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Sélection d\'ennemis naturarels pour la lutte biologique contre Tetranychus evansi Baker & Pritchard (Acari: Tetranychidae), en Afrique / Seleção de inimigos naturais para o controle biológico de Tetranychus evansi Baker & Pritchard (Acari: Tetranychidae), na África

Imeuda Peixoto Furtado 03 February 2006 (has links)
L'acarien rouge de la tomate Tetranychus evansi Baker & Pritchard est un ravageur important des Solanaceae dans divers pays. Il a été introduit accidentellement en Afrique sans ses ennemis naturels. Actuellement, on le trouve dans beaucoup de pays africains et il est considéré comme un ravageur clef dans quelques-uns d'entre eux. L'origine supposée de cet acarien est l'Amérique du Sud. Quelques espèces de prédateurs ont été rapportées en association avec T. evansi. Cependant, différents tests réalisés en laboratoire ont pu démontrer l'inefficacité de ces espèces contre ce ravageur. L'objectif de la présente étude est de continuer la recherche d'agents de contrôle efficaces pour lutter contre T. evansi en Afrique. Pour ceci, la présence de ce ravageur et de ses prédateurs a été étudiée au Brésil et en Argentine, principalement sur les solanacées, d'octobre 2002 à décembre 2004. Dans l'ensemble des prospections, ils ont été trouvé environ 28 000 spécimens de T. evansi au Brésil et 35 000 en Argentine. Dans ces deux pays, un total de 15 espèces de prédateurs de la famille des Phytoseiidae ont été trouvés en association avec ce ravageur. Parmi ces derniers, Phytoseiulus longipes Evans a été l'espèce la plus prometteuse comme agent de contrôle de T. evansi. Ce prédateur a été trouvé à Uruguaiana-RS, Brésil et ceci constitue la première observation de cette espèce dans ce pays. L'acceptation de T. evansi comme proie pour cette population de P. longipes a été évaluée au laboratoire par deux essais. Dans le premier test, le taux moyen journalier d'oviposition du prédateur a été evalué sur T. evansi et sur 3 autres sources de nourriture: Tetranychus urticae Koch, pollen de Ricinus communis L. ou pollen de Typha sp. Dans le deuxième test, la préférence du prédateur pour T. evansi ou T. urticae a été étudiée. Le taux moyen journalier d'oviposition de P. longipes a été approximativement identique pour une alimentation vis-à-vis de T. evansi et T. urticae (respectivement 3,4 et 3,5 oeufs). Le prédateur n'a pas pondu lorsqu'il était alimenté avec les deux types de pollen. Les études suivantes concernant les tests de choix au laboratoire ont toujours démontré des proportions significativement plus grandes de P. longipes sur les folioles avec T. evansi que sur les folioles avec T. urticae. Ensuite, la biologie détaillée de P. longipes a été étudiée, en utilisant les nourritures précédemment citées. La survie des différents stades immatures de P. longipes a été approximativement de 94 % et de 80 % quand ils étaient alimentés avec T. evansi et T. urticae, respectivement. Cette survie a été nulle sur les deux types de pollen. La durée des stades immatures du prédateur alimenté avec ces proies ont été identiques (4,7 et 4,8 jours). Les augmentations des effectifs de P. longipes ont été élevées tant sur T. evansi que sur T. urticae. Le prédateur a présenté un taux intrinsèque d'accroissément naturel ( rm) de 0,363 et un taux fini d'accoissement ( γ ) de 1, 44 avec T. evansi. Il a présenté un rm de 0, 320 et un γ de 1, 38 avec T. urticae. Les résultats obtenus dans ce travail indiquent que P. longipes est un prédateur prometteur pour la lutte biologique contre T. evansi. Ils suggèrent également l'utilité de l'introduction de ce prédateur dans le continent africain pour être utilisé dans un programme de lutte biologique classique. / O ácaro vermelho do tomateiro, Tetranychus evansi Baker & Pritchard, é uma praga importante de Solanaceae em diversos países. Introduzido acidentalmente na África, livre de seus inimigos naturais, atualmente encontra-se em muitos países do continente africano, sendo em alguns deles considerado uma praga-chave. Suspeita-se que este ácaro seja originário da América do Sul. Algumas espécies de predadores têm sido reportadas em associação com T. evansi. Testes conduzidos em laboratório por diferentes pesquisadores não têm podido demonstrar a eficiência daquelas como agente de controle daquela praga. O objetivo do presente estudo foi dar continuidade à busca de agentes de controle eficientes, para o controle de T. evansi na África. Para tanto, investigou-se no Brasil e na Argentina a ocorrência desta praga e de seus predadores, principalmente em solanáceas, de outubro de 2002 a dezembro 2004. No total, foram encontrados cerca de 28 000 espécimes de T. evansi no Brasil e 35 000 na Argentina. Naqueles dois países, encontrou-se um total de 15 espécies de predadores da família Phytoseiidae associados a esta praga. Dentre estas, Phytoseiulus longipes Evans foi a que se mostrou mais promissora como agente de controle de T. evansi. Este predador foi encontrado em Uruguaiana-RS, Brasil, sendo esta a primeira constatação desta espécie naquele país. A aceitação de T. evansi como presa para aquela população de P. longipes foi avaliada em laboratório através de dois testes. No primeiro, comparou-se a oviposição média diária do predador quando alimentado com T. evansi e com 3 outras fontes de alimento: Tetranychus urticae Koch, pólen de Ricinus communis L. ou de Typha sp. No segundo, avaliou-se a preferência do predador por T. evansi ou T. urticae. A oviposição média diária de P. longipes foi aproximadamente a mesma (3,4 e 3,5 ovos) quando alimentado com T. evansi ou T. urticae. Não houve oviposição quando o predador foi alimentado com os dois tipos de pólen. Avaliações sucessivas em testes de livre escolha conduzidos no laboratório demonstraram proporções sempre significativamente maiores de P. longipes em folíolos com T. evansi que em folíolos com T. urticae. Posteriormente, a biologia detalhada de P. longipes foi estudada, utilizando-se os alimentos anteriormente citados. A sobrevivência dos diferentes estágios imaturos de P. longipes foi de aproximadamente 94 % e 80 % quando alimentado com T. evansi e T. urticae, respectivamente, e nula quando em presença de ambos os tipos de pólen. A duração da fase imatura do predador alimentado com aquelas presas foi praticamente a mesma (4,7 e 4,8 dias). Phytoseiulus longipes demonstrou alta capacidade de aumento populacional quando alimentado com T. evansi ou com T. urticae. Apresentou uma capacidade inata de aumento em número (rm) de 0,363 e razão finita de aumento em número (γ) de 1,44 quando alimentado com T. evansi; apresentou rm de 0,320 e γ de 1,38 quando alimentado com T. urticae. Os resultados obtidos neste trabalho indicam que P. longipes é um predador promissor para ser utilizado no controle biológico de T. evansi. Sugerem também a conveniência de introduzi-lo no continente africano para o uso em um programa de controle biológico clássico.
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Sélection d\'ennemis naturarels pour la lutte biologique contre Tetranychus evansi Baker & Pritchard (Acari: Tetranychidae), en Afrique / Seleção de inimigos naturais para o controle biológico de Tetranychus evansi Baker & Pritchard (Acari: Tetranychidae), na África

Furtado, Imeuda Peixoto 03 February 2006 (has links)
L'acarien rouge de la tomate Tetranychus evansi Baker & Pritchard est un ravageur important des Solanaceae dans divers pays. Il a été introduit accidentellement en Afrique sans ses ennemis naturels. Actuellement, on le trouve dans beaucoup de pays africains et il est considéré comme un ravageur clef dans quelques-uns d'entre eux. L'origine supposée de cet acarien est l'Amérique du Sud. Quelques espèces de prédateurs ont été rapportées en association avec T. evansi. Cependant, différents tests réalisés en laboratoire ont pu démontrer l'inefficacité de ces espèces contre ce ravageur. L'objectif de la présente étude est de continuer la recherche d'agents de contrôle efficaces pour lutter contre T. evansi en Afrique. Pour ceci, la présence de ce ravageur et de ses prédateurs a été étudiée au Brésil et en Argentine, principalement sur les solanacées, d'octobre 2002 à décembre 2004. Dans l'ensemble des prospections, ils ont été trouvé environ 28 000 spécimens de T. evansi au Brésil et 35 000 en Argentine. Dans ces deux pays, un total de 15 espèces de prédateurs de la famille des Phytoseiidae ont été trouvés en association avec ce ravageur. Parmi ces derniers, Phytoseiulus longipes Evans a été l'espèce la plus prometteuse comme agent de contrôle de T. evansi. Ce prédateur a été trouvé à Uruguaiana-RS, Brésil et ceci constitue la première observation de cette espèce dans ce pays. L'acceptation de T. evansi comme proie pour cette population de P. longipes a été évaluée au laboratoire par deux essais. Dans le premier test, le taux moyen journalier d'oviposition du prédateur a été evalué sur T. evansi et sur 3 autres sources de nourriture: Tetranychus urticae Koch, pollen de Ricinus communis L. ou pollen de Typha sp. Dans le deuxième test, la préférence du prédateur pour T. evansi ou T. urticae a été étudiée. Le taux moyen journalier d'oviposition de P. longipes a été approximativement identique pour une alimentation vis-à-vis de T. evansi et T. urticae (respectivement 3,4 et 3,5 oeufs). Le prédateur n'a pas pondu lorsqu'il était alimenté avec les deux types de pollen. Les études suivantes concernant les tests de choix au laboratoire ont toujours démontré des proportions significativement plus grandes de P. longipes sur les folioles avec T. evansi que sur les folioles avec T. urticae. Ensuite, la biologie détaillée de P. longipes a été étudiée, en utilisant les nourritures précédemment citées. La survie des différents stades immatures de P. longipes a été approximativement de 94 % et de 80 % quand ils étaient alimentés avec T. evansi et T. urticae, respectivement. Cette survie a été nulle sur les deux types de pollen. La durée des stades immatures du prédateur alimenté avec ces proies ont été identiques (4,7 et 4,8 jours). Les augmentations des effectifs de P. longipes ont été élevées tant sur T. evansi que sur T. urticae. Le prédateur a présenté un taux intrinsèque d'accroissément naturel ( rm) de 0,363 et un taux fini d'accoissement ( γ ) de 1, 44 avec T. evansi. Il a présenté un rm de 0, 320 et un γ de 1, 38 avec T. urticae. Les résultats obtenus dans ce travail indiquent que P. longipes est un prédateur prometteur pour la lutte biologique contre T. evansi. Ils suggèrent également l'utilité de l'introduction de ce prédateur dans le continent africain pour être utilisé dans un programme de lutte biologique classique. / O ácaro vermelho do tomateiro, Tetranychus evansi Baker & Pritchard, é uma praga importante de Solanaceae em diversos países. Introduzido acidentalmente na África, livre de seus inimigos naturais, atualmente encontra-se em muitos países do continente africano, sendo em alguns deles considerado uma praga-chave. Suspeita-se que este ácaro seja originário da América do Sul. Algumas espécies de predadores têm sido reportadas em associação com T. evansi. Testes conduzidos em laboratório por diferentes pesquisadores não têm podido demonstrar a eficiência daquelas como agente de controle daquela praga. O objetivo do presente estudo foi dar continuidade à busca de agentes de controle eficientes, para o controle de T. evansi na África. Para tanto, investigou-se no Brasil e na Argentina a ocorrência desta praga e de seus predadores, principalmente em solanáceas, de outubro de 2002 a dezembro 2004. No total, foram encontrados cerca de 28 000 espécimes de T. evansi no Brasil e 35 000 na Argentina. Naqueles dois países, encontrou-se um total de 15 espécies de predadores da família Phytoseiidae associados a esta praga. Dentre estas, Phytoseiulus longipes Evans foi a que se mostrou mais promissora como agente de controle de T. evansi. Este predador foi encontrado em Uruguaiana-RS, Brasil, sendo esta a primeira constatação desta espécie naquele país. A aceitação de T. evansi como presa para aquela população de P. longipes foi avaliada em laboratório através de dois testes. No primeiro, comparou-se a oviposição média diária do predador quando alimentado com T. evansi e com 3 outras fontes de alimento: Tetranychus urticae Koch, pólen de Ricinus communis L. ou de Typha sp. No segundo, avaliou-se a preferência do predador por T. evansi ou T. urticae. A oviposição média diária de P. longipes foi aproximadamente a mesma (3,4 e 3,5 ovos) quando alimentado com T. evansi ou T. urticae. Não houve oviposição quando o predador foi alimentado com os dois tipos de pólen. Avaliações sucessivas em testes de livre escolha conduzidos no laboratório demonstraram proporções sempre significativamente maiores de P. longipes em folíolos com T. evansi que em folíolos com T. urticae. Posteriormente, a biologia detalhada de P. longipes foi estudada, utilizando-se os alimentos anteriormente citados. A sobrevivência dos diferentes estágios imaturos de P. longipes foi de aproximadamente 94 % e 80 % quando alimentado com T. evansi e T. urticae, respectivamente, e nula quando em presença de ambos os tipos de pólen. A duração da fase imatura do predador alimentado com aquelas presas foi praticamente a mesma (4,7 e 4,8 dias). Phytoseiulus longipes demonstrou alta capacidade de aumento populacional quando alimentado com T. evansi ou com T. urticae. Apresentou uma capacidade inata de aumento em número (rm) de 0,363 e razão finita de aumento em número (γ) de 1,44 quando alimentado com T. evansi; apresentou rm de 0,320 e γ de 1,38 quando alimentado com T. urticae. Os resultados obtidos neste trabalho indicam que P. longipes é um predador promissor para ser utilizado no controle biológico de T. evansi. Sugerem também a conveniência de introduzi-lo no continente africano para o uso em um programa de controle biológico clássico.
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Spider mite web protects prey and predator alike / Teia de ácaros fitófagos protege tanto a presa quanto o predador

Lemos, Felipe de 22 February 2011 (has links)
Made available in DSpace on 2015-03-26T13:30:42Z (GMT). No. of bitstreams: 1 texto completo.pdf: 484977 bytes, checksum: 368d0f7fd7c2f8a96df8c45cef7c69bf (MD5) Previous issue date: 2011-02-22 / Conselho Nacional de Desenvolvimento Científico e Tecnológico / Em todo o mundo lavouras de tomate sofrem o ataque de pragas. Uma das principais pragas do tomate é o ácaro vermelho Tetranychus evansi Baker & Pritchard (Acari: Tetranychidae). Uma característica marcante de T. evansi é a sua alta produção de teia sobre suas plantas hospedeiras. Essa teia pode afetar diretamente os inimigos naturais, reduzindo a sua eficiência de predação ou indiretamente alterando seu comportamento de busca. No entanto, alguns ácaros predadores da família Phytoseiidae podem ser bem adaptados para lidar com a teia dos ácaros fitófagos. Para selecionar agentes de controle biológico eficientes é importante compreender as interações diretas e indiretas entre os organismos envolvidos no agroecossistema em questão. Nesta dissertação, foi investigado o papel da teia produzida por T. evansi como mediadora de interações diretas e indiretas com seus inimigos naturais. No Capítulo 1 foram investigados os efeitos da teia produzida por T. evansi em suas interações com o ácaro predador Phytoseiulus longipes Evans (Acari: Phytoseiidae). Foi avaliado se fêmeas de T. evansi reconhecem sinais químicos do predador e se estes sinais podem induzir os ácaros a produzirem mais teia. Os resultados mostram que a presa não produz mais teia em resposta a estímulos de risco de predação, no entanto, passa a depositar uma maior parcela de seus ovos suspensos na teia, longe da superfície da folha. Esses ovos suspensos sofreram uma menor predação por P. longipes do que os ovos que se encontravam na superfície da folha. Entretanto a taxa de predação de P. longipes sobre ovos de T. evansi em discos com e sem teia não diferiram, indicando que esse predador não é afetado negativamente pela teia de sua presa. No segundo capítulo foi estudado se a teia produzida por T. evansi pode afetar o comportamento de forragemamento de P. longipes modulando a sua preferência entre ambientes e presas. Estudou-se também se ocorre predação intraguilda entre P. longipes e outro ácaro predador Phytoseiulus macropilis (Banks) (Acari: Phytoseiidae), que podem coocorrerem sobre as mesmas plantas. Observou-se que P. longipes prefere as metades de discos de folhas que apresentavam uma estrutura mais complexa (mesmo quando eles não tinham alimento) em relação às metades dos discos com ovos e sem teia de T. evansi. Esta preferência por ambientes de estrutura complexa pode ser explicada pela menor taxa de predação intraguilda de P. macropilis observada em discos de tomate com teia de ácaros. A presença da teia reduziu a capacidade predatória de P. macropilis. A diferença entre ambos os predadores para lidar com a teia de ácaros fitófagos pode ser explicado em parte pelas diferenças no comprimento das setas dorsais j3, z2 e z4, que são mais longas em P. longipes. Com relação à preferência de P. longipes por espécies de presas, observou-se que os ácaros predadores escolheram T. evansi a T. urticae, tanto em presença quanto ausência de teia. Esses resultados indicam que a teia de T. evansi pode mediar o comportamento de forrageamento de ácaros da família Phytoseiidae de acordo com seus níveis de adaptações morfológicas e comportamentais. Em linhas gerais, pode-se concluir que os ácaros predadores P. longipes são bem adaptados para lidar com a grande quantidade de teia produzida por T. evansi. Além de não evitar plantas com elevada quantidade de teia, esse ácaro predador pode se beneficiar desse ambiente complexo, reduzindo a competição com outros predadores. No entanto, a presença do predador estimula T. evansi a mudar seu comportamento de oviposição, reduzindo a eficiência predatória de P. longipes. Assim, ao alterar o seu comportamento de oviposição em resposta aos sinais dos predadores, as fêmeas de T. evansi utilizam mais eficientemente sua teia para protegerem sua prole. / Worldwide, tomato suffers from herbivory. One of the most important tomato pests is the red spider mite Tetranychus evansi Baker & Pritchard (Acari: Tetranychidae). A striking characteristic of T. evansi is its high production of web over its host plants. The web can directly affect natural enemies by reducing its predation efficiency or indirectly by changing its foraging behaviour. However some Phytoseiidae can be well adapted to cope with spider mite webbing. To select efficient biologicol control agents, it is important to understand the direct and indirect interactions between the organims involved in the agroecosystem. In this dissertation, I investigated how the web produced by T. evansi mediates direct and indirect interactions with its natural enemies. In Chapter 1 I investigate the effects of the web produced by T. evansi on its interactions with the predatory mite Phytoseiulus longipes Evans. We tested whether spider mite females recognize predator cues and whether these can induce the spider mites to produce denser web. We found that the prey did not produce denser web in response to such cues, but laid more eggs suspended in the web, away from the leaf surface. These suspended eggs suffered less predation by P. longipes than eggs that were laid on the leaf surface, under the web. However the predation rate of P. longipes on eggs of T. evansi on discs with and without web was not different, indicating that this predatory mite is not negatively affected by the spider mite web. In the second Chapter I studied whether the complex web produced by spider mites could affect the foraging behaviour of P. longipes modulating its preference between patches and prey. Was also studied if there is intraguild predation between the predatory mites P. longipes and Phytoseiulus macropilis (Banks) (Acari: Phytoseiidae), which can co-occur on the same plants. We observed that P. longipes always preferred the leaf discs halves with more complex environmental structure (even when there was no food on it) to discs half with eggs and no web of T. evansi. The strong preference for patches with complex structure could be explained by the reduced rate of intraguild predation by P. macropilis observed on tomato discs with spider mite web. As observed, the presence of spider mite web reduced the predatory efficiency of P. macropilis in intraguild predation experiment. The difference between both predatory mites to cope with the web of spider mites could be explained in part by the differences in length of the setae j3, z2 and z4 that are longer in P. longipesi, but is needed manipulation of these traits. With respect to the preference of P. longipes by prey species, we observed that the predator chose T. evansi to T. urticae, both in the presence and absence of web. These results indicate that spider mite web can mediate the foraging behaviour of phytoseiid mites according to their level of morphological and behavioral adaptation to webbing. In general, we conclude that the predatory mite P. longipes is well adapted to cope with the higher web densities produced by T. evansi. Besides not avoid thus plants with high amounts of web, P. longipes can benefit from this complex environment by reducing competition with others predators. However the presence of the predatory mite stimulates T. evansi to change its oviposition behaviour, reducing the predation efficiency of P. longipes. Thus, by altering their oviposition behaviour in response to predator cues, females of T. evansi make better use of their web to protect their offspring.

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