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Les jeunes et l'itinérance à Ottawa-Gatineau: négociation quotidienne d'une géographie frontalièreGaudet, Maxime January 2016 (has links)
Fondement de leur identité marginale, les jeunes itinérants développent fréquemment une relation forte avec l’espace de la rue en tant que lieu de socialisation et de survie. Si de nombreuses recherches s’intéressent à cette appropriation alternative de la géographie urbaine, le cadre unique d’Ottawa-Gatineau pose une question innovante : qu’advient-il lorsque l’espace investi par les jeunes de la rue est divisé par la présence d’une frontière provinciale riche de significations sociales et culturelles? La rivière des Outaouais sépare effectivement les centres-villes d’Ottawa et de Gatineau (lieux de concentration de l’itinérance dans la région) créant ainsi une géographie inégalitaire. Bien qu’elle n’implique pas de restrictions formelles de déplacements, cette limite reste tout à fait significative, car elle sépare deux systèmes de services sociaux, deux économies, mais aussi des populations aux identités, aux langues et aux normes sociales très différentes. Quotidiennement confrontés à la présence de cette frontière entre le Québec et l’Ontario, les jeunes de la rue adaptent leurs vies en fonction des opportunités, des limitations et des paradoxes qu’elle créée. À travers une série d’entrevues avec des jeunes des deux côtés de la rivière, cette recherche a pour objectif d’analyser l’impact de la frontière sur la vie quotidienne de cette population vulnérable. Une attention particulière sera accordée à la perspective des participants dont la vie est directement affectée par la frontière afin de comparer les différentes tactiques d’adaptation à cette géographie unique.
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Paysage et espace rural : nouveaux sens des territoires : essai d'étude comparée entre la Gâtine Poitevine (France) et le Haut Saint-Laurent (Québec)Gamache, Nicolas January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Ségrégation spatiale ethnique et différenciation socioculturelle de la population Miao du Yunnan (République populaire de Chine)Carrier, Sébastien January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Religion et géographie à Beyrouth : la construction d'un paysage sacralisé à la croisée des intérêts politiques et religieux / Religion and Geography in Beirut : the construction of a sacred landscape at the crossroads of political and religious interestsSfeir, Christiane 13 December 2013 (has links)
La recherche porte sur les rapports entretenus par le sacré, par le sentiment religieux, et son instrumentalisation pour en faire des outils de territorialisation à Beyrouth. Elle étudie l’émergence des espaces sacrés dans la ville où dix-huit communautés confessionnelles libanaises sont chacune marquée par des idéologies politiques différentes. Nous partons de l’hypothèse qu’un espace religieux ne peut être limité aux seuls édifices religieux. Son impact sur l’espace se traduit par une appropriation de l’espace public, soit momentané soit permanent, transformant l’espace profane, ouvert à tout le monde, en un espace sacré qui impose des règles de jeu spécifiques, avec des codes à déchiffrer. Le Liban comprend dix huit communautés confessionnelles réparties sur tout le territoire dont chaque partie est marquée par une idéologie qui diffère de l’autre. Beyrouth en particulier, est un espace marqué de symboles idéologiques qui oscillent entre politique et religion pour toucher au sacré. Le paysage urbain de Beyrouth change selon les appartenances politiques et religieuses. Quant aux moyens et outils utilisés pour ces différentes expressions, ils sont lisibles par tous les moyens médiatiques possibles mis à la disposition des pouvoirs politiques et religieux liés à des enjeux d'affirmation identitaire. Chaque partie du territoire est marquée par une idéologie politique qui reflète l'identité religieuse de ses habitants à travers des codes et des signes qui s'expriment selon deux composantes qui sont le lieu et le temps. Un calendrier religieux propre à chaque communauté rend la géographie encore plus complexe. Le paysage urbain de Beyrouth subit des mutations selon les appartenances politiques et religieuses qui, toutes deux, sont à leur tour liées par des enjeux historiques et démographiques. Ainsi, un paysage sacré émerge et évolue selon le jeu complexe de composantes géographiques, sociales, ethnologiques, politiques et économiques qui s’entremêlent, et vont aboutir à une problématique à plusieurs facettes. La production du sens se fait à des niveaux très divers : nous assistons à un échafaudage à plusieurs niveaux et, nous avons à créer des liens à chaque palier, à expliquer comment ils vont se raccorder. Les questions majeures qui se posent dans ce contexte touchent la dimension de la religion dans l’espace urbain de Beyrouth, en tenant compte de la place structurante que tiennent les idéologies et les croyances. Cette place oscille entre espace communautaire et confessionnel marqués par des espaces religieux et parfois sacrés. / This thesis aims to analyze the various strategies of religious and secular actors in their process of production of sacred spaces in Beirut, Lebanon. The eighteen Lebanese religious communities present in the country each mark Beirut’s urban landscape with religious symbols and signs that are also very often politically charged. Our assumption is that religious space cannot be limited to just religious buildings; in Beirut, it is expressed by taking over public spaces, transforming easily accessible secular loci into sacred space that imposes rules and specific codes of behaviour.In the city, religious events are expressed through spiritual, cultural, social and architectural venues. Beirut is a marked space with ideological symbols merging politics and religion with both leading to the sacred. The use of religion by the media working for political parties is a common practice for each and every community; thus, each quarter of the city is marked by a particular political ideology that reflects the religious identity of its inhabitants through specific codes and signs. They vary according to their position and time-frame. The religious affiliations of the majority of the inhabitants of a particular region impose religious codes that mark particular public spaces. This geography is rendered more complex by the particular religious calendars observed by each religion. Sacredness begins and ends on specific dates for each religion, producing specific spaces produced, recognized and used differently by the various segments of the city’s population. These would lead to confirm that the city is a cleaved space observable at all scales.
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Étude de la perception et de la représentation territoriales de l'arrondissement historique de l'île d'Orléans par ses résidentsBarthe, Marcel January 2009 (has links) (PDF)
La recherche veut comprendre la perception et la représentation que se font les résidents de l'île d'Orléans de leur territoire, le premier et le plus imposant arrondissement historique du Québec. Elle vise à vérifier jusqu'à quel point sa population actuelle partage ou non la représentation historique passée proclamée par les élites intellectuelles et politiques de l'époque de ce territoire comme haut lieu identitaire pour les Québécois et autres francophones d'Amérique. L'étude vise aussi à connaître la vision des décideurs de ce territoire sur ces mêmes questions, afin d'une part de pouvoir comparer leur vision avec celle de leurs commettants, mais d'autre part afin d'analyser les conséquences de cette vision sur les aménagements au sein de cet arrondissement historique. Pour encadrer notre démarche, nous avons emprunté la voie de la géographie culturelle et des paysages. Elle s'inspire également du courant humaniste qui se consacre à la quête de sens et considère la subjectivité des acteurs dans la démarche. La méthodologie retenue aux fins de notre réflexion a essentiellement consisté en un exercice de triangulation à partir de quatre méthodes distinctes de collecte de données, trois qualitatives et une quantitative. Une première démarche qualitative s'est déroulée avant la démarche quantitative, soit la recension des écrits, alors que les autres ont suivi la démarche quantitative (un sondage auprès des résidents adultes de l'île d'Orléans), soit les entrevues semi-dirigées avec les maires des municipalités du territoire, dont le préfet de la MRC, de même que la tenue de groupes de discussion qui avaient pour objectif de raffiner notre compréhension de l'imagerie et de l'iconographie qui représente le territoire du point de vue des citoyens. Les résultats ont essentiellement confirmé que, du point de vue symbolique, la représentation identitaire traditionnelle, reliée à l'histoire du lieu et au fait français en Amérique, constitue encore la représentation dominante à l'île d'Orléans. L'étude confirme également que les gens sont très informés de l'existence du statut d'arrondissement historique et qu'ils y accordent de l'importance. Cet accueil favorable les amène logiquement à penser que les gouvernements et eux-mêmes ont dès lors des responsabilités et obligations particulières à assumer. Ils sont satisfaits de certains éléments qui sont reliés à ce statut et beaucoup moins vis-à-vis de certains autres. Enfin, il existe des différences significatives entre divers groupes de résidents et d'autres sur toutes ces questions, ce qui conduit à des représentations variables de l'île d'Orléans, voire à des identités orléanaises plurielles et même parfois opposées. Nonobstant ces nuances, on peut au final considérer ce territoire comme un haut lieu et la démarche de patrimonialisation qui y a cours est en partie réussie, du moins dans l'esprit de ses habitants. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Représentation, Identité, Haut lieu, Aménagement du territoire, Patrimoine et arrondissement historique.
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La place du Grand Nord dans la sémiosphère québécoiseRiopel, Hélène 03 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire s'intéresse à l'appropriation du Grand Nord québécois par les Québécois dans le contexte actuel de reconquête du pouvoir par les Autochtones. Partant du postulat que la toponymie aide les individus et les sociétés à s'approprier l'espace et à le transformer en territoire, nous avons essayé de comprendre à travers l'étude de la toponymie toute la complexité des relations qui lient les Québécois à ce Grand Nord si éloigné et si différent du Québec de base. Pour ce faire, nous avons cherché, à partir d'un corpus composé de 198 noms de lieux, à identifier les origines des toponymes et à comprendre les motivations qui ont poussé les Québécois, les Canadiens anglais et les Autochtones à nommer, différemment ou pas, les terres arctiques québécoises. Une étude comparative des toponymies anglaise, française et autochtone a révélé des différences majeures entre les territorialités nordiques des Québécois, des Canadiens anglais et des Autochtones. La politique toponymique menée par le pouvoir québécois depuis les années 1960 témoigne ainsi de la volonté de la Province de s'approprier le Grand Nord québécois et d'exclure les noms de lieux autochtones et anglais du paysage toponymique. Cette volonté d'appropriation s'est traduite toutefois depuis 40 ans par une faible territorialisation effective du Grand Nord par les Québécois. En somme, la toponymie française du Grand Nord québécois atteste d'un geste symbolique de territorialisation des terres arctiques par les Québécois, un geste qui porte en lui les stigmates du colonialisme car il témoigne de la détermination des Québécois à exclure les Autochtones de territoires que les Québécois, au final, n'ont pas tout à fait territorialisés. En cela, ce mémoire contribue à l'étoffement d'une grille d'analyse toponymique typique de la géographie postcoloniale.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : toponymie, Nord, territorialité, appropriation, post-colonialisme.
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Terminologia da geografia cultural : estudo preliminar para um glossário bilíngue francês-portuguêsBrum, Raquel Moraes de January 2015 (has links)
Cette recherche vise à identifier la terminologie employée dans un sous-champ de la géographie appelé Géographie Culturelle en vue d‘une ultérieure élaboration d‘un glossaire bilingue français-portugais. Reprise en France dans les années 1990, cette branche de la Géographie analyse les realités humaine-espace-sociaux à travers la culture et fait objet de recherches au Brésil et en France, en mobilisant une grande partie de la production scientifique dans les deux pays. L‘étude réalisée est fondée sur la théorie communicative de la terminologie (TCT) – qui considère le terme comme un composant linguistique de l‘ensemble du texte spécialisé dans lequel il est inséré – et prend comme habitat des termes la communication spécialisée dans le contexte réel d‘usage ; ainsi il s‘agit d‘un travail de linguistique avec des corpus. Concernant la collecte des données, les principaux matériels ont été une échantillonnage de cette comunication dans l‘ensemble de tous les textes de la revue française Géographie et Cultures jusqu‘en 2012, et un logiciel d‘analyse textuel, l‘AntConc. La première démarche pour la réalisation de cette recherche a été la lecture de textes pour mieux comprendre et caractériser ce domaine et, de cette manière, construire un arbre de domaine pouvant démontrer comment il s‘organise par rapport aux autres approches géographiques. Dans un deuxième moment, le corpus – composé par 270 textes disponibles pour téléchargement dans la version électronique de la revue – a été compilé, organisé, nettoyé et préparé. Ensuite, les candidats à terme ont été extraits à l‘aide du logiciel et de ses outils – word list, concordance, n-grams, clusters, file view. Pour la collecte des candidats à terme, on a suivi ces critères : à partir de la conaissance précédente des textes et d‘une liste de mots, on a cherché les 30 mots lexicaux les plus fréquents. Ensuite, avec chacun de ces mots, ont été démandés, dans cette séquence: concordance, clusters et n-grams ; les démarches ont été répétées pour les autres mots qui ont surgi jusqu‘à obtenir les termes possibles. Enfin, les candidats ont été discutés, ce qui a abouti à une vision générale du champ. Comme résultat final, on a construit une carte conceptuelle préliminaire de la terminologie de la géographie culturelle, à partir de laquelle on prétend continuer l‘étude du champ. Ce prélèvement de données a apporté des informations permettant une meilleure reconnaissance de la géographie culturelle et, par conséquence, a démontré le potentiel terminologique de ce champ d‘étude. / Este trabalho tem por objetivo identificar a terminologia empregada em uma subárea da geografia chamada Geografia Cultural com vistas à posterior elaboração de um glossário bilíngue francês-português. Retomada na França nos anos 1990, essa área da Geografia, que analisa as realidades humano-espaço-sociais através da cultura, é objeto de pesquisas no Brasil e na França e movimenta grande produção científica nos dois países. O estudo realizado, pautado na Teoria Comunicativa da Terminologia (TCT) – que concebe o termo como um componente linguístico do todo textual especializado em que está inserido, toma como habitat dos termos a comunicação especializada no contexto real de uso –, configura-se num trabalho de linguística com corpus. A coleta de dados, partiu de uma amostragem dessa comunicação no conjunto de todos os textos disponíveis online da revista francesa Géographie et Cultures até o ano de 2012, e um software de análise textual. O primeiro procedimento para a realização da pesquisa foi a leitura de textos para melhor compreender e caracterizar a área e, dessa forma, construir uma árvore de domínio que demonstrasse como ela se organiza em relação a outras abordagens geográficas. Em seguida, o corpus, composto pelos 270 textos disponíveis para download na versão eletrônica da revista, foi compilado, organizado, limpo e preparado. Depois disso, os candidatos a termo foram extraídos com o auxílio do software e suas ferramentas – listador de palavras, concordanciador, listador de n-gramas e clusters, file view. A partir da análise de seus contextos, estabelecemos uma lista de termos, que foi discutida detalhadamente. Essa discussão culminou numa visão geral da área. Como resultado final, construímos um mapa conceitual preliminar da terminologia da Geografia Cultural, a partir do qual pretendemos continuar o estudo da área. Esse levantamento trouxe informações que auxiliaram no reconhecimento da Geografia Cultural e, portanto, demonstrou o potencial terminológico dessa área de estudo.
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Terminologia da geografia cultural : estudo preliminar para um glossário bilíngue francês-portuguêsBrum, Raquel Moraes de January 2015 (has links)
Cette recherche vise à identifier la terminologie employée dans un sous-champ de la géographie appelé Géographie Culturelle en vue d‘une ultérieure élaboration d‘un glossaire bilingue français-portugais. Reprise en France dans les années 1990, cette branche de la Géographie analyse les realités humaine-espace-sociaux à travers la culture et fait objet de recherches au Brésil et en France, en mobilisant une grande partie de la production scientifique dans les deux pays. L‘étude réalisée est fondée sur la théorie communicative de la terminologie (TCT) – qui considère le terme comme un composant linguistique de l‘ensemble du texte spécialisé dans lequel il est inséré – et prend comme habitat des termes la communication spécialisée dans le contexte réel d‘usage ; ainsi il s‘agit d‘un travail de linguistique avec des corpus. Concernant la collecte des données, les principaux matériels ont été une échantillonnage de cette comunication dans l‘ensemble de tous les textes de la revue française Géographie et Cultures jusqu‘en 2012, et un logiciel d‘analyse textuel, l‘AntConc. La première démarche pour la réalisation de cette recherche a été la lecture de textes pour mieux comprendre et caractériser ce domaine et, de cette manière, construire un arbre de domaine pouvant démontrer comment il s‘organise par rapport aux autres approches géographiques. Dans un deuxième moment, le corpus – composé par 270 textes disponibles pour téléchargement dans la version électronique de la revue – a été compilé, organisé, nettoyé et préparé. Ensuite, les candidats à terme ont été extraits à l‘aide du logiciel et de ses outils – word list, concordance, n-grams, clusters, file view. Pour la collecte des candidats à terme, on a suivi ces critères : à partir de la conaissance précédente des textes et d‘une liste de mots, on a cherché les 30 mots lexicaux les plus fréquents. Ensuite, avec chacun de ces mots, ont été démandés, dans cette séquence: concordance, clusters et n-grams ; les démarches ont été répétées pour les autres mots qui ont surgi jusqu‘à obtenir les termes possibles. Enfin, les candidats ont été discutés, ce qui a abouti à une vision générale du champ. Comme résultat final, on a construit une carte conceptuelle préliminaire de la terminologie de la géographie culturelle, à partir de laquelle on prétend continuer l‘étude du champ. Ce prélèvement de données a apporté des informations permettant une meilleure reconnaissance de la géographie culturelle et, par conséquence, a démontré le potentiel terminologique de ce champ d‘étude. / Este trabalho tem por objetivo identificar a terminologia empregada em uma subárea da geografia chamada Geografia Cultural com vistas à posterior elaboração de um glossário bilíngue francês-português. Retomada na França nos anos 1990, essa área da Geografia, que analisa as realidades humano-espaço-sociais através da cultura, é objeto de pesquisas no Brasil e na França e movimenta grande produção científica nos dois países. O estudo realizado, pautado na Teoria Comunicativa da Terminologia (TCT) – que concebe o termo como um componente linguístico do todo textual especializado em que está inserido, toma como habitat dos termos a comunicação especializada no contexto real de uso –, configura-se num trabalho de linguística com corpus. A coleta de dados, partiu de uma amostragem dessa comunicação no conjunto de todos os textos disponíveis online da revista francesa Géographie et Cultures até o ano de 2012, e um software de análise textual. O primeiro procedimento para a realização da pesquisa foi a leitura de textos para melhor compreender e caracterizar a área e, dessa forma, construir uma árvore de domínio que demonstrasse como ela se organiza em relação a outras abordagens geográficas. Em seguida, o corpus, composto pelos 270 textos disponíveis para download na versão eletrônica da revista, foi compilado, organizado, limpo e preparado. Depois disso, os candidatos a termo foram extraídos com o auxílio do software e suas ferramentas – listador de palavras, concordanciador, listador de n-gramas e clusters, file view. A partir da análise de seus contextos, estabelecemos uma lista de termos, que foi discutida detalhadamente. Essa discussão culminou numa visão geral da área. Como resultado final, construímos um mapa conceitual preliminar da terminologia da Geografia Cultural, a partir do qual pretendemos continuar o estudo da área. Esse levantamento trouxe informações que auxiliaram no reconhecimento da Geografia Cultural e, portanto, demonstrou o potencial terminológico dessa área de estudo.
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Terminologia da geografia cultural : estudo preliminar para um glossário bilíngue francês-portuguêsBrum, Raquel Moraes de January 2015 (has links)
Cette recherche vise à identifier la terminologie employée dans un sous-champ de la géographie appelé Géographie Culturelle en vue d‘une ultérieure élaboration d‘un glossaire bilingue français-portugais. Reprise en France dans les années 1990, cette branche de la Géographie analyse les realités humaine-espace-sociaux à travers la culture et fait objet de recherches au Brésil et en France, en mobilisant une grande partie de la production scientifique dans les deux pays. L‘étude réalisée est fondée sur la théorie communicative de la terminologie (TCT) – qui considère le terme comme un composant linguistique de l‘ensemble du texte spécialisé dans lequel il est inséré – et prend comme habitat des termes la communication spécialisée dans le contexte réel d‘usage ; ainsi il s‘agit d‘un travail de linguistique avec des corpus. Concernant la collecte des données, les principaux matériels ont été une échantillonnage de cette comunication dans l‘ensemble de tous les textes de la revue française Géographie et Cultures jusqu‘en 2012, et un logiciel d‘analyse textuel, l‘AntConc. La première démarche pour la réalisation de cette recherche a été la lecture de textes pour mieux comprendre et caractériser ce domaine et, de cette manière, construire un arbre de domaine pouvant démontrer comment il s‘organise par rapport aux autres approches géographiques. Dans un deuxième moment, le corpus – composé par 270 textes disponibles pour téléchargement dans la version électronique de la revue – a été compilé, organisé, nettoyé et préparé. Ensuite, les candidats à terme ont été extraits à l‘aide du logiciel et de ses outils – word list, concordance, n-grams, clusters, file view. Pour la collecte des candidats à terme, on a suivi ces critères : à partir de la conaissance précédente des textes et d‘une liste de mots, on a cherché les 30 mots lexicaux les plus fréquents. Ensuite, avec chacun de ces mots, ont été démandés, dans cette séquence: concordance, clusters et n-grams ; les démarches ont été répétées pour les autres mots qui ont surgi jusqu‘à obtenir les termes possibles. Enfin, les candidats ont été discutés, ce qui a abouti à une vision générale du champ. Comme résultat final, on a construit une carte conceptuelle préliminaire de la terminologie de la géographie culturelle, à partir de laquelle on prétend continuer l‘étude du champ. Ce prélèvement de données a apporté des informations permettant une meilleure reconnaissance de la géographie culturelle et, par conséquence, a démontré le potentiel terminologique de ce champ d‘étude. / Este trabalho tem por objetivo identificar a terminologia empregada em uma subárea da geografia chamada Geografia Cultural com vistas à posterior elaboração de um glossário bilíngue francês-português. Retomada na França nos anos 1990, essa área da Geografia, que analisa as realidades humano-espaço-sociais através da cultura, é objeto de pesquisas no Brasil e na França e movimenta grande produção científica nos dois países. O estudo realizado, pautado na Teoria Comunicativa da Terminologia (TCT) – que concebe o termo como um componente linguístico do todo textual especializado em que está inserido, toma como habitat dos termos a comunicação especializada no contexto real de uso –, configura-se num trabalho de linguística com corpus. A coleta de dados, partiu de uma amostragem dessa comunicação no conjunto de todos os textos disponíveis online da revista francesa Géographie et Cultures até o ano de 2012, e um software de análise textual. O primeiro procedimento para a realização da pesquisa foi a leitura de textos para melhor compreender e caracterizar a área e, dessa forma, construir uma árvore de domínio que demonstrasse como ela se organiza em relação a outras abordagens geográficas. Em seguida, o corpus, composto pelos 270 textos disponíveis para download na versão eletrônica da revista, foi compilado, organizado, limpo e preparado. Depois disso, os candidatos a termo foram extraídos com o auxílio do software e suas ferramentas – listador de palavras, concordanciador, listador de n-gramas e clusters, file view. A partir da análise de seus contextos, estabelecemos uma lista de termos, que foi discutida detalhadamente. Essa discussão culminou numa visão geral da área. Como resultado final, construímos um mapa conceitual preliminar da terminologia da Geografia Cultural, a partir do qual pretendemos continuar o estudo da área. Esse levantamento trouxe informações que auxiliaram no reconhecimento da Geografia Cultural e, portanto, demonstrou o potencial terminológico dessa área de estudo.
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KAPI ICINIKATEK : le territoire nommé des Apitipi8innikCouillard-Després, Jimmy 06 March 2024 (has links)
Géographiquement associés à la communauté de Pikogan, mais peuple d'une « Abitibi » bien plus grande, les Apitipi8innik entretiennent une relation avec le territoire qui dépasse largement les aspects fonctionnels. Cette relation s'étend jusque dans la langue, où les toponymes occupent une place de prédilection. Comprendre les relations entre les Apitipi8innik et leur territoire nommé est une volonté récente du milieu académique, qui émerge de la considération de phénomènes où les noms de lieux sont employés dans l'espace public comme outils de l'affirmation culturelle en territoire, comme porte-étendard d'un héritage culturel et comme un outil de maintien et de valorisation de la langue. Cette recherche vise la compréhension, la description et la diffusion des noms de lieux apitipi8innik et des relations que les Apitipi8innik entretiennent aujourd'hui avec leur territoire nommé. Il s'agit d'une recherche menée de pair avec les principaux intéressés, où les propos tenus et les finalités visées sont entrepris pour l'intérêt premier du peuple détenant le savoir ici analysé. Ainsi, des entretiens autour de séances de cartographie participative ou de parcours commentés ont complété et enrichi une compilation d'enquêtes toponymiques déjà publiées. Les objectifs d'assembler le savoir toponymique apitipi8inni, de le distinguer des autres toponymies en portant un regard sur ses caractéristiques et la mise sur pied de moyens visant le rayonnement du savoir recueilli ont amenés à une réflexion géographique sur ce qui s'avère être une question aussi linguistique, historique et politique. Les résultats de la recherche pourront permettre d'orienter l'utilisation de cette toponymie par les Apitipi8innik dans de « nouvelles » fonctions, allant de l'affichage à l'officialisation, de la pérennisation de la langue anicinape au tourisme culturel. / Geographically linked to the community of Pikogan, but people of a much larger "Abitibi", the Apitipi8innik have a relationship with their territory that largely exceeds its functionalist aspects. This relationship extends into the language, where toponyms occupy a central place. Understanding the relationship between Apitipi8innik and their "named territory" is a recent academical desire that emerges from the consideration of phenomena where place names are used in public space as tools for territorial and cultural affirmation, as a gateway to a cultural heritage and as a tool for the maintenance and enhancement of the language. This research aims to understand, describe and disseminate apitipi8innik place names and the relationships that Apitipi8innik maintain today with their named territory. There search was conducted with the main stakeholders and undertaken for the best interest of the people holding the knowledge being analyzed. Thus, interviews around participatory mapping sessions or "commented routes" completed and enriched previously published toponymic surveys. The objectives of gathering apitipi8inni toponymic knowledge, distinguishing other toponymies by looking at its characteristics, and putting in place means aimed at spreading the knowledge collected, have led to a geographical reflection on what must also be a linguistic, historical and political issue. The findings will hopefully guide the use of this toponymy by the Apitipi8innik in "new" functions, ranging from display to officialization and the perpetuation of the Anicinape language to cultural tourism.
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