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Principe de subsidiarité et gouvernement politique

Fontaine, Jean-François January 1993 (has links)
Le principe de subsidiarité est un principe de gouvernement politique. Il a son fondement dans le bien commun considéré comme la cause qui rend les personnes humainement plus heureuses. Quand un État se préoccupe de développer chez ses membres, les citoyens, une autonomie véridique conforme à leur dignité, il applique le principe de subsidiarité et peut recevoir le nom d'État subsidiaire. Par cette application, les citoyens sont en mesure de pratiquer la prudence et la justice économiques et politiques et acquièrent ainsi les aptitudes à l'agir humain et socialement responsable. Vis-à-vis des citoyens, l'État a des devoirs et des droits dont l'application du principe de subsidiarité fixe les déterminations et les limites. Il coordonne, incite et supplée, pratiquant à bon escient le devoir d'ingérence ou de non-ingérence. C'est en développant les corps intermédiaires que l'État subsidiaire se distingue de l'État-providence et de l'État libéral.
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Philosophie politique et opinion publique. La question de la justice distributive.

Bibeau-Gagnon, Alexis 26 January 2021 (has links)
Ce mémoire propose une analyse de la relation entre la philosophie politique et l’opinion publique. Plus particulièrement, il a pour objectif de définir le rôle de l’opinion publique en philosophie politique en se penchant sur la question de la justice distributive. Le mémoire est divisé en trois chapitres. Le premier chapitre pose les bases théoriques sur la justice sociale et distributive, ainsi que sur la place de la recherche empirique philosophie politique. Le second chapitre constitue une étude de l’opinion publique sur la structure et les déterminants des attitudes sur la justice distributive au Canada, au Royaume-Uni et aux États-Unis. Le troisième chapitre offre une proposition théorique originale du rôle de l’opinion publique en philosophie politique. Nous y présentons quatre arguments en faveur de l’inclusion de l’opinion publique en philosophie politique par le biais de la notion d’équilibre réflexif public. / This Master’s thesis offers an analysis of the relationship between political philosophy and public opinion. More specifically, its objective is to define the role of public opinion in political philosophy in relation to the issue of distributive justice. The thesis is divided into three chapters. The first chapter lays the theoretical foundations on the issues of social and distributive justice, as well as on the place of empirical research in political philosophy. The second chapter is an empirical public opinion research on the structure and determinants of attitudes toward distributive justice in Canada, the United Kingdom and the United States. The third chapter presents an original theoretical proposition of the role of public opinion in political philosophy. We put forward four arguments in favor of the inclusion of public opinion in political philosophy through the notion of public reflective equilibrium.
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Entre rencontre et malencontre. Esquisses d'une phénoménologie politique chez Marc Richir

Perrier, Jean-François 03 August 2022 (has links)
Il y a dans la pensée de Marc Richir une énigme tout à fait déterminante, quoi que la plupart du temps négligée : l'énigme de la liberté humaine articulée à une réflexion proprement politique. Cette thèse se donne pour tâche d'expliciter cette dimension politique en parcourant le Denkweg de Richir, de 1968 à sa disparition, tout en essayant de faire valoir qu'il y a chez lui une véritable pensée politique. Dans un premier temps, nous nous intéressons à la cosmologie phénoménologique du jeune Richir en interrogeant corrélativement ses implications anthropologiques et politiques. Nous tâchons de montrer en quoi et comment le dépassement de la « révolution copernicienne » vers son au-delà permet de déplacer le champ phénoménologique de l'humain vers l'inhumain, où l'humain se comprend désormais comme énigme à la lisière du phénoménologique sauvage et du symbolique. Cet écart entre le phénoménologique et le symbolique permet à Richir d'appréhender ce qu'il convient de nommer « la division originaire du social ». Dans un deuxième temps, nous abordons la question du sublime en politique, qui apparaît comme la mesure mobile du politique en ouvrant et travaillant l'écart entre le phénomène et son institution. Le sublime permet non seulement d'appréhender le sauvage animant l'institution socio-politique que sa transposition architectonique manquée (en barbarie). Nous suivons alors les analyses richiriennes des régimes théologico-politiques (de l'Un), car ce qui est en jeu dans l'analyse de ces malencontres est l'institution symbolique d'une économie de la dette infinie et de la servitude (volontaire). Dans un troisième temps, nous nous détournons des régimes « théologico-politiques » pour nous intéresser à l'analyse des sociétés que Richir désigne comme étant « mythiques », « mythico-mythologiques » et « mythologiques » (Multiples). Nous explicitons la manière dont le pouvoir est analysé et élaboré symboliquement dans ces sociétés, visant à multiplier les passages de la puissance (Potenz) au pouvoir (Macht). Dans un quatrième temps, nous tâchons d'élucider phénoménologiquement les différents registres architectoniques qui constituent la communauté humaine, du soi archaïque à la communauté politique instituée, et inversement. Ce double mouvement de descente vers l'archaïque et de remontée vers le plus institué nous permet, d'une part, de défendre que l'interfacticité transcendantale est la communauté utopique et incarnée ; et que, d'autre part, c'est pour être irrémédiablement manquée par l'institution symbolique que la tyrannie est conçue par Richir comme origine et horizon des sociétés humaines. L'analyse architectonique devient alors celle des structures transcendantales de la tyrannie et mobilise la figure du despote absolu qu'est le Malin Génie. Dans un cinquième temps, nous développons une phénoménologie de l'animalité qui prend au sérieux l'hypothèse richirienne selon laquelle l'œuvre du Malin Génie est d'accomplir l'adhérence à soi de l'expérience humaine. Il semble qu'une institution symbolique qui perd son contact d'avec le phénoménologique agit en l'être humain comme une animalité de second degré. Cela est essentiel pour comprendre les réflexions richiriennes sur le totalitarisme, dont fait partie le capitalisme, qui repose sur une hyper-animalisation de l'être humain. Enfin, dans un sixième temps, nous revenons sur une polémique qui oppose Richir à Castoriadis et Lefort, celle-ci permettant de mieux circonscrire la question du politique dans l'œuvre de Richir tout en défendant l'idée selon laquelle la phénoménologie richirienne en est une de la subversion et non de la révolution. Pour ce faire, il nous faut clarifier le statut de la « métaphysique » dans sa pensée, qui ne se réduit pas à l'ère de la technique ou à l'accomplissement du totalitarisme. En bref, la thèse que nous développons dans les pages qui suivent vise non seulement à expliciter l'originalité de la phénoménologie du politique chez Richir - comme alternative anarchiste à la phénoménologie notamment d'obédience marxiste -, mais aussi à montrer l'importance de la question politique dans l'élaboration même de sa refonte de la phénoménologie.
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Des vertus de la démocratie : étude sur les origines de la cité chez Protagoras

Chartier, Emilie Anne January 2020 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2019-2020 / La présente étude vise à reconstruire la pensée politique du sophiste Protagoras en s’appuyant sur le mythe et le discours que lui attribue Platon dans le dialogue qui porte son nom. Il s’agira d’abord de retracer les conditions de possibilité de la cité démocratique ainsi que les arguments invoqués par le sophiste pour reconnaître au sens commun la pleine capacité de participer à la délibération collective. Nous interrogerons par la suite les limites potentielles de sa théorie démocratique à la lumière du modèle platonicien de la cité idéale. La considération de ces limites nous permettra de faire ressortir le rôle central qu’occupe la formation civique et l’éducation dans la pensée politique protagoréenne. Enfin, nous tâcherons d’évaluer les liens entre cette pensée et la doctrine relativiste de Protagoras. Plus précisément, nous mesurerons la portée théorique de l’abandon du critère de vérité lorsqu’il est interprété dans le cadre d’une réflexion politique portant sur les fondements institutionnels de la démocratie.
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Le fondement naturel de la société politique

Thibaudeau, Victor 23 February 2022 (has links)
En considérant les points de vue les plus opposés sur la question du fondement naturel de la vie en société politique et en répondant aux principales objections qui sont soulevées à l'encontre de cette conception, nous tentons de préciser ce que notre nature indique positivement quant aux buts principaux que la communauté politique aurait le devoir de poursuivre. L'exercice est utile car si effectivement le regroupement en société est conçu communément comme un fait de nature, ce fondement est souvent considéré comme assez banal et peu instructif mais comme représentant la source d'éventuelles tyrannies si on a la prétention d'y lire les énoncés péremptoires d'une « politique naturelle ». Certes, la définition du bien commun et des moyens politiques y conduisant ne peut pas être donnée de façon précise et achevée dans la nature humaine. Une aussi grande détermination irait à l'encontre de la perfection visée par le moyen de la vie en société: l'épanouissement du potentiel universel de l'être humain. La nature humaine doit pourtant indiquer le principe et la fin de la communauté politique. En effet, un bien commun est absolument nécessaire à la perfection de l'être humain; or chez tous les êtres naturels, ce qui constitue un bien nécessaire à leur perfection est donné, ou du moins prédisposé par leur nature. Le caractère universel de l'être humain ne nous empêche donc pas, au contraire, de saisir dans sa nature l'existence d'un projet fondamental, et d'un projet suffisamment déterminé et précis pour fournir des indices sûrs des voies à suivre. Nous montrons ainsi que cette nature lui fait spontanément créer une société et demande que certaines institutions bien spécifiques (d'ordre politique) soient développées. Un examen attentif des exigences fondamentales de la nature humaine nous porte à considérer la justice comme le tout premier bien à se donner en commun. Tous les autres biens proposés à ce titre se révèlent en effet soit non appropriés, soit secondaires et en quelque façon subordonnés à ce bien commun principal, ou soit enfin bien au-delà de ce que la société politi ue peut spécifiquement nous procurer.
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Tout simplement humain : une étude de la complexité politique

Béchard, Benoît 28 July 2023 (has links)
Thèse ou mémoire avec insertion d'articles. / Les limites de la cognition humaine en matière de prise de décision dynamique dans des environnements complexes sont bien documentées. Qu'il s'agisse de saisir la progression non-linéaire d'un système, évaluer les effets secondaires d'une décision, concevoir la variation progressive et non instantanée d'une quantité de ressources dans le temps, ou bien anticiper les rétroactions générées par un environnement complexe, la cognition humaine tend à favoriser un traitement « réductionniste » de l'information. La politique est un exemple probant de système complexe posant un défi conséquent pour les décideurs. Certaines études suggèrent que des stratégies cognitives pourraient intervenir dans la gestion et le contrôle de la complexité politique. De plus, une connaissance pratique de la politique - essentielle dans le développement de l'expertise - pourrait aider à mieux gérer un environnement politique complexe. Nous ne savons que peu de choses sur l'effet des stratégies cognitives et des connaissances tacites sur la performance dans l'atteinte des objectifs d'une tâche de décision politique. La présente thèse propose d'évaluer la façon dont les individus se comportent face à la complexité politique en recourant au paradigme de l'utilisation des micromondes simulés par ordinateur dans une perspective de cognition dynamique. La thèse suggère de mesurer la performance de la décision politique en recourant à des indices novateurs qui répondent au contexte spécifique d'une tâche de prise de décision dynamique en politique. Malgré des instructions claires mentionnant d'être le plus objectif possible, les résultats de la première étude empirique montrent que l'emprise de l'idéologie - comprise comme une stratégie cognitive - sur le décideur est suffisamment importante pour diriger le traitement de l'information, et ce, au détriment de la performance de la prise de décision. En comparant la performance de la prise de décision d'élus (en cours de mandat) à celle d'un échantillon issu la population générale, la deuxième étude empirique montre qu'il semble exister un « mur de la complexité » qui empêche les individus de performer dans la gestion des systèmes complexes. Ce seuil semble s'appliquer à tous. Bien que les élus aient déclaré avoir une meilleure connaissance de la politique, ils ne semblent être que marginalement meilleurs pour gérer la complexité politique. Ces expériences appuient la conjecture voulant que les évidences théoriques sur les limites de la cognition humaine sont transférables à l'étude de la prise de décision politique dans des environnements complexes. / The limits of human cognition in complex environments are well documented. Whether it is a question of grasping the non-linear progression of a system, evaluating the secondary effects of a decision, conceiving the progressive and non-instantaneous variation of a quantity of resource over time, or anticipating the feedbacks generated by complex environments, human cognition tends to favor a "reductionist" processing of information. Politics is a convincing example of a complex system that poses a significant challenge for decision makers. Studies have shown that certain cognitive strategies could be used to manage and control political complexity. Moreover, tacit political knowledge - a key factor in the development of political expertise - could help in the management of complex political systems. Little is known about the effect of cognitive strategies and tacit knowledge on the quality of political decision-making. This thesis proposes to assess how individuals behave in the face of political complexity using computer-simulated microworlds from a dynamic cognition perspective. The thesis suggests measuring the quality of political decision-making by using innovative performance metrics that fit the specific context of a dynamic decision-making task in politics. Despite receiving clear instructions to prioritize objectivity during the task, the initial empirical study indicates that the influence of ideology, regarded as a cognitive strategy, is powerful enough to shape the decision-maker's information processing, ultimately leading to a decline in the quality of decision-making. By comparing the quality of decision-making of elected officials (incumbent) to that of a sample drawn from the general population, the second empirical study shows that there seems to be a "wall of complexity" that prevents individuals from performing well in the management of complex systems. This threshold appears to apply to everyone. Although elected officials reported having better political knowledge, they are only marginally better at managing political complexity. These experiments support the conjecture that theoretical evidence about human cognitive limitations is transferable to the study of political decision-making performed in complex environment.
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Le IIIe Reich et le projet national du Québec, étude comparée des idéologies politiques allemandes et québécoises, 1918-1945 / Troisième Reich et le projet national du Québec

Asselin, Pierre. January 1998 (has links) (PDF)
No description available.
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Kant instituteur de la République (1795-1904). Genèse et formes du kantisme français dans la construction de la synthèse républicaine.

Bonnet, Jean 15 January 2007 (has links) (PDF)
Chronologie -en trois périodes- du kantisme français dans ses implications politiques et idéologiques du traité de Bâle (1795) au congrés de 1904 pour le centième anniversaire de la mort de Kant. Etude sur les lectures juridiques, morales et religieuses de la philosophie kantienne par les libéraux, les positivistes, les sociologues d'obédience républicaine.
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L’écriture des lois constitutionnelles de 1875 : La fondation de l’ordre constitutionnel de la IIIe République / Writing the constitution : the example of the 1875 french constitutional laws

De Thy, Ludovic 20 June 2017 (has links)
Pas de résumé / No abstract
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Les représentations du juge criminel dans la pensée politique française (1748-1791) / The representations of the criminal judge in French political thought (1748-1791)

Fajon, Yan-Erick 08 November 2019 (has links)
Cette thèse sur la fin de l’Ancien Régime s’ étend de 148 à 1791. Ce travail de recherche est une exploration de la figure judiciaire et de ses représentations savantes et populaires sur la période donnée. Ainsi Les philosophes du XVIIIème siècle contribue largement grâce à leurs théories politiques à un renouveau théorique des représentations judiciaires. Ce renouveau s’accompagne également d’une fécondité littéraire dans le genre utopique. Ceci est bien la preuve que la question pénale est une question politique à la veille de la Révolution Française. Ce travail de renouveau judiciaire se poursuit avec l’Assemblée Nationale Constituante entre 1789 et 1791. Il se poursuit sous un angle pratique. C’est probablement ici que se situe la rupture entre les députés constituants et les philosophes des Lumières. Les premiers vont mettre en place un système judiciaire où seule la logique existe. Ce système est motivé par une haine du juge pénal du XVIIIème siècle. Les second, les philosophes, critiquaient le juge dans un souci d’exigence de liberté. Ils sont à ce titre le prolongement de l’humanisme et les précurseurs du libéralisme. / This thesis on the end of the Ancien Régime extends from 1748 to 1791. This research work is an exploration of the judicial figure and its scholarly and popular representations on the given period. Thus the philosophers of the eighteenth century contributes largely through their political theories to a theoretical renewal of judicial representations. This renewal is also accompanied by literary fecundity in the utopian genre. This is proof that the criminal question is a political question on the eve of the French Revolution.This work of judicial renewal continues with the National Constituent Assembly between 1789 and 1791. It continues in a practical angle. It is probably here that lies the break between the constituent deputies and the Enlightenment philosophers. The former will put in place a judicial system where only logic exists. This system is motivated by a hatred of the 18th century criminal court. The second, the philosophers, criticized the judge for the sake of the need for freedom. They are in this respect the extension of humanism and the precursors of liberalism.

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