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1

La lecture des textes à contrainte

Raymond, Dominique 20 April 2018 (has links)
Pour éviter de laisser le hasard et l'inspiration guider leur écriture, les auteurs de textes à contrainte utilisent un principe structurant dans l'échafaudage de leur texte. L’œuvre issue de cette pratique d’écriture porte les traces, perceptibles ou non, de la règle; à partir de ce postulat de base, nous pouvons considérer qu'un rapport indirect existe entre une contrainte et ses retombées textuelles, qui appelle une sémiotique de la lecture. Une relation dynamique s'établit entre le lecteur, le texte et la contrainte. Nous examinons cette relation, en considérant que l'activité lectorale opère dans diverses conditions; que le texte est un objet sémiotique complexe ne se réduisant pas au seul réglage instancié; que la contrainte se manifeste sous plusieurs formes (indices, symboles, énoncés plus ou moins explicites), qui demandent la collaboration du lecteur pour être interprétées comme telles. Lire ou ne pas lire la contrainte, telle ne peut, donc, être la question. Car si le procédé balise de façon serrée l’écriture, nous ne pouvons en dire autant de la lecture; l’activité présente un certain degré d’autonomie vis-à-vis de l’inscription d’une contrainte. C'est du moins l'hypothèse que nous tentons d'étayer tout au long de ce travail de recherche.
2

Au compte de trois : Personne n'est obligé d'écrire

Belleau, Emmanuelle 20 April 2018 (has links)
Au compte de trois relate l’histoire d’Emmanuelle. Au début, elle habitait à côté de chez Gabriel. Puis, il est parti. Après, tout à côté de chez Samuel. Puis, il est parti. Aujourd’hui, elle vit à une galerie de distance de Félix. Félix aux yeux et à la voix de Samuel. Félix qu’elle connaît depuis aussi longtemps que Gabriel. Là, c'est pour lui, qu'elle écrit. À la suite de ce roman, la deuxième partie du mémoire, Personne n’est obligé d’écrire, relate le parcours que mène Christian Bobin afin d’aller vers l’écriture, démarche que l’auteur du mémoire, situe en parallèle de la sienne, lors de l’écriture de son propre roman, ici présenté.
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Marier la source et la blessure

Archambault, Denise 20 April 2018 (has links)
Alors que la langue du discours utilitaire s'articule autour de notions et de concepts pour des fins de de communication, la langue de la poésie sourd de l'intériorité de l'être. Elle soutient le poète en marche vers l'apprentissage de la parole vivante, laquelle s'incarne dans son histoire personnelle et sa relation au monde. Marier la source et la blessure rassemble des textes poétiques où gravitent les thèmes de la tristesse, de l’angoisse, de la révolte et de l'espoir. Des moments de clarté, un souffle d'énergie, des instants d'apaisement. Un passage de l'ombre à la lumière. Au cœur de ce pèlerinage à la rencontre de soi et de l'autre, s'exprime un désir d’accomplissement. Pour soutenir cet ensemble de textes, on trouvera un propos sur le mouvement surréaliste et l'apport de Pierre Reverdy à la poésie contemporaine. Puis, entre l'essai et les notes d'un journal de lecture de poésie, s'ajoute une partie réflexive sur démarche d'écriture poétique.
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Le deuil créatif dans À la recherche du temps perdu

Blaquière, Catherine 20 April 2018 (has links)
Grâce à son écriture précédant immédiatement la Première Guerre mondiale, À la Recherche du temps perdu de Marcel Proust nous offre une trame narrative propice à l’analyse du deuil intime, vécu avant cette guerre terrible qui a à jamais modifié notre conception de la mort. En s’intéressant à la mort de la grand-mère du personnage-narrateur, à celle de son amante Albertine ainsi qu’à celle de Charles Swann, on peut tracer un nouveau fil conducteur au sein du roman. Ces deuils contribuent directement à la conclusion du roman, alors que Marcel découvre sa vocation d’écrivain et décide d’y consacrer sa vie. Ce nouveau but coïncide avec le constat de l’imminence de sa propre mort, causalité entre mort et art qui justifie conséquemment que l’on se penche sur les grands deuils du roman. Quel est le véritable objet de ces deuils ? En quoi ces deuils provoquent-ils la vocation ? En quoi le deuil est-il donc créatif chez Proust ? Voilà les questions majeures qui traversent ce mémoire et par lesquelles il tentera de répondre à la nécessité de ces deuils comme unités de base et comme succession menant au surgissement final d’un sujet désormais dévoué à l’art littéraire.
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De l’éclatement du noyau familial au discours sur la collectivité dans l’œuvre romanesque de Calixthe Beyala

Mansiantima Nzimbu, Clémentine 20 April 2018 (has links)
Reposant sur un corpus de huit romans -C’est le soleil qui m’a brûlée (1987), Tu t’appelleras Tanga (1988), Le petit prince de Belleville (1992), Assèze l’Africaine (1994), Les honneurs perdus (1996), La petite fille du réverbère (1998), L’homme qui m’offrait le ciel (2007) et Le roman de Pauline (2009)– la recherche doctorale montre que l’éclatement du noyau familial est une constante des fictions de Calixthe Beyala. De l’éclatement du noyau familial en jeu, les romans de Beyala disent le discours sur la collectivité. Ainsi, l’hétérogénéité discursive et textuelle étant une caractéristique capitale, la problématique de l’éclatement du noyau familial est reliée aux faits énonciatifs en tant que mise en œuvre d’un discours polyphonique. Le « je-narrateur », utilisé comme une stratégie rhétorique pour parler d’un « nous », ne serait que l’allégorie ou l’emblème d’une conscience collective. On observe que ce n’est pas seulement un « je » individuel qui s’y exprime mais un «je » préoccupé par la condition de la femme ou de l’enfant. Le désir de représenter la collectivité supplante l’intensité du discours individuel de revendication ou de dénonciation qui hante l’écriture de Beyala. La fiction intègre souvent le littéraire, se construit sur un fond des textes antérieurs, favorise le dialogue avec d’autres genres. Beyala réinvestit également les stéréotypes et clichés sociaux dans sa fiction. Les discours des protagonistes explorent les rapports sociaux, les mécanismes de défense d’attitudes ou de comportements par rapport au réel sociohistorique. Les romans de notre corpus déjouent donc les discours de la doxa pour se poser comme textes multiples. Ce sont des récits de vie qui fictionnalisent les souvenirs racontés par un « je » polyvocal. L’implicite se fonde sur une adhésion à une certaine vision du monde, à un ensemble d’opinions et de croyances. Entre locuteur et interlocuteur, scripteur et lecteur s’instaure une sorte de complicité. Dans l’ensemble, le « je-narrant » est multidimensionnel : enfant, adolescente, femme, africaine, immigrée, romancière, etc. Il s’ensuit que la plupart des textes de Beyala se modulent autour de sa propre identité psychologique, de ses expériences vécues. / Based on a eight-novels corpus –C’est le soleil qui m’a brûlée (1987), Tu t’appelleras Tanga (1988), Le petit prince de Belleville (1992), Assèze l’Africaine (1994), Les honneurs perdus (1996), La petite fille du réverbère (1998), L’homme qui m’offrait le ciel (2007) et Le roman de Pauline (2009)– this doctoral research shows that the breakdown of the family unit is a constant theme in the fictions of Calixthe Beyala. From the breakup of the family unit, Beyala’s novels tell the discourse about community. Discursive and textual heterogeneity being a capital characteristic, the dilemma (the problem) of family-unit (family-nucleus) fragmentation is connected to the enunciation facts as implementing a polyphonic discourse. The "I-narrator" used as a rhetorical strategy to talk about a "We" is a mere allegory or emblem of a collective consciousness. One observes that it is not only an individual "I" that is expressed, but an "I" concerned about the status of women or children. The desire to represent community supersedes the intensity of that claim or denunciation individual speech which haunts Beyala’s writing. Often, fiction incorporates literature, is built upon a background of previous texts, and promotes dialogue with other genres. In his fiction, Beyala also reinvests social stereotypes and clichés. The speeches of protagonists explore social relationships, namely the defense mechanisms inside attitudes or behaviors compared to the socio-historical reality. Thus, the novels of our corpus thwart the doxa discourse and stand as multiple texts. These life stories fictionalize the memories told (narrated) by a polyvocal "I". What is implicit is based on adhering to a certain worldview, to a set of opinions and beliefs. Between the speaker and the interlocutor, the writer and the reader, is self-created a kind of complicity. The "narrating I" is overall multidimensional: female child, female teenager, woman, female African, female immigrant, female novelist etc.. Consequently, most of Beyala’s texts are modulated around her own psychological identity, her own experiences.

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