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La politique française envers les États pontificaux sous la Monarchie de Juillet et la Seconde République (1830-1851)

Jolicoeur, Nicolas January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La papauté et le pouvoir politique dans l'Italie de la Renaissance / Papacy and politic powers in the Renaissance Italy

Fernandez, Meghann 21 December 2018 (has links)
Italie phare selon les mots de Jacques Le Goff, Italie proie durant les invasions étrangères ou simple « expression géographique » selon le prince de Metternich, l’Italie a depuis son premier souffle offert à l’histoire du monde de nombreux visages. A ce titre, elle fait figure de véritable étrangeté dans le paysage européen actuel. Une Italie politique et religieuse dans une Europe intensément laïque. Une toute jeune nation au milieu de patries millénaires. Un pays où, encore aujourd’hui, politique et religion marchent main dans la main. Où les consciences s’éveillent à la messe comme dans l’isoloir. Un pays où l’humain cherche désespérément à toucher du doigt le divin. Où le divin lui-même devient humain en la personne des successeurs de Saint-Pierre, pendants aussi appréciés que redoutés des dirigeants temporels italiques. Or, si l’Italie occupe une telle place pour notre humanité, c’est avant tout du fait de la dichotomie qui l’a toujours habitée. Âme guerrière et conquérante autant qu’émanation sanctifiée de la religion catholique, elle est la terre qu’humain et divin se sont disputés pendant des décennies. Et c’est à la Renaissance que ce combat atteint son apex. Car temporel et spirituel furent animés d’une même tension créatrice dans leur âpreté à « faire l’Italie » et leurs affrontements incessants allaient façonner l’essence même de l’Italie d’aujourd’hui, lui donnant ce caractère bicéphale qui est probablement l’un des aspects les plus constitutifs de l’identité italienne actuelle. Et lui confère une spécificité sans pareille en Europe / Italy lighthouse according to Jacques Goff’s words, Italy prey during the French and Spanish invasions ou simple « geographic expression » according to the prince of Metternich ; Italy has since her very first breath given the world history many visages. As such, Italy is a true strangeness in our modern European landscape, deeply proud of still exposing today the two side of her personnality. A politic and religious Italy in a very secular Europe. A very young nation among millenial homelands. A country transcended by its stormy story, by its intrinsic fragilities. A country where today, politic and religious are walking together. Where the minds awakes during the mass or in the voting booth. A country where human is begging for divine. Where divine himself becomes human in the sanctified person of St-Peters’s successors, equivalent as appreciated as feared of Italic secular leaders. And whose power exceeds the Vatican confines to radiate in the whole world, making Italy a real beacon illuminating the whole planet. Or, if Italy occupies such a place in our humanity, it is because of the dichotomy who always inhabited it. Warrior soul and hallowed emanation of catholicity, Italy is the place that human and divine have fought about during centuries. And this quarrel reaches its climax during the Renaissance era. Where temporal and spiritual power were also guided by a same creative strenght in their acerbity to do Italy et their ceaseless quarrels were going to shape the very soul of modern Italy, giving her this two-headed dimension which is likely the most constituent aspect of Italian identity. And gives this Nation an unparalleled specificity in Europe
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Gottes- und Priesterherrschaft in Ägypten am Ende des Neuen Reiches : ein religionsgeschichtliches Phänomen und seine sozialen Grundlagen /

Römer, Malte. January 1994 (has links)
Habilitationsschrift--Fachbereich Altertumswissenschaft--Berlin--Freie Universität, 1989. / Contient des textes en égyptien. Bibliogr. p. [XIII]-XXIX. Index.
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Limitations des activités séculières des clercs séculiers : de Constantin à la fin de l'époque carolingienne / Limitations of the secular clerics activities : from Constantin to the end of the Carolingian time

Jacquemin, Albert 06 October 2014 (has links)
Selon le Code de droit canonique de 1983, actuellement en vigueur dans l’Église catholique latine (cc. 285-286 et 289.2), les clercs ne peuvent exercer des charges publiques comportant une participation à l’exercice du pouvoir civil. Pas davantage, ils ne peuvent remplir des charges séculières impliquant l’obligation de rendre des comptes, ni s’adonner à des opérations commerciales. Pour saisir le processus historique de l’élaboration de ces normes, il faut opérer un retour vers le droit ancien de l’Antiquité tardive puis du haut Moyen-Âge, non pour établir une continuité historique, d’ailleurs illusoire, entre cette lointaine époque et la nôtre, mais pour tenter de comprendre comment l’histoire est sous-jacente dans le droit canonique actuel. Dès 313, Constantin mit en place une politique religieuse où l’Église catholique fut l’objet d’une bienveillance particulière. Le trait le plus remarquable de la façon dont l’empereur intégra l’Église aux structures de l’État, fut la concession d’un statut juridique civil particulier fait de dispenses, de privilèges et particulièrement d’immunités personnelles, notamment des charges publiques (munera publica), qu’il consentit aux clercs catholiques. Après la chute de l’Empire romain, en Occident, ces immunités cléricales furent généralement maintenues par les rois romano-barbares. L’Église accueillit avec reconnaissance cette législation de la part du pouvoir temporel car ce statut juridique accordé aux clercs répondait à ses propres exigences pour le clergé. Concernant l’exercice des activités séculières autorisées aux clercs, comment, dès le début du IVe siècle, les législations canoniques et séculières se sont-elles développées, confrontées, affrontées parfois et relativement harmonisées finalement, pour former une doctrine largement répandue, semble-t-il, chez les clercs et les princes à la fin du IXe siècle ? / According to the 1983 canon law, in force at present in the Latin Catholic Church, clerics can’t exercise a public charge consisting of participation to the civil power. What’s more, neither can they carry out a secular function comprising the obligation to account for it, nor can they devote themselves to any commercial operation. In order to grasp the historical process of elaboration of such norms, one has to go back to the ancient law of the late Antiquity, then of the early Middle Ages. Not so much as to establish a historical continuity, rather illusory, between that distant period of time and our time, but to try understanding how history is underlying the current canon law. As early as 313, Constantin put in place a religious policy where the Catholic Church was treated with a particular benevolence, the most remarquable feature of the way the Emperor integrated the Church into the state organization, was to concede a unique legal civil status made of exemption, privilege and particularly of personal immunities, notably public charges (numera publica) granted to Catholics clerics. After the fall of the Roman Empire, in the west, these clerical immunities were generally maintained by the roman-barbaric kings. This legislation was received with gratitude by the Church because the legal status given to clerics corresponded its own requirements for the Clergy. Regarding the exercising of the secular activities granted to the clerics, how, from the beginning of the fourth century, the secular and canonical laws did develop, confronted, sometimes forced and more or less harmonized in the end, to form a widespread doctrine; it seems, among clerics and princes at the end of the ninth century?
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Dol-de-Bretagne, un espace politque [sic] fortifié au Moyen-Âge / Dol-de-Bretagne, un espace politique fortifié au Moyen-Âge

Louart, Agnès 24 April 2018 (has links)
Dol-de-Bretagne, ancienne cité archiépiscopale, avec son plan en arête de poisson, ressemble à de nombreuses villes médiévales au plan catégorique. A l'ouest, le palais épiscopal, la cathédrale ont formé dès le IXe siècle, un pôle de peuplement protégé par un renforcement des éléments défensifs. A l'extrémité est, la place, l'église Notre-Dame semblent avoir constitué un autre pôle. Le peuplement s'accompagne de l'élaboration d'un système de défense et la présence de la motte castrale, attestée par les textes, montre la division et l'emprise seigneuriale sur l'espace urbain. Ce schéma, bien implanté au XIIe siècle, se transforma par l'édification de défenses plus appropriées aux nouvelles réalités politiques, sociales et économiques. Elles furent, comme dans le cas d'autres villes fortifiées (Vitré par exemple), le fruit des recherches architecturales. Le palais reflète l'affirmation symbolique et militaire des évêques. Les dernières décennies du XVe siècle marquèrent la «fossilisation» du tissu urbain dolois. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Droit et pratique de la convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes de l’ONU de 1979 dans les pays de culture musulmane -l’Égypte, l’Arabie Saoudite et l’Iran- / The Law and Practice of the Convention on the Elimination of All Forms of Discrimination against Women (CEDAW), adopted in 1979 by the UN, in countries with muslim culture- Egypt, Saudi Arabia and Iran-

Ardehali, Golshid 12 September 2013 (has links)
Mesurer l’impact des réserves Charia sur l’application des dispositions essentielles de la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes (la CEDEF) est l’élément principal de cette étude. À cette fin, le statut juridique de la Femme est examiné, à la lumière des dispositions de la Convention, dans trois pays de culture musulmane (Egypte, Arabie Saoudite et Iran). La présente étude tend à démonter que le statut moindre de la Femme, dans les pays de culture musulmane, est la conséquence de la primauté de l’Islam, en tant que doctrine politico-religieuse, au sein des sociétés civiles. L’étude met l’accent sur l’antagonisme qui existe entre le droit international positif, de nature essentiellement séculaire, et le droit religieux, d’essence divine en vigueur dans la majorité des États de culture musulmane. Elle insiste également sur cette réalité persistante qui consiste, dans de nombreux pays, à nier l’application des droits humains aux femmes, au prétexte de leur incompatibilité avec la loi religieuse supérieure. C’est l’ambition de cette recherche que de proposer que, seule, une séparation nette, de la Religion et du Droit serait à même de garantir l’application universelle et uniforme du droit international de l’Homme et la Femme. / Measuring the impact of Sharia reservations on the application of the Convention on the Elimination of All Forms of Discrimination against Women (CEDAW) is the principal subject of this paper. In this respect, the legal status of women is examined, in the light of the Convention (CEDAW), within three Muslim countries (Egypt, Saudi Arabia and Iran). The present study tries to demonstrate that the lesser status of Muslim women is the result of Islam’s primacy, as a politico-religious ideology, within civil societies. The paper emphasizes on the existing irreconcilable conflict between, the international positive law, essentially of secular nature, and the religious law, mainly of divine nature. This paper also advocates that the persistent denial of basic human rights of women in Muslim countries is mainly due to the incompatibility of those rights with imposed religious norms (sharia law). In it’s ambition this study aims to prove that only a strict separation between law and religion could guarantee the universal application of human rights of men and women.

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