change in the economy and politics of the territory and the communities that live there. Through some sixty semi-structured interviews and several on-site visits, this suggestive case study allows us to understand the contribution of the member cooperatives of the Fédération des coopératives du Nouveau-Québec (FCNQ) to the recognition of the persons’ and communities’ identities affected by their activities. By mobilizing Axel Honneth's theory of recognition and social freedom (2000. 2014) and the triple cooperative movement approach (Draperi, 2007), the analysis of the experience of Nunavik cooperatives reveals recognition expectations and effects associated with emotional recognition, legal recognition and the recognition of the contribution to society. These effects act on different types of capital, through means set up by cooperatives. Certain internal conditions specific to cooperatives also influence identity recognition of Inuit. This thesis contributes to a better understanding of cooperatives in terms of identity and cultural recognition. It accounts for the interweaving of the needs and aspirations of members and provides clarification of the definitions of these two central terms of cooperative theories. From the experience of the Nunavik cooperatives, we can see that the profound and concomitant consideration of the three cooperative movements (thought movement, social movement and business movement) produces recognition of the identity of individuals and communities. Cooperatives are a mean and a place of emotional recognition (by responding to basic needs and setting up a meeting place), of legal recognition (by means of democratic principles, mutual responsability and values of equality and equity) and of recognition of particularities and skills (through everyone’s participation in the achievement of a common mission and their education and training activities). Ultimately, they enable individuals and communities to exercise their social freedom and ensure respect of their dignity.
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Geological and coastal influences on small bodies of water in subarctic and arctic localities

Stavinga, Janet Maurine January 1992 (has links)
The control exerted by underlying geological formations, topography and time in governing physico-chemical variability of shallow waterbodies is documented for Schefferville. Nouveau-Quebec and Igloolik Island, N.W.T. / The highly resistant siliceous bedrock of the Labrador Trough in the Schefferville area produced very dilute surface waters with more or less equivalent concentrations of major cations. Dolomitic limestone and dolostone on Igloolik Island resulted in highly mineralized surface waters dominated by Ca$ sp{2+}$, Mg$ sp{2+}$ and HCO$ sb3 sp-$, with contributions by Na$ sp+$ and Cl$ sp-$ increasing with coastal proximity. / Sediments from the Schefferville area possessed low concentrations of Ca and Mg indicative of noncarbonate bearing substrate, contrasting to the calcareous nature of the sediments from Igloolik Island. Sediment concentrations of Al, Fe and Mn from the Schefferville area were elevated compared to sediment concentrations on Igloolik Island. The disparity in trace metal concentrations in sediments between the two study areas is attributed to the enrichment of these elements in the Labrador Trough, as well as the general trace metal dilution encountered in limestone and dolostone. / Principal Component Analysis with Varimax Rotation for surface waters of Igloolik Island revealed four factors accounting for 98% of the total variance confirming controls exerted by sea-salt spray and lithological substrate in moderating surface water chemistry. Differential rates of weathering at certain sites on Igloolik Island are suggested by dissimilar factor loading scores.
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Geological and coastal influences on small bodies of water in subarctic and arctic localities

Stavinga, Janet Maurine January 1992 (has links)
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