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Comprendre la fin de la guerre froide et la mondialisation /Mova Sakanyi, Henri. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Thèse de doctorat--Science politique--Université de Kinshasa, 2008. / Bibliogr. tome 3, p.413-425.
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La politique étrangère du Saint-Siège face à l'Allemagne nationale-socialiste : rapport d'une passion ambivalente (1933-1938) /Nicole, Jean-Thomas. January 2008 (has links) (PDF)
Thèse (Ph. D.)--Université Laval, 2008. / Médiagr.: f. 259-268. Webographie: f. 268. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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La participation des états à la gestion des crises internationales (1946-2001) : entre raison d'État et raison humanitaireBoucher, Jean-Christophe 18 April 2018 (has links)
Pourquoi les États participent-ils à la gestion de conflit ? Quels sont les facteurs associés à la décision des États d'intervenir ou non dans les crises internationales ? La recherche à ce sujet offre deux interprétations. D'une part, les auteurs d'affiliation rationaliste avancent que les États interviennent à titre de tierce partie pour protéger ou promouvoir leurs intérêts nationaux, définis en fonction d'impératifs sécuritaires, économiques et idéels spécifiques. D'autre part, certains auteurs soutiennent plutôt que les États sont influencés par des considérations normatives; intervenant pour des raisons humanitaires. En somme, les interventions de tierce partie servent des intérêts égoïstes ou altruistes. Dans le cadre de cette thèse, nous examinons le comportement interventionniste des États de 1946 à 2001. Nous proposons un modèle statistique à niveaux multiples où nous considérons la possibilité et la volonté des États d'intervenir dans les crises internationales depuis la fin de Deuxième Guerre mondiale. Nos résultats démontrent que les États interviennent davantage dans les crises internationales lorsque leurs intérêts sécuritaires ou idéels sont menacés. Par opposition, les États interviennent moins dans les crises internationales lorsque les enjeux humanitaires sont importants. Ces résultats étayent l'idée selon laquelle, même dans la poursuite de la paix, le comportement des États s'aligne sur la raison d'État. Sur le plan méthodologique, étudier le problème d'auto-sélection des États tiers dans la gestion des crises internationales exige une population de cas qui comprend les occurrences d'intervention et de non-intervention. L'inclusion de la population de ces non-événements au sein de l'analyse soulève la question de la pertinence relative des cas négatifs. Nous proposons une mesure de la possibilité d'intervention en délimitant les facteurs qui restreignent la possibilité qu'ont les États tiers d'intervenir dans les crises internationales.
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L'«ABC» d'une économie politique de la sécurité : pour une analyse féministe des politiques américaines de lutte contre le VIH/SIDA en Afrique subsaharienne sous l'administration de George W. BushD'Aoust, Anne-Marie January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire vise à étudier de manière critique les politiques de l'Administration de George W. Bush face au problème de sécurité posé par l'enjeu du VIH/sida en Afrique subsaharienne. Dans un premier temps, il évalue la pertinence d'une approche féministe pour rendre compte du problème du VIH/sida en Afrique subsaharienne. Pour ce faire, il met en évidence la consolidation et les limites d'une position hégémonique au sein de la communauté de sécurité en ce qui a trait au traitement de l'enjeu du VIH/sida en Afrique subsaharienne. Dans un second temps, il examine comment les États-Unis activent des structures de pouvoir basées sur des expressions symboliques, discursives et culturelles de la masculinité dans le cadre de la lutte contre le VIH/sida. Ces structures maintiennent une certaine représentation identitaire de l'État américain, mise en évidence lorsqu'on analyse la fonction performative des logiques binaires de masculinité/féminité qui sous-tendent les discours américains. Les politiques américaines de lutte contre le VIH/sida favorisent également la mise en place d'une économie politique de la sécurité. Une analyse des clauses du President's Emergency Plan for AIDS Relief (PEPFAR) illustre ce point. Enfin, pour juger de la portée des politiques américaines, le rôle central des États-Unis au sein des autres institutions internationales dédiées à lutte contre le VIH/sida, comme ONUSIDA, la Banque mondiale et le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, est examiné de manière critique. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : VIH/sida, Sécurité, Afrique subsaharienne, Féminisme, États-Unis, President's Emergency Plan for AIDS Relief (PEPFAR), Théories des relations internationales.
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Changements climatiques et sécurité : normes et pratiques en évolution?Marquis, Gabriel 09 1900 (has links) (PDF)
L'attention portée aux changements climatiques n'a cessé de croitre au cours des vingt-cinq dernières années, tant dans les arènes nationales qu'internationales. Leur aspect global, potentiellement catastrophique, mais également complexe au niveau des solutions qu'ils réclament, en font probablement l'enjeu environnemental le plus médiatisé et le plus politisé de l'histoire. Récemment, des acteurs nationaux et internationaux sont allés jusqu'à qualifier le dérèglement du climat de « menace à la sécurité ». La discussion n'est pas anodine lorsqu'elle émane d'institutions comme l'OTAN ou le Conseil de sécurité. Pourtant, les conséquences exactes de l'effet de serre demeurent essentiellement anticipées et font encore l'objet d'une recherche scientifique active. À cet égard, la représentation que se font les décideurs de la menace climatique est grandement tributaire du travail du Groupe intergouvernemental d'experts sur le climat (GIEC). En tant que communauté épistémique dominante, cet organisme façonne la représentation généralement admise du problème climatique dans l'imaginaire collectif. Or, celle-ci, tant au plan des conséquences, que des responsabilités et des solutions, diffère grandement des menaces plus traditionnelles à la sécurité. En ce sens, le réchauffement du climat serait une menace unique. Le présent mémoire de maîtrise s'appuie sur le cadre de l'école de Copenhague et propose une opérationnalisation poussée du concept de sécuritisation afin de démontrer que les changements climatiques sont porteurs d'un changement normatif dans le processus sécuritaire au niveau global. À cet égard, nous revendiquons une démarche empirique souvent absente de la littérature empruntant le cadre de l'école.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Changements climatiques, École de Copenhague, Sécurité environnementale, Sécuritisation, États-Unis, Australie, OTAN, ONU, Immigration
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Entre discours et politique, les droites françaises face à la réalité impériale dans l'entre-deux-guerres (1919-1939)Dekker, Lelia 02 February 2024 (has links)
L'histoire coloniale française a été abordée sous de nombreuses facettes, mais peu étudiée du point de vue des mouvements politiques de droite. Pour comprendre ce que les droites attendent de l'empire, l'entre-deux-guerres est une période particulièrement intéressante. En 1919, les droites sont à la tête du gouvernement français, après en avoir été éloignées pendant une vingtaine d'années, et elles parviennent à y rester sur la majeure partie de la période. De même, en 1919, les frontières de l'empire français sont désormais fixées et cela marque l'apogée de la colonisation ainsi qu'un renouvellement de la question coloniale. En effet, la question n'est plus de savoir si les frontières doivent être encore repoussées, mais que faire de cet empire. Ainsi en arrivant au pouvoir les droites vont concevoir une politique coloniale à leur image, avec comme base les principes du libéralisme et du protectionnisme. Pour favoriser la prospérité économique de la France, les droites imaginent une politique dans laquelle l'empire français sert de pilier économique à sa métropole, en l'aidant à regagner sa puissance sans rien demander en retour. Seulement, les droites comprennent progressivement que la métropole ne peut rester éloignée des affaires coloniales. De la création d'un programme de mise en valeur, en passant par la construction d'un soutien financier aux territoires outre-mer, jusqu'au maintien de l'autorité française dans les colonies, les droites se retrouvent confrontées à la réalité impériale et au besoin de réviser leurs idéaux politiques pour l'empire. / The French Colonial Empire has been studied using multiple points of reference, rarely however, has the subject has been considered from the right-wing political coalition's perspective. As it happened, the interwar period exercised a crucial influence on the right-wing's expectations for the empire at that time. After being out in the cold for two decades, 1919 eventually saw the right-wing being re-elected to power. Significantly, 1919 also saw of the demarcation of the extent of the French colonies, with the finalization of the physical borders. This resulted in an important shift in debate from the 'scope and scale of the Empire', to how to 'administer or manage the Empire'. True to their fundamentals, the Rights embraced liberalism and protectionism at the heart of their policy. In order to best serve and foster France's economic prosperity, they devised policies in which the French empires served as a strong contributor to France's domestic economic ambitions, without the colonies expecting to receive any reciprocity. The Rights, however, soon came to appreciate that they would be required to ensure greater contribution equality; as was evident in the creation of the program mise en valeur. This plan offered a platform to deliver their imperial ideology and authority, by leveraging a financial support plan to the overseas territories.
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"Ni Rome, ni Moscou" : l'itinéraire des militants communistes libertaires de langue française à Montréal pendant l'entre-deux-guerresHoule-Courcelles, Mathieu 21 July 2024 (has links)
Thèse en cotutelle : Université Laval Québec, Canada et Université Paris 1 Panthéon Sorbonne Paris, France / Cette thèse retrace l’itinéraire collectif d’un groupe de militants communistes libertaires de langue française pendant l’entre-deux-guerres à Montréal rassemblés autour d’Albert Saint-Martin (1865-1947). Figure importante du mouvement ouvrier au Québec, l’itinéraire politique de Saint-Martin est multiforme : on le retrouve associé au Parti socialiste du Canada, à la One Big Union, au Parti socialiste (communiste), à la Ligue des sanstravail, à l’Association révolutionnaire Spartakus, à l’Université ouvrière, à l’Association humanitaire, à la Ligue du Réveil féminin et à de nombreuses coopératives de consommation et de production. Saint-Martin est entouré de camarades provenant de divers horizons politiques. Notre thèse nous a permis d’identifier plus de 300 individus ayant pris part à des activités militantes à ses côtés. À travers l’analyse croisée de leurs parcours individuels, nous cherchons à mieux comprendre les modalités de leur engagement collectif avant, pendant et après la Première Guerre mondiale, leur représentation de la société idéale et les moyens d’y parvenir, la nature et la diversité de leurs liens de sociabilité, les territoires où se déploient leurs réseaux, la fréquence et les thèmes de leurs réunions de même que les symboles et les rituels qui y sont rattachés. Nous faisons l’hypothèse que celles et ceux qui participent aux activités de ce milieu partagent une même culture révolutionnaire articulée autour des notions de communisme, d’anticapitalisme, d’anticléricalisme et d’internationalisme, débouchant sur une critique des institutions autoritaires : l'État, l’Église catholique, la propriété privée, l’armée, le mariage, etc. Les stratégies d’émancipation individuelle et collective mises de l’avant par ces militants et ces militantes reposent sur l’éducation et l'action directe. C’est cet ensemble de principes théoriques, stratégiques et tactiques que nous regroupons sous le terme de communisme libertaire. / This thesis retraces the collective itinerary of a group of French-speaking libertarian communist militants during the inter-war period in Montreal gathered around Albert Saint-Martin (1865-1947). An important figure in Quebec’s labour movement, Saint-Martin’s political itinerary is multifaceted: he is associated with the Socialist Party of Canada, the One Big Union, the Socialist Party (Communist), the Workers' University, the Spartakus Revolutionary Association, the Humanitarian Association, the Women's Awakening League, the Montreal Unemployed League and various consumers and production cooperatives. Saint-Martin is surrounded by comrades from various political backgrounds. Our thesis allowed us to identify more than 300 individuals who took part in militant activities at his side. Through the cross-analysis of their individual journeys, we seek to better understand the terms of their collective commitment, their representation of the ideal society and the means to achieve it, the nature and diversity of their sociability links, the territories in which their networks are deployed, the frequency and themes of their meetings, as well as the symbols and rituals attached to them. We hypothesize that those who participate in the activities of this milieu share a same revolutionary culture articulated around the notions of communism, anti-capitalism, anticlericalism and internationalism, leading to a critique of authoritarian institutions: the State, the Catholic Church, private property, army, marriage, etc. The strategies of individual and collective emancipation put forward by these activists are based on education and direct action. It is this set of theoretical, strategic and tactical principles that we group together under the term libertarian communism.
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Beyond cold monsters : a cognitive-affective theory of international leadershipBeauregard, Philippe 27 August 2019 (has links)
Le leadership est un processus d’influence sociale à travers lequel un acteur qui préconise une position sur un enjeu international entraîne d’autres acteurs à converger vers cette même position. Cette conception du leadership comme un processus de coopération a été négligée dans l’étude de la politique internationale. De plus en plus de faits empiriques révèlent que les États-Unis ne sont pas le seul État qui puisse produire des leaders internationaux, et que les décideurs d’autres États peuvent aussi s’ériger en meneurs. Pourquoi est-ce qu’une personne est motivée à devenir leader? Pourquoi est-ce que les autres acceptent de suivre ce leader, et non quelqu’un d’autre, ou encore choisissent de refuser la position du meneur? Pour expliquer comment le processus de leadership fonctionne, je développe une théorie cognitive-affective du leadership international. Mon argument est que les meneurs ont la volonté de prendre les devants à cause de leurs fortes convictions, et cherchent à persuader les autres acteurs que leur position est représentative de la communauté dont ils font partie. Ceux et celles qui suivent le meneur se rallient à sa position lorsque leurs croyances émotionnelles sont alignées avec celles du leader, lorsque la position et le comportement du leader sont représentatifs de la communauté, et lorsque des mécanismes de persuasion et de résonance émotionnelle les amènent plus près de la position du meneur. Pour vérifier cette théorie, je me concentre sur le processus de leadership entre les puissances transatlantiques : les États-Unis, l’Allemagne, la France, et le Royaume-Uni. J’étudie la coopération entre les décideurs transatlantiques sur des enjeux cruciaux lors de quatre cas de conflits intraétatiques internationalisés: la reconnaissance de la Slovénie, la Croatie et la Bosnie comme États souverains, la médiation pour la paix lors de la guerre entre la Russie et la Géorgie, les sanctions économiques contre la Russie pendant le conflit en Ukraine, et la construction d’une coalition pour réaliser des frappes aériennes contre l’État islamique en Irak et en Syrie. / Leadership is a process of social inflence through which an actor advocating for a position on an international issue induces followers to converge on the same position. Leadership in this sense, as a process of cooperation, has been neglected in the study of international politics. An accumulating body of evidence reveals that the United States is not the only state that can produce international leaders, and that policymakers from other states can also take the lead. Why is someone willing to take the lead? Why are other actors willing to follow this leader and not someone else, or just refuse to agree with the leader’s stance? To explain how the leadership process works, I develop a Cognitive-Affective Theory of international leadership. My argument is that leaders are willing to take the lead because of their strong convictions, and seek to persuade their followers that their position is representative of the wider community of which they are part. Followers rally behind the leader when their emotional beliefs align with the leader, when the leader’s position and behavior are representative of the community, and when mechanisms of persuasion and emotional resonance bring them closer to the leader’s position. In order to test this theory, I concentrate on the leadership process among transatlantic powers: the United States, Germany, France, and the United Kingdom. I study the cooperation between transatlantic policymakers on crucial issues that emerged during four cases of internationalized intrastate conflicts: recognition of Slovenia, Croatia and Bosnia as new sovereign states, peace mediation in the war between Russia and Georgia, economic sanctions against Russia during the Ukraine conflict, and construction of a broader coalition conducting air strikes against the Islamic State in Iraq and Syria.
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Le Congo belge et la Weltpolitik, 1894-1914Willequet, Jacques January 1961 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Définir le rôle du Canada dans un monde en mutation : les parlementaires canadiens face à la fin de la guerre froide et la dissolution de l'Union soviétique, 1989-1991Leblanc-Savoie, Félix 17 December 2019 (has links)
En 1989, la politique du gouvernement progressiste-conservateur de Brian Mulroney vis-à-vis de l’Union soviétique se trouve à la croisée des chemins. La politique réformatrice de Mikhaïl Gorbatchev, arrivé à la tête de l’URSS en 1985, provoque un changement de politique de ce gouvernement, réclamé à plusieurs reprises par les parlementaires de l’Opposition. Lors du premier semestre de 1990, les parlementaires canadiens conduisent une vaste étude sur l’avenir des relations entre le Canada et l’Europe, Union soviétique incluse. Si la philosophie générale des conclusions de cette étude diffère de celle de la politique choisie par le gouvernement Mulroney, ce dernier reprend une partie des recommandations des parlementaires. La fin de l’année 1990 marque le début du dépassement de la guerre froide et d’une coopération Est-Ouest renouvelée que les parlementaires canadiens approuvent. Toutefois, l’année 1991 voit se succéder plusieurs crises sur lesquelles ils doivent prendre position et, par la suite, mesurer les conséquences de la dissolution à plus ou moins brève échéance de l’Union soviétique au cours des derniers mois de 1991. Au cours de leurs débats, deux options se font face : suivre une politique semblable à celle des États-Unis ou bien remettre en valeur la tradition internationaliste et multilatérale de la politique étrangère canadienne.
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