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La Casa di Livia al Palatino. Un nuovo studio topografico / La maison de Livie au Palatin. Une nouvelle étude topographique / The House of Livia on the Palatine hill. A new topographical study

Torrisi, Valentina 17 November 2018 (has links)
Cette thèse montre qu’il y a lieu de s’interroger sur l’extension et les différentes phases de construction de la première résidence augustéenne du Palatin et en particulier sur une partie de celle-ci: la maison de Livie. Actuellement, j'ai établi quatre phases de construction pour la Maison de Livie, la première peut être datée aux alentours de 70 av. J.-C. en raison des similitudes entre le type de ses murs et ceux des substructions du théâtre de Pompée, construit entre 61 et 55 av. J.-C. et aussi à cause d’une estampille de tuile trouvée dans la substruction du complexe sud-est, datée par Margareta Steinby autour de 79 av. J.-C en raison des vestiges souterrains, je suppose l'existence au premier étage, aujourd’hui disparu, d'un oecus corinthius du côté sud-est et d'une basilique du côté nord-ouest du bâtiment. Les trois autres phases relèvent de l’initiative d’Auguste, qui a acheté plusieurs maisons sur la colline de Palatin afin de construire un complexe résidentiel sur le modèle des palais hellénistiques. Les peintures de la Maison de Livie datées auparavant d'environ 30 av. J.-C. sont datées actuellement au tour de 40 avant J.-C. par Eugenio La Rocca qui a démontré que la maison avait été construite et décorée beaucoup plus tôt. Selon son hypothèse, la « rupture » stylistique entre la première phase et la deuxième phase du second style peut être attribuée à la présence de Cléopâtre à Rome entre 46 et 44 av. J.-C. La reine était très probablement accompagnée d'artistes travaillant pour elle dans les ateliers royaux d'Alexandrie. Il est donc probable que l'élite romaine aurait reproduit les styles et les goûts de César et de Cléopâtre. / This thesis show that there is cause to question the extension and the different construction phases of the House of Augustus and in particular, of a part of it, the House of Livia as recently Irene Iacopi and Giovanna Tedone published an important paper about the accuracy of dating of the construction phases in the Augustan palace. Currently I established four construction phases for the House of Livia, the first one can be dated around 70 B.C. because of the similarities between the type of its walls and the ones of Pompey’s theatre, built between 61 and 55 B.C. and also because of a tile’s stamp found in the substructure of the south-east complex, dated by Margareta Steinby around 79 B.C. Because of the underground remains I suppose the existence at the first floor, actually destroyed, of an oecus corinthius in the south-east side and a basilica in the north-west side of the building. The three more phases should have been linked to Augustus, who bought several houses on the Palatin hill in order to build a Hellenistic palace styled complex. La Rocca demonstrated that the decoration of the House of Livia started from 40 BC due to the presence of Cleopatra near Rome between 46 and 44 BC. The queen very probably was accompanied by artists working for her in the royal Alexandrian workshops. It is likely, therefore, that the Roman elite would have replicated the styles and tastes of Caesar and Cleopatra
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Romulus, Quirinus et Victoria : la construction d’un destin collectif à Rome entre 338 et 290 av. J.-C. / Romulus, Quirinus and Victoria : construction of a collective destiny in Rome between 338 and 290 B.C.

Vé, Karlis 22 November 2014 (has links)
La période entre 338 et 290 av. J.-C. fut un tournant pour Rome, car elle vit la soumission des Latins et la défaite des Samnites, ce qui permit à l’Urbs de devenir la première puissance italique. On assista donc à l’avènement d’un impérialisme romain. Se pose alors la question de l’idéologie d’État de cette Rome en transition. Comme cette expansion fut accompagnée par la construction, à Rome, de dix nouveaux temples, souvent dédiés à des divinités nouvelles, et que toute divinité exprimait une idéologie, il nous a semblé possible de reconstituer, dans ses grands traits, cette idéologie d’État grâce aux nouvelles divinités et leurs sanctuaires. Nous avons donc choisi d’analyser deux nouveaux temples : celui de Quirinus et celui de Victoria. Le choix de Quirinus s’explique par le fait que ce dieu avait, on l’a montré, déjà été assimilé à Romulus ; quant à Victoria, on l’a choisie pour trois raisons : elle était une déesse de la victoire ; son temple fut élevé au-Dessus du Lupercal, au cœur même de la « Rome de Romulus » ; grâce aux fouilles de P. Pensabene, on peut reconstituer son sanctuaire. Puis, on a analysé les deux temples et leurs divinités à travers les concepts (cadre social de la mémoire, mémoire collective) issus de la sociologie de M. Halbwachs. On a ainsi constaté qu’à travers ces temples, l’élite dirigeante avait diffusé auprès du peuple une nouvelle identité collective affirmant le caractère exceptionnel de Rome et contenant l’idée d’une expansion illimitée de l’Urbs. Cette création d’une identité romaine impérialiste se fondant sur Romulus et la religion en général, on peut l’interpréter comme la construction d’un destin collectif pour Rome. / The period between 338 and 290 B.C. saw a sea change for Rome, because the subjugation of the Latins and the defeat of the Samnites allowed her to become the main italic power, and witnessed the advent of a roman imperialism. In this context arises the problem of the state ideology of this Rome in transition. As this expansion was accompanied by the construction of ten new temples in Rome, frequently consecrated to new deities, each of them expressing a specific ideology, we thought it possible to reconstruct the new state ideology through an analysis of the deities and shrines in question. So, for our study, we chose two new temples, those of Quirinus and of Victoria. Quirinus because of his assimilation to Romulus, Victoria because she was a deity of victory; her shrine was built above the Lupercal, at the heart of the “Rome of Romulus”; and because her temple can be reconstructed thanks to the excavations of P. Pensabene. Then we analyzed the two temples and their godheads through concepts (social frame of memory; collective memory) taken from the sociology of M. Halbwachs. In this way we came to the conclusion that, through these two shrines, the ruling élite had tried to communicate to the common people a new collective identity promoting the exceptionality of Rome and her unlimited powers of expansion. This construction of an imperialistic roman identity being based on Romulus and the religion in general, one can interpret it as construction of a collective destiny for Rome.
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Contribution à l’approche anthropologique et médico-légale des sutures viscérocrâniennes utiles dans l’estimation de l’âge au décès (Sutures palatines, fronto-naso-maxillaires et zygomatiques). / Contribution to a useful anthropological and medico-legal approach of the viscerocranial sutures in the age at death estimation (palatine, fronto-naso-maxillary and zygomatic sutures).

Beauthier, Jean-Pol J.-P. R.A.G. 30 November 2009 (has links)
Les sutures crâniennes ont été régulièrement étudiées au fil des siècles puisque déjà Vésale établissait une relation entre l’âge et la synostose suturale. Leur imprécision a quelque peu confiné l’observation de ces sutures dans un certain oubli, justifié en partie. Il est clair que leur fiabilité quant à l’estimation de l’âge au décès reste discutable et ce, pour diverses raisons. Leur observation est difficile et dès lors sujette à subjectivité dans l’appréciation de leurs stades de fusion. De plus, leur apparence sur le crâne sec peut être altérée par divers artéfacts de conservation (cire, vernis…). Outre l’observation des classiques sutures ectocrâniennes de voûte et l’utilisation des méthodes habituelles en la matière (méthode de Acsádi et Nemeskéri, méthode de Masset), nous avons orienté notre étude vers des sutures peu voire pas exploitées, à savoir les sutures palatines, les sutures fronto-naso-maxillaires et les sutures de l’os zygomatique. Ces trois groupes suturaux ont la particularité d’évoluer de manière très lente vers la fusion, à tel point que peu d’individus en présentent une oblitération complète. Face au vieillissement de la population et de par notre expérience médico-légale et anthropologique d’étude de pièces osseuses de personnes âgées, nous avons estimé qu’il était utile de se pencher sur des collections particulières de sujets d’âge avancé, afin d’apprécier l’évolution morphologique de ces sutures faciales. Si certaines personnes fort âgées gardent malgré tout des caractéristiques suturales peu évoluées, il existe dans l’ensemble, une progression suturale quasiment constante en fonction de l’âge. Nous avons tenté de la cerner, en attribuant à ces sutures, des degrés bien définis de cette progressive fusion et par là, l’aboutissement à un coefficient moyen d’oblitération suturale, se traduisant aisément en pourcentage d’oblitération ou pouvant être introduit dans des équations de régression. Tout en connaissant les limites de cette approche, nous pouvons estimer qu’elle peut rendre des services lors de l’étude de restes humains squelettisés, notamment s’ils appartiennent à des personnes fort âgées, dès lors qu’à ces stades de vieillissement, peu de méthodes restent encore applicables. D’autre part, l’approche en pourcentage d’oblitération suturale rend également des services lorsque les crânes étudiés sont fragmentés. C’est la situation que nous rencontrons actuellement lors de l’étude d’une très importante collection anthropologique à l’Institut royal des Sciences naturelles de Belgique. Cette observation suturale pourra également – à l’avenir – trouver un terrain d’approche fort utile par l’étude des sutures en CT-Scan ou en micro-CT. Enfin, grâce à ces techniques modernes d’imagerie médicale, les sutures trouvent un regain d’intérêt dans une application toute particulière, qui est celle de l’identification comparative, puisqu’il apparaît que le « dessin sutural » s’avère tout à fait propre à chaque individu.
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Contribution à l'approche anthropologique et médico-légale des sutures viscérocrâniennes utiles dans l'estimation de l'âge au décès (Sutures palatines, fronto-naso-maxillaires et zygomatiques) / Contribution to a useful anthropological and medicolegal approach of the viscerocranial sutures for the age at death estimation (palatine, fronto-naso-maxillary and zygomatic sutures)

Beauthier, Jean-Pol 30 November 2009 (has links)
Les sutures crâniennes ont été régulièrement étudiées au fil des siècles puisque déjà Vésale établissait une relation entre l’âge et la synostose suturale.<p><p>Leur imprécision a quelque peu confiné l’observation de ces sutures dans un certain oubli, justifié en partie.<p><p>Il est clair que leur fiabilité quant à l’estimation de l’âge au décès reste discutable et ce, pour diverses raisons.<p><p>Leur observation est difficile et dès lors sujette à subjectivité dans l’appréciation de leurs stades de fusion.<p><p>De plus, leur apparence sur le crâne sec peut être altérée par divers artéfacts de conservation (cire, vernis…).<p><p>Outre l’observation des classiques sutures ectocrâniennes de voûte et l’utilisation des méthodes habituelles en la matière (méthode de Acsádi et Nemeskéri, méthode de Masset), nous avons orienté notre étude vers des sutures peu voire pas exploitées, à savoir les sutures palatines, les sutures fronto-naso-maxillaires et les sutures de l’os zygomatique.<p><p>Ces trois groupes suturaux ont la particularité d’évoluer de manière très lente vers la fusion, à tel point que peu d’individus en présentent une oblitération complète.<p><p>Face au vieillissement de la population et de par notre expérience médico-légale et anthropologique d’étude de pièces osseuses de personnes âgées, nous avons estimé qu’il était utile de se pencher sur des collections particulières de sujets d’âge avancé, afin d’apprécier l’évolution morphologique de ces sutures faciales.<p><p>Si certaines personnes fort âgées gardent malgré tout des caractéristiques suturales peu évoluées, il existe dans l’ensemble, une progression suturale quasiment constante en fonction de l’âge.<p><p>Nous avons tenté de la cerner, en attribuant à ces sutures, des degrés bien définis de cette progressive fusion et par là, l’aboutissement à un coefficient moyen d’oblitération suturale, se traduisant aisément en pourcentage d’oblitération ou pouvant être introduit dans des équations de régression.<p><p>Tout en connaissant les limites de cette approche, nous pouvons estimer qu’elle peut rendre des services lors de l’étude de restes humains squelettisés, notamment s’ils appartiennent à des personnes fort âgées, dès lors qu’à ces stades de vieillissement, peu de méthodes restent encore applicables. D’autre part, l’approche en pourcentage d’oblitération suturale rend également des services lorsque les crânes étudiés sont fragmentés. C’est la situation que nous rencontrons actuellement lors de l’étude d’une très importante collection anthropologique à l’Institut royal des Sciences naturelles de Belgique.<p><p>Cette observation suturale pourra également – à l’avenir – trouver un terrain d’approche fort utile par l’étude des sutures en CT-Scan ou en micro-CT.<p><p>Enfin, grâce à ces techniques modernes d’imagerie médicale, les sutures trouvent un regain d’intérêt dans une application toute particulière, qui est celle de l’identification comparative, puisqu’il apparaît que le « dessin sutural » s’avère tout à fait propre à chaque individu.<p><p>/<p><p>Cranial sutures were regularly studied during centuries since Vésale already established a relationship between age at death and sutural fusion. <p><p>Their inaccuracy somewhat confined the observation of these joints in a certain lapse of memory, partly justified. <p><p>Various reasons clearly indicate that their reliability for age at death estimation remains debatable. <p><p>Their observation is difficult and consequently prone to subjectivity in the appreciation of their stages of fusion. <p><p>Moreover, their appearance on dry cranium can be modified by various artefacts from preserving methods (wax, varnished…). <p><p>In addition to the traditional observation of ectocranial sutures (with the usual methods such as Acsádi and Nemeskéri method and Masset method), we have directed our study towards not much exploited sutures, namely the palatine sutures, the fronto-naso-zygomatic sutures and the sutures of the zygomatic bone. <p><p>These three sutural groups are characteristic by evolving very slowly to fusion, and than, only few individuals present a complete obliteration of the latter. <p><p>Because of general population ageing and our medicolegal and anthropological experience of skeletal remains in elderly, we estimated the usefulness in studying particular collections of old people, in order to appreciate the morphological evolution of these facial joints. <p><p>Despite some very old people who present little evolved sutural characteristics, we consider as a whole, an almost constant sutural progression according to age. <p><p>We tried to define degrees of this progressive fusion and by the way, the result with a sutural obliteration average coefficient, can be easily translate as a percentage obliteration or able to be introduced into regression equations. <p><p>The limits of this approach are well known but we estimate that it is possible to help the examination of human skeletal remains in elderly, although at these stages of ageing, some methods remain still applicable. In addition, the approach expressed as a percentage of sutural obliteration is also very helpful when craniums are fragmented. This situation is currently observed on the anthropological collections at the Royal Belgian Institute of Natural Sciences. <p><p>Furthemore in the future, the sutural observation will find an interesting and useful approach by the study of the joints in CT-Scan or micro-CT. <p><p>At least, thanks to these modern techniques of medical imagery, the sutures find a renewed interest in a very particular application, such as comparative identification. It appears that the "sutural drawing" proves completely specific to each individual. <p><p> / Doctorat en sciences médicales / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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