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Les Bases floristiques des grandes divisions chorologiques de l'Afrique sèche /

Lebrun, Jean-Pierre, January 1981 (has links)
Thèse doct.-ing.--Paris VI, 1980. / Bibliogr. p.355-476. Index.
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Étude par la méthode du diagnostic foliaire de la fertilisation et de la nutrition minérale du Cacaoyer, Thobroma cacao L. en Côte-d'Ivoire.

Verlière, Guy. January 1981 (has links)
Th. doct.-ing.--Paris 7, 1977.
143

Gotländska växtnamn : tradition och förnyelse i ett lokalt växtnamnsskick /

Ekvall, Ulla. January 1990 (has links)
Akademisk avhandling--Lettres--Stockholm, 1990.
144

Recherches sur la nutrition des végétaux à l'aide de substances azotées de nature organique : amines, sels d'ammoniums composés et alcaloïdes /

Lutz, Louis. January 1899 (has links)
Thèse de doctorat--Sciences naturelles--Faculté des sciences de Paris, 1899. N°: 975.
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Zur morphologie des vegetativen sprosses der loganiaceen

Hasselberg, Gunno Birger Emanuel, January 1937 (has links)
Thèse (Ph. D.)--Uppsala, 1937.
146

Dynamique de répartition et mécanismes de défense des macrophytes de la zone infralittorale rocheuse dominée par l'oursin vert, Strongylocentrotus droebachiensis

Gagnon, Patrick. January 1900 (has links) (PDF)
Thèse (Ph. D.)--Université Laval, 2003. / Titre de l'écran-titre (visionné le 29 novembre 2004). Bibliogr.
147

Étude des transferts génétiques chez Rhizobium meliloti au moyen du plasmide RP4.

Delmaere, Francis, January 1900 (has links)
Th. 3e cycle--Biochim.--Lille 1, 1979. N°: 777.
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Variation de la tolérance et de l'accumulation des métaux dans le genre Haumaniastrum

Ilunga Kabeya, Francine 16 December 2016 (has links)
Le présent travail rapporte les résultats d’une étude menée sur la variation de la tolérance et de l’accumulation des métaux dans le genre Haumaniastrum. Dans l’arc cuprifère katangais, les concentrations en métaux et particulièrement cuivre et cobalt, sont très élevées. L’exploitation minière apporte la création d’emploi mais aussi la modification du milieu. Les rejets miniers mal gérés causent des problèmes environnementaux et de santé publique pour les populations locales. La présence d’importantes concentrations de ces éléments traces métalliques dans le sol a constitué la pression de sélection d’espèces les mieux adaptées. Sur ces sols contaminés, poussent des plantes appelées métallophytes qui peuvent être utilisées pour la phytoremédiation. Cependant les mécanismes de tolérance et d’accumulation des métaux de cette flore sont peu connus. Nous avons choisi un système d’étude exceptionnel composé de trois espèces du genre Haumaniastrum avec des comportements différents. (i) H. katangense, une cuprophyte facultative à large distribution pousse sur des sols dont la concentration en cuivre varie entre 400 et 1000 mg Cu kg-1, (ii) H. robertii, cuprophyte stricte endémique des sols cupro-cobaltifères de l’arc cuprifère à faible distribution, croît sur des sols dont la concentration en cuivre peut aller jusqu’à 100.000 mg Cu kg-1 et H. villosum, une non cuprophyte à très large distribution, pousse exclusivement sur des sols non contaminés. La croissance et l’accumulation dans les plantes exposées à un excès en Cu et en Cu/Co dans une culture hydroponique pendant trois semaines de traitement ont été analysées. Ces analyses ont également été effectuées au niveau intraspécifique dans quatre populations d’H. katangense. Contrairement à l’espèce non métallicole parente et à celle non parente contrôle (Nicotiana plumbaginifolia), les deux espèces métallophytes poussent mieux en présence de Cu à la concentration de base contenant 0,1 µM Cu et pour H. robertii, un excès en Cu et en Co est indispensable pour faire pousser cette espèce en milieu hydroponique. Pour les métallophytes, la croissance diminue à 100 µM Cu et H. robertii est plus tolérante que H. katangense. Une variation dans la tolérance au Cu est observée entre les quatre populations d’H. katangense comme pour Crepidorhopalon tenuis et Anisopappus chinensis.Les résultats des analyses minérales montrent que l'accumulation du Co et du Cu se fait préférentiellement dans la racine que dans la partie aérienne. Cependant, l'accumulation du Cu dans les plantes augmente lorsque sa concentration s'élève dans le milieu alors que l'accumulation du Co dépend de l'espèce étudiée. Quand on ajoute le Co dans le substrat, les espèces accumulent plus de Cu dans les parties aériennes et les racines. Par ailleurs, dans des conditions physiologiques de culture sans ou avec peu de toxicité, H. katangense et H. robertii hyperaccumulent le Co dans les feuilles au seuil de 300 ppm sans signe de toxicité à une faible concentration de Co dans le milieu de culture. Aucune des deux espèces cuprophytes n’hyperaccumule le Cu dans nos conditions de culture contrôlées testées mais les plantes de H. robertii récoltées in situ hyperaccumulent le Cu. Toutes les populations de H. katangense hyperaccumulent le Co mais pas le Cu dans nos conditions de culture contrôlées tandis que la population de H. katangense de Kamatanda récoltée in situ hyperaccumule le Cu et celle de Fungurume hyperaccumule le Co au seuil de 300 ppm. Il semble donc que la tolérance des métallophytes soit basée sur une exclusion du Cu au niveau des parties aériennes, ce qui n’est pas le cas du Co. La variabilité observée entre les populations d’H. katangense ne serait pas génétique mais plutôt liée à la tolérance de chaque population à tolérer les conditions du milieu. Le Cu et le Co ne sont pas co-accumulés dans les mêmes tissus des feuilles ou des racines. Le Cu reste plus à l’extérieur et le Co diffuse à l’intérieur des tissus. Ce qui indiquerait que les deux métaux possèdent des transporteurs différents.En outre, une quantification de certains métabolites connus pour le rôle de ligand ou d’antioxydant a été effectuée. Haumaniastrum villosum synthétise autant de citrate que les métallophytes mais plus de proline. Contrairement aux métallophytes, H. villosum est incapable d’augmenter la production de glutathion lors d’un excès de Cu. La tolérance des métallophytes à des concentrations élevées des métaux semble reposer en partie sur leur capacité anti-oxydante mais la synthèse de chaque métabolite dépend de l’espèce. Enfin certains traits liés à la tolérance des plantes aux milieux stressants ont été mesurés par une approche in situ et ex situ. Des mesures des traits morphologiques, reproducteurs et foliaires ont été effectuées in situ et ex situ au jardin de la Faculté des Sciences Agronomiques de l’UNILU. Les résultats montrent que les traits semblent être modelés par le Co et d’autres conditions du milieu. H. villosum est plus sensible au Cu que H. katangense quand celui-ci augmente dans le substrat. En outre, les variations observées entre les quatre populations d’H. katangense récoltées in situ sont liées aux conditions du milieu et les plantes in situ sont soumises à un stress moins intense que dans leur milieu naturel.Ce travail apporte de nouvelles connaissances de base pour comprendre les mécanismes de tolérance et d’accumulation des métaux des espèces de la flore du Cu du Katanga.Le présent travail rapporte les résultats d’une étude menée sur la variation de la tolérance et de l’accumulation des métaux dans le genre Haumaniastrum. Dans l’arc cuprifère katangais, les concentrations en métaux et particulièrement cuivre et cobalt, sont très élevées. L’exploitation minière apporte la création d’emploi mais aussi la modification du milieu. Les rejets miniers mal gérés causent des problèmes environnementaux et de santé publique pour les populations locales. La présence d’importantes concentrations de ces éléments traces métalliques dans le sol a constitué la pression de sélection d’espèces les mieux adaptées. Sur ces sols contaminés, poussent des plantes appelées métallophytes qui peuvent être utilisées pour la phytoremédiation. Cependant les mécanismes de tolérance et d’accumulation des métaux de cette flore sont peu connus. Nous avons choisi un système d’étude exceptionnel composé de trois espèces du genre Haumaniastrum avec des comportements différents. (i) H. katangense, une cuprophyte facultative à large distribution pousse sur des sols dont la concentration en cuivre varie entre 400 et 1000 mg Cu kg-1, (ii) H. robertii, cuprophyte stricte endémique des sols cupro-cobaltifères de l’arc cuprifère à faible distribution, croît sur des sols dont la concentration en cuivre peut aller jusqu’à 100.000 mg Cu kg-1 et H. villosum, une non cuprophyte à très large distribution, pousse exclusivement sur des sols non contaminés. La croissance et l’accumulation dans les plantes exposées à un excès en Cu et en Cu/Co dans une culture hydroponique pendant trois semaines de traitement ont été analysées. Ces analyses ont également été effectuées au niveau intraspécifique dans quatre populations d’H. katangense. Contrairement à l’espèce non métallicole parente et à celle non parente contrôle (Nicotiana plumbaginifolia), les deux espèces métallophytes poussent mieux en présence de Cu à la concentration de base contenant 0,1 µM Cu et pour H. robertii, un excès en Cu et en Co est indispensable pour faire pousser cette espèce en milieu hydroponique. Pour les métallophytes, la croissance diminue à 100 µM Cu et H. robertii est plus tolérante que H. katangense. Une variation dans la tolérance au Cu est observée entre les quatre populations d’H. katangense comme pour Crepidorhopalon tenuis et Anisopappus chinensis.Les résultats des analyses minérales montrent que l'accumulation du Co et du Cu se fait préférentiellement dans la racine que dans la partie aérienne. Cependant, l'accumulation du Cu dans les plantes augmente lorsque sa concentration s'élève dans le milieu alors que l'accumulation du Co dépend de l'espèce étudiée. Quand on ajoute le Co dans le substrat, les espèces accumulent plus de Cu dans les parties aériennes et les racines. Par ailleurs, dans des conditions physiologiques de culture sans ou avec peu de toxicité, H. katangense et H. robertii hyperaccumulent le Co dans les feuilles au seuil de 300 ppm sans signe de toxicité à une faible concentration de Co dans le milieu de culture. Aucune des deux espèces cuprophytes n’hyperaccumule le Cu dans nos conditions de culture contrôlées testées mais les plantes de H. robertii récoltées in situ hyperaccumulent le Cu. Toutes les populations de H. katangense hyperaccumulent le Co mais pas le Cu dans nos conditions de culture contrôlées tandis que la population de H. katangense de Kamatanda récoltée in situ hyperaccumule le Cu et celle de Fungurume hyperaccumule le Co au seuil de 300 ppm. Il semble donc que la tolérance des métallophytes soit basée sur une exclusion du Cu au niveau des parties aériennes, ce qui n’est pas le cas du Co. La variabilité observée entre les populations d’H. katangense ne serait pas génétique mais plutôt liée à la tolérance de chaque population à tolérer les conditions du milieu. Le Cu et le Co ne sont pas co-accumulés dans les mêmes tissus des feuilles ou des racines. Le Cu reste plus à l’extérieur et le Co diffuse à l’intérieur des tissus. Ce qui indiquerait que les deux métaux possèdent des transporteurs différents.En outre, une quantification de certains métabolites connus pour le rôle de ligand ou d’antioxydant a été effectuée. Haumaniastrum villosum synthétise autant de citrate que les métallophytes mais plus de proline. Contrairement aux métallophytes, H. villosum est incapable d’augmenter la production de glutathion lors d’un excès de Cu. La tolérance des métallophytes à des concentrations élevées des métaux semble reposer en partie sur leur capacité anti-oxydante mais la synthèse de chaque métabolite dépend de l’espèce. Enfin certains traits liés à la tolérance des plantes aux milieux stressants ont été mesurés par une approche in situ et ex situ. Des mesures des traits morphologiques, reproducteurs et foliaires ont été effectuées in situ et ex situ au jardin de la Faculté des Sciences Agronomiques de l’UNILU. Les résultats montrent que les traits semblent être modelés par le Co et d’autres conditions du milieu. H. villosum est plus sensible au Cu que H. katangense quand celui-ci augmente dans le substrat. En outre, les variations observées entre les quatre populations d’H. katangense récoltées in situ sont liées aux conditions du milieu et les plantes in situ sont soumises à un stress moins intense que dans leur milieu naturel.Ce travail apporte de nouvelles connaissances de base pour comprendre les mécanismes de tolérance et d’accumulation des métaux des espèces de la flore du Cu du Katanga. / Doctorat en Sciences agronomiques et ingénierie biologique / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Effets des conditions de culture et de la fertilisation de plantes fourragères sur leur rendement, leur composition nutritive, et les impacts sur l'équilibre nutritif chez les ruminants

Veilleux, Guillaume 22 December 2018 (has links)
Les productions laitières et de bovins de boucherie représentent un secteur important de l’agriculture. Le foin cultivé servant de base à l’alimentation des troupeaux couvre un peu plus de 40% des superficies en culture au Québec. La qualité du foin a un impact sur des déséquilibres nutritionnels comme l’hypomagnésémie et l’hypocalcémie chez la vache en lactation. L’influence de facteurs climatiques, pédologiques, de gestion et de fertilisation sur le rendement et la qualité du foin peut être décrite par des modèles linéaire et mixte (Mitscherlich); ce modèle permet de rendre compte des effets fixes qui affectent tous les échantillons de la même manière, et des effets aléatoires, spécifiques à chacun. L’objectif est d’élaborer un modèle de réponse du rendement en fourrage et de risque d’hypomagnésémie aux facteurs d’environnement et de gestion. Le modèle établit un lien entre le rendement, l’analyse minérale et texturale des parcelles où sont cultivées les plantes fourragères, les données climatiques recueillies lors des essais, comme les degrés-jours, le cumul et la diversité des précipitations, la fertilisation azotée, phosphorée et potassique, et le mélange fourrager. Les facteurs qui affectent le plus significativement à la hausse les rendements en fourrage sont les fertilisations azotée et phosphatée, une hausse du nombre de degrés-jours, une augmentation des précipitations, une diminution de la teneur en argile, et une diminution de la balance [Légumineuses / Dairy production and beef cattle farms form an important agricultural sector. Forage crops used to feed the cattle represent 40% of all the cultivated land in Quebec. Forage quality has an impact on nutritional disorders such as hypomagnesemia and hypocalcemia of lactating cows. The influence of climatic, soil, management and fertilization factors on the yield and quality of hay can be described by linear and mixed models (Mitscherlich); this model allows to account for fixed effects that affect all samples in the same way, and random effects, specific to each sample. The final goal is to develop a forage yield response and hypomagnesemia risk model for environmental and management factors. The model relates the yield, the mineral and textural analysis of the plots where the forage crops were grown, the climatic data collected during the tests, such as the degree-days, the accumulation and diversity of the precipitations, the nitrogen, phosphorus and potassium fertilization, and the forage mixture. The factors that most significantly affect forage yields are nitrogen and phosphate fertilization, an increase in degree-days, increased precipitation, a decrease in clay content, and a decrease in the balance [ Legumes
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Estudis biosistemàtics en les espècies ibèrico-baleàriques de les seccions "Artemisia" i "Seriphidium" Besser del gènere "Artemisia" L.

Vallès Xirau, Joan, 1959- 01 September 1986 (has links)
El genere "Artemisia" L., pertanyent a la família "Asteraceae" Dumortier o "Compositae" Giseke, subfamilia "Asteroideae", tribu "Anthemideae" Cass., subtribu "Chrysanthemineae" Less., és constituït per un nombre d'espècies proper a 300, variable segons els autors, àmpliament repartides per l'hemisferi nord, sobretot a Europa, Àsia, Africà del Nord i Amèrica del Nord i Central, bé que algunes són presents a l'hemisferi sud, per exemple a Xile i en alguns punts del sud del continent africà.Els principals tractadistes acorden al gènere origen eurasiàtic a causa de la major riquesa i diversificació d'espècies existent en aquesta zona. Concretament, el centre primari de diferenciació podria ser l'Àsia central soviètica. KRASHENINNIKOV (1946) estableix 6 centres eurasiàtics d'especiació per al gènere: xino-nipó, angaria, beringià, asiàtic central, asiàtic mitjà i europeo-mediterrani.Es lògic de suposar que les espècies del gènere atenyeren el continent americà des d'Àsia a través de l'estret de Bering; "A. frígida" Willd. i "A. dracunculus" L. es troben naturalment en les dues àrees i foren, doncs, probablement, l'origen de l'expansió americana del grup (MCARTHUR, 1979). Tot amb tot, BEETLE (1979) postula per al gènere origen nord-americà. En el conjunt de la conca mediterrània, el nombre d'espècies d' "Artemisia" decreix de nord a sud i d'oest a est (OUYAHYA, 1980).A la Península Ibèrica, situada a l'extrem oest d'aquesta conca, troben llur límit meridional o occidental alguns taxons (els grups d' "A. chamaemelifolia" i "A. caerulescens",posem per cas) i llur límit nord d'altres (els d'afinitat ibero-nor.d'africana, com el grup d'A. "herba-alba"). I s'hi mantenen interessants endemismes com "A. barrelieri", "A. hispànica" i "A. granatensis".Diverses espècies del gènere tenen aplicació com a estabilitzadores de sòls (MCARTHUR, 1979) i com a fre a processos de desertització (LE HOUËROU, 1979). D'altra banda, tenen gran significació en agroecosistemes des del punt de vista pastoral, sobretot a Amèrica del Nord. (MCARTHUR., 1979) i a l'Africà del Nord (OUYAHYA, 1980). Són d'interès en la fabricació de diversos licors (vermut, absenta) i com a espècies condimentarles (estragó).En el camp medicinal, en podem destacar dos aspectes: per una part, algunes espècies són productores d'al.lèrgies i d'altres generen diverses intoxicacions; i d'altra banda, moltes d'elles tenen compostos amb poderoses accions farmacològiques. Entre aquestes darreres, esmentem la clàssica droga vermífuga coneguda com a santònic, "semen contra" o "semen contra vermes", constituïda pels capítols d' "A. cina" Berg., "A. santonicum" L. i altres espècies orientals relacionades, els principis actius de la qual són lactones sesquiterpèniques. En terres ibèriques, "A. herba-alba" és emprada popularment amb les mateixes finalitats antihelmíntiques.Des del punt de vista d'aplicació i pensant en el nostre àmbit geogràfic, els tres aspectes esmentats tenen interès, tal com es desprèn dels usos populars de les plantes: Diverses espècies, sobretot "A. vulgaris" i "A. absinthium," són utilitzades en l'elaboració de begudes espirituoses. D'altres, bàsicament "A. herba-alba", dominen vastes extensions de territori i són consumides per bestiar divers; podrien ser, doncs, racionalment destinades a pastures.I, finalment, algunes tenen virtuts medicinals. Són, principalment, "A. herba-alba", "A. caerulescens", "A. barrelieri", "A. hispànica", "A. absinthium", "A. arborescens" i "A. granatensis". Material ibèric d'algunes d'aquestes entitats ha estat objecte d'estudis fitoquímics (GONZALEZ & al, 1974; VILLAR & al., 1983) que poden ser la base per a una explotació d'algunes d'elles amb finalitats farmacològiques.L'interès pastoral, alimentari i terapèutic, la situació de la Península Ibèrica i les Illes Balears amb alguns grups crítics o conflictius i el fet que, en el nostre àmbit geogràfic, la darrera monografia del gènere datés dels temps de Moritz Willkomm (1821-1895) ens han menat a intentar dur a terme la revisió de les "Artemisia" ibèricobaleàriques, que comencem per les seccions "Artemisia" i "Seriphidium", des del punt de vista biosistemàtic, sense negligir els mètodes i els criteris de la taxonomia clàssica, però incorporant, a més, noves tècniques que permetin una visió més fina i aprofundida dels problemes.No volem creure que amb el nostre treball hagi quedat completament resolta tota la casuística que afecta els grups estudiats; esperem, això sí, que el que hem fet pugui constituir una aportació sòlida i actualitzada per a continuar avançant en la recerca sobre aquest interessant grup de plantes.

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