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Politický boj plebejů v letech 494 až 287 př.n.l. a jeho odraz v ústavě římské republiky / A political struggle of plebeians between 494 and 287 B.C. and its reflection in the Constitution of the Roman RepublicŽůrek, Jan January 2013 (has links)
This thesis is concerned with a particularly interesting period in the history of the Roman Republic. The period is called the Struggle of the Orders. The epoch is characteristic by turbulent conflict of two social groups competing for political, economical and social rights in the ancient Roman state. The most prevalent source among others for this thesis is work by historian Titus Livius Patavinus, Ab urbe condita. The study is divided into three chapters, taking into account the different phases of the struggle. The aim of this work is to describe and analyze the critical points of the patrician-plebeian political fight and also illustrate how the struggle affected the constitution of the Roman Republic. The first chapter deals with a several problems in the early Roman Republic: public land, creation of two important plebeian magistrates - tribuni plebis and aediles plebis, oldest agrarian law, plebeian assembly, importance of the Law of the Twelve Tables and Valerian- Horatian laws. The second chapter focuses on Canuleian law, introduction of consular tribunes, case of Manlius Capitolinus and its consequences and finally describes Licinian Sextian laws. The third and final chapter of this study analyzes debt situation of that time, laws of Publilius Philo, Ovinian law, Ogulnian law and concludes with...
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The Belly and the Limbs: Reconsidering the Idea of a Plebeian “State Within the State” in the Early Roman RepublicPellam, Gregory G., Jr 16 August 2012 (has links)
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Les Valerii Messallae : histoire, mémoire et pouvoir d'une famille noble (Ier s. av. J.-C. - Ier s. ap. J.-C.) / The Valerii Messallae : history, memory and power of a noble family (first century BCE to first century CE)Landrea, Cyrielle 30 November 2013 (has links)
Les Valerii Messallae appartiennent à une des plus anciennes et prestigieuses familles de Rome, la gens Valeria. L'étude porte sur l'époque tardo-républicaine, jusqu'à la fin de la dynastie julio-Claudienne. C'est une époque essentielle, durant laquelle s'effondre le régime républicain, puis se constitue le Principat. Les Valerii ont contribué à l'émergence d'un régime politique nouveau, auquel ils ont partiellement apporté leur adhésion. La thèse envisage les définitions et les formes nouvelles que prennent les indices de l'appartenance à la nobilitas : carrière politique, culte des ancêtres, évergétisme, fabrique de l'histoire familiale, héritage politique, marqueurs de la richesse et de la supériorité sociale, patronat judiciaire, port des cognomina héroïques et ethniques, privilèges juridiques .... Il s'agit d'identifier les permanences et les ruptures dans la définition d'une triple identité (patricienne, nobiliaire et gentilice) des Messallae et comprendre comment ils ont justifié leur supériorité en remodelant leur passé et en réinventant l'histoire de leurs ancêtres. / The Valerii Messallae belong to one of the oldest and most prestigious families of Rome, the gens Valeria. The study focuses on the late-Republican era to the Julio-Claudian dynasty. This is a critical time in which the republican regime collapses and where the Principate is being formed. The thesis focuses on the definitions and new forms that take the indices belonging to the nobilitas : political career, ancestor worship, family history, political legacy, markers of wealth and social superiority, cognomina, legal privileges ... It aims to identify the permanence and ruptures in the definition of a triple identity (patrician, noble and family) of Messallae and how they justified their superiority by reshaping their past and by reinventing the history of their ancestors.
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Âge, éducation et compagnies de jeunesse à Venise, début du XVIe siècleTrottier-Gascon, Caroline 04 1900 (has links)
Ce mémoire insère les compagnie della calza dans le parcours de vie des patriciens vénitiens. Après avoir présenté une théorisation de l’âge comme système de catégorie, nous décrivons le fonctionnement des institutions encadrant l’âge dans la République vénitienne avant l’enregistrement obligatoire des naissances, qui commence en 1506. Ensuite, nous montrons comment, au même titre que l’intégration progressive aux institutions républicaines, les compagnie della calza participaient au processus d’éducation des jeunes patriciens. Nous avançons l’hypothèse que les transformations que connaît la réglementation de l’âge dans le premier tiers du XVIe siècle auraient pu contribuer à la disparition des compagnie della calza : à partir de 1531, l’ouverture du poste de Savio ai Ordini aux jeunes de vingt-ans ans aurait plutôt favorisé l’éducation des jeunes de l’élite patricienne dans les institutions républicaines, retirant une des raisons d’être des compagnies. Enfin, il présente une étude de cas consacrée à deux compagnies, les Reali et les Floridi. En retraçant les carrières politiques des anciens compagnons, nous confirmons l’idée, avancée par Robert Finlay, d’une République vénitienne gérontocratique, dominée par les patriciens les plus âgés. / This dissertation inserts the compagnie della calza within the life paths of Venetian patricians. After a theorisation of age as a system of categories, we describe how the institutions regulating age in the Venetian Republic worked before the mandatory registration of birth (starting in 1506). We then show how participation to compagnie della calza was part of the education process of young patricians, in parallel to their progressive assimilation into republican institutions. Therefore, we argue that the transformations of age regulations in the first third of the 16th-century contributed to the disappearance of the compagnie della calza : after 1531, the opening of the office of savio ai ordini to 25 year olds instead favoured the education of elite patrician youth within republican institutions, which impacted the purpose of the companies. Finally, we offer a case study of two companies, the Reali and the Floridi. By following the political careers of former members, we confirm the hypothesis put forward by Robert Finlay of a Venetian gerontocracy dominated by the oldest of patricians.
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La Romanie orientale : l'empire de Constantinople et ses avatars au Levant à l'époque des Croisades / Oriental Romania : the empire of Constantinople and his avatars in the Levant during the CrusadesBaraton, Édouard 11 June 2018 (has links)
L’empire de Constantinople, après un siècle (969-1085) de domination sur de vastes portions de l’Orient (Cilicie, Chypre, Syrie du Nord et Djézireh), et de rayonnement au-delà jusqu’à Jérusalem, dut reconstituer sa présence dans cet espace à partir de la fin du XIe siècle. L’arrivée de nouveaux acteurs chrétiens autonomes, Francs et Arméniens, compliqua l’équation politique de l’Empire, qui ne devait plus uniquement reconstruire sa domination sur ses anciens sujets, mais aussi compter avec ces forces. L’empire de Romanie vécut en Orient, parallèlement aux Croisades, une intense phase de redéfinition de sa réalité régionale, de ses modalités de fonctionnement et de son rôle politique. Cependant, cette expérience, qui se prolongea sur près de deux siècles, ne saurait se limiter à une simple projection de puissance de Constantinople sur cette périphérie. Malgré les bouleversements qui frappèrent le cœur de l’Empire de 1081 à 1289, la référence impériale se maintint en Orient sous les Comnènes, les empereurs latins et nicéens, puis sous les premiers Paléologues. Le processus ne fut durable que grâce à la redéfinition progressive de l’identité impériale locale. Ses contours varièrent par l’adjonction d’éléments hétérogènes, contribuant à complexifier l’empreinte de l’empire de Romanie en Orient. La Romanie orientale fut une solution à l’équation politique des pouvoirs locaux (la principauté d’Antioche, le comté de Tripoli et les royaumes de Chypre et d’Arménie principalement) pour réussir leur intégration régionale en la conjuguant avec un héritage impérial constantinopolitain, incluant l’Orient helléno-arabe. / The empire of Constantinople, after a century (969-1085) of domination over large part of oriental territories (Cilicia, Cyprus, North Syria and Djezireh) during which it exerted its influence over Jerusalem, had to restore its influence in this space from the end of the eleventh century. The arrival of new autonomous Christian players, Francs and Armenians, complicated the empire’s political equation, which had not just to rebuild his domination over its old subjects, but also had to allow for these forces.The empire of Romanie lived in the East, at the same time of the Crusades, an intense period of redefinition of its regional reality, of its modes of running and of its political role. However, this experience, which lasted for two centuries, can’t be confined to a simple projection of Constantinople’s powerful onto this periphery.Despite the disruptions which hit the heart of the empire, from 1081 to 1289, the imperial reference persisted in the East under the Comneni, the Latin and Nicene emperors, and under the firsts Paleologues.The process was lasting because of the gradual redefinition of regional imperial identity. Its contours were varied by the addition of heterogenic elements, which contributed to complicate the imperial mark in the East.Oriental Romania was a solution to the political equation of local authorities (Principality of Antioch, the County of Tripoli and the kingdoms of Cyprus and Armenia mainly) to succeed in their regional integration, combined with an imperial Constantinopolitan heir, including the Hellenic and Arabic East.
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