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Interregnum : le partage du corps souverain et la naissance de la Libera Res Publica / Interregnum : the partition of the sovereign body and the birth of the Libera Res Publica.

Gohary, Laurent 06 November 2010 (has links)
Les institutions de la République romain (509-27 av. J. C.) prévoyaient, théoriquement, que les magistratures électives et annuelles ne devaient jamais être vacantes. Ce principe juridique fondamental avait pour conséquence une absolue continuité dans la détention du pouvoir exécutif qui reposait sur le ius, les auspicia et l’imperium. Cependant, il arriva à maintes reprises que les magistratures supérieures – consulat, tribunat militaire à pouvoir consulaire – fussent suspendues en raison soit d’entrave à la tenue des comices électoraux, soit de scrupules religieux entraînant l’expiation rituelle et la renouatio auspiciorum. La légimité et la légalité de la solution à la vacance du pouvoir exécutif reposaient alors sur les patres auctores, détenteurs des auspicia patrum, apanage exclusif des sénateurs patriciens. Les vénérables pères, descendants des plus illustres familles de Rome, étaient les seuls à même de remédier à la vacance des magistratures par ce rite nommé interregnum qui remontait, d’après la tradition, à l’époque royale latino-sabine et renvoyait au mythe bien connu du démembrement et de l’apothéose de Romulus. Le partage du corps souverain constitue à ce titre un symbole fondamental de la représentation de l’auctoritas patrum et de la magistrature républicaine dont il serait peut-être vain de rechercher l’historicité. L’objet de cette étude est donc d’analyser la fort ancienne institution de l’interregnum qui, comme bien d’autres, était caractérisée par un passage progressif du sacral au juridique. Le droit public prévoit dans tout système institutionnel des recours d’exception révélant la représentation psychologique du pouvoir souverain. Rome n’échappe pas à la règle ; elle put même, d’une certaine façon l’inventer. / The institutions of the Roman Republic (509-27 B.C.) were made to ensure, in theory, that electives and annuals magistracies must never be vacant. This fundamental juridic rule had for consequence an absolute continuity in the detention of the executive power which were based on ius, auspicia and imperium. However, in many times it occurs that the supremes magistracies – consulate, military tribunate with consular power – were suspended in reason either hindrance to the conduct of consular elections or religious misgiving leading to ritual expiation and renouatio auspiciorum. Legitimity and legality of the solution to the vacancy of the executive power then relied on the patres auctores, holders of the auspicia patrum, exclusive privilege of the patrician senators. The venerables fathers, heirs of Rome’s most illustrious families, were the only ones habilited to put an end to the vacancy of the magistracies by using this ritual called interregnum which appeared, following the roman tradition, during the latine-sabine period et were connected to the famous myth of the dismemberment and the apotheosis of Romulus. The partition of the king’s embodiment constitute, as such, a fundamental symbol of the representation of auctoritas patrum and of the republican magistracy on which it should be vain to search any historicity. The purpose of this study is so to analyse the very old institution of the interregnum which, as many, were caracterised by the progressive transformation from the sacral to the juridic. The public law makes provision, in all institutionnals systems, for exception resort revealing the psychologic representation of the sovereign power. Rome is not an exception to the rule ; the city could even, in a certain manner, have invented it.
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Bien commun et émergence de la citoyenneté dans la République romaine (d'après les oeuvres de Cicéron, Salluste et Tite-Live) / Common good and emergence of citizenship in the roman Republic (according Cicero, Sallust and Livy)

Sar, Fatou 11 December 2017 (has links)
Les notions de Bien commun et de citoyenneté ont été au centre des préoccupations des acteurs politiques comme des philosophes de la Rome antique. Elles constituent l’essence de toute République. Cette Thèse a comme objectif de montrer, à partir des œuvres de Cicéron, Salluste et Tite-Live, que la grandeur et la décadence de la République romaine sont intrinsèquement liées à la gestion du Bien commun. Notre démarche a donc été de remonter, avec nos auteurs, au passé de Rome, pour voir, à partir des valeurs qui ont fait la grandeur de la République, pourquoi ce déclin a pu s’amorcer. Le résultat auquel nous avons abouti a été de montrer que la principale cause de la décadence de la République romaine est la propension qu’ont eue les Romains, à partir de la fin de la Deuxième Guerre punique, à privilégier leurs intérêts et ambitions personnels au détriment de l’intérêt général. Ces faits nouveaux, selon nos auteurs, ont été rendus possibles par une crise sans précédent due à une ouverture démesurée de la citoyenneté qui rendit non opérationnelles des institutions prévues pour une cité. / The notions of common good and citizenship were at the centre of the preoccupations of political stakeholders as well as Ancient Rome philosophers. They constitute the essence of every Republic. Based on the works of Cicero, Sallust and Livy, this thesis aims at showing that the greatness and decline of the Roman Republic are intrinsically linked to common good management. Our approach was therefore to go back, with our authors, to the past of Rome, to see, from the values that have made the greatness of the Republic, how this decline happened. Our research made it possible to conclude that the main cause of the decline of the Roman Republic was the propensity of Romans, from the end of the Second Punic War, to privilege their personal interests and ambitions to the detriment of general interest. According to our authors, these new events were caused by an unprecedented crisis due to a disproportionate openness of Citizenship that had paralysed the institutions, initially planned for just a city like Rome.
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"Ego unus scilicet antiquorum hominum" : senso del passato e pratica antiquaria in varrone / Ego, unus scilicet antiquorum hominum : sens du passé et pratique antiquaire chez varron / Ego, unus scilicet antiquorum hominum : meaning of the past and antiquarianism in Varro

Leonardis, Irene 21 July 2016 (has links)
Cette thèse porte sur une étude des œuvres et des fragments de l’écrivain romain Varron et vise à examiner les intentions dans lesquelles et la façon dont cet érudit se rapportait au passé et à la mémoire collective romaine. Ses recherches sur le passé de Rome semblent motivées et poussées par un contexte de bouleversements socio-politiques et par la révolution culturelle qui eut lieu à la fin de la République (IIe-Ier siècles av. J.-C.). Dans ce moment-là le mos maiorum n’était plus unanimement accepté comme modèle à imiter. Nous avons mis en évidence le conséquent effort de l’auteur pour démontrer l’importance des valeurs civils et moraux, contenus dans le passé ancien de Rome et comparables, selon lui, aux principes éthiques développés par la réflexion philosophique grecque. Son étude du passé visait à rappeler ces valeurs, les boni mores, aux citoyens dont la crise morale avait un reflet dans la crise de la res publica.Comme Cicéron, il semble trouver les causes de cette décadence dans une crise de la mémoire et l’oublie des Romains, qui avec le temps (vetustas) avaient commencé à connaitre seulement superficiellement leur tradition, sans être plus capables d’en mettre en pratique les exempla. Par conséquent, Varron, en ayant examiné les mécanismes du temps et de la mémoire, concevait sa pratique « antiquaire » sur l’histoire et sur les institutions politiques et religieuses de Rome comme réponse à la crise (ruina) de son époque. Grâce à ses compétences étymologiques-antiquaires mais aussi philosophiques, l’érudit arriva à se présenter et à être présenté comme fin connaisseur, interprète et même porte-parole de l’antiquitas. En dépit de la conscience d’être considéré démodé par ses contemporaines, Varron s’efforçait de redéfinir la tradition afin qu’il puisse créer des lieux de mémoire qui auraient toujours rappelés les mores antiqui et l’identité romaine. / The thesis studies Varro’s works in connection with the contemporary crisis of tradition, the mos (maiorum), which at the end of the Roman Republic was not perceived anymore unanimously as a model to imitate. The purpose is to stress how the author attempted to give evidence of the importance of civil and moral values which were contained in Roman ancient past and which were allegedly equal to the ethics principles developed by Greek philosophy. Thus the past is studied by Varro in order to remind these values to his citizens, whose moral crisis reflects the crisis of the respublica. Like Cicero, he seems to hold responsible for this decadence a crisis of memory and the consequent oblivion: with the passing of time (vetustas) Romans have kept just a superficial notion of their traditions, without being able to follow their exempla in practice. Therefore, after considering the functioning of time and memory, Varro seems to conceive his own antiquarian erudition, applied to Roman history and to its civic and religious institutions, as a response to the ruin (ruina) of his age. The object of the thesis is thus to analyze this antiquarian attitude attested in almost every varronian work and its political meaning. Thanks to his ability to rediscover and prove many philosophical and religious truths through etymology, the author seems to proclaim him-self (and eventually to become) a spokesman and a witness of the antiquitas. Despite his awareness of being regarded by many of his contemporaries as antiquated and quaint, Varro strives to redefine tradition in order to create some lieux de mémoire that would always evoke the mores antiqui and roman identity
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Espace et pouvoir dans l'Ab Vrbe Condita de Tite-Live : représentation de l'espace dans le récit de la conquête romaine / Space and power in Livy's Ab urbe condita : representation of space in the narrative of Roman conquest

Miquel, Marine 11 December 2017 (has links)
S'il est établi que les historiens romains effectuent un travail important de sélection et de mise en forme de leurs sources, les descriptions et mentions géographiques font encore l'objet d'un regard hypercritique. Tite-Live se voit ainsi reprocher son incompétence ou sa négligence en la matière. Nous montrons qu'une telle conception méconnaît les conditions et les motivations qui président à l'écriture de l'histoire dans l'Antiquité. Pour comprendre les enjeux de la représentation livienne de l'espace, il faut nous abstraire d'une conception strictement géographique et topographique qui conduit, sur le plan des études narratives, à n'envisager l'espace que comme un arrière-plan. Nous mettons en évidence, dans une Ière partie,que la représentation de l'espace livien relève d'un travail de composition à partir des traditions annalistique et antiquaire, des histoires d'Alexandre, d'intertextes poétiques mais aussi d'un horizon d'attente construit autour de l'irruption, au coeur même de Rome, d'images liées à la conquête romaine. La représentation de l'espace obéit alors à différents enjeux, chacun attaché à des formes particulières et à des moments-clé qui permettent d'établir une typologie des représentations de l'espace dans l'oeuvre. Dans notre IIème partie, nous montrons que le passage, au sein d'un même épisode, d'un type d'espace à un autre et le recours à des épisodes récurrents permettent d'établir un discours sur la conquête et sur l'empire. Notre IIIème partie souligne que l'Ab Vrbe condita, en articulant espaces et peuples conquis autour de l'Vrbs, ne relève pas que d'une vision « nationaliste » mais propose des éclats d'histoire universelle pour interroger le pouvoir romain et sa pérennité. / While it is now aknowledged that Roman historians choose and shape theirsources, geographical descriptions and notes are still blamed. Livy is thus criticized for his lack of knowledge or neglect of geographical matter. We show that such a conception doesn't understand the writing of ancient history's conditions and motives.To understand well the purposes of the livian representation of space, we have to cut ourselves off from a strictly geographical and topographical conception and, on thenarrative level, from a vision of space as a single background. In our first part, we evidence that Livian representation of space is the result of a work of composition from annalistic and antiquarian traditions, Alexander's histories, poetic intertexts and the ''horizon d'attente'' which is built with the coming of images from the Roman conquest within the city of Rome. Representation of space has different purposes that are linked to different goals and various forms or key moment in the work'sarrangement, so that we can establish a typology. In our second part, we underlinethat the shift from a spatial type to another and the use of a specific terminologyleave to establish a discourse on Roman conquest and empire. Our third part showsthat the Ab Vrbe condita is not only a ''national'' work but also offers parts of universal history to question Roman power and its empire.
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Voluntas : force d’âme, libre arbitre et volonté du peuple chez Cicéron. / Voluntas : Willpower, free will, and the will of the people in Cicero

Paulson, Alexander 18 December 2017 (has links)
La volonté : peu de termes reviennent dans des débats aussi nombreux et aussi divers ; peu se prêtent à un aussi large éventail de registres, de l’ordinaire au sacré. Mon travail voudrait introduire à la notion de volonté chez Cicéron, et aux nouveaux champs sémantiques ouverts par lui pour la postérité. Le rôle accordé à lui jusqu’ici dans les généalogies de la volonté a été au mieux mineur. Mais les archives numériques confirment un fait curieux : tout le corpus latin antérieur à Cicéron contient environ 25 occurrences de voluntas ou de ses formes déclinées. Dans le seul corpus cicéronien, le mot apparaît 644 fois. Sa théologie pense l’univers en tant qu’il est déterminé par la mens ac voluntas des dieux, et fait passer le progrès de l’âme par la contemplation de la volonté divine. La voluntas est centrale dans sa réflexion sur l’émotion et la responsabilité en contexte judiciaire. Dans ses traités philosophiques, il adapte l’éthique stoïcienne et fait de la volonté le siège de la progression morale. En outre, c’est Cicéron et non Lucrèce qui a le premier examiné la liberté du vouloir humain : lorsqu’il entreprit, à trente-six ans, l’accusation de Verrès, puis dans le De fato, où sa défense de la libera voluntas mobilise le Portique et l’Académie contre le Jardin. Enfin, Cicéron invente la volonté du peuple telle que nous la connaissons. Le plus grand orateur romain, pionnier de la pensée politique de langue latine, fait de la voluntas populi la force agissante d’une république souveraine. Son idée de la volonté populaire contient d’ailleurs en germe les problèmes de représentativité des élites que nos démocraties électorales cherchent encore à résoudre. / The will : few words feature in so many distinct debates, nor range so vastly from the simple to the sacred. This thesis is intended to provide a thorough study of the notion of will in Cicero, and of the new semantic pathways he opens for posterity. The role attributed to him in genealogies of the will has been relatively minor. But digital archives confirm a curious fact: all extant Latin texts prior to his lifetime yield around two dozen occurrences of voluntas and its cognates. In the texts we have, Cicero uses the word 644 times. His theology examines the character of the world determined by the mens ac voluntas of the gods, and the improvement of the soul in the contemplation of divine will. Voluntas propels and inspires Cicero’s study of emotion in criminal liability. In the Tusculan Disputations and De officiis, he adapts Stoic ethics to propose the will as locus of moral progress. Further, it was Cicero, not Lucretius as some have argued, who first considered the “freedom” of human will – as a 36-year-old prosecutor, and then in the De fato, where his argument for libera voluntas marshals the Stoa and Academy to repudiate the Epicureans. Finally, Cicero invents “the will of the people” as we know it. Rome’s greatest orator and the pioneer of political thought in Latin, he makes voluntas populi the catalyzing force of a sovereign republic. So too does he sow problems of elite “trusteeship” into his notion of popular will, problems which electoral democracies still struggle to resolve.
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D'Alexandrie à Pouzzoles : les rapports économiques entre l'Égypte et Rome du II° siècle avant J.C. au Ier siècle après J.C. / Alexandria to Puteoli : the economic relationships between Egypt and Rome from IInd century B.C. to Ist century A.D.

Rossi, Lucia 10 December 2011 (has links)
Nous nous intéressons à l’évolution des rapports économiques entre la Rome républicaine et l’Égypte lagide et notamment à la commercialisation du blé égyptien au bénéfice de Rome. L’étude diachronique des échanges économiques entre les deux pays nous mène à nous confronter avec l’évolution de leurs rapports politiques réciproques. Nous poursuivons notre enquête pour le premier siècle d’Empire Romain. Nous nous attarderons sur l’étude de la gestion du blé égyptien au sein du système annonaire, sans pour autant négliger les acteurs « privés » du commerce du blé sous les Empereurs julio-claudiens. Nous articulerons notre recherche autour des trois axes principaux: les institutions, les acteurs et les structures du commerce du blé. / We will study the history of economic relationships between Roman Republic and Ptolemaic Egypt, focusing on Egyptian grain trade in western Mediterranean basin, especially in Rome and Puteoli. Our diachronic approach about economical exchanges between these two countries will retain attention on their reciprocal political relationships. We will continue our research during the first century of Roman Empire. We will interest to Egyptian grain administration by the annona and the imperial supply structures. We will bring interest also on private grain trade under Julio-Claudians emperors. We will develop our research on three fundamental items: the institutions, the actors and the structures of the grain trade.
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L'organisation juridique des publicains sous la République romaine

Dufour, Geneviève 04 1900 (has links)
L’objectif de cette thèse est de vérifier si les publicains sous la République romaine étaient organisés sous une forme semblable à celle de la compagnie moderne. Après l’introduction, le second chapitre introduit la compagnie, les autres structures utilisées pour organiser une entreprise et la personnalité juridique en droit moderne. Il réfute trois idées préconçues ayant influencé les historiens et les juristes. Le troisième chapitre présente les publicains et leurs activités. En effet, les historiens et les juristes y font abondamment référence dans leur argumentation concernant l’organisation juridique des publicains; il faut donc se familiariser avec elles. Une revue critique de la littérature historique est effectuée. Le quatrième chapitre procède à l’analyse critique de la position des historiens et des juristes sur l’organisation juridique des publicains. D’abord, il explique la notion de société ordinaire de droit romain; ensuite, il discute de l’évolution du concept de la personnalité juridique distincte; enfin, il étudie le cas particulier des sociétés de publicains. Ces dernières seraient différentes des sociétés ordinaires, parce qu’elles détiendraient une personnalité juridique distincte et auraient une organisation interne à trois paliers (actionnaires, administrateurs et dirigeants). Toutefois, ce point de vue est fondé sur des sources datant de plusieurs siècles après la fin de la République. Il faut donc examiner les sources contemporaines afin de vérifier si elles nous mènent aux mêmes conclusions. Le cinquième chapitre contient une analyse originale de la documentation républicaine. De nouveaux éléments de preuve sont repérés. Il confirme que les sociétés de publicains ont détenu un embryon de personnalité juridique distincte durant le dernier siècle de la République; par contre, c’était aussi le cas des sociétés ordinaires. Les sociétés de publicains n’avaient pas une organisation interne à trois paliers; en outre, celle des sociétés ordinaires incluait des magistri comme la leur. Les sociétés des publicains s’apparentaient à des sociétés en commandite et non à des compagnies. La conclusion souligne les éléments nouveaux contribués au savoir par chaque chapitre du doctorat. / The purpose of this thesis is to verify whether at the time of the Roman Republic, the publicans were organized in a structure similar to the modern corporation. After the introduction, the second chapter introduces the corporation, the other legal structures used to organize a business and legal personality in modern law. It refutes three preconceived ideas which have influenced historians and jurists. The third chapter presents the publicans and their activities, since historians and jurists abundantly refer to those in their argumentation regarding the legal organization of publicans. It is therefore necessary to familiarize ourselves with them. A critical review of historical literature is conducted. The fourth chapter proceeds to a critical analysis of the position of the historians and the jurists on the legal organization of publicans. It starts with an explanation of the ordinary partnership in Roman law, it then discusses the evolution of legal personality in Roman law and finally, it presents the special case of the partnerships of publicans. These were apparently been different from ordinary partnerships, because they had legal personality and had a three-levels internal organization (shareholders, directors and officers). However, this point of view is based on sources which post-date the Republic by several centuries. We should therefore examine contemporary sources to verify if they lead us to the same conclusions. The fifth chapter contains an original analysis of the republican documentation. New pieces of evidence are identified. It confirms that publican partnerships had an embryo of legal personality during the last century of the Republic; however, it was also the case of ordinary partnerships. Publican partnerships did not have a three levels internal organisation; in addition; that of the ordinary partnerships included magistri like their own. The publican partnerships were similar to limited partnerships, not to corporations. The conclusion identifies the new elements contributed to knowledge by each chapter of the thesis.
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Le combat de cavalerie dans le monde romain du Ier siècle a.C. au VIe siècle p.C. / Cavalry warfare in the Roman world from the 1st century BC to the 6th century AD

Petitjean, Maxime 09 December 2017 (has links)
L’étude a pour objet le combat de cavalerie dans le monde romain du Ier siècle a.C. au VIe siècle p.C. Il s’agit d’un travail de synthèse, traitant de la doctrine d’emploi de la cavalerie aux époques impériale et proto-byzantine. Les questions organisationnelles et stratégiques sont abordées, mais la focale est surtout mise sur la tactique et la physionomie du combat. L’objectif de cette recherche est de rendre compte de l’évolution de l’art de la guerre durant la fin de l’Antiquité en analysant spécifiquement les enjeux liés au développement et à l’utilisation de la cavalerie. L’importance croissante des troupes montées dans la stratégie impériale marque en effet une rupture importante dans l’histoire de l’armée romaine. Au primat des guerres offensives, de la bataille rangée et de l’infanterie lourde succède progressivement celui de la temporisation, de la guérilla frontalière et des cavaliers-archers. Ces changements, qui n’ont jamais fait l’objet d’une analyse approfondie, sont ici situés dans le temps long de l’Antiquité romaine. Le dialogue des sources narratives, techniques, figurées et archéologiques permet de dégager un schéma évolutif cohérent, un « développement organique des formes de combat » (Hans Delbrück) que nous nous efforçons de réinscrire dans le contexte plus large de l’évolution de la culture militaire impériale, en attachant une importance particulière au rapport des Romains à la guerre et à leur perception idéale des rôles respectifs de l’infanterie et de la cavalerie. / This study is about cavalry warfare in the Roman world from the 1st century BC to the 6th century AD. It is a work of synthesis dealing with the employment doctrine of cavalry in the imperial and early Byzantine eras. Organizational and strategic issues are discussed, but the focus is mainly put on tactics and battle mechanics. The aim of this research is to account for the evolution of the art of war during the end of Antiquity by analyzing specifically the stakes involved in the development and use of cavalry. The growing importance of mounted troops in the imperial strategy marks an important change in the history of the Roman army, with a gradual shift from offensive warfare, pitched battle and heavy infantry toward deception, frontier warfare and mounted archery. These changes, which have never been the subject of a thorough analysis, are here reviewed in the overall context of Roman history. The cross-analysis of narrative, technical, iconographic and archaeological sources reveals a coherent evolutionary pattern, an "organic development of forms of combat" (Hans Delbrück), which we endeavor to reinsert in the wider context of a changing Roman military culture, attaching particular importance to the Romans' relationship to warfare and to their ideal perception of the respective roles of infantry and cavalry.
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Étude de la cargaison et du mobilier de l’épave Pointe de Pomègues 1 : un exemple de relation commerciale entre Rome et la Gaule

Laroche, Carolyne 02 1900 (has links)
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Exemples et modèles politiques : fonction critique de l'Antiquité chez Jean-Jacques Rousseau / Reassessing Rousseau's Representation of Antiquity

Champy, Flora 06 July 2018 (has links)
Si la forte présence des personnages illustres et des cités antiques dans les œuvres politiques de Jean-Jacques Rousseau a été remarquée dès leur parution, leur fonction a trop longtemps été interprétée comme celle d'exemples à imiter. L'étude des multiples sources de Rousseau nous permet de mettre en lumière la complexité de ses références à l'Antiquité. Loin de présenter les grandes figures et les cités antiques comme des exemples monolithiques que le lecteur serait invité à faire revivre ou à regretter, Rousseau construit des modèles dynamiques, afin d'établir et d'explorer les « principes du droit politique», selon les termes du sous-titre du Contrat social. A partir de l'admiration pour les grands héros de Plutarque découverts dans son enfance, cette représentation se déplace dès le Discours sur les sciences et les arts vers l'étude des cités antiques, dont la réussite politique tient à ce qu'elles ont pleinement compris et exploité l'articulation fondamentale entre anthropologie et politique. C'est donc uniquement en observant comment les institutions politiques antiques prennent en charge la formation morale de l'homme que l'on peut pleinement établir les critères de fondation d'un corps politique légitime. La pensée politique antique joue ainsi un rôle considérable dans l'établissement de la distinction fondamentale entre souveraineté (pouvoir législatif) et gouvernement (pouvoir exécutif). L'étude de ces deux parties essentielles du corps politique met en évidence que la prégnance du modèle romain, plus fort que le modèle spartiate, permet à Rousseau de penser non seulement la fondation, mais encore la durée et le devenir du cor ps politique. / This dissertation conducts a systematic examination of Jean-Jacques Rousseau 's representation of Antiquity and provides a new interpretation of its meaning. Rousseau's lifelong interest in ancient Greece and Rome has so far been interpreted mainly as a personal myth, rooted in his emotional identification with examples of civic virtue. Challenging this interpretation, I analyze Rousseau's vision of Antiquity as a carefully constructed representatio n that seeks to answer key questions of early modern political thought. As he constructs his political system, Rousseau considers ancient material through a complex web of mediations, which alter his representation of Antiquity . The admiration for great men inherited from his childhood reading of Plutarch quickly turns into the construction of dynamic political models. Rousseau draws on ancient historical examples, as weil as on Plato's and Aristotle's political philosophy, to articulate his own definition of key modern political concepts such as sovereignty and body politic. In Rousseau's view ancient cities were politically successful because they fully understood the fundamental connection between anthropology and politics, placing the moral education of the citizens at the core of political action. Studying examples of ancient cities thus becomes indispensable not only to define a truly legitimate political structure, but also to design methods and practices to make it last over ti me. In this respect, the Roman Republic, whose institutions more successfully faced the challenge of history, serves as a more significant political model than Sparta. Reassessing Rousseau's representation of Antiquity thus allows usto reevaluate the place of government in his political system.

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