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Dynamiques paysannes, construction sociale du genre et gestion des ressources agricoles en pays Bamoun (Ouest-Cameroun) / Farming dynamics, social construction of gender and management of agricultural resources in Bamun kingdom (West Cameroon)Nlend, Berthe prudence 15 June 2015 (has links)
Les dynamiques socio-économiques déterminent les rapports de genre et l’accès aux ressources productives. L’essor des cultures vivrières et maraîchères a forgé un nouveau contexte agricole que nous voulons examiner dans ce travail. Il s’est produit une transformation de l’identité des acteurs impliqués, de l’usage de l’espace, des relations de genre et du rapport aux ressources. Cette recherche voudrait identifier les principales dynamiques qui ont accompagné cette transition agricole, montrer que la reconversion agraire ne s’est pas produite de la même manière pour les femmes et les hommes et débusquer les spécificités de leurs nouvelles activités économiques. Le développement des activités féminines et l’évolution des asymétries de genre, l’égalité de statuts et des droits entre les sexes n’aboutissent pas à l’égalité des pouvoirs entre les femmes et les hommes et à un accès équitable aux ressources productives puisque plusieurs facettes de la socioculture Bamoun (spécialisation des cultures, division du travail etc.) entretiennent une hiérarchisation en faveur des hommes et renforcent la supériorité de leurs statuts, de leurs fonctions et de leurs activités. / The socio-economic dynamics determine gender relations and the allocation of productive resources. In this area, the development of foodstuff and vegetable cultivation has forged a new agricultural context that we want to study in this work. There was a transformation of actors involved, of the spatial changes, of gender relations and the access to resources. This research is to identify the significant dynamics that accompanied this agricultural transition, to show that agricultural reconversion does not occur in the same way for women and men and to review the specificities of their new economic activities. The development of gender asymmetries, of the women activities, equal status and rights between the sexes do not lead to equality of power between men and women and equitable access to productive resources since many aspects of Bamun culture (crop specialization, division of labor) maintains a hierarchy in favor of men and reinforce the superiority of their status, their functions and activities.
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Dynamiques paysannes, souveraineté alimentaire et marche mondial des produits agricoles : exemple du Sénégal / Farming dynamics, food sovereignty and global market for agricultural products : the example of SenegalDiop, Amadou Makhourédia 04 February 2011 (has links)
Comme dans presque tous les pays d'Afrique subsaharienne, la majorité de la population sénégalaise est rurale. Elle vit de l'agriculture ou d'activités qui en dépendent. Paradoxalement les investissements publics dans le secteur agricole restent très faibles, alors que l'insécurité alimentaire progresse. Pour faire face aux problèmes alimentaires, les pouvoirs publics multiplient les annonces de politiques agricoles, qui ne sont presque jamais suivies d'effets, parce que ne reposant pas sur des études précises et rigoureuses. A la place de politiques, il y a surtout des stratégies de gestion conjoncturelle des crises alimentaires. Dans ce contexte, nous avons cherché à comprendre les stratégies développées par la petite paysannerie, les dynamiques qui animent les exploitations agricoles familiales pour faire reculer l'insécurité alimentaire en milieu rural, et dans quelle mesure celles-ci peuvent contribuer à la souveraineté alimentaire du Sénégal. Cette question appelle celle de l'accès à une nourriture suffisante et celle de sa production. Ainsi, à travers notre étude que nous avons intitulée « Dynamiques paysannes, souveraineté alimentaire et marché mondial des produits agricoles : l'exemple du Sénégal », nous cherchons à répondre à une série de questions : 1. Comment les paysans sénégalais produisent-ils les biens nécessaires à l'alimentation et l'entretien de leur famille ? 2. Comment les paysans sénégalais sont-ils organisés autour des questions de la vie rurale ? 3. Quelle est l'influence du marché mondial de produits agricoles et de ses règles établies par l'Organisation mondiale du commerce (OMC), sur la disponibilité et l'accès aux produits alimentaires ? De quelle façon les biens alimentaires importés concurrencent-ils la culture de biens agricoles qu'il est possible de produire localement ? Nous avons ainsi consacré une première partie de notre étude au procès de production et à son évolution. En dehors des conditions climatiques, le contrôle effectif par les paysans, des moyens de production et de la tenure foncière, détermine en grande partie, les volumes de biens agricoles et alimentaires produits, ainsi que leur accès. Dans une seconde partie, nous avons analysé l'émergence et l'évolution des modes d'organisation paysanne et examiné leur influence sur la satisfaction des besoins alimentaires et les orientations des politiques publiques en matière agricole. Enfin, dans une troisième partie, nous avons essayé de mesurer l'impact des règles du commerce international sur les productions locales de biens agricoles et alimentaires. Ce travail nous a permis de tirer un certain nombre de conclusions. La majorité des paysans du Sénégal ne parvient plus à produire le volume d'aliments de base nécessaires pour nourrir et entretenir leur famille. Les moyens de production ont relativement peu évolué au cours des dernières décennies, même si la culture attelée et l'introduction de nouveaux matériels ont considérablement amélioré les conditions de production et diminué la pénibilité du travail. L'outil de production s'est dégradé. Il est vétuste et ce qu'il en reste ne survit que grâce à l'habileté des forgerons ruraux. Les connaissances traditionnelles comme les repères météorologiques conditionnent le choix des denrées cultivées et des superficies qui leur sont consacrées lorsque celles-ci sont disponibles. La recherche agronomique a permis d'obtenir des variétés homologuées de semences adaptées aux conditions pédologiques et climatiques. Mais elle demeure inefficace en ce sens que les moyens pour appliquer concrètement ses résultats sont absents et les paysans n'ont aucune maîtrise sur elle. La question foncière reste soumise à des tâtonnements qui sont le fait de sa complexité ; les croyances et les pratiques traditionnelles en la matière ne semblent pas encore prêtes à laisser la place à des règles modernes, ou le cas échéant, à s'y adapter. Les conditions de plus en plus sévères, qui sont ressenties avant tout dans le domaine alimentaire, ont mis en évidence les capacités de la paysannerie à s'adapter. Pour chaque situation nouvelle entrainant des difficultés supplémentaires, des solutions originales sont imaginées et mises en oeuvre par les paysans, leur permettant une adaptation insoupçonnée. La capacité des paysans à prendre en main leurs propres préoccupations a été mise en évidence par l'émergence d'organisations, de groupements, d'associations et d'unions dans tout l'espace rural du Sénégal. Sur le plan du commerce international des produits agricoles, la faiblesse du Tarif extérieur commun (TEC) de la CEDEAO a eu pour conséquence l'augmentation des volumes d'importations de biens qui peuvent être produits localement. Les règles de l'OMC, basées sur une conception ultralibérale du marché portent davantage préjudice aux produits agricoles et alimentaires de l'Afrique de l'Ouest. Les pays les plus vulnérables comme le Sénégal, en renforçant leurs ressources humaines en matière juridique, peuvent cependant exploiter les clauses qui leur permettent de mieux protéger les productions locales. Sur un plan plus global, et à défaut de sortir l'agriculture des accords de l'OMC, il est possible de réclamer avec la CEDEAO, la mise en place d'un autre Accord sur l'agriculture qui redéfinirait le dumping de manière à protéger les pays les plus vulnérables. / As in almost all SSA countries, the majority of the Senegalese population is rural. They earn their livelihoods from agriculture or activities that depend on it. Paradoxically, the public investment in agriculture remains very low, while food insecurity is progressing. To deal with food problems, the government multiplies announcements of agricultural policies, which are almost never followed up, because not based on specific and rigorous studies. Instead of policies, there are mostly management strategies cyclical food crises. In this context, we have sought to understand the strategies developed by the peasantry, the dynamics that drive family farms to reduce food insecurity in rural areas, and to what extent they can contribute to food sovereignty Senegal. This question calls for that of access to adequate food and that of its production. Thus, through our study we have entitled "Farming dynamics, food sovereignty and global market for agricultural products: the example of Senegal”, we try to answer a series of questions: 1. How do Senegalese farmers produce the goods needed to feed and care for their family? 2. How are Senegalese farmers organized around issues of rural life? 3. What is the influence of the world market of agricultural products and its rules established by the World Trade Organization (WTO) on the availability of and access to food? How do imported goods compete with food products that can be produced locally? We have devoted the first part of our study to the production process and its evolution. Apart from weather conditions, effective control by farmers of means of production and land tenure, largely determines the volumes of agricultural and food products as well as their access. The second part analyzes the emergence and evolution of modes of peasant organization and discusses their influence on the satisfaction of food needs and directions of public policy in agriculture. Finally, in the third part, we have tried to measure the impact of international trade rules on local production of agricultural goods and foodstuffs. This work has enabled us to draw some conclusions. The majority of farmers in Senegal can no longer produce the amount of basic foods needed to feed and support their families. The means of production have changed relatively little in recent decades, although animal traction and the introduction of new materials have greatly improved the conditions of production and reduced drudgery. The production tool has deteriorated. It is old and what is left survives only thanks to the ability of rural blacksmiths. Traditional knowledge and knowledge of weather condition the choice of crops grown and acreage devoted to them when they are available. Research in agriculture has yielded certified seed varieties adapted to soil and climatic conditions. But it remains ineffective in that the means for concretely applying its results are absent and the peasants have no control over it. The question of land remains subject to trial and error due to its complexity, traditional beliefs and practices in this area do not yet seem ready to give way to modern rules, or if necessary, adapt to them. More and more severe conditions felt primarily in the food sector have highlighted the capacity of the peasantry to adapt. For each new situation causing additional problems, novel solutions are devised and implemented by farmers, enabling them to adapt in an unexpected manner. Farmers' ability to take charge of their own concerns were highlighted by the emergence of organizations, groups, associations and unions throughout the rural areas of Senegal. As far as international trade in agricultural products is concerned, the weakness of the Common External Tariff (CET) of ECOWAS has resulted in increased volumes of imports of goods that can be produced locally. WTO rules, based on an ultra-liberal conception of the market, are more detrimental to West African agricultural and food products. By strengthening their human resources through legislation, more vulnerable countries such as Senegal, can, however, exploit the clauses that allow them to better protect local production. More globally, unless agriculture is removed from WTO agreements, it is possible to claim with ECOWAS, the implementation of another agreement on agriculture that would redefine dumping so as to protect the most vulnerable countries.
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Le rôle des organisations paysannes dans la professionnalisation de l'agriculture en afrique subsaharienne : le cas du Cameroun. / The role of peasan organizations in the professionnalization of agriculture : the case study of CameroonAchancho, Valantine 17 December 2012 (has links)
Dans tous les continents et en particulier dans les pays d'Afrique subsaharienne, les organisations paysannes ont toujours été au centre des politiques de développement de l'agriculture. Nombreuses et diversifiées, les organisations paysannes du Cameroun font l'objet d'une attention particulière de la part des pouvoirs publics qui depuis près de quatre décennies mettent en place des programmes de développement dont l'objectif principal est d'appuyer la professionnalisation de l'agriculture, à travers une structuration organisée du milieu rural. Le présent travail de recherche analyse le rôle des organisations paysannes dans la professionnalisation de l'agriculture. Il aborde et clarifie les notions de professionnalisation de l'agriculture et d'organisations paysannes à travers une approche sociologique et met en évidence la logique des programmes dits de professionnalisation, de même que les dynamiques d'organisation de producteurs agricoles qui évoluent au Cameroun. L'étude s'appuie sur des données d'observation des dynamiques d'organisations paysannes au Cameroun de 1994 à 2012 ainsi que du suivi des initiatives des projets d'appui aux organisations paysannes et aux filières agricoles. Les données collectées portent également sur une enquête réalisée auprès de 70 organisations paysannes dans les régions de l'Ouest, du Nord-ouest, du Sud-ouest, du Littoral et du Sud du Cameroun. Ces enquêtes ont permis de réaliser des entretiens de groupe avec environ 350 paysans issus d'organisations paysannes, et en particulier d'avoir des discussions plus approfondies avec 20 responsables d'organisations paysannes sur leur parcours et la nature de leur leadership. Sur la base des résultats obtenus, il a pu être établi que la professionnalisation de l'agriculture s'inscrit dans la logique des nouvelles offres « d'innovation » proposées par les partenaires du développement, avec pour objectif de contribuer au développement d'une agriculture plus performante dans les pays d'Afrique subsaharienne." [...] Suite et fin du résumé dans la thèse. / In all continents and especially in the sub Saharan countries, farmers organizations have always been at the center of development policies in agriculture. These farmers' organizations in Cameroon though many in number and diversified, are subject to particular attention by public authorities, who close to four decades today are putting in place development programs with main objective, being the support to professionalization of agriculture through the organization and the structuring of the rural milieu. This research analyses the role of farmers' organizations in the professionalization of agriculture. It treats and clarifies the notion of agricultural professionalization and farmer organizations using a sociological approach and put into evidence the logic of programs with focus on professionalization. It also treats the dynamics of farmer organizations in agriculture in Cameroon. The study is based on data from the observation of farmer's organizations dynamics in Cameroon from the year 1994 to 2012, and also, the follow up of initiatives of support projects to farmer organizations and the agriculture sub-sectors. Data collected is also from a survey carried out in 70 farmer organizations in the West, North West, South West, Littoral and South regions of Cameroon. These surveys permitted group discussions with about 350 farmers from different farmer organizations, and enabled particularly more elaborate discussions with 20 leaders of farmer's organizations on their experience and nature of leadership. On the basis of results obtained, it was established that the professionalization of agriculture is inscribed in the new logic of the supply of innovations proposed by development partners, with the aim of contributing to a more competitive agriculture sector in sub Saharan Africa." Last and final summary in the thesis.
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Les organisations paysannes en République du Congo : émergence et signification des dynamiques organisationnelles dans le secteur agricole en zones péri-urbaines et rurales / Rural organizations in Republic of Congo : emergence and significance of the dynamic organizational in agricultural sector in peri-urban and rural areasImbou-Ngalamou, Annick Judicaëlle 25 September 2015 (has links)
L’émergence des organisations paysannes en milieu périurbain et rural en République du Congo en particulier à Brazzaville et dans les Plateaux, s’inscrit dans une dualité de logiques : des logiques paysannes propres aux paysans eux-mêmes et, en même temps, des logiques institutionnelles sous l’impulsion des acteurs extérieurs, l’Etat, les ONG, les agences de coopération bilatérales et multilatérales. On voit donc apparaître de nouvelles dynamiques organisationnelles, ouvrant de nouveaux espaces à l’éruption d’acteurs sociaux qui, à travers des stratégies de positionnement et de promotion s’improvisent comme intermédiaires entre les flux financiers circulant dans ces milieux. Ces nouveaux acteurs se distinguent par leurs charisme, leurs compétences, leur connaissance endogène du milieu, leur appartenance sociale, et leur position dans l’arène locale. Elite, jeune, femme, religieuse, notable du village, etc., acquièrent ainsi une légitimité dans leur milieu, deviennent de véritables courtiers contrôlant les canaux de communication entre les donateurs et les paysans. Positionnement ou promotion, ces nouveaux acteurs jouent un rôle central dans l’arène des possibles. Quelles que soient leur origine, ces dynamiques n’enrayent pas les clivages qui ont existé et apparaissent actuellement sous des nouvelles formes, responsables de conflits entre les acteurs. Par ailleurs, l’aide au développement dont bénéficient les paysans et leurs groupements n’est assurément pas neutre. Elle véhicule l’idéologie des donateurs, et créée inévitablement des comportements d’adaptation des paysans aux exigences des structures d’appui et peut entraîner une perte au moins partielle de leur autonomie. / The emergence of peasant organizations in peri-urban and rural areas in Republic of Congo in particular with Brazzaville and in the Plateau, has a dual logical understanding; peasant farmers view and at the same time, institutional view influenced by external actors, the state, NGOs, bilateral and multilateral cooperation agencies. We see the emergence of new organizational dynamics, which lead to the creation of new spaces and the coming in of social actors who position themselves as intermediaries between financial flows circulating in these environments. These new players are distinguished by their charisma, their skills, their endogenous knowledge of the environment, social affiliation, and their position in the local arena. Elite, young, woman, religious, village elder, etc., they acquire legitimacy in their communities, become real brokers controlling the communication channels between donors and farmers. Whether self imposed or promoted, these new actors play a central role in the arena of possibilities. Whatever their origin, these dynamics do not wipe out the cleavages that have existed and still appear in new forms, the cause of conflicts between actors. In addition, development aid enjoyed by farmers and their associations is certainly not neutral. It conveys the ideology of donors, and influences the behavior of farmers to cope with the requirements of support structures and may result in different degrees of loss of their autonomy.
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Le rôle des organisations paysannes dans la professionnalisation de l'agriculture en afrique subsaharienne : le cas du CamerounAchancho, Valantine 17 December 2012 (has links) (PDF)
Dans tous les continents et en particulier dans les pays d'Afrique subsaharienne, les organisations paysannes ont toujours été au centre des politiques de développement de l'agriculture. Nombreuses et diversifiées, les organisations paysannes du Cameroun font l'objet d'une attention particulière de la part des pouvoirs publics qui depuis près de quatre décennies mettent en place des programmes de développement dont l'objectif principal est d'appuyer la professionnalisation de l'agriculture, à travers une structuration organisée du milieu rural. Le présent travail de recherche analyse le rôle des organisations paysannes dans la professionnalisation de l'agriculture. Il aborde et clarifie les notions de professionnalisation de l'agriculture et d'organisations paysannes à travers une approche sociologique et met en évidence la logique des programmes dits de professionnalisation, de même que les dynamiques d'organisation de producteurs agricoles qui évoluent au Cameroun. L'étude s'appuie sur des données d'observation des dynamiques d'organisations paysannes au Cameroun de 1994 à 2012 ainsi que du suivi des initiatives des projets d'appui aux organisations paysannes et aux filières agricoles. Les données collectées portent également sur une enquête réalisée auprès de 70 organisations paysannes dans les régions de l'Ouest, du Nord-ouest, du Sud-ouest, du Littoral et du Sud du Cameroun. Ces enquêtes ont permis de réaliser des entretiens de groupe avec environ 350 paysans issus d'organisations paysannes, et en particulier d'avoir des discussions plus approfondies avec 20 responsables d'organisations paysannes sur leur parcours et la nature de leur leadership. Sur la base des résultats obtenus, il a pu être établi que la professionnalisation de l'agriculture s'inscrit dans la logique des nouvelles offres " d'innovation " proposées par les partenaires du développement, avec pour objectif de contribuer au développement d'une agriculture plus performante dans les pays d'Afrique subsaharienne." [...] Suite et fin du résumé dans la thèse.
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