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Le biais d'évaluation de sa compétence scolaire chez des enfants du primaire : ses liens avec la comparaison sociale, sa stabilité et sa valeur adaptative aux plans psychologique et scolaire

Boissicat, Natacha 09 December 2011 (has links) (PDF)
Ce travail de thèse traite du caractère plus ou moins irréaliste des perceptions que l'élève a de ses compétences scolaires ou de ce qu'il est convenu d'appeler aujourd'hui le biais d'évaluation de sa compétence scolaire. Deux objectifs principaux structurent ce travail. Le premier vise à vérifier si le type de comparaison sociale auquel l'élève se livre est lié au développement d'un biais négatif d'évaluation de sa compétence scolaire. Pour ce faire, nous avons réalisé 6 études auprès d'élèves francophones de primaire scolarisés en France et au Québec. Dans la lignée des travaux de Buunk et Ybema (1997) et de Buunk et al. (2005), nous avons d'abord testé l'hypothèse selon laquelle les élèves pouvaient interpréter positivement et négativement les comparaisons sociales en classe indépendamment de leur direction. Fort de ces éléments, nous avons vérifié ensuite que l'interprétation positive de la comparaison sociale (identification ascendante et différenciation descendante) est liée positivement au biais d'évaluation de sa compétence alors que l'interprétation négative (identification descendante et différenciation ascendante) lui est négativement reliée. Enfin, une mesure plus fine de la comparaison sociale en classe nous a permis d'explorer si le type de comparaison choisie par l'élève impliquait des effets d'assimilation ou de contraste sur leur biais d'évaluation, selon que l'élève s'identifiait plus ou moins fortement à son camarade de comparaison. Les six études menées dans cette première partie apportent globalement un soutien empirique à nos hypothèses. Le second objectif s'est attaché à étudier l'évolution de ce biais au fil du temps et à vérifier si ces modes d'évolution pouvaient être liés au bien-être psychologique du sujet à moyen terme. Dans cette optique, nous avons conduit des analyses de trajectoires pour décrire l'évolution du phénomène au fil du temps (Nagin, 2005). Cette méthode nous a permis de distinguer des patrons d'évolution distincts mettant en lumière le caractère plus ou moins stable du phénomène. Enfin, la mise en relation de ces trajectoires avec des indicateurs de bien-être et de fonctionnement scolaire révèle que sous-estimer ses compétences constitue un risque d'adaptation psychosociale et scolaire pour les élèves.
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Le biais d'évaluation de sa compétence scolaire chez des enfants du primaire : ses liens avec la comparaison sociale, sa stabilité et sa valeur adaptative aux plans psychologique et scolaire / The stability of bias of academic self-evaluation : its relation with social comparison and its adaptive value in school and psychological functioning among primary school children

Boissicat, Natacha 09 December 2011 (has links)
Ce travail de thèse traite du caractère plus ou moins irréaliste des perceptions que l'élève a de ses compétences scolaires ou de ce qu'il est convenu d'appeler aujourd'hui le biais d'évaluation de sa compétence scolaire. Deux objectifs principaux structurent ce travail. Le premier vise à vérifier si le type de comparaison sociale auquel l'élève se livre est lié au développement d'un biais négatif d'évaluation de sa compétence scolaire. Pour ce faire, nous avons réalisé 6 études auprès d'élèves francophones de primaire scolarisés en France et au Québec. Dans la lignée des travaux de Buunk et Ybema (1997) et de Buunk et al. (2005), nous avons d'abord testé l'hypothèse selon laquelle les élèves pouvaient interpréter positivement et négativement les comparaisons sociales en classe indépendamment de leur direction. Fort de ces éléments, nous avons vérifié ensuite que l'interprétation positive de la comparaison sociale (identification ascendante et différenciation descendante) est liée positivement au biais d'évaluation de sa compétence alors que l'interprétation négative (identification descendante et différenciation ascendante) lui est négativement reliée. Enfin, une mesure plus fine de la comparaison sociale en classe nous a permis d'explorer si le type de comparaison choisie par l'élève impliquait des effets d'assimilation ou de contraste sur leur biais d'évaluation, selon que l'élève s'identifiait plus ou moins fortement à son camarade de comparaison. Les six études menées dans cette première partie apportent globalement un soutien empirique à nos hypothèses. Le second objectif s'est attaché à étudier l'évolution de ce biais au fil du temps et à vérifier si ces modes d'évolution pouvaient être liés au bien-être psychologique du sujet à moyen terme. Dans cette optique, nous avons conduit des analyses de trajectoires pour décrire l'évolution du phénomène au fil du temps (Nagin, 2005). Cette méthode nous a permis de distinguer des patrons d'évolution distincts mettant en lumière le caractère plus ou moins stable du phénomène. Enfin, la mise en relation de ces trajectoires avec des indicateurs de bien-être et de fonctionnement scolaire révèle que sous-estimer ses compétences constitue un risque d'adaptation psychosociale et scolaire pour les élèves. / This thesis is dealing with the more or less unrealistic nature of pupils owns' perception of scholarship competence, often referred as biases in academic selfevaluation. There are two main goals in undertaking this work. The first aims to verify if there is a link between the type of social comparison in which the pupil is engaged and the presence of a negative bias of academic self-evaluation. To do so, we carried out six studies among French-speaking pupils in primary schools in France and Quebec. In line with Buunk and Ybema's (1997) and Buunk et al.'s (2005) studies, we first tested the hypothesis that regardless of the direction of social comparisons in school, the pupils can interpret them positively and negatively. Then, we examined whether a positive interpretation of social comparison (upward identification and downward contrast) is positively linked to a positive bias in academic self-evaluation and a negative interpretation (downward identification and upward contrast) is positively linked to a negative bias. Finally, a deeper assessment of social comparison in school enabled us to explore whether the type of comparison the pupil choose involved assimilation or contrast effects on their self-evaluation biases, according to the strength of pupils' identification with the target of comparison. The six above mentioned studies gave empirical support to our hypotheses. The second goal of this doctoral project was twofold: (1) to examine the temporal trajectories of changes in self-evaluation bias over a three-year period and (2) to verify whether there was a relationship between children's membership to a given trajectory and their psychosocial adjustment at the last year of the study. Using a group-based approach using a multinomial modeling strategy to analyze the changes in self-evaluation bias across time (Nagin, 2005) allowed us to identify distinct trajectories that highlighted the more or less stable trend of the phenomena. Finally, examination of the relationship between children's membership to trajectories and various indicators of well-being suggests that underestimation of one's own school competence is a risk factor of developing psychosocial and academic maladjustment.
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L’incidence de la relation maître-élève sur la motivation d’élèves du primaire provenant de milieux défavorisés

Lemire, Isabelle 09 1900 (has links)
Cette étude avait pour but de vérifier l’incidence de la relation maître-élève sur la motivation des élèves particulièrement en milieux défavorisés. Notre hypothèse stipulait que meilleure est la relation maître-élève, plus grande est la motivation de l’élève. Nos objectifs étaient d’analyser la valeur prédictive de la relation maître-élève sur les déterminants de la motivation scolaire afin d’identifier quels aspects de la relation maître-élève, dans une perspective d’attachement (chaleur, soutien ou conflit), prédisent le mieux chacune des variables motivationnelles retenues. Aussi, nous voulions identifier quelles variables motivationnelles sont les plus affectées par la qualité de la relation maître-élève. La motivation scolaire a été évaluée à deux niveaux soit général et spécifique au français et aux mathématiques. Certains des déterminants retenus sont en lien avec les modèles Attentes-Valeur (le sentiment de compétence, l’intérêt et la perception de l’utilité de l’école en général ainsi qu’en français et en mathématiques). Les autres déterminants retenus sont en lien avec la théorie des buts d’accomplissement (le but de maîtrise, le but de performance et le but d’évitement du travail). Nous avons aussi vérifié l’effet modérateur du sexe dans les relations entre les variables d’attachement et la motivation. Nos résultats montrent que la relation maître-élève prédit avec assurance l’intérêt général envers l’école, l’intérêt spécifique au français et aux mathématiques ainsi que la présence de buts d’évitement du travail. Nous avons aussi été en mesure de déterminer qu’une relation soutenante serait l’aspect de la relation maître-élève qui prédirait la présence du plus grand nombre de déterminants de la motivation scolaire. Il a aussi été surprenant de constater l’effet de la relation chaleureuse sur les trois dimensions en lien avec l’intérêt (général, en français et en mathématiques). De son côté, l’intérêt général fut aussi remarqué comme étant le déterminant motivationnel étant le mieux prédit par la relation maître-élève. Nous avons aussi fait ressortir que la perception de conflit serait l’aspect de la relation maître-élève qui présenterait la plus grande valeur prédictive de certains déterminants de la motivation. Par contre, nos résultats ne permettent pas de supporter que le sexe de l’élève a un effet modérateur dans les relations. / The objective of this research was to assess the impact of the teacher-student relationship on students’ motivation, particularly within low income families. The study conducted was based on the hypothesis that better teacher-student relationship lead to a higher level of motivation for the student. In order to verify this hypothesis, our objectives were to analyse the predictive value of the teacher-student relationship on school motivational determinants in order to identify which aspects of teacher-student relationship, in an attachment perspective (caring, supportive or conflictive), could better predict each of the motivational variables. Also, we wanted to identify which of these motivational variables are most affected by the quality of the teacher-student relationship. Some of the determinants come from Expectancy-Value models (perceived competence, interest, perceived utility of school in general, and for French and Mathematics). Other determinants come from goal orientation theory (mastery goal, performance goal and work avoidance goal). We also verified the moderator effect of gender in the attachment variables and the motivation. Our results show that the student-teacher relationship can predict interest in schooling in general, specific interest in French and Mathematics, and the presence of avoidance goal. We also showed that a supporting relationship could be the aspect of teacher-student relationship which mostly predicts the motivational variables. It was also surprising to see the impact of a caring relationship on the three dimensions of interest (general and subject related). Interest in general was also the motivational variable best predicted by the teacher-student relationship. We also showed that the perception of conflict is the aspect of the teacher-student relationship which could best predict some of the motivational determinants. However, our results could not support the moderator effect of gender on the relationship.
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La perception du soutien conditionnel parental et enseignant : évolution et liens avec la perception de compétence scolaire lors de la transition entre le primaire et le secondaire / Parents and teachers’ conditional support : evolution and links with students’ perception of their scholastic competence during the transition from primary to secondary school

Hascoët, Marine 16 November 2016 (has links)
Cette thèse a pour objet l’étude de la perception par les enfants du soutien conditionnel parental et enseignant, défini comme un soutien vu comme dépendant de l’atteinte des exigences fixées par ces adultes (Harter, 1999). Deux objectifs sont poursuivis dans ce travail. Le premier étudie l’évolution d’une telle perception lors de la transition entre le primaire et le secondaire. Pour ce faire, nous devions disposer d’un outil de mesure. Nous avons testé, dans trois études, les qualités psychométriques d’une échelle de perception du soutien conditionnel parental et enseignant dans le domaine scolaire auprès d’élèves de CM2 et de 6ème. Les analyses sur l’instrument ont mis en évidence trois dimensions dans le soutien conditionnel : un soutien conditionnel d’estime (parental et enseignant), un soutien conditionnel émotionnel parental et un soutien conditionnel émotionnel enseignant. Concernant le premier objectif, les résultats révèlent que la perception du soutien conditionnel émotionnel parental est stable du CM2 à la 6ème. La perception du soutien conditionnel émotionnel enseignant est aussi stable entre le début et la fin du CM2, mais diminue en 6ème alors que celle du soutien d’estime diminue faiblement au cours du temps. Le deuxième objectif vise à vérifier les liens entre ce soutien conditionnel parental et enseignant et la perception de compétence scolaire des élèves. Nous supposions (1) que les différents types de soutien conditionnel perçu seraient liés négativement à la perception des élèves de leur compétence scolaire, (2) que ces relations seraient médiatisées par l’anxiété envers l’évaluation et la sensibilité à l’erreur et (3) que le lien entre le soutien parental et la perception de compétence scolaire des élèves serait modéré par le soutien conditionnel émotionnel enseignant. Nos résultats montrent que le soutien conditionnel émotionnel parental et le soutien conditionnel émotionnel enseignant sont bien liés négativement à la perception de compétence scolaire et que seule l’anxiété d’évaluation médiatise cette relation. Le soutien conditionnel d’estime n’est pas lié à la perception de compétence quand le soutien conditionnel émotionnel est contrôlé. Enfin, le soutien conditionnel émotionnel parental et le soutien conditionnel enseignant interagissent pour prédire la perception de compétence scolaire : sous une perception élevée du soutien conditionnel d’une source, la perception du soutien conditionnel de l’autre source n’est plus liée à la perception de compétence scolaire. Pris dans leur ensemble, nos résultats confortent les études qui soulignent les effets néfastes du soutien conditionnel perçu en termes d’adaptation scolaire et sociale (e.g., Assor, Roth, & Deci, 2004 ; Côté, Bouffard, & Vezeau, 2014 ; Makri-Botsari, 2015). Ils ajoutent aux connaissances en montrant l’importance du soutien conditionnel de l’enseignant dans cette même adaptation. / This thesis focuses on children perception of the conditional support provided by their parents and teachers. Conditional support refers to a support that depends on succeeding to achieve standards set by these adults (Harter, 1999). This work has two objectives. The first aims at studying the evolution of the perception of the adults’ conditional support during the transition from primary to secondary school. To do so, a series of three studies was conducted to test the psychometric properties of an instrument devoted to assess the perception of students from the 5th and 6th grades that the availability of their parents and teachers support was conditional to their academic achievement. Factorial analyses (EFA and CFA) revealed the presence of three types of conditional support: an esteem conditional support common to parents and teachers, a parents’ emotional conditional support and a teachers’ emotional conditional support. Regarding our first objective, results reveal that the perception of parents’ emotional conditional support is stable across the transition to secondary school. Teachers’ emotional conditional support is stable between the beginning and the end of 5th grade, but decreases during the 6th grade. The esteem conditional support slowly drops throughout the whole period. Our second objective is to verify the links between perception of conditional support from parents and teachers and the students’ perception of their scholastic competence. We hypothesised (1) that all types of conditional support would be negatively linked to the students’ perception of their scholastic competence, (2) that anxiety towards evaluation and sensitivity to error would mediate these relations and (3) that the teacher’s emotional conditional support would moderate the link between the parents’ conditional support and the students’ perception of their scholastic competence. Our results show that the emotional conditional support from both the parents and the teacher are negatively linked to the perception of scholastic competence and that only anxiety mediates these relations. The esteem conditional support is unrelated to the perception of scholastic competence when emotional conditional support is controlled. Finally, the parents’ emotional conditional support and the teachers’ conditional support interact to predict the perception of scholastic competence: under a high perception of conditional support from one source, the perception of conditional support from the other source is no more linked to the perception of scholastic competence. Altogether, our results strengthen previous studies that underline the deleterious effects of perceived conditional support on social and academic adaptation (e.g., Assor et al., 2004 ; Côté et al., 2014 ; Makri-Botsari, 2015). They bring new knowledge by showing the importance of teacher conditional support for this adaptation.
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L’incidence de la relation maître-élève sur la motivation d’élèves du primaire provenant de milieux défavorisés

Lemire, Isabelle 09 1900 (has links)
Cette étude avait pour but de vérifier l’incidence de la relation maître-élève sur la motivation des élèves particulièrement en milieux défavorisés. Notre hypothèse stipulait que meilleure est la relation maître-élève, plus grande est la motivation de l’élève. Nos objectifs étaient d’analyser la valeur prédictive de la relation maître-élève sur les déterminants de la motivation scolaire afin d’identifier quels aspects de la relation maître-élève, dans une perspective d’attachement (chaleur, soutien ou conflit), prédisent le mieux chacune des variables motivationnelles retenues. Aussi, nous voulions identifier quelles variables motivationnelles sont les plus affectées par la qualité de la relation maître-élève. La motivation scolaire a été évaluée à deux niveaux soit général et spécifique au français et aux mathématiques. Certains des déterminants retenus sont en lien avec les modèles Attentes-Valeur (le sentiment de compétence, l’intérêt et la perception de l’utilité de l’école en général ainsi qu’en français et en mathématiques). Les autres déterminants retenus sont en lien avec la théorie des buts d’accomplissement (le but de maîtrise, le but de performance et le but d’évitement du travail). Nous avons aussi vérifié l’effet modérateur du sexe dans les relations entre les variables d’attachement et la motivation. Nos résultats montrent que la relation maître-élève prédit avec assurance l’intérêt général envers l’école, l’intérêt spécifique au français et aux mathématiques ainsi que la présence de buts d’évitement du travail. Nous avons aussi été en mesure de déterminer qu’une relation soutenante serait l’aspect de la relation maître-élève qui prédirait la présence du plus grand nombre de déterminants de la motivation scolaire. Il a aussi été surprenant de constater l’effet de la relation chaleureuse sur les trois dimensions en lien avec l’intérêt (général, en français et en mathématiques). De son côté, l’intérêt général fut aussi remarqué comme étant le déterminant motivationnel étant le mieux prédit par la relation maître-élève. Nous avons aussi fait ressortir que la perception de conflit serait l’aspect de la relation maître-élève qui présenterait la plus grande valeur prédictive de certains déterminants de la motivation. Par contre, nos résultats ne permettent pas de supporter que le sexe de l’élève a un effet modérateur dans les relations. / The objective of this research was to assess the impact of the teacher-student relationship on students’ motivation, particularly within low income families. The study conducted was based on the hypothesis that better teacher-student relationship lead to a higher level of motivation for the student. In order to verify this hypothesis, our objectives were to analyse the predictive value of the teacher-student relationship on school motivational determinants in order to identify which aspects of teacher-student relationship, in an attachment perspective (caring, supportive or conflictive), could better predict each of the motivational variables. Also, we wanted to identify which of these motivational variables are most affected by the quality of the teacher-student relationship. Some of the determinants come from Expectancy-Value models (perceived competence, interest, perceived utility of school in general, and for French and Mathematics). Other determinants come from goal orientation theory (mastery goal, performance goal and work avoidance goal). We also verified the moderator effect of gender in the attachment variables and the motivation. Our results show that the student-teacher relationship can predict interest in schooling in general, specific interest in French and Mathematics, and the presence of avoidance goal. We also showed that a supporting relationship could be the aspect of teacher-student relationship which mostly predicts the motivational variables. It was also surprising to see the impact of a caring relationship on the three dimensions of interest (general and subject related). Interest in general was also the motivational variable best predicted by the teacher-student relationship. We also showed that the perception of conflict is the aspect of the teacher-student relationship which could best predict some of the motivational determinants. However, our results could not support the moderator effect of gender on the relationship.

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