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Etude pétrologique, structurale et géochronologique des formations cristallines du quart nord~est de la feuille SAINT-GABRIEL-de-BRANDON ( Province de Grenville; Bouclier Canadien)

Goulet, Normand 18 June 1971 (has links) (PDF)
La région de Saint-Gabriel-de-Brandon se situe à une centaine de kilomètres au NE de Montréal. Le secteur étudié couvre une superficie approximative de 125 km2 . Il comprend trois unités de roches cristallines précambriennes: un complexe migmatitique qui constituerait le socle de la région, une série paragneissique "de couverture", proche du Groupe de Grenville mais où les calcaires cristallins sont peu importants et enfin diverses roches plutoniques. Ces trois unités s'individualisent aussi bien du point de vue pétrographique que structural. Tout d'abord le complexe de base est composé de migmatites rubanées, (alternance de niveaux quartzo-feldspathiques et amphiboliques d'origine grauwackeuse) et de migmatites hétérogènes. A l'exception des amas et filons granitiques de ces dernières, les paragenèses sont celles du facies granulite. A l'intérieur de la "série paragneissique" qui se compose de gneiss alumineux, de gneiss à pyroxène, de quartzites, de roches calco-silicatées, de skarns et qui sont d'origine sédimentaire, sont interstratifiées, des leptites rubanées et des amphibolites d'origine éruptive ainsi que des gneiss à biotite et amphibole dérivant de formations volcano-détritiques. Les paragenèses de ces para et orthogneiss sont celles soit du facies amphibolite- almandin le plus élevé, soit du facies granulite. Leur apparition s'est faite à une température minimale de 670°C à une pression solide comprise entre 6 et 10 kb, la pression d'eau étant nettement inférieure à PS' Le granite adamellitique de Saint-Didace ainsi que les mangérites quartziques ortho-gneissifiées sont les types principaux des roches plutoniques qui sont en gros concordantes aux formations paragneissiques. L'étude structurale de la région a révélé la superposition de deux phases majeures de plissement. La première a produit des plis isoclinaux, d'ordre kilométrique, déversés vers le N ou le NO avec des axes orientés soit E-O, soit NE - SO. Les mangérites et sans doute le granite de Saint-Didace seraient à peu près synchrones de cette première phase. Au cours de celle-ci la série paragneissique se serait déversée vers le NO sur le complexe migmatitique qui aurait joué le rôle de socle. La deuxième phase, dont les plis sont axés entre NO - SE et N -S, a donné par superposition à la première, des figures d'interférence très complexes. Elle a affecté les trois ens embles mais les masses plutoniques ont agi comme des môles rigides à l' exception des "lames" relativement peu volumineuses de mangérites qui ont réagi aux efforts tectoniques comme leur encaissant. L'étude géochronologique effectuée sur ces ensembles tend à prouver la superposition de plusieurs orogenèses. L'orogenèse Grenvillienne (950 MA) a été obtenue sur le "mobilisat" du complexe migmatitique. Le granite de Saint Didace a sans doute été rajeuni à 1 105 MA. La série paragneissique aurait pour sa part été rajeunie durant l'orogenèse elsonienne (soit à 1 450 MA), tandis que la "restite" du complexe migmatitique de base donne un âge correspondant à l'orogenèse kénoranienne (2 300 MA).
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La circolazione delle ceramiche del Neolitico nel medio e alto Tirreno e nell’area ligure-provenzale : Studi di provenienza / La circulation des céramiques néolithiques dans l'aire tyrrhénienne et dans l'aire liguro-provençale : étude de provenance / Neolithic pottery circulation in the Central-Northern Tyrrhenian sea and ligurian-provencal areas : Provenance studies

Gabriele, Marzia 19 December 2014 (has links)
Les régions de la moyenne et haute Tyrrhénienne, la Ligurie et la Provence ont connu pendant le VIème millénaire BCE d’intenses activités maritimes et d’échange, dans le contexte de la néolithisation de la Méditerranée occidentale et intimement liées à l'exploitation et à la circulation des matières premières telles que l'obsidienne, le silex et les roches vertes; dans ce contexte, la définition de la circulation céramique constitue évidement un point central pour la compréhension des rapports économiques et culturels entre les différents groupes néolithiques.Afin de contribuer à la recherche sur le complexe culturel du Néolithique ancien de la zone considérée, nous avons abordé les échanges et les interactions possibles entre les différents groupes grâce à la caractérisation de la matière première des productions céramiques, leur origine et leur diffusion. Notre méthodologie est fondée sur l'analyse pétrographique (microscope stéréoscopique et/ou microscope optique) des matériaux céramiques de certains des principaux sites du techno-complexe Impressa-Cardial afin de déterminer les potentielles zones d'origine des matières premières et les choix techniques de production, par la confrontation des données de géo-ressources et des céramiques archéologiques.Sur la base des résultats d’analyses obtenus, nous avons essayé de définir les productions céramiques et leur circulation entre la moyenne-haute Tyrrhénienne, la Ligurie et la Provence, pour les différentes étapes chrono-culturelles du Néolithique ancien. / Intense seafaring and cultural/commercial exchanges took place in the region among the Central-Northern Tyrrhenian sea, Liguria and Provence during the VI millennium BCE; these contributed to the neolithisation of the western Mediterranean and were intimately linked to the exploitation and circulation of raw materials, such as obsidian, chert and greenstone. Within this framework, the assessment of ceramic circulation paths is obviously central to understand the economic and cultural relations between different Neolithic groups.Exchanges and potential interactions between different groups were assessed by characterising raw materials used in pottery production, as well as their provenance and diffusion, in order to contribute to research on the early Neolithic in the above mentioned areas.The methodology was aimed at sourcing raw materials and defining technical choices in pottery production by petrographic analyses (stereo- and / or optical microscope) of ceramic samples from some key sites of the Impressa-Cardiale Ware techno-complex, and on their comparison with geo-resources and archaeological pottery data.Pottery production and circulation among the Tyrrhenian, Liguria and Provence areas, in distinct chrono-cultural stages of Early Neolithic, was defined upon the results of these analyses.
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Les produits de la rivière de l'ouest au nouvel empire : étude épigraphique et pétrographique / The Products from the Western River during the New Kingdom, Epigraphical and Petrographical Study. : epigraphical and Petrographical Study.

Durand, Benjamin 15 December 2012 (has links)
Le toponyme de la Rivière de l’Ouest apparaît au cours de la XVIIIème dynastie et constitue la référence en matière de production vinicole jusqu’à la période ramesside. Après un hiatus d’à peu près 150 ans, il réapparait au cours de la deuxième moitié du règne de Ramsès II, pour finalement disparaître définitivement durant la XXème dynastie. Les sources textuelles prises en compte dans le cadre de cette étude sont uniquement celles inscrites sur les étiquettes d’amphores. Elles proviennent, pour la plupart d’entre elles, des sites d’Amarna, de Malkata et de Deir el Medina. L’étude de ce toponyme permet donc une ouverture sur un champ géographique et chronologique très large. Elle embrasse de même un ample panel de thèmes tel que l’organisation de la production du vin, la production des amphores, ou encore l’acheminement de celles-ci vers les lieux de consommation. Les axes de recherches empruntés ici sont à la fois archéologiques, épigraphiques, et archéométriques. La mise en parallèle des différentes données ouvre en effet la voie à un travail pluridisciplinaire par le biais duquel il est possible d’aborder sous un angle nouveau des problématiques telles que l’économie ou la politique. / The place-name of the western River appears during the XVIIIth dynasty and constitutes the reference regarding wine production until the Ramesside period. After a hiatus of about 150 years, it re-appears during the second half of the reign of Ramsès II, to finally disappear definitively during the XXth dynasty. The textual sources taken into account within the framework of this study are the ones only registered on the labels of amphorae. Most of these come from the sites of Amarna, Malkata and Deir el Medina. The study of this place-name thus allows an opening on a very wide geographical and chronological field. It also embraces a wide panel of themes such as the organization of the production of the wine, the production of amphorae, or still the routing of these towards the places of consumption. The axis of research borrowed here were at the same time archaeological, epigraphic, and archaeometrical. The putting in parallel of all these data opens the way to a multidisciplinary work by means of which it becomes possible to study, under a new angle, problems as wide as economy and politics
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Etude géologique du massif cristallin Dora-Maira : Alpes cottiennes internes : Italie

Vialon, Pierre 06 June 1966 (has links) (PDF)
L'ensemble qu'il est convenu de nommer "Dora Maira" se développe entièrement dans ce cadre de transition. Ainsi est-il loin d'avoir le droit de figurer dans les guides touristiques qui ne le décriront jamais sous la dénomination flatteuse de "Massif". En fait Dora Maira ne doit son individualité qu'aux géologues. Depuis longtemps, ceux-ci ont en effet remarqué, dans une région comprise entre la vallée de la Dora Riparia au Nord et celle de la Maira au Sud, les roches gneissiques grossières qui s'opposent foncièrement aux schistes plus fins mêlés de roches vertes des alentours. C'est à cet ensemble lithologique particulier, d'environ 1500 km2 , allongé en une grossière ellipse, longue du Nord au Sud d'environ 75 km et large d'une vingtaine de kilomètres en moyenne que l'on a coutume de donner le nom de "Massif Dora Maira". Cette entité ainsi définie, appartient aux contreforts orientaux, entièrement piémontais, de l'immense unité géographique franco-italienne des Alpes Cottiennes dont le Viso est le sommet le plus représentatif, mais en fait il est très artificiel de la séparer d'un ensemble comme si elle en était vraiment indépendante. Le Massif Dora Maira apparait ainsi comme un édifice complexe où sur un socle hercynien ou plus ancien se sont déposées, après une érosion considérable, des séries détritiques intermédiaires avant l'envahissement par les sédiments du géosynclinal alpin. Avant d'aborder l'histoire de l'évolution structurale et métamorphique du massif, compte tenu des observations résumées ci -dessus et des diverses théories, au sujet des nappes de recouvrement, il faut d'abord faire le point des données essentielles: - Le Massif Dora Maira est dans la zone de courbure maximale des Alpes occidentales, - Dans ce massif, la structure qui prédomine est celle en écailles ou plis déversés vers le Nord Est dans sa partie méridionale, vers l'Est dans sa partie médio-occidentale, vers le Sud Est ou le Sud, dans sa partie septentrionale. - Métamorphisme et structure y sont indissolublement liés, Les cristallogenèses sont dirigées et induites par les plis, à tel titre que la foliation régionale est plan axial de plis isoclinaux, grossièrement transversaux à l'allongement du massif, homologues des grandes structures . Ce fait est général dans toutes lesroches, y compris dans les calcschistes de l'enveloppe occidentale et aussi dans les pincées mésozolques qui jalonnent la base des cisaillements principaux. Il faut souligner enfin que le "climat" permettant la cristallogenèse sévissait encore lors des écaillages subméridiens des parties occidentales du massif, mais que ceux-ci évoluent en même temps que disparaissent les conditions favorables aux recristallisations. On doit considérer le Massif Dora Maira, y compris les formations siliceuses du Trias de la base des calcschistes, comme la partie sommitale d'un socle relatif, comportant une superstructure métamorphique (les Schistes lustrés) peut être elle-même recouverte d'une" super-superstructure" non métamorphique (le Flysch à Helmintholdes). Ce socle porte uniquement des traces de "rétroécaillages" alors que les superstructures se sont d'abord écoulées en nappes vers l'Ouest puis à leur tour, sur leurs arrières se sont également rétro écaillées vers l'Est. On peut donc imaginer, que le moteur de cette architecture est un affaissement en bascule d'un coin de socle ouvert vers l'Est et dont la pointe se situerait dans l'axe du cours inférieur du Pellice. Les failles bordières de ce coin de socle fonctionnant en failles inverses, seraient ou verticales ou pentées respectivement vers le Sud Ouest et vers le Nord Ouest. L'affaissement initial doit débuter par l'Ouest et être plus important à la pointe du coin, que vers l'Est. Il en résulterait nécessairement, si l'on admet le principe de l'écoulement par gravité, un glissement des superstructures vers l 'Ouest, Dans leurs parties profondes, ces superstructures en marche vers l'ouest, se heurtent aux marges externes restées plus stables, du coin de socle, Il en résulte, aux mêmes temps, dans cette partie profonde, une sorte de reflux, formant des écaillages inverses, qui étant donnée la forme du coin vont avoir tendance à se refermer sur eux -mêmes vers la partie orientale, en éléments se chevauchant les uns les autres, Il s'ensuit un serrage avec formation d'écailles et plis d'accumulation couchés, axés à peu près selon les bords du coin de socle (Nord Ouest - Sud Est et Ouest Sud Ouest - Est Nord Est) et déversés vers le Nord Est au Sud et vers le Sud Est au Nord, Pendant ce plissement isoclinal couché, se produit le métamorphisme qui peut affecter aussi une partie de la superstructure toujours en marche vers l' avant -pays, Ces événements peuvent se clore par un affaissement général du coin de socle, en particulier vers l'Est (effondrement padan) ce qui entrafne une exagération des écaillages les plus orientaux, la naissance des failles bordières de la plaine et une remontée relative des bords externes du coin. L'arrêt de l'écoulement des nappes suit, avec rétrocharriage ultime de toute leur masse par une sorte de bourrage de leurs parties arrières, s'effectuant encore dans un climat permettant les cristallisations minérales ultimes et renversant un peu plus les failles initiales du socle vers l'Est, pendant que leurs parties frontales, parties loin en avant peuvent être coupées de leurs origInes. Un réajustement isostatique, corrélatif à l'effondrement padan peut être envisagé comme une surrection ultime mineure du massif en un bombement qui accuse la symétrie de ses terminaisons septentrionales et méridionales, et les failles bordières orientales. L'érosion va immédiatement s'installer sur ce bâti, en se calquant d'ailleurs sur les structures qui viennent d'être construites. Dans un tel schéma, on ne peut que souligner l'échec du cylindrisme tectonique de type argandien et il est même possible de conclure que l'image proposée rend vaine toute recherche de synthèse à l'échelle de la chaîne alpine, du moins si l'on tient compte des détails. Quant à la zonéographie du métamorphisme d'âge alpin, on est bien obligé d'admettre la complexité de son évolution. Elle apparaft en effet soumise au développement successif de multiples serrages et écaillages qui remettent constamment en question l'équilibre des paragenèses minérales qui vient tout juste de s'établir. Ces phases successives d'un même cycle métamorphique peuvent même aller jusqu'à simuler un polymétamorphisme Ce serait retomber dans un autre "cylindrisme" que de vouloir imposer une limitation trop rigide aux zones de ce métamorphisme syntectonique,
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« De la pierre à la meule » durant le Néolithique, circulation et gestion des matières premières entre Rhin et Rhône

Milleville, Annabelle 17 December 2007 (has links) (PDF)
A partir des séries lacustres de Chalain/Clairvaux (Jura), Charavines « Les Baigneurs » (Isère) et Sutz-Lattrigen « Riedstation » (Suisse), la gestion de l'outillage lithique pondéreux est abordée, depuis l'approvisionnement en matière première jusqu'au rejet des outils. Le premier axe de recherche est chronologique et c'est dans la Combe d'Ain, en milieu calcaire, qu'il trouve son meilleur terrain d'application. Pour le matériel de mouture et de broyage, la gestion des matières premières est différente entre le Néolithique moyen et le Néolithique final, avec le choix de matériaux locaux d'une part, majoritairement exogènes d'autre part. Au Néolithique final, la gestion des matières premières diffère selon leur origine, une valeur plus importante est accordée aux matériaux siliceux, importés sur des distances de 50 km et plus ; l'évolution la plus nette est celle de la réorientation des réseaux d'approvisionnement, synchrone des changements culturels. Pour les polissoirs, les matières premières, majoritairement des grès fins, ne changent pas durant le Néolithique final, et certains gîtes sont déjà connus au Néolithique moyen ; la gestion des supports, à savoir une utilisation maximale des outils, est une constante entre 3200 et 2600 av. J.-C. à Chalain/Clairvaux. Le second axe de recherche est celui de la répartition spatiale des artefacts. Il semble que les moulins de type « va-et-vient » soient utilisés devant les habitations ou dans l'aire du pas-de-porte, avec une possible évolution de la localisation de l'activité de mouture, de l'extérieur vers l'intérieur de la maison, évolution symptomatique de la modification des fonctionnements sociaux au Néolithique final.
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Etude expérimentale des relations de phase des chlorites di/trioctaédriques dans les systèmes Li20-AI203-Si02-H20 et MgO-AI203-Si02-H20. Application aux métapélites et métabauxites de haute pression-basse température

Vidal, Olivier 06 May 1991 (has links) (PDF)
Les chlorites di/trioctaédriques (cookéite,LiAI4Si3AIOlO(OH)S et sudoïte,Mg2Al3Si 301OAI(OH)g) ont longtemps été exclusivement reportées dans des environnements de très basse pression et basse température. Pourtant, depuis une dizaine d'années, les occurrences de ces minéraux signalées dans des roches pélitiques et bauxitiques métamorphisées sous des conditions de hautes pressions et basses températures se sont multipliées. Dans ce volume sont présentés les résultats de deux études expérimentales indépendantes, entreprises dans les systèmes chimiques Li20 -AI203-Si02-H20 (LASH) et MgO-AI203-Si02-H20 (MASH), montrant que les chlorites di/trioctaédriques sont effectivement stables à haute pression. La bonne précision de l'encadrement de trois courbes d'équilibre impliquant la cookéite et deux impliquant la sudoïte permettent de calculer leurs paramètres thermodynamiques. La première grille pétrogénétique du système LASH, impliquant les phases hydratées bikitaïte et cookéite a été calculée, qui permet de fixer le champ de stabilité de la cookéite entre 250 et 500°C, pour des pressions entre 1 bar et 14 kbar. En combinant les résultats obtenus dans le système MASH avec ceux de mes prédécesseurs, et les coefficients de partage Fe-Mg entre sudoïte, carpholite, chlorite et chloritoïde, calculés à partir d'associations naturelles, il est également possible de calculer une grille pétrogénétiqu pour le système FMASH. Le champ de stabilité de l'association sudoïte + quartz (jusqu'à 7 kbar, 420°C dans le système MASH) diminue rapidement avec une incorporation de Fe dans la sudoïte. L'application des résultats de laboratoire à trois exemples naturels permet d'entrevoir le fort potentiel des associations à cookéite et sudoïte pour typer les conditions poT de roches pélitiques et bauxitiques métamorphisées dans les faciès schistes verts à schistes bleus. Elle permet également de vérifier la très bonne cohérence des deux .grilles pétrogénétiques. Enfin, les calculs des variations de compositions des fluides en équilibre avec les paragénèses du système FMLASH permet de rendre compte des relations de phase observées sur le terrain, et de l'importance des fluides en tant que vecteur d'éléments en solution dans les processus métamorphiques.
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La chaîne panafricaine du Nord-Ouest de l'Angola : étude pétrostructurale, géochimique et géochronologique. Implications géodynamiques / The panafrican belt of N-W Angola : petrostructural, geochemical and geochronological constraints. Geodynamical implications.

Nsungani, Pedro Claude 30 March 2012 (has links)
Cette thèse est consacrée à l'étude de l'évolution géodynamique de la chaîne panafricaine au NW de l'Angola, sur la marge occidentale du craton du Congo. Ce segment orogénique, conséquence de la convergence des cratons du São Francisco et du Congo à la fin du Néoprotérozoïque et début du Paléozoïque, peut être subdivisé en un domaine externe plissé et peu métamorphique et un domaine interne formé de roches magmatiques et métamorphiques. Les études structurales, pétrologiques, géochimiques et géochronologiques conduisent à distinguer deux unités principales dans le domaine interne : - l'unité supérieure de gneiss et micaschistes (P-Tmax : 8-12 kbar, 650-680°C) dont la déformation D1 est synchrone de la mise en place des nappes vers l'ENE; - l'unité inférieure dans la partie occidentale constituée de gneiss et migmatites (P-Tmax : 7-9 kbar, 700-750°C) affectés par une déformation polyphasée. L'étude géochronologique démontre l'existence de protolithes granitiques datés à ~2 Ga impliqués dans l'orogénèse pan africaine caractérisée par une histoire polyphasée entre 540 Ma pour le pic du métamorphisme syn-D1 et 480 Ma pour les dernières phases de recristallisation et d'exhumation des roches métamorphiques de haut grade. La synthèse des données permet ainsi de reconstruire précisément les deux chemins P-T-D-t de ces deux unités tectono-métamorphiques et de comparer ce segment panafricain à ceux présents de part et d'autre de l'Atlantique Sud. Ce travail témoigne de la complexité des processus géodynamiques de convergence amenant à l'assemblage du Gondwana impliquant à la fois de larges masses cratoniques et des microplaques intercalées entre ces masses. / This thesis is devoted to the study of the geodynamic evolution of the panafrican belt in NW Angola, lying on the western margin of the Congo craton. This orogenic belt, resulting from the late neoproterozoic – early paleozoic convergence of the São Francisco and Congo cratons, can be subdivided into two main domains: 1) an eastern foreland made of folded neoproterozoic sediments and 2) a western hinterland made of magmatic and metamorphic rocks. Our structural, petrological, geochemical and geochronological studies lead to the recognition of two main units within this hinterland : 1) an upper eastern unit made of gneiss and micaschists (P-Tmax : 8-12 kbar, 650-680°C) that preserves D1 deformation structures related to the ENE transport of nappes and 2) a western lower unit made of gneiss and migmatites (P-Tmax : 7-9 kbar, 700-750°C) that were affected by a polyphased deformation. Our geochronological study shows that this belt contains ~2Ga old granites that were involved in a polyphased panafrican evolution between 540 Ma for syn-D1 peak metamorphic conditions and 480 Ma for the last stages of recrystallization and exhumation of high grade rocks. The synthesis of all data leads to a precise reconstruction of P-T-D-t paths in both tectono-metamorphic units and to comparison of this panafrican belt with similar belts distributed on both sides of the Atlantic ocean. This work attests of the complexity of the geodynamic processes resulting in the Gondwana assembly and implying both large cratonic landmasses and intercalated microplates.
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CARACTERISATION ET GESTION DU SILEX DES SITES<br />MESOLITHIQUES ET NEOLITHIQUES DU NORD-OUEST DE L'ARC ALPIN.<br />Une approche pétrographique et géochimique

Bressy, Céline 12 June 2002 (has links) (PDF)
La fréquentation préhistorique des Alpes du Nord nous est connue à travers la découverte de sites livrant des vestiges lithiques et osseux. Une vision plus fine des modalités de pénétration, de circulation intra-massifs et d'exploitation saisonnière du milieu alpin peut être abordée à travers l'étude des matières premières composant la série lithique d'un site, par la détermination de leurs origines.<br />Dans les sites des Préalpes françaises (depuis le massif des Bornes jusqu'au Dévoluy), le matériau privilégié par les préhistoriques est le silex. Des prospections réalisées dans le cadre de ce travail et antérieurement ont permis de cartographier les ressources en silex régionales et de regrouper plusieurs centaines d'échantillons de référence. Classiquement, ce matériau fait l'objet de caractérisations macroscopiques et pétrographiques. Cependant, ces méthodes ne sont pas toujours discriminantes et certaines sources ou types de silex demeurent difficiles à identifier dans un paysage lithique complexe. C'est pourquoi nous avons tenté d'apporter un nouvel éclairage à la question de la caractérisation du silex au moyen de la géochimie. Nous avons analysé les silex de 30 sources (138 échantillons) et de deux sites archéologiques (27 artefacts) par ICP-AES et ICP-MS, en mode destructif. Les caractérisations élémentaires permettent de distinguer les silex d'étages géologiques différents. Par contre, l'hétérogénéité intra-source constatée limite les possibilités de discrimination univoque des sources appartenant à un même étage géologique, à moins qu'elles ne soient suffisamment éloignées géographiquement. Toutefois, parmi les 22 sources sénoniennes analysées, celle de la Grande-Rivoire, située sur une des voies possibles de pénétration du massif du Vercors et exploitée dès le Mésolithique moyen, présente une signature géochimique spécifique. Plusieurs artefacts lui ont été attribués. Les analyses d'un autre matériau employé durant la Préhistoire, l'obsidienne, mettent en évidence les particularités de la signature géochimique du silex. <br />Les approches pétrographiques nous ont permis d'établir le schéma d'approvisionnement et l'origine des artefacts en silex de huit sites archéologiques par comparaison avec les échantillons géologiques à notre disposition.<br />Le matériel archéologique étudié au moyen de la géochimie et par les approches non-destructives a révélé des comportements vis à vis de l'acquisition et de la gestion des silex différents en fonction de la nature des sites, de leur positionnement géographique et de la période considérée. Des zones de contact et des voies de circulation privilégiées ont ainsi été mises en évidence.
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Etude géologique des massifs Rocciavre-Orsiera (Alpes piémontaises ; sud du val de Susa)

Seyrig, Nicolas 06 June 1972 (has links) (PDF)
Ce travail a pour but de reconstituter l'histoire pétrographique de la couverture de cette region. Grace à des investigations de geochimie et sur les données structurales nous pourrons replacer l'ensemble de ce massif dans l'ensemble " zone piémontaise".
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Etude géologique et minière du massif des Hurtières- Chaine de Belledonne (Savoie) - Alpes françaises

Cabrol, Bruno 02 February 1967 (has links) (PDF)
La chaîne de Belledonne, qui s'étend de Grenoble à Albertville présente sur sa bordure ouest plus de 100 mines ou indices minéralisés. L'âge et le processus de mise en place des filons, la tectonique qui les affecte, les remobilisations dues aux différentes orogenèses, sont autant de questions qui demandent à être élucidées. Leur étude peut en outre contribuer à éclaircir certains problèmes de tectonique générale. La région étudiée forme une bande longue de 20 Km et large de 5 Km. Elle est délimitée au Nord et à l'Est par la vallée de l'Arc (Maurienne), à l'Ouest par la vallée supérieure du Gelon et au Sud par la vallée du Bens ( St Hugon) le massif des Hurtières en forme l'épine dorsale dont l'altitude s'abaisse progressivement de 2495 m (aux Grands Moulins) à 320 m (Aiguebelle). Les documents concernant les anciens travaux miniers étant - quand il en existe - très incomplets, ne pouvaient servir de base de départ à notre étude. Il était nécessaire dans tous les cas de se livrer sur le terrain à un travail original de reconnaissance , et aux levés topographiques et géologiques. L'étude géologique et minière de la région considérée, s'inscrit dans le cadre d'une étude générale entreprise sur l'ensemble des massifs Belledonne - Beaufortin .

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