• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 6
  • 5
  • Tagged with
  • 11
  • 5
  • 4
  • 3
  • 3
  • 3
  • 3
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • 2
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
1

Lysosomal degradation of insulin granules promotes β-cell failure in type 2 diabetes / La dégradation lysosomale des granules d’insuline favorise l’échec des cellules béta lors d’un diabète de type 2

Pasquier, Adrien 08 November 2016 (has links)
Notre équipe a récemment découvert l’importance du ciblage des granules d’insuline aux lysosomes lors d’une mise à jeun chez les cellules pancréatiques β. Le diabète de type 2 (TD2) est caractérisé par la résistance à l’insuline couplé au dysfonctionnement des cellules β-et à leur perte. Je souhaitais évaluer le ciblage des granules d’insuline aux lysosomes dans le contexte diabétique. Grâce à un modèle murin, nous avons trouvé que le nombre des lysosomes contenant des granules d’insuline était augmenté chez les cellules β-provenant de souris diabétiques en comparaison aux contrôles. Ceci était accompagné par l’augmentation des niveaux de la protéine lysosomale CD63. Parce que PKD1 contrôle le ciblage des granules d’insuline aux lysosomes lors d’une mise à jeun, nous nous sommes demandé si PKD1 était importante lors d’un diabète de type 2. Dans nos modèles, les niveaux de PKD1 étaient diminués en conditions diabétiques en comparaison aux contrôles. De plus, l’inhibition de PKD1 entrainait l’augmentation du ciblage des granules d’insuline aux lysosomes et accélérait l’apparition du diabète dans notre modèle murin. Nous souhaitions ensuite savoir si l’activation de PKD1 dans les cellules pancréatiques β-pouvait être avantageuse dans un contexte diabétique. De fait, grâce à l’utilisation d’un composé spécifique, nous avons pu montrer que l’activation de PKD1 menait à l’augmentation des niveaux d’insuline sur des ilots pancréatiques humains et ralentissait l’apparition du diabète dans notre modèle murin. Pour conclure, j’ai aussi débuté la caractérisation des lysosomes sur d’autres types cellulaires des ilots pancréatiques. Nous avons observé que LIMP2, une autre protéine lysosomale, était fortement exprimée chez les cellules pancréatiques α. / Our team recently uncovered the importance of the targeting of insulin granules to the lysosomal compartments in pancreatic β-cells during fasting. Type 2 Diabetes (T2D) is characterised by insulin resistance coupled with pancreatic β-cell failure which account for both β-cells dysfunction and β-cells death. I wanted to assess the targeting of insulin granule to the lysosomes in the context of T2D. Using murine diabetic model, we found that the number Granule-containing Lysosomes was enhanced in diabetic β-cells in comparison to controls. This was accompanied by an increase in the level of the lysosomal protein CD63. Because PKD1 controls the targeting of insulin granule to the lysosomes during fasting, I wondered if PKD1 was important during T2D. PKD1 levels were decreased in our diabetic models in comparison to controls. Moreover inhibition of PKD1 led to enhanced targeting of the insulin granules to the lysosomes and accelerated apparition of diabetes in our murine model. I also tested if activation of PKD1 in pancreatic β-cells could be beneficial in the context of diabetes. Indeed using a specific compound, we showed that PKD1 activation led to an increase in insulin levels and delayed onset of diabetes in our murine model. My work thus uncovered mechanisms underlying a fundamentally new process in β-cells with potential implications for novel therapeutic directions in T2D. Finally, I started to assess lysosomes in another pancreatic islets cell type. I found that LIMP2, another lysosomal membrane protein, was specifically highly expressed in the pancreatic α-cells.
2

La protéine kinase D1, PKD1, un acteur essentiel de la physiologie du mélanome et une cible de perturbateurs endocriniens dans les tumeurs du sein / The Protein Kinase D1, PKD1, is an Essential Actor of Melanoma Physiology and a Target of Endocrine Disruptors in Breast Tumors

Merzoug, Messaouda 22 February 2017 (has links)
La protéine kinase D1, PKD1, est une sérine/thréonine kinase activée par de nombreux facteurs mitogènes. Les études, menées jusqu’à présent sur les fonctions de PKD1, ont montré qu’elle semble jouer un rôle dans la régulation de plusieurs processus biologiques fondamentaux impliqués dans le développement des tumeurs. Cependant, le rôle précis et les cibles de PKD1 restent largement méconnus. Au cours de ce travail, nous avons tout d’abord démontré que l’inhibition de PKD1 dans les cellules de mélanome inhibe la croissance et la motilité cellulaire, induit l’expression de la E-cadhérine et une diminution de la N-cadhérine. D’autre part, nous nous sommes intéressés au rôle des perturbateurs endocriniens dans les cellules tumorales mammaires et avons démontré que PKD1 est une cible des perturbateurs endocriniens (PE). Les PE, tels que le bisphénol A (BPA) et les phtalates, sont des produits chimiques ubiquitaires de notre environnement. Leur rôle dans la croissance tumorale mammaire est bien documenté. Néanmoins, les mécanismes moléculaires précis par lesquels ces molécules agissent demeurent encore inconnus. Au cours de notre travail, nous avons démontré que ces PE induisent de façon dose-dépendante la prolifération des cellules MCF-7 (cellules d’adénocarcinome mammaire) et que ce processus biologique est dépendant de l’expression de PKD1. Ainsi, l’ensemble de ce travail fait apparaître, d’une part, que PKD1 pourrait être une nouvelle cible thérapeutique anti-tumorale potentielle dans le mélanome et que, d'autre part, PKD1est une cible moléculaire de certains PE dans le cancer du sein. / Protein kinase D1, PKD1, is a serine/threonine kinase which can be activated by mitogens and that regulates various functions involved in the development of tumors. However, its precise role and targets are still unclear. Our study demonstrates that PKD1 inhibition in melanoma cells decreased cell growth and motility, and reversed the E- to N-cadherin switch. On the other hand, we examined the role of endocrine disruptors (EDs) in breast cancer cells and identified PKD1 as a target of these compounds. EDs, such as bisphenol A (BPA) and phthalates, have been found molecular mechanisms are still ubiquitously throughout our environment. Their role in breast tumor growth has been well documented. However, their precisemolecular mechanisms are still unknown. Our study demonstrates that EDs induce dose-dependently MCF-7 cell growth and that this biological process is dependent upon PKD1expression. Thus, this work may define PKD1 as a novel potential anti-tumor therapeutic target in melanoma and identifies PKD1 as a new molecular target of some EDs in breast cancer cells.
3

Caractérisation des mécanismes moléculaires de la polykystose rénale autosomique dominante

Thivierge, Caroline January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
4

Étude in vivo du rôle du domaine extracellulaire de la polycystine-1

Kurbegovic, Almira January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
5

Analyse fonctionnelle de la polycystine-1 et de son domaine intracellulaire dans le développement de la polykystose rénale autosomique dominante

Côté, Olivier 04 1900 (has links)
La polykystose rénale autosomique dominante (PKRAD) est la maladie génétique rénale la plus commune touchant 1/500 personnes. Elle se caractérise principalement par la formation de kystes rénaux dans tous les segments du néphron, entraînant l’insuffisance rénale, et par des manifestations extrarénales kystiques (foie, pancréas, rate) et non-kystiques (anomalies cardiaques, vasculaires et cérébrales). Deux gènes, PKD1 et PKD2, sont responsables de 85 et 15% des cas respectivement. Ces gènes encodent les polycystine-1 (PC-1) et -2 (PC-2) qui forment un complexe à la membrane plasmique et ciliaire des cellules épithéliales rénales. PC-1 est une protéine transmembranaire de 4302 acides aminés possédant un court domaine intracellulaire incluant un motif coiled-coil impliqué dans l’interaction entre PC-1 et PC-2 in-vitro. L’importance du coiled-coil est démontrée par des mutations affectant spécifiquement ce motif chez des patients PKRAD. Le mécanisme pathogénétique responsable de la PKRAD est indéterminé. Chez la souris, la PKRAD se développe suite à l’ablation (Pkd1-/-) ou lors de la surexpression (SBPkd1TAG) de Pkd1, ce qui suggère un effet de dosage. Des anomalies ciliaires sont aussi souvent associées à PKRAD. Mon objectif était de déterminer in-vivo le mécanisme pathogénétique de la polycystine-1 dans le développement des symptômes PKRAD rénaux et extrarénaux et plus spécifiquement, le rôle du motif coiled-coil dans le mécanisme de kystogenèse. Pour ce faire, nous avons généré deux constructions, Pkd1 sauvage (Pkd1TAG) et Pkd1 tronquée de son motif coiled-coil (Pkd1ΔCoiled-coil), par recombinaison homologue à partir du BAC-Pkd1 sauvage comprenant la séquence murine entière de Pkd1. Trois lignées de souris Pkd1TAG générées par microinjection démontrent un niveau d’expression de Pkd1 qui corrèle avec le nombre de copie du transgène (2, 5 et 15 copies). Les souris Pkd1TAG reproduisent la PKRAD en développant des kystes rénaux dans toutes les parties du néphron et des cils primaires plus longs que les contrôles non transgéniques. Les analyses physiologiques supportent que les souris Pkd1TAG développent une insuffisance rénale et démontrent une augmentation du volume urinaire de même qu’une diminution de l’osmolalité, de la créatinine et des protéines urinaires. De plus, les souris Pkd1TAG développent des kystes hépatiques, des anomalies cardiaques associées à des dépôts de calcium et des anévrismes cérébraux. La sévérité du phénotype augmente avec l’expression de Pkd1 appuyant l’hypothèse d’un mécanisme de dosage. Nous avons aussi déterminé que l’expression du transgène Pkd1TAG complémente le phénotype létal-embryonnaire des souris Pkd1-/-. D’autre part, nous avons générés 4 lignées de souris Pkd1ΔCoiled-coil (2 et 15 copies du transgène) dont le nombre de copies corrèle avec le niveau d’expression du transgène. Ces souris Pkd1ΔCoiled-coil, contrairement aux Pkd1TAG de même âge, ne développent pas de kystes et possèdent des cils primaires de longueur normale. Afin d’évaluer le rôle du motif coiled-coil en absence de polycystine-1 endogène, nous avons croisé les souris Pkd1ΔCoiled-coil avec les souris Pkd1-/-. Contrairement aux souris Pkd1-/- qui meurent in-utéro, les souris Pkd1ΔCoiled-coil; Pkd1-/- survivent ~10 à 14 jours après la naissance. Elles démontrent des kystes rénaux et pancréatiques sévères, un retard de croissance et des anomalies pulmonaires. Tous les segments du néphron sont affectés. Mon projet démontre que la surexpression de Pkd1 est un mécanisme pathogénique de la PKRAD tant au niveau rénal qu’extrarénal. De plus, il démontre que le motif coiled-coil est un élément déterminant dans la kystogenèse/PKRAD in-vivo. / Autosomal dominant polycystic kidney disease (ADPKD) is a common genetic disorder affecting 1:500 people worldwide, independently from sex and origin. ADPKD is characterized by formation of large bilateral kidney cysts affecting all segments of the nephron and increasing progressively in size and number leading to end stage renal failure by mid-fifty. Moreover, this systemic disease includes several extrarenal symptoms such as intracranial aneurysms, valvular defects and cysts formation in the liver and the pancreas. PKD1 and PKD2 genes mutations are involved in 85 and 15 % of the clinical cases. PKD genes encode polycystin-1 (PC-1) and -2 (PC-2), which both form a complex at the cell and ciliary membrane of renal epithelial cells. PC-1 is a large transmembrane protein with a small intracellular tail including a coiled-coil motif implicated in PC-1/PC-2 interaction in-vitro. Interestingly, specific mutations affecting the coiled-coil motif cause ADPKD in humans. The pathogenetic mechanism of ADPKD is unknown. In mice, both ablation (Pkd1-/-) or overexpression (SBPkd1TAG) of Pkd1 cause ADPKD, suggesting a dosage model. Ciliary anomalies are also linked to polycystic kidney disease. Herein, we evaluated in-vivo the role of Pkd1 in the development of renal and extrarenal manifestations of ADPKD and more specifically, the role of the coiled-coil motif in cystogenesis. We generated two constructions, wildtype Pkd1 (Pkd1TAG) and coiled-coil deleted Pkd1 (Pkd1ΔCoiled-coil), by homologous recombination from the wildtype Pkd1-BAC comprising the whole Pkd1 murine sequence. Three Pkd1TAG mice lines have been generated by microinjection and show expression patterns correlating with the copy number of the transgene (2, 5 and 15 copy). All Pkd1TAG mice develop renal cysts affecting all nephron segments as in ADPKD and longer primary cilia compared to wildtype mice. Physiologic analysis supports renal failure by increased urinary output and decreased of urinary proteins, osmolality and creatinin levels. Pkd1TAG mice also show cysts in the liver, cardiac and valvular anomalies associated with calcium deposition and cerebral aneurysms. The severity of the phenotype increased with Pkd1 expression suggesting a dosage model. Importantly, the Pkd1TAG transgene rescue embryonic lethality of Pkd1-/- mice. Furthermore, we generated 4 lines of Pkd1ΔCoiled-coil mice of 2 and 15 copies of the transgene correlating also to the level of expression. Compared to age-matched Pkd1TAG, Pkd1ΔCoiled-coil mice develop no cysts and show normal cilia length. To gain more insights on the role of coiled-coil motif in absence of endogenous Pc-1, we mated Pkd1ΔCoiled-coil with Pkd1-/- mice. Compared to the lethal embryonic Pkd1-/- mice, Pkd1ΔCoiled-coil; Pkd1-/- live ~ 10 to 14 days. They show severe renal and pancreatic cysts as well as growth retardation and pulmonary defects. My study demonstrates that Pkd1 overexpression is a pathogenic mechanism to induce ADPKD renal and extrarenal phenotype. Moreover, this work shows that the coiled-coil motif of polycystin-1 is a critical determinant in ADPKD cystogenesis.
6

Analyse fonctionnelle de la polycystine-1 et de son domaine intracellulaire dans le développement de la polykystose rénale autosomique dominante

Cote, Olivier 04 1900 (has links)
La polykystose rénale autosomique dominante (PKRAD) est la maladie génétique rénale la plus commune touchant 1/500 personnes. Elle se caractérise principalement par la formation de kystes rénaux dans tous les segments du néphron, entraînant l’insuffisance rénale, et par des manifestations extrarénales kystiques (foie, pancréas, rate) et non-kystiques (anomalies cardiaques, vasculaires et cérébrales). Deux gènes, PKD1 et PKD2, sont responsables de 85 et 15% des cas respectivement. Ces gènes encodent les polycystine-1 (PC-1) et -2 (PC-2) qui forment un complexe à la membrane plasmique et ciliaire des cellules épithéliales rénales. PC-1 est une protéine transmembranaire de 4302 acides aminés possédant un court domaine intracellulaire incluant un motif coiled-coil impliqué dans l’interaction entre PC-1 et PC-2 in-vitro. L’importance du coiled-coil est démontrée par des mutations affectant spécifiquement ce motif chez des patients PKRAD. Le mécanisme pathogénétique responsable de la PKRAD est indéterminé. Chez la souris, la PKRAD se développe suite à l’ablation (Pkd1-/-) ou lors de la surexpression (SBPkd1TAG) de Pkd1, ce qui suggère un effet de dosage. Des anomalies ciliaires sont aussi souvent associées à PKRAD. Mon objectif était de déterminer in-vivo le mécanisme pathogénétique de la polycystine-1 dans le développement des symptômes PKRAD rénaux et extrarénaux et plus spécifiquement, le rôle du motif coiled-coil dans le mécanisme de kystogenèse. Pour ce faire, nous avons généré deux constructions, Pkd1 sauvage (Pkd1TAG) et Pkd1 tronquée de son motif coiled-coil (Pkd1ΔCoiled-coil), par recombinaison homologue à partir du BAC-Pkd1 sauvage comprenant la séquence murine entière de Pkd1. Trois lignées de souris Pkd1TAG générées par microinjection démontrent un niveau d’expression de Pkd1 qui corrèle avec le nombre de copie du transgène (2, 5 et 15 copies). Les souris Pkd1TAG reproduisent la PKRAD en développant des kystes rénaux dans toutes les parties du néphron et des cils primaires plus longs que les contrôles non transgéniques. Les analyses physiologiques supportent que les souris Pkd1TAG développent une insuffisance rénale et démontrent une augmentation du volume urinaire de même qu’une diminution de l’osmolalité, de la créatinine et des protéines urinaires. De plus, les souris Pkd1TAG développent des kystes hépatiques, des anomalies cardiaques associées à des dépôts de calcium et des anévrismes cérébraux. La sévérité du phénotype augmente avec l’expression de Pkd1 appuyant l’hypothèse d’un mécanisme de dosage. Nous avons aussi déterminé que l’expression du transgène Pkd1TAG complémente le phénotype létal-embryonnaire des souris Pkd1-/-. D’autre part, nous avons générés 4 lignées de souris Pkd1ΔCoiled-coil (2 et 15 copies du transgène) dont le nombre de copies corrèle avec le niveau d’expression du transgène. Ces souris Pkd1ΔCoiled-coil, contrairement aux Pkd1TAG de même âge, ne développent pas de kystes et possèdent des cils primaires de longueur normale. Afin d’évaluer le rôle du motif coiled-coil en absence de polycystine-1 endogène, nous avons croisé les souris Pkd1ΔCoiled-coil avec les souris Pkd1-/-. Contrairement aux souris Pkd1-/- qui meurent in-utéro, les souris Pkd1ΔCoiled-coil; Pkd1-/- survivent ~10 à 14 jours après la naissance. Elles démontrent des kystes rénaux et pancréatiques sévères, un retard de croissance et des anomalies pulmonaires. Tous les segments du néphron sont affectés. Mon projet démontre que la surexpression de Pkd1 est un mécanisme pathogénique de la PKRAD tant au niveau rénal qu’extrarénal. De plus, il démontre que le motif coiled-coil est un élément déterminant dans la kystogenèse/PKRAD in-vivo. / Autosomal dominant polycystic kidney disease (ADPKD) is a common genetic disorder affecting 1:500 people worldwide, independently from sex and origin. ADPKD is characterized by formation of large bilateral kidney cysts affecting all segments of the nephron and increasing progressively in size and number leading to end stage renal failure by mid-fifty. Moreover, this systemic disease includes several extrarenal symptoms such as intracranial aneurysms, valvular defects and cysts formation in the liver and the pancreas. PKD1 and PKD2 genes mutations are involved in 85 and 15 % of the clinical cases. PKD genes encode polycystin-1 (PC-1) and -2 (PC-2), which both form a complex at the cell and ciliary membrane of renal epithelial cells. PC-1 is a large transmembrane protein with a small intracellular tail including a coiled-coil motif implicated in PC-1/PC-2 interaction in-vitro. Interestingly, specific mutations affecting the coiled-coil motif cause ADPKD in humans. The pathogenetic mechanism of ADPKD is unknown. In mice, both ablation (Pkd1-/-) or overexpression (SBPkd1TAG) of Pkd1 cause ADPKD, suggesting a dosage model. Ciliary anomalies are also linked to polycystic kidney disease. Herein, we evaluated in-vivo the role of Pkd1 in the development of renal and extrarenal manifestations of ADPKD and more specifically, the role of the coiled-coil motif in cystogenesis. We generated two constructions, wildtype Pkd1 (Pkd1TAG) and coiled-coil deleted Pkd1 (Pkd1ΔCoiled-coil), by homologous recombination from the wildtype Pkd1-BAC comprising the whole Pkd1 murine sequence. Three Pkd1TAG mice lines have been generated by microinjection and show expression patterns correlating with the copy number of the transgene (2, 5 and 15 copy). All Pkd1TAG mice develop renal cysts affecting all nephron segments as in ADPKD and longer primary cilia compared to wildtype mice. Physiologic analysis supports renal failure by increased urinary output and decreased of urinary proteins, osmolality and creatinin levels. Pkd1TAG mice also show cysts in the liver, cardiac and valvular anomalies associated with calcium deposition and cerebral aneurysms. The severity of the phenotype increased with Pkd1 expression suggesting a dosage model. Importantly, the Pkd1TAG transgene rescue embryonic lethality of Pkd1-/- mice. Furthermore, we generated 4 lines of Pkd1ΔCoiled-coil mice of 2 and 15 copies of the transgene correlating also to the level of expression. Compared to age-matched Pkd1TAG, Pkd1ΔCoiled-coil mice develop no cysts and show normal cilia length. To gain more insights on the role of coiled-coil motif in absence of endogenous Pc-1, we mated Pkd1ΔCoiled-coil with Pkd1-/- mice. Compared to the lethal embryonic Pkd1-/- mice, Pkd1ΔCoiled-coil; Pkd1-/- live ~ 10 to 14 days. They show severe renal and pancreatic cysts as well as growth retardation and pulmonary defects. My study demonstrates that Pkd1 overexpression is a pathogenic mechanism to induce ADPKD renal and extrarenal phenotype. Moreover, this work shows that the coiled-coil motif of polycystin-1 is a critical determinant in ADPKD cystogenesis.
7

Geneticky podmíněné faktory progrese vybraných chronických nefropatií. / Genetically determined progression factors of selected chronic nephropathies

Obeidová, Lena January 2020 (has links)
Polycystic kidney disease is a severe genetic disease occurring in both adult and pediatric patients. The basic characteristic of this disease is the development and progressive enlargement of renal cysts gradually replacing functional kidney tissue. This leads to renal failure in many patients. However, renal cysts may also occur in a number of other diseases, including multisystem syndromes. This complicates differential diagnosis in some patients. In our study, we first focused on the diagnosis and characterization of genotypic-phenotypic relationships in patients with polycystic disease arising in childhood, later we extended our study to adult patients and patients with unclear clinical diagnosis. At the same time, we expanded the portfolio of analyzed disorders to a number of diseases in which the phenotype of polycystic kidneys may occur, and noncystic diseases as well. During our project, massive parallel sequencing was used to analyze 149 patients - 128 with cystic and 21 with noncystic clinically diagnosed nephropathies. At the same time, the findings were verified by Sanger sequencing in 176 relatives of our probands. Mutation detection reached 59% in cystic patients, and 43% in non-cystic patients, respectively. In many patients, molecular genetic analysis revealed a different etiology...
8

Challenging Disease Ontology by Instances of Atypical PKHD1 and PKD1 Genetics

de Fallois, Jonathan, Schönauer, Ria, Münch, Johannes, Nagel, Mato, Popp, Bernt, Halbritter, Jan 24 March 2023 (has links)
Background: Autosomal polycystic kidney disease is distinguished into dominant (ADPKD) and recessive (ARPKD) inheritance usually caused by either monoallelic (PKD1/PKD2) or biallelic (PKHD1) germline variation. Clinical presentations are genotype-dependent ranging from fetal demise to mild chronic kidney disease (CKD) in adults. Additionally, exemptions from dominant and recessive inheritance have been reported in both disorders resulting in respective phenocopies. Here, we comparatively report three young adults with microcystic-hyperechogenic kidney morphology based on unexpected genetic alterations beyond typical inheritance. Methods: Next-generation sequencing (NGS)-based gene panel analysis and multiplex ligation-dependent probe amplification (MLPA) of PKD-associated genes, familial segregation analysis, and reverse phenotyping. Results: Three unrelated individuals presented in late adolescence for differential diagnosis of incidental microcystic-hyperechogenic kidneys with preserved kidney and liver function. Upon genetic analysis, we identified a homozygous hypomorphic PKHD1 missense variant causing pseudodominant inheritance in a family, a large monoallelic PKDH1-deletion with atypical transmission, and biallelic PKD1 missense hypomorphs with recessive inheritance. Conclusion: By this report, we illustrate clinical presentations associated with atypical PKD-gene alterations beyond traditional modes of inheritance. Large monoallelic PKHD1-alterations as well as biallelic hypomorphs of both PKD1 and PKHD1 may lead to mild CKD in the absence of prominent macrocyst formation and functional liver impairment. The long-term renal prognosis throughout life, however, remains undetermined. Increased detection of atypical inheritance challenges our current thinking of disease ontology not only in PKD but also in Mendelian disorders in general.
9

The Biochemical Basis of The miR-21 Expression by The Mu-Opioid Receptor

Chang, Jen-Kuan January 2015 (has links)
Opioid receptors are members of the superfamily of seven transmembrane G protein-coupled receptors (GPCRs) which share several structural and functional characteristics. There are 3 subtypes of opioid receptors, designated μ (MOR), δ (DOR), and κ (KOR) opioid receptors, have been found in the immune, nervous, gastrointestinal and other tissues. We have attempted to clarify the nature of MOR-induced signal transduction pathways in leukocytes. We found that the activation of MOR leads to a significant induction of ERK phosphorylation in peripheral blood mononuclear cells from normal donors using the MOR-selective agonist DAMGO. We are also interested in determining the role of this signaling pathway in the regulation of the immune response. Recent experiments using selective inhibitors suggests that the activation of ERK involves a pathway composed of Raf, Ras, and MEK1/2 kinases, but is independent of PI3 kinase. After treatment of multiple protein kinase inhibitors we found the PKC inhibitor Go-6983 and PLC inhibitor U73122 could also inhibit ERK phosphorylation in MOR stable line (HEK-MOR). According to the results from the Go-6983 and H-89 inhibitor treatment experiments, we found PKCμ/PKD1, a family member of Protein Kinase D, may be involved in MOR-induced ERK phosphorylation. We also found PKCμ/PKD1 S916 phosphorylation after MOR activation and the PKCμ specific inhibitor CID755673 inhibited the MOR-mediated ERK activation. ERK phosphorylation activated several transcription factors in human monocytes, the activation of transcription factors has been proved to induce miRNA expression. We have initiated a series of experiments to study the regulation of miRNA expression by MOR in human monocytes. We found miR-21, miR-155, miR-29a, miR-20b expression were significantly up-regulated following morphine treatment, and morphine-induced miR-21 expression is down-regulated following pretreatment with the ERK inhibitor U0126 and PKD inhibitor CID755673 in human primary monocytes. The results suggest that morphine-induced MOR activation results in up-regulation of miRNA expression human monocytes and this may regulate monocyte and/or macrophage function thought PKCμ/Ras/Raf/ERK signaling pathway. / Molecular Biology and Genetics
10

Synthetic Lethality and Metabolism in Ewing Sarcoma : Knowledge Through Silence / Létalité synthétique et Métabolisme dans le Sarcome d'Ewing : connaissance grâce au Silence

Jonker, Anneliene 08 September 2014 (has links)
Le sarcome de Ewing est la seconde tumeur pédiatrique de l’os la plus fréquente. Elle est caractérisée par une translocation chromosomique résultant à la fusion de EWSR1 avec un membre de la famille ETS. Chez 85% des patients, cette fusion conduit à l’expression de la protéine chimérique EWS-FLI1 qui est l’oncogène majeur de ce sarcome. Ce dernier agit principalement par son action transcriptionelle sur des cibles qui lui sont propres. Au niveau thérapeutique, le sarcome d’Ewing est traité par chimiothérapie, chirurgie locale et par radiothérapie. La survie à long terme des patients est de l’ordre de 70%, mais beaucoup plus basse pour les patients métastatiques et quasi nulle lors d’une récidive. Parmi maintes caractéristiques, certains cancers présentent une dérégulation énergétique. L’influence d’EWS-FLI1 sur cet aspect n’a fait l’objet d’aucune étude dans le contexte du sarcome d’Ewing. Nous avons donc étudié par profilage métabolomique des cellules de sarcome d’Ewing en présence ou en absence d’EWS-FLI1. En comparant ces deux conditions, des modulations du profil énergétique relatif au cycle de Krebs, des précurseurs de le glycosylation ainsi que des métabolites de la voie de la méthionine et du tryptophane ont été observés. En parallèle, grâce à un crible de banque de shRNAs réalisé dans des conditions expérimentales similaires à l’étude métabolomique (lignée d’Ewing avec ou sans EWS-FLI1), nous avons pu identifier des gènes présentant des caractéristiques « synthétique létales », c'est-à-dire tuant uniquement les cellules du sarcome d’Ewing en présence de son oncogène. / Ewing sarcoma, the second most commonly occurring pediatric bone tumor, is most often characterized by a chromosomal translocation between EWSR1 and FLI1. The gene fusion EWS-FLI1 accounts for 85% of all Ewing sarcoma and is considered the major oncogene and master regulator of Ewing sarcoma. EWS-FLI1 is a transcriptional modulator of targets, both directly and indirectly. Ewing sarcoma is aggressively treated with chemotherapy, localized surgery and radiation and has an overall survival of about 70%, however, survival for metastasis or relapsed cases remains low. One of the cancer hallmarks, metabolic deregulation, is most likely partly dependent on EWS-FLI1 in Ewing sarcoma cells. In order to get a better understanding of Ewing sarcoma biology and oncogenesis, it might be of high interest to investigate the influence of EWS-FLI1 in Ewing sarcoma cells. We therefore performed a global metabolic profiling of Ewing sarcoma cells with or without inhibition of EWS-FLI1. Several changes in the energy metabolism were observed throughout this study; the observed changes were consistent with an energy profile that moved from a cancer cell energy metabolism towards the energy metabolism of a more normal cell upon EWS-FLI1 inhibition, primarily based on the TCA cycle. Levels of TCA intermediates, glycosylation precursors, methionine pathway metabolites and amino acids, especially changes in the tryptophan metabolic pathway, were altered upon EWS-FLI1 inhibition. Parallel to this study, we performed a high-throughput synthetic lethality screen, in order to not only identify essential genes for cell survival and proliferation, but also to identify new synthetic lethal targets that could specifically target Ewing sarcoma cells carrying the EWS-FLI1 fusion gene.

Page generated in 0.0307 seconds