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La société mondiale comme problème dans la philosophie politique d'Éric Weil

Kouakou, Amoa 25 April 2018 (has links)
Dans Sept études sur Eric Weil, Gilbert Kirscher et Jean Quillien considèrent l'oeuvre philosophique d'Eric Weil comme "l'une des plus importantes de la seconde moitié du XXe siècle ". Très pénétré par les grandes philosophies du passé, celles d'Aristote, de Kant et de Hegel, Eric Weil les a en effet repensées en fonction des problèmes contemporains. Ainsi les thèmes de la violence, de la société et de l'Etat sont-ils repris en profondeur et de façon systématique. Cette thèse se propose de faire de ces thèmes une présentation d'ensemble. Une première distinction s'impose entre la société moderne et l'Etat. Toute société est "essentiellement en lutte avec la nature extérieure" et, par conséquent, est une communauté de travail. En plus de posséder ce caractère, la société moderne est moderne parce qu'elle se connaît comme société: elle se veut rationnelle, tournée vers l'efficacité et est inévitablement "calculatrice, matérialiste et mécaniste". En principe, la société moderne est mondiale car les modes de production, de distribution et de maîtrise de la nature ainsi que l'économie sont partout identiques, l'individu dans cette société trouve sa sécurité mais non le sens de son existence. Il est déchiré. De plus la société moderne s'oppose radicalement à l'Etat. Celui-ci est l'organisation d'une communauté historique. Il présente deux aspects. L'Etat moderne est absorbé par des conflit s avec les autres États ou tout au moins engagé dans une compétition qui l'oblige à exiger des citoyens une loyauté totale. A ce point de vue, l'Etat est agressif et autoritaire. Mais il est aussi comme Etat le lieu de l'amitié et, selon l'enseignement des Anciens, celui de la vertu. Ce second aspect est complètement annulé par le premier. La perspective d'institutions mondiales qui prolongeraient la société moderne pourrait cependant, selon Eric Weil, permettre à l'Etat d'assumer son rôle véritable : éduquer à l'universel concret et rendre possible la vie sensée. L'Etat redeviendrait ce qu'était la cité grecque. Seul le point de vue autarcique aurait été abandonné. La société mondiale comporte certes des risques, mais la liberté recherchée justifie qu'on accepte ces risques.
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La pensée politique d'Albert Camus

Mabley, Bruce 27 November 2024 (has links)
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Le double passage de la société à l'État et de l'État à la société (mondiale) dans la philosophie politique d'Éric Weil

Kouakou, Amoa 25 April 2018 (has links)
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La pensée politique d'Emmanuel Mounier : la communauté internationale

Bachoc, Raymond. 16 December 2024 (has links)
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Vita industria : une socio-histoire des origines intellectuelles de l'écologie politique

Chaunu, Simon 25 March 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 7 août 2023) / Cette thèse propose d'explorer un courant d'idée informel et marginal du XXᵉ siècle qui, selon son hypothèse de départ, aurait assuré la transition entre les premières contestations contre la révolution industrielle et certains mouvements environnementalistes contemporains. Ce courant peut ainsi se caractériser comme une écologie politique révolutionnaire, se fondant sur une critique radicale de la civilisation industrielle et de son facteur principal, la technique moderne. Le but de cette étude est d'en évaluer la cohérence et la pertinence : a-t-on affaire à un ensemble dispersé d'idées et d'auteurs, ou bien à un diagnostic commun ? Est-ce que ces idées ont toujours un intérêt face à la crise écologique actuelle ? Un certain nombre d'intellectuels peuvent être rattachés à cette perspective technocritique ; néanmoins, cette étude se concentre sur les œuvres de quatre d'entre eux : l'urbaniste américain Lewis Mumford (1895-1990), le philosophe allemand Günther Anders (1902-1992), le sociologue français Jacques Ellul (1912-1994) et l'historien nomade Ivan Illich (1926-2002). Dans un premier temps, ce travail présente la méthode qui a guidé l'étude de ces textes : une socio-histoire des idées qui emprunte tout autant à la discipline historique qu'à la discipline sociologique. Les enjeux de l'étude des pensées environnementalistes et écologistes sont également exposés, afin de souligner les spécificités de cet objet de recherche. Ce qui amène à la formulation de la problématique de cette thèse : ce courant d'idées écologiste peut-il être défini comme un langage, au sens que l'histoire des idées politiques donne à ce concept ? La principale assertion de cette étude est qu'il doit plutôt être compris comme une matrice intellectuelle, un ensemble cohérent de leitmotivs visant la connaissance social-historique, et pouvant servir de base à des langages davantage tournés vers l'action politique. Ce qui contraste avec les polémiques romantiques contre le machinisme au XIXᵉ siècle, qui exprimaient une sensibilité anti-industrielle plus diffuse. Par la suite, les cinq principaux chapitres de cette étude fournissent un contre-récit du XXᵉ siècle, à travers la lecture profonde des textes des auteurs retenus. Ce récit débute avec l'examen des ouvrages pionniers de Lewis Mumford durant l'entre-deux-guerres. À la suite à la Grande Guerre, celui-ci chercha à édifier une perspective alternative à la fois au libéralisme, au conservatisme et au marxisme. En parallèle, il se lança dans une étude historique de fond de ce qu'il nommait « l'Âge de la Machine », et en tira une critique de la civilisation de la puissance. Après la Seconde Guerre mondiale et les bombardements nucléaires d'Hiroshima et de Nagasaki, Günther Anders et Jacques Ellul élaborèrent, de manière convergente, un diagnostic critique de la société technicienne et conformiste de l'après-guerre. Ils décrivirent le type d'individu qu'elle produit, un homme médial ayant perdu le contrôle sur les techniques qu'il a lâché dans son monde - qui ne serait alors justement plus le sien. De plus, ils s'interrogèrent sur la possibilité d'une extinction de l'humanité, avant tout par un ultime conflit atomique. Mumford, Anders et Ellul réitérèrent leurs analyses dans les années 1960 et 1970, alors que l'Occident était marqué par une vague multiforme de contestations et de révoltes. Prenant leurs distances face à ces mouvements, ces trois intellectuels estimaient qu'en réalité un système mégatechnique venait de triompher. Celui-ci se déploierait de manière purement causale, dans le seul but d'accroître sa taille et sa puissance. Par conséquent, la Révolution et l'Histoire semblaient être devenues obsolètes. Ivan Illich fit sienne cette critique de la démesure et de la déraison technologiques, en l'étendant au secteur des services. Il étudia également les sources profondes de cette civilisation industrielle, qu'il situa dans le passé chrétien de l'Occident. Finalement, en s'appuyant sur les travaux de ses homologues, Illich traça les grandes lignes de ce que pourrait être une société conviviale. Cependant, le mouvement écologiste contemporain échoua à intégrer ces idées, et manqua sa propre révolution. Se pose alors la question de savoir quelle attitude il est possible d'adopter face au « Temps de la Fin ». La matrice intellectuelle de cette écologie politique révolutionnaire reste active de nos jours, à travers les langages du néo-luddisme, de l'écosocialisme et de la décroissance. Des recherches futures sont nécessaires pour bien saisir cette filiation, et pour rattacher d'autres auteurs à cette matrice d'idées. / This thesis proposes to explore an informal and marginal current of thought of the 20ᵗʰ century which, according to its initial hypothesis, would have ensured the transition between the first protests against the industrial revolution and certain contemporary environmentalist movements. This current can thus be characterized as a revolutionary political ecology, based on a radical critique of industrial civilization and its main factor, modern technics. The purpose of this study is to assess its coherence and pertinency: are we dealing with a dispersed set of ideas and authors, or a common diagnosis? Do these ideas still have relevance in the face of the current ecological crisis? A number of intellectuals can relate to this technocritical perspective; nevertheless, this study focuses on the works of four of them: the American urban planner Lewis Mumford (1895-1990), the German philosopher Günther Anders (1902-1992), the French sociologist Jacques Ellul (1912-1994) and the nomadic historian Ivan Illich (1926-2002). First, this work presents the method that guided the study of these texts: a socio-history of ideas that borrows as much from the historical discipline as from the sociological discipline. The stakes of the study of environmentalist and ecological ideas are also exposed, in order to underline the specificity of this research object. Which leads to the formulation of the problematic of this thesis: can this current of ecological ideas be defined as a language, in the sense that the history of political ideas gives to this concept? The main assertion of this study is that it should rather be understood as an intellectual matrix, a coherent set of leitmotifs aimed at social-historical knowledge, and which can serve as a basis for languages more oriented towards political action. This contrasts with the romantic polemics against mechanization in the 19ᵗʰ century, which expressed a more diffuse anti-industrial sensibility. Subsequently, the five main chapters of this study provide a counter-narrative of the 20ᵗʰ century, through a deep reading of the texts of the selected authors. This account begins with an examination of the pioneering works of Lewis Mumford during the interwar period. Following the Great War, he sought to build an alternative perspective to both liberalism, conservatism and Marxism. At the same time, he embarked on an in-depth historical study of what he called the "Machine Age", and drew from it a critique of the power civilization. After the Second World War and the nuclear bombings of Hiroshima and Nagasaki, Günther Anders and Jacques Ellul elaborated, in a convergent way, a critical diagnosis of the technical and conformist society of the post-war period. They described the type of individual it produces, a medial man who has lost control over the technics he has unleashed on his world - which would then no longer be his own. Moreover, they wondered about the possibility of an extinction of humanity, above all by an ultimate atomic conflict. Mumford, Anders and Ellul reiterated their analyzes in the 1960s and 1970s, when the West was marked by a multifaceted wave of protests and revolts. Taking their distance from these movements, these three intellectuals believed that in reality a megatechnical system had just triumphed. This system would deploy in a purely causal way, with the sole purpose of increasing its size and power. Consequently, Revolution and History seemed to have become obsolete. Ivan Illich made this criticism of technological excess and unreason his own, extending it to the service sector. He also studied the deep sources of this industrial civilization, which he located in the Christian past of the West. Eventually, building on the work of his counterparts, Illich outlined what a society of conviviality might be. However, the contemporary environmental movement didn't integrate these ideas, and failed its own revolution. The question then arises as to what attitude one should adopt in the face of the "Time of the End". The intellectual matrix of this revolutionary political ecology remains active today, through the languages of neo-Luddism, ecosocialism and degrowth. Future research is needed to fully understand this filiation, and to link other authors to this matrix of ideas.
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Une confrontation du discours missionnaire et philosophique : l'interprétation de l'image de la Chine par Montesquieu et Voltaire, 1721-1776

Janvier, Marie-Hélène 20 April 2018 (has links)
La France du XVIIIe rencontre plusieurs problèmes d'ordre religieux et politique qui ne manquent pas d'agiter la pensée critique des philosophes. Armés de leur plume, ces derniers engagent un combat contre l'intolérance religieuse et l'absolutisme à travers leurs œuvres. Étudiant différents régimes, les philosophes cherchent un modèle qui pourrait satisfaire une France en panne de ses institutions. Parmi les modèles éphémères qui leur parviennent, celui de la Chine, transmis de l'autre bout du monde par les missionnaires jésuites, éveille leur esprit et leur intérêt. Cet empire lointain est dépeint comme une terre de tolérance religieuse dirigée par un empereur bon et clément envers ses sujets. Un combat s'engage alors entre les sinophiles et les sinophobes, soit les admirateurs et les détracteurs de la référence chinoise. Parmi ces philosophes, deux figures de proue du Siècle éclairé s'affrontent, Voltaire et Montesquieu. Alors que Voltaire admire l'image de la Chine et l'utilise à plusieurs reprises pour critiquer la France, Montesquieu se montre plutôt sceptique avec les propos des jésuites et expose que cet empire ne doit pas être un modèle. Même si ces deux philosophes ont en main le même bassin de sources, leur interprétation et leur utilisation en sont complètement différentes. Entre despotisme et monarchie éclairée, entre athéisme, idolâtrie et déisme, la description de la Chine par le prisme missionnaire, puis philosophique, fait l'objet de plusieurs débats littéraires dans les milieux savants. Ceci ne manque pas d'éveiller la vieille querelle des rites chinois qui entraîne les jésuites à leur perte en même temps que le modèle chinois vers la fin du Siècle des Lumières.
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Économie et politique chez John Locke

Bouchard, Martial 04 December 2024 (has links)
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Former l'individu, profiter du territoire, élever la nation : la pensée libérale de Lomer Gouin, 1897-1920

Pontbriand, Mathieu 20 April 2018 (has links)
Le rôle de Lomer Gouin dans l’histoire du Québec est loin d’être négligeable puisqu’il tient les rênes du pouvoir provincial durant 15 ans. C’est aussi sous ses différents mandats que l’économie québécoise accentue son industrialisation et que l’urbanisation s’accélère. Sa pensée politique, inspirée du libéralisme, reste encore toutefois mal définie. Celle-ci se trouve aux carrefours de différentes tendances idéologiques de son époque. En effet, il occupe une position privilégiée dans la tendance libérale de l’époque : gendre du premier ministre nationaliste Honoré Mercier; un premier mandat comme député marqué par les querelles entre son chef, Félix-Gabriel Marchand, et l’Église catholique; relations avec Godfroy Langlois, un libéral progressiste. De plus, il doit faire face à une vague nationaliste qui agite le Québec et le Canada. Sa conception du développement du Québec dévoile la culture libérale modérée dans toute sa vigueur au début du XXe siècle.
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Dialogue entre la morale existentialiste beauvoirienne et les éthiques du care

Marcotte, Romane 12 November 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 5 juin 2023) / La pensée existentialiste de Beauvoir et les éthiques du care ont été la cible de critiques symétriques de la part des philosophes féministes au cours des dernières décennies. Avec la publication du Deuxième Sexe en 1945, Simone de Beauvoir démontre que l'oppression sexiste entraîne les femmes à la passivité et à la servitude, et exige la transformation nos sociétés pour permettre à toutes les personnes opprimées d'exercer leur liberté. Plusieurs féministes ont reproché à Beauvoir son exaltation de l'exercice de la liberté, qui inciterait les femmes à imiter les hommes, et sa sévère critique des attitudes comme des activités typiquement féminines, qui resterait aveugle à leur potentiel éthique. À partir des années 1980, les éthiques du care ont justement voulu souligner ce potentiel, en revalorisant les dispositions à la sollicitude développées par bien des femmes ainsi que les activités de prise en charge de la vulnérabilité humaine. Pourtant, on leur a reproché de proposer une éthique de la servitude, idéalisant des activités qui ont contribué à l'exploitation des femmes. Ce mémoire s'intéresse à la tension dévoilée par la réception de ces deux pensées féministes : comment prendre au sérieux l'effet nocif des attitudes et activités imposées aux femmes, sans en présenter une description caricaturale qui empêcherait de les considérer comme des sujets moraux ou invisibiliserait des activités essentielles à la survie de nos communautés ? Pour explorer cette tension, nous proposons un dialogue critique entre ses philosophies féministes, parfois afin de souligner leurs lacunes, parfois afin de nuancer les reproches qui leur ont été adressés et de souligner entre elles des points communs inattendus. Ce dialogue abordera trois thèmes : leur vision du sujet moral, leur conception du care, ainsi que leur évaluation des points de vue marginalisés.
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La personne et la société politique selon Emmanuel Mounier

Boutin, Bernard 22 October 2021 (has links)
Le personnalisme se fait le défenseur de la personne car il connaît l'importance de la dignité humaine. Il défend la personne contre le libéralisme et le totalitarisme. le personnalisme a mis en garde la personne contre l'ampleur du fascisme et du marxisme. Ces courants d'idées amènent la personne à vivre une fausse liberté. C'est dans cette confusion qu'un groupe de jeunes chrétiens langèrent le personnalisme. Emmanuel Mounier a été l'un des personnages les plus influents. le personnalisme exprime la personne dans son sens total aussi bien au niveau physique, moral, social et spirituel. le libéralisme nuit au devenir communautaire de la personne et le totalitarisme méprise la personne. l'individu et la personne sont confondus. Dans ce mémoire, nous démontrerons comment la personne a évolué dans ces courants selon Emmanuel Mounier.

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