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Essays on bank intermediation in developing countries

Nketcha Nana, Pierre Valere 20 April 2018 (has links)
Cette thèse comprend trois essais sur des problèmes d’intermédiation bancaire dans les pays en développement. Le premier essai aborde la question des facteurs de l’accumulation des réserves bancaires en Afrique. La plupart des travaux antérieurs soulignent le rôle du risque de crédit. Alors que la théorie moderne de l’intermédiation financière montre que l’exposition au risque de liquidité peut inciter les banques à accumuler des actifs liquides, cette hypothèse n’a pas reçu beaucoup d’attention. Nous soutenons que les banques en Afrique sont exposées à un risque de liquidité relativement important ; ensuite, à l’ aide des données couvrant des pays africains sur la période 1994-2008, nous montrons que ce risque est en fait un facteur important de l’accumulation des réserves bancaires. Nos résultats suggèrent que le risque de liquidité réduit significativement la part des dépôts que les banques peuvent distribuer sous formes de crédits ; et par conséquent, pourrait être un facteur de la disponibilité (ou de la rareté) des financements bancaires en Afrique. Les deux autres essais de cette thèse abordent la question des déterminants de la disponibilité (ou de la rareté) des prêts bancaires dans les pays en développement. Dans le deuxième essai, nous reconsidérons le rôle du risque de crédit ; plus généralement, des institutions du marché du crédit. Spécifiquement, nous utilisons des données et des mesures plus récentes, publiées par Doing Business, pour réexaminer la question des effets sur le volume des prêts bancaires, de la protection juridique des prêteurs et des emprunteurs, ainsi que du partage des informations sur le crédit. Nos données couvrent un large échantillon de 143 pays sur la période 2006-2010. En accord avec les travaux antérieurs, les résultats de nos analyses indiquent qu’une meilleure protection juridique des prêteurs et des emprunteurs, et un plus grand partage des informations sur le crédit sont en général associés à des volumes de prêts bancaires plus importants. Nous trouvons que ces effets demeurent significatifs lorsque l’échantillon inclut uniquement les pays en développement, ou uniquement les pays pauvres. Dans le troisième essai, nous considérons le rôle du risque de liquidité et de la politique monétaire. Ces deux facteurs n’ont que très peu été considérés dans les travaux antérieurs sur les déterminants du volume des prêts bancaires dans les pays en développement. Nos analyses empiriques, à l’aide des données de panel sur 97 pays pauvres et à revenus intermédiaires, sur la période 2004-2010, montrent que le risque de liquidité et la politique monétaire affectent significativement le volume des prêts bancaires dans les pays en développement. Nous trouvons que ces effets sont très hétérogènes : les effets du risque de liquidité et de la politique monétaire, sur le volume des prêts bancaires, sont plus forts lorsque les conditions du marché du crédit sont favorables ; ces effets sont plus faibles, voire non significatifs lorsque les conditions du marché du crédit sont mauvaises. Ces résultats sont importants pour la politique économique. Car il suggèrent que, dans certains pays en développement tout au moins, notamment ceux où le risque de crédit est relativement faible, des mesures visant à réduire l’exposition des banques au risque de liquidité, et/ou à rendre la politique monétaire moins restrictive, permettraient d’accroître le volume des prêts bancaires. De telles mesures ne fonctionneraient pas dans les pays où le risque de crédit est relativement plus élevé ; dans ces pays, en effet, il est primordial de réduire le risque de crédit. / This dissertation consists of three empirical essays on issues of bank intermediation in developing countries. The first essays seeks to improve our understanding of why banks in Africa are hoarding large volume of liquid assets. Prevailing explanations of this phenomenon have focused mostly on the role of credit risk. Yet, modern models of financial intermediation show that a high exposure to liquidity risk may also prompt banks to hoard large amounts of (precautionary) liquid reserves. We argue that this risk is important in Africa; and using data over the 1994-2008 period, we provide evidence indicating that it contributes significantly to the hoarding of bank liquid assets. This evidence suggests that liquidity risk reduces the share of deposits that African banks can channel into credits, which therefore, can adversely affect the availability of bank credit. The second and the third essays focus on the issue of the determinants of the availability of bank credit, or the lack thereof, in developing countries. In the second essay, we (re-)consider the role of credit risk, or more generally, of credit market institutions. Specifically, we use new data and improved measures from Doing Business, to reexamine the issue of the relationships between creditor rights protection and credit information sharing on one hand, and bank credit on the other hand. The data covers a large sample of 143 countries and are taken in averages over the period 2006-2010. Our results indicate the robustness of earlier evidence that both stronger creditor rights protection and better credit information sharing are associated with greater availability of bank credit. We find that these effects are significant even when the sample is restricted to include either developing countries only or poor countries only. In the third essay we consider the role of liquidity risk and monetary policy. These two factors have not received much attention in previous empirical studies on the determinants of bank credit in developing countries. Using a panel dataset which covers 97 lowand middle-income countries over the 2004-2010 period, we show that liquidity risk and monetary policy are actually important determinants of the availability of bank credit in developing countries. We find important heterogeneity in the results: both liquidity risk and monetary policy have greater effects on bank credit in economies with better credit market conditions, but much smaller and even not statistically significant effects in economies with poor credit market conditions. This result is important because it suggests that, at least in some developing countries, those with a relatively low level of credit risk, reducing the exposure of banks to liquidity risk, and/or implementing a less restrictive monetary policy, are effective channels through which the availability of bank credit could be enhanced. For countries with a relatively high level of credit risk, such channels would be ineffective; in these countries, reducing credit risk is of first order importance to stimulate bank lending.
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L'influence des dimensions des soins de santé primaires (SSP) sur les résultats des programmes de santé : cas de la participation habilitante ou empowerment

Kaluma, Katembo 16 April 2018 (has links)
Tout au long de cette étude, notre préoccupation a été celle de cerner le degré avec lequel les trois dimensions des soins de santé primaires (SSP) telles que définies à Alma-Ata (la participation communautaire, la globalité et la structure sanitaire) influencent les résultats des programmes de santé. Pour y parvenir, nous avons conçu un devis de recherche essentiellement qualitatif, en triangulation avec des méthodes quantitatives. Le cadre opératoire a été celui d'une étude des cas multiples imbriqués, avec une population de huit sous-localités. Seules quatre d'entre elles ont été retenues, deux ayant eu des meilleurs résultats de santé et les deux autres, des faibles. Au terme de notre analyse, l'étude a révélé que les meilleurs résultats de santé sont associés positivement à la participation communautaire habilitante et négativement à la participation communautaire instrumentale. De même, ils sont négativement associés à la présence de la globalité des soins et de la structure sanitaire et positivement à leur absence. En plus, la présence simultanée de la globalité et de la structure sanitaire est positivement associée à la participation instrumentale et négativement à la participation habilitante. En définitive, il y a un paradoxe. Le fondement de ce paradoxe est la capacité des sous-localités appliquant la participation communautaire habilitante de s'organiser pour suppléer à la carence d'un système de santé formel fondé sur les SSP. Il en résulte de meilleurs résultats de santé, même en l'absence d'une globalité et d'une structure sanitaire formelles, mais toutefois inefficaces. Il nous paraît donc évident que c'est la participation communautaire habilitante qui est le seul déterminant et, plus que cela, qu'elle est une condition indispensable et suffisante pour obtenir de meilleurs résultats. En définitive, il en ressort que lorsqu'une organisation non gouvernementale (ONG) ou un gouvernement utilise les membres d'une communauté uniquement à des fins instrumentales, elle aura des difficultés à produire de meilleurs résultats de santé.
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Délocalisation des activités de services : une approche théorique et empirique : une application aux pays en voie de développement / The service offshoring phenomenon : a theoretical approach and empirical : an application to the countries development

Chatmi, Arbia 14 January 2012 (has links)
Le phénomène de délocalisation des services est de plus en plus prégnant avec le développement des technologies d'information et de communication. Mais aussi avec l'avènement de la modularisation au sein du processus de production. Ce phénomène consiste à transférer la réalisation d'un ou de plusieurs modules d'une activité de service du pays d'origine vers un autre pays hôte. Le choix de délocaliser vers un pays d'accueil signifie que ce dernier présente de meilleurs caractéristiques pays pour le service à produire. En outre, les destinations retenues dépendent du type de service à délocaliser. Deux aspects à savoir l'intensité en connaissance et le degré de désintégration définissent le type de service. Les pays en voie de développement renforcent les caractéristiques pays afin d'améliorer leur capacité d'accueil. Ce sont les caractéristiques pays essentiels à l'accueil de services et les caractéristiques pays indispensables pour certains types de service. Les caractéristiques pays essentiels à l'accueil de services sont ceux que les pays en voie de développement doivent présenter pour être plus avantageuses que les pays de départ. Quant aux caractéristiques pays indispensables pour certains types de service, il s'agit des caractéristiques pays qui assurent la primauté sur certains services selon leurs spécificités. D'où notre interrogation sur le potentiel de délocalisation de chaque activité de service en fonction des spécificités. Nous essayons également de déterminer la destination appropriée pour chaque type de service tout en se concentrant sur la concordance entre ces spécificités de services et les caractéristiques des pays d'accueil. / The service offshoring phenomenon is significant, supported by the development of information and communication technologies. But also with the advent of modularization in the production process. This phenomenon consists in the transfer of the realization of one or more modules of a service activity from the country of origin to the host country. Choosing a host country means that this country shows the best country characteristics for the production of the service. Two aspects which are the knowledge intensity and the disintegration degree define the service type. So, the destinations retained depend on the type of the service to offshore. The developing countries strengthen their country characteristics in order to improve their host capacity. These are the crucial country characteristics to receive services and the essential country characteristics for certain type of services. The crucial country characteristics are those that the developing countries should have to be more profitable than the countries of origin. Concerning the essential country characteristics for different type of services, it suggests that some country characteristics advantage certain services depending on their features. That is why our argument is on the offshoring potential of each service activity based on their features. We also try to determine the suited destination for each service type by taking into account the link between the service features and the host country characteristics.
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Organisational system and performance of post-disaster reconstruction projects

Lizarralde, Gonzalo January 2004 (has links)
No description available.
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La Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore menacées d'extinction (CITES) : vers la conservation des espèces menacées dans une perspective de développement durable?

Bacon-Dussault, Malaïka 01 December 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 27 novembre 2023) / Le 3 mars 2023, la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore menacées d'extinction (CITES) fêtait son 50ᵉ anniversaire. Elle a été adoptée au début des années 1970, alors que se développaient les théories en matière de protection de l'environnement d'une part et de développement économique d'autre part. Malgré l'importance du commerce des espèces sauvages pour certains peuples autochtones et communautés locales, les préoccupations économiques n'ont pas été prises en compte dans l'élaboration du texte de la Convention. En effet, la CITES réglemente le commerce des espèces menacées d'extinction en les inscrivant à l'une de trois Annexes : les espèces inscrites à l'Annexe I ne peuvent pas être commercialisées pour des fins commerciales, alors que celles inscrites à l'Annexe II et à l'Annexe III peuvent l'être avec la présentation d'un permis. Ce mécanisme par annexe - et la réglementation par permis - fait écho aux conventions internationales portant sur la faune et la flore africaines qui avaient été adoptées au début du XXᵉ siècle par les anciens pays colonisateurs pour protéger les espèces dans les colonies. Dès la mise en œuvre de la Convention, les pays en développement se sont vus désavantagés. En effet, un nombre important d'espèces à haute valeur commerciale ont été inscrites à l'Annexe I, interdisant ainsi toute transaction commerciale. À la CoP1 (1976), les États parties se sont penchés sur des critères pour amender les Annexes, adoptant une approche prudente basée sur les données biologiques et commerciales. Malgré les tentatives de mettre en place des mesures de conciliation pour permettre le commerce de certaines espèces sous condition, le nombre d'espèces inscrites à l'Annexe I a continué d'augmenter, limitant ainsi les revenus que pouvaient tirer les peuples autochtones et les communautés locales du commerce de ces espèces. Avec l'avènement du développement durable au début des années 1990, les discussions aux Conférences des Parties ont porté sur l'utilisation durable et l'importance économique des espèces pour certains peuples autochtones et communautés locales. Ces discussions ont mené aux modifications des critères d'amendement des Annexes pour prendre en compte - en partie - le point de vue des pays en développement en matière de développement économique. Ces critères ont mené à un nombre moins important d'inscriptions à l'Annexe I, mais ont perpétué l'importance des données scientifiques et commerciales pour l'inscription d'une espèce, écartant ainsi toute prise en compte des répercussions économiques sur les peuples autochtones et les communautés locales. Compte tenu de ces désavantages économiques, plusieurs États ont tenté d'incorporer l'utilisation durable des espèces sauvages et les moyens d'existence des peuples autochtones et des communautés locales au sein des critères d'amendement des Annexes I et II de la CITES. Or, ces requêtes découlent entre autres du fait que la CITES ne prévoit pas de mécanisme de financement officiel pour aider les pays en développement à mettre en œuvre la Convention. En effet, bien que ce soit le Secrétariat qui gère les fonds reçus, les projets subventionnés dépendent de la volonté des donateurs - pays occidentaux et organisations non gouvernementales - qui accordent des fonds pour des projets spécifiques. Au cours des dernières années, ces fonds ont été alloués principalement à la lutte contre le commerce illégal. Aucune compensation n'a été versée aux peuples autochtones ou aux communautés locales pour la perte de revenus associés à une réglementation accrue du commerce des espèces sauvages ou pour leur permettre de développer de nouveaux moyens d'existence. Dans ce contexte, les dernières discussions à la CITES ont porté sur un mécanisme de participation pour les peuples autochtones et les communautés locales. Malgré les déclarations internationales sur l'importance de cette participation, les États parties à la CITES n'ont pas accepté de formaliser de processus, préférant s'en remettre aux mécanismes existants, c'est-à-dire la consultation nationale en amont des Conférences des Parties, l'inclusion de représentants des peuples autochtones et communautés locales au sein des délégations étatiques ou leur participation en tant qu'observateurs. Encore une fois, ces mécanismes ne sont pas à l'avantage des pays en développement, qui ne possèdent pas les ressources humaines et financières pour mener ce genre de consultation de grande envergure. De plus, des changements aux documents constitutifs de la CITES devraient être adoptés pour réellement permettre aux représentants de peuples autochtones et communautés locales de participer pleinement aux processus décisionnels de la CITES. Malgré ses décennies, la CITES est toujours une convention qui perpétue la vision occidentale en matière de conservation des espèces. Alors que plusieurs instruments internationaux adoptés dans les années 1990 ont incorporé des mécanismes financiers et de participation des peuples autochtones et des communautés locales, les États Parties à la CITES ont refusé - et continuent de refuser - de prendre en compte de manière officielle leurs préoccupations dans le processus d'inscription des espèces aux Annexes. Alors que le commerce illégal d'espèces sauvages est à son plus fort et que celles-ci continuent à décliner à vue d'œil - malgré l'adoption de mesures restrictives des dernières décennies, il est primordial d'impliquer les peuples autochtones et les communautés locales dans le processus décisionnel en matière de conservation et de réglementation du commerce international des espèces de faune et de flore menacées d'extinction. / On March 3, 2023, the Convention on International Trade in Endangered Species of Wild Fauna and Flora (CITES) celebrated its 50ᵗʰ anniversary. It was adopted in the early 1970s at a time when theories of environmental protection on the one hand and economic development on the other were evolving. Despite the importance of wildlife trade to some indigenous peoples and local communities, economic concerns are not reflected in the text of the Convention. Indeed, CITES regulates trade in endangered species by listing them in one of three Appendices: species listed in Appendix I cannot be traded for commercial purposes, while those listed in Appendix II and III can be traded with the presentation of a permit. This appendix mechanism - and the regulation by permit - echoes the international conventions on African fauna and flora that were adopted in the early 20ᵗʰ century by former colonial countries to protect species in their colonies. Once the Convention was implemented, developing countries were at a disadvantage. Indeed, a significant number of species of high commercial value were listed in Appendix I, thus prohibiting any commercial transactions. At CoP1 (1976), State Parties discussed criteria for amending the Appendices, taking a cautious approach based on biological and trade data. Despite attempts to put in place conciliatory measures to allow trade in some species under conditions, the number of species listed in Appendix I continued to increase, limiting the income that indigenous peoples and local communities could earn from trade in these species. With the advent of sustainable development in the early 1990s, discussions at the Conferences of the Parties focused on the sustainable use and economic importance of species to some indigenous peoples and local communities. These amended criteria led to fewer listings in Appendix I but perpetuated the importance of scientific and commercial data for listing a species, thereby discounting any consideration of economic impacts on indigenous peoples and local communities. Considering these economic disadvantages, several States have attempted to incorporate the sustainable use of wildlife and the livelihoods of indigenous peoples and local communities into the criteria for amendment of Appendices I and II of CITES. These requests arise from the fact that CITES does not provide a formal financial mechanism. Although the Secretariat manages the funds received, the projects funded depend on the willingness of donors - Western countries and non-governmental organizations - to provide funds for specific projects. In recent years, these funds have been allocated mainly to the fight against illegal trade. No compensation has been paid to indigenous peoples or local communities for the implementation of the Convention or the loss of income associated with increased regulation of the wildlife trade or to enable them to develop new livelihoods. In this context, recent discussions at CITES have focused on a participatory mechanism for indigenous peoples and local communities. Despite international statements on the importance of this participation, CITES Parties have not agreed to formalize a process, preferring to rely on existing mechanisms, i.e., national consultation prior to Conferences of the Parties, inclusion of indigenous peoples' and local communities' representatives in state delegations or their participation as observers. Once again, these mechanisms are not to the advantage of developing countries, which do not have the human and financial resources to carry out this type of large-scale consultation or to include representatives in delegations. In addition, changes to the CITES governing documents should be adopted to truly enable representatives of indigenous peoples and local communities to fully participate in CITES decision-making processes. Despite its decades, CITES is still a convention that perpetuates the Western vision of species conservation. While many of the instruments adopted at the international level in the 1990s incorporated financial and participatory mechanisms for indigenous peoples and local communities, CITES Parties have refused - and continue to refuse - to take their concerns into account in the listing process. At a time when the illegal trade in wildlife is at its peak and species continue to decline dramatically - despite the adoption of restrictive measures over the past few decades - it is critical to involve indigenous peoples and local communities in the decision-making process for the conservation and regulation of international trade in endangered species of fauna and flora.
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Essays on foreign capital flows, credit cycles and economic development

Bationo, François D'Assises Babou 09 November 2022 (has links)
Cette thèse est composée de trois articles qui traitent de problématiques en relation avec l'intégration financière en finance internationale. Le premier chapitre intitulé Private capital flows and productivity in Sub-Saharan Africa : Does the capital allocation puzzle matter?, examine la problématique des flux de capitaux et leur contribution à la productivité et à la croissance économique. Nous investiguons si l'allocation des flux de capitaux privés étrangers à travers des secteurs économiques hétérogènes permet d'expliquer l'énigme d'allocation des flux de capitaux en finance internationale. Nous trouvons que les effets des flux des capitaux privés étrangers sur la productivité et la croissance économique dépendent du secteur économique destinataire de ces flux et que l'énigme d'allocation des flux de capitaux en finance internationale est une énigme sectorielle des flux de capitaux. Le deuxième chapitre intitulé The direct and indirect transmission of global credit market shocks to credit cycles in developing economies, examine la transmission des chocs financiers entre pays à travers l'activité des banques transfrontalières. Nous montrons que les chocs de crédits des marchés financiers développés sont transmis directement aux cycles de crédit des pays en développement par l'activité des banques transfrontalières. Nous trouvons également que le cycle des prix des matières premières constitue le principal canal de transmission des chocs de crédit des marchés financiers développés aux cycles de crédit des pays en développement à travers les flux de capitaux bancaires transfrontaliers. Nous trouvons enfin que la régulation macroprudentielle peut aider à réduire l'instabilité financière qui provient de ces f lux de capitaux bancaires transfrontaliers. Le troisième chapitre intitulé Essay on optimal credit development, examine la possible existence d'une région optimale d'allocation de crédit au regard de la littérature sur le développement financier et la stabilité financière. Nos résultats montrent qu'il existe quatre régimes de développement de crédit. Nos résultats indiquent également qu'il existe une région optimale de développement de crédit où tout développement de crédit aide à promouvoir la croissance économique. Nous examinons également le rôle des flux de capitaux étrangers dans ce cadre. Nous trouvons que les effets des flux de capitaux dépendent du type de flux de capitaux, du régime de développement de crédit et du niveau de développement économique. / This thesis consists of three articles that address issues related to international financial integration in international finance. The first chapter, Private capital flows and productivity in Sub-Saharan Africa: Does the capital allocation puzzle matter?, examines the issue of foreign capital flows and their contribution to productivity and economic growth. We investigate whether the allocation of foreign private capital flows across different heterogeneous economic sectors helps explain the capital allocation puzzle in international finance. We find that the effects of foreign private capital flows on productivity and economic growth depend on the economic sector to which the flows are directed and that the capital flow allocation puzzle in international finance is a sectoral capital allocation puzzle. The second chapter, The direct and indirect transmission of global credit market shocks to credit cycles in developing economies, examines the transmission of financial shocks between countries through the activity of cross-border banks. We show that credit shocks from developed financial markets are transmitted directly to developing countries' credit cycles through cross-border banking activity. We find that the commodity price cycle is the main channel of transmission of credit shocks from developed financial markets to developing countries' credit cycles through cross-border banking capital flows. Finally, we find that macroprudential regulation helps reduce the financial instability that stems from cross-border banking capital f lows. The third chapter, Essay on optimal credit development, examines the possible existence of an optimal credit development region regarding the financial development and financial stability literatures. We show that there are four regimes of credit development. We show that there is an optimal credit development region where any credit development helps promote economic growth. We also examine the role of foreign capital flows in this framework. We find that the effects of foreign capital flows depend on the type of foreign capital flows, the credit development regime, and the level of economic development.
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Sécurité alimentaire dans les pays en développement et émergents : une analyse des effets des politiques

Tohon, Bignon Aurelas January 2021 (has links)
L'objectif de cette thèse est d'explorer l'impact des politiques commerciales et de soutien à l'agriculture sur la sécurité alimentaire. Elle s'intéresse plus particulièrement aux pays en développement et émergents en tenant compte de l'importance du secteur agricole dans ces pays. Les politiques commerciales et de soutien à l'agriculture y sont généralement très variées et cette variété pourrait se traduire en des résultats en termes de sécurité alimentaire. Nous voulons savoir si et dans quelle mesure la variabilité temporelle des politiques sus-indiquées affecterait les disponibilités alimentaires ou la dépendance aux importations alimentaires. Pour cela, nous utilisons la littérature théorique et empirique et, testons les modèles d'analyse empirique. Dans le chapitre 1, nous passons en revue le concept de sécurité alimentaire et ses instruments de mesure. Si plusieurs définitions sont proposées pour la sécurité alimentaire, l'idée dans ce chapitre est d'identifier les instruments simples sur lesquels l'action politique nationale et internationale pourrait se concentrer pour la fixation d'objectifs en termes de sécurité alimentaire dans les pays en développement. Notre analyse suggère une pluralité d'instruments, évoluant selon les angles ou dimensions d'analyse de la sécurité alimentaire. Parmi eux, nous distinguons les mesures des disponibilités alimentaires ou encore, celles de dépendance aux importations de produits alimentaires que nous empruntons comme mesures ou indicateurs de sécurité alimentaire dans le cadre de ce travail. Dans le chapitre 2, nous avons fait une revue de la littérature sur, d'une part, la relation entre les politiques commerciales et les dimensions de la sécurité alimentaire, d'autre part, entre les mesures de soutien à l'agriculture et les dimensions et/ou indicateurs de la sécurité alimentaire. Si dans le premier cas, nous avons conclu à l'importance de la production agricole dans l'analyse d'une telle relation, nous avons constaté, dans le second cas, qu'étant donné la variété des mesures de soutien à l'agriculture, la complexité dans le calcul d'un indicateur unique de soutien à l'agriculture et, le classement qui est fait des mesures en ce qui concerne des distorsions qu'elles pourraient créer, leur effet sur la sécurité alimentaire serait variable. Ces différents développements ont permis de proposer différents canaux par lesquels ces deux types de politiques affecteraient la sécurité alimentaire. Dans le chapitre 3, nous avons testé empiriquement, sur la base d'une approche de modélisation en plusieurs étapes, l'impact du dégré d'ouverture commerciale sur les disponibilités alimentaires. Nos résultats révèlent que l'ouverture commerciale et la production ont un effet positif sur ces dernières. Cependant, l'effet de l'interaction entre ces deux variables est non significatif. Si nos résultats confirment également l'importance des facteurs de production agricole, des niveaux de production des autres secteurs de l'économie et, de la volatilité des prix aux producteurs dans les résultats de production agricole, ils révèlent également, outre les facteurs traditionnels, le rôle des libertés économiques dans les décisions d'ouverture commerciale. Enfin, dans le chapitre 4, nous avons testé empiriquement, en utilisant un modèle de traitement continu et l'estimation d'une fonction dose-réponse avec endogénéïté, l'impact des mesures de soutien à l'agriculture sur la dépendance aux importations alimentaires des pays en développement et émergents. Nos résultats suggèrent des effets variables qui dépendraient de l'intensité de soutien à l'agriculture. Nos résultats confirment aussi le rôle des dépenses de consommation, de la taille de la population et des niveaux de production agricole dans les importations de produits alimentaires au profit de ces pays. / The objective of this thesis is to explore the impact of trade and agricultural support policies on food security. It focuses on developing and emerging countries, taking into account the importance of the agricultural sector in these countries. Trade and agricultural support policies in these countries tend to be quite varied and this variety could translate into food security outcomes. We are interested in whether and to what extent the temporal variability of the above policies would affect food availability or food import dependence. To do so, we use theoretical and empirical literature and test models of empirical analysis. In Chapter 1, we review the concept of food security and its measurement tools. While several definitions of food security are proposed, the idea in this chapter is to identify simple instruments on which national and international policy action could focus for setting food security objectives in developing countries. Our analysis suggests a plurality of instruments, evolving according to the angles or dimensions of analysis of food security. Among them, we distinguish between measures of food availability and measures of dependence on food imports, which we use as measures or indicators of food security in this work. In Chapter 2, we reviewed the literature on the relationship between trade policies and the dimensions of food security on the one hand, and between agricultural support measures and the dimensions and/or indicators of food security on the other. While in the first case we concluded that agricultural production is important in the analysis of such a relationship, in the second case we found that, given the variety of agricultural support measures, the complexity of calculating a single agricultural support indicator and the classification of measures with regard to the distortions they could create, their effect on food security would vary. These different developments have made it possible to propose different channels through which these two types of policies would affect food security. In Chapter 3, we empirically tested the impact of trade openness on food availability using a multi-stage modeling approach. Our results show that trade openness and production have a positive effect on food availability. However, the effect of the interaction between these two variables is not significant. While our results also confirm the importance of agricultural inputs, output levels in other sectors of the economy, and producer price volatility in agricultural production outcomes, they also reveal, in addition to traditional factors, the role of economic freedoms in trade openness decisions. Finally, in Chapter 4, we empirically tested the impact of agricultural support measures on food import dependence in developing and emerging countries using a continuous treatment model and the estimation of a dose-response function with endogeneity. Our results suggest variable effects depending on the intensity of agricultural support. Our results also confirm the role of consumer spending, population size and agricultural production levels in food imports to these countries.
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Essays on foreign capital flows, credit cycles and economic development

Bationo, François D'Assises Babou 09 November 2022 (has links)
Cette thèse est composée de trois articles qui traitent de problématiques en relation avec l'intégration financière en finance internationale. Le premier chapitre intitulé Private capital flows and productivity in Sub-Saharan Africa : Does the capital allocation puzzle matter?, examine la problématique des flux de capitaux et leur contribution à la productivité et à la croissance économique. Nous investiguons si l'allocation des flux de capitaux privés étrangers à travers des secteurs économiques hétérogènes permet d'expliquer l'énigme d'allocation des flux de capitaux en finance internationale. Nous trouvons que les effets des flux des capitaux privés étrangers sur la productivité et la croissance économique dépendent du secteur économique destinataire de ces flux et que l'énigme d'allocation des flux de capitaux en finance internationale est une énigme sectorielle des flux de capitaux. Le deuxième chapitre intitulé The direct and indirect transmission of global credit market shocks to credit cycles in developing economies, examine la transmission des chocs financiers entre pays à travers l'activité des banques transfrontalières. Nous montrons que les chocs de crédits des marchés financiers développés sont transmis directement aux cycles de crédit des pays en développement par l'activité des banques transfrontalières. Nous trouvons également que le cycle des prix des matières premières constitue le principal canal de transmission des chocs de crédit des marchés financiers développés aux cycles de crédit des pays en développement à travers les flux de capitaux bancaires transfrontaliers. Nous trouvons enfin que la régulation macroprudentielle peut aider à réduire l'instabilité financière qui provient de ces f lux de capitaux bancaires transfrontaliers. Le troisième chapitre intitulé Essay on optimal credit development, examine la possible existence d'une région optimale d'allocation de crédit au regard de la littérature sur le développement financier et la stabilité financière. Nos résultats montrent qu'il existe quatre régimes de développement de crédit. Nos résultats indiquent également qu'il existe une région optimale de développement de crédit où tout développement de crédit aide à promouvoir la croissance économique. Nous examinons également le rôle des flux de capitaux étrangers dans ce cadre. Nous trouvons que les effets des flux de capitaux dépendent du type de flux de capitaux, du régime de développement de crédit et du niveau de développement économique. / This thesis consists of three articles that address issues related to international financial integration in international finance. The first chapter, Private capital flows and productivity in Sub-Saharan Africa: Does the capital allocation puzzle matter?, examines the issue of foreign capital flows and their contribution to productivity and economic growth. We investigate whether the allocation of foreign private capital flows across different heterogeneous economic sectors helps explain the capital allocation puzzle in international finance. We find that the effects of foreign private capital flows on productivity and economic growth depend on the economic sector to which the flows are directed and that the capital flow allocation puzzle in international finance is a sectoral capital allocation puzzle. The second chapter, The direct and indirect transmission of global credit market shocks to credit cycles in developing economies, examines the transmission of financial shocks between countries through the activity of cross-border banks. We show that credit shocks from developed financial markets are transmitted directly to developing countries' credit cycles through cross-border banking activity. We find that the commodity price cycle is the main channel of transmission of credit shocks from developed financial markets to developing countries' credit cycles through cross-border banking capital flows. Finally, we find that macroprudential regulation helps reduce the financial instability that stems from cross-border banking capital f lows. The third chapter, Essay on optimal credit development, examines the possible existence of an optimal credit development region regarding the financial development and financial stability literatures. We show that there are four regimes of credit development. We show that there is an optimal credit development region where any credit development helps promote economic growth. We also examine the role of foreign capital flows in this framework. We find that the effects of foreign capital flows depend on the type of foreign capital flows, the credit development regime, and the level of economic development.
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Mondialisation et libéralisation financière : endettement et crises dans les pays émergents d'Asie. Le cas de la Thaïlande, la Corée du Sud, l'Indonésie et la Malaisie / Globalization and financial liberalization : indebtedness and crises in the Asian emerging countries. The case of Thailand, South Korea, Indonesia and Malaysia

Saliba, Nada 24 September 2009 (has links)
Les effets entraînés par la mondialisation ont affecté tous les pays, notamment les pays en voie de développement. La libéralisation financière rapide des PED sans mise en place d’une règlementation cohérente et d’une supervision bancaire adéquate, a été une cause importante des crises financières observées dans les économies émergentes au cours des trois dernières décennies. D’abord, nous analysons l’impact de la globalisation financière sur la croissance dans les pays en développement, leur degré d’intégration et sa répercussion sur la croissance et la volatilité macroéconomique des PED. Dans la deuxième partie nous étudions la crise asiatique de 1997 et nous analysons les facteurs explicatifs de l’augmentation de l’endettement et spécifiquement de la dette publique dans les pays asiatiques. Bien que chacun des pays asiatiques ait eu une structure économique différente et, par conséquent, ait pris différentes mesures économiques pour faire face à la crise, l'un des facteurs communs était la dépréciation de la monnaie et l’effondrement des marchés boursiers. Enfin, nous pouvons constater que les réformes ont apporté des améliorations significatives mais il se peut qu’elles ne parviennent pas à protéger les économies de la région contre un choc extérieur futur. / Globalization has an impact on all countries, especially on developing countries which liberalised their financial markets without implementing a prudential regulation and adequate supervision. In this context, weak prudential regulation and institutions created substantial vulnerabilities in various developing countries, which was a major cause of observed financial crises in emerging economies over the past three decades. At first, we analyze the impact of financial globalization on growth in developing countries, their degree of integration and its impact on growth and macroeconomic volatility in these countries. In the second part of this text, we discuss the Asian crisis of 1997 and analyze the factors explaining the increase of indebtedness, specifically the public debt in the Asian countries, and the measures taken by the different countries to overcome the crisis. Although each of the Asian countries had a different economic structure and, therefore, had taken various economic measures to cope with the crisis, they had one common factor: the depreciation of the currencies and the collapse of the stock exchange markets. Therefore, we can acknowledge that the reforms were led successfully, but they may fail to protect the economies of the region against a future external shock.
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Enterprise resource planning post-implementation assimilation challenge : an integrative framework for a better post-implementation assimilation

Kouki, Rafa 16 April 2018 (has links)
Cette étude s'inscrit dans la recherche émergente sur la post-implémentation des TI et vise à contribuer à la discussion sur l'impact des facteurs contextuels sur le niveau d'assimilation des technologies complexes telles que les systèmes ERP. Compte tenu de la rareté des recherches, cette étude vise aussi à enrichir ce champ de recherche qui a été considérablement négligé lors de l'examen des initiatives d'ERP d'entreprises dans un pays en développement. Comme la plus-value d'une TI ne peut être réalisée que lorsque le système est véritablement assimilé dans l'organisation, cette recherche examine les facteurs qui entraînent des niveaux d'assimilation variés entre les entreprises malgré leur utilisation d'une technologie de base similaire. En adoptant une méthodologie de recherche qualitative recourant à une approche de cas multiples, on explore les déterminants de l'assimilation efficace de l'ERP et ses défis ultérieurs. En outre, on développe un modèle intégrateur qui décrit les relations entre les facteurs identités. L'analyse des données a révélé un ensemble de facteurs organisationnels, technologiques et environnementaux ayant un impact direct et indirect sur l'assimilation de l'ERP. Cela est surtout vrai pour le soutien de la haute direction, ses stratégies, ses interventions et ses perceptions, qui se sont avérés les facteurs sous-jacents influant directement et indirectement sur le processus d'assimilation dans une entreprise. De même, les différences entre les deux groupes d'entreprises sont liées plus à leur contexte organisationnel qu'aux différences culturelles. Ces résultats sont communs pour toutes les entreprises étudiées dans les deux contextes. Fondé sur les résultats de l'analyse, un modèle intégrateur est suggéré dans le but de décrire les relations entre les différents facteurs. Ainsi, cette étude offre une feuille de route structurée pour mieux comprendre l'assimilation et met en relief plusieurs problèmes critiques et des déterminants cruciaux qui devraient être attentivement gérés et minutieusement .considérés afin de réaliser une valeur ajoutée importante de l'ERP.

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