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Présence à soi et présence scénique en danse contemporaine : expérience de quatre danseuses et onze spectateurs dans une représentation de la piece The Shallow End

Bienaise, Johanna January 2008 (has links) (PDF)
La présence scénique est un phénomène souvent cité dans la littérature spécialisée en danse mais peu explicité et généralement auréolé d'un mystère. Parallèlement, les études portant sur les interprètes en danse contemporaine parlent de plus en plus de la présence à soi par le travail de la conscience, de l'écoute perceptive et des sensations. La présente étude s'est donc attachée à mieux saisir comment la qualité de présence à soi du danseur contemporain en état de représentation pouvait participer ou non à la qualité de sa présence sur scène telle que perçue par le spectateur. Cette recherche qualitative se veut d'inspiration phénoménologique. Elle s'appuie sur le témoignage du vécu de quatre danseuses contemporaines et de onze spectateurs à l'issue d'une même représentation au printemps 2007. L'analyse des données a été, quant à elle, réalisée suivant la méthode par théorisation ancrée. Les résultats de l'étude ont permis d'observer la pluralité des modes de présences à soi vécues par les danseuses. Quatre grandes modalités de présences à soi ont ainsi pu être décrites : agissante, affective et émotionnelle, évaluative et enfin méditative et accueillante; chacune mettant en jeu des fonctions attentionnelles particulières. D'autre part, les témoignages des spectateurs ont montré une pluralité des points de vue suivant la subjectivité de chacun. Leur perception a dévoilé que la présence à soi des danseuses donnait à voir des individualités différentes, des qualités de mouvements et des énergies particulières. Cependant, la présence à soi des danseuses ne semble pas avoir influencé la perception des spectateurs quant à la présence scénique. Celle-ci est plutôt apparue lorsque la performance des danseuses faisait sens pour les spectateurs et que le phénomène de l'empathie pouvait avoir lieu. Enfin, cette étude a permis de remettre en question une définition souvent standardisée de la présence scénique, rattachée à la notion d'authenticité et de « vérité » de l'interprète. Cette recherche a montré que l'on ne pouvait réellement traiter du thème de la présence scénique sans mettre en relation le vécu des danseuses et celui des spectateurs. Nous souhaitons encourager, par ce type de recherche, davantage d'investigations qui permettront de mieux comprendre le travail complexe et extrêmement riche de l'interprète en danse contemporaine. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Danse contemporaine, Interprétation, Présence scénique, Présence à soi, Attention, Conscience, Sensation, Perception, Empathie.
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Le corps en formation, en jeu, en scène : un apprentissage du comportement scénique avec des élèves du secondaire

Tremblay, Lucie 11 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire-création concerne l'enseignement de l'art dramatique au secondaire. Il a pour sujet le jeu de l'acteur adolescent qui est en situation de représentation. La problématique de cette étude est en lien avec le développement de la capacité des élèves à capter l'attention des spectateurs. Le but recherché est de créer des situations d'apprentissages qui permettent aux apprentis d'acquérir des comportements scéniques qui maintiennent l'attention d'un auditoire. L'hypothèse qui y est développée est qu'un entraînement et une approche corporelle sont nécessaires au développement des états psychophysiques liés au travail théâtral. Le mémoire est composé de trois chapitres. Le premier expose des constats qui ont été observés à travers une pratique de l'enseignement de l'art dramatique. Cette situation est mise en parallèle avec les changements survenus dans la formation de l'acteur professionnel depuis le début du siècle. Le deuxième chapitre contient des réflexions théoriques sur l'apprentissage du jeu, la présence scénique, et la nécessité d'un entraînement pour acteur. Tout au long des deux premiers chapitres, on retrouve des références à des artistes pédagogues qui s'intéressent à ces questions. Enfin, le dernier chapitre comporte des comptes rendus d'expérimentations en milieu scolaire avec une trentaine d'adolescents. On y explique aussi la genèse de la création qui s'en est suivie. Ce mémoire se conçoit et se comprend donc comme un outil d'accompagnement à la création Sur les traces de l'absence, dont le document visuel est déposé au CERT, le Centre de Recherches Théâtrales de l'École supérieure de théâtre, à l'université du Québec à Montréal. Cette recherche permet de mieux cerner la notion de présence en utilisant une langue de travail accessible aux jeunes. Elle démontre qu'il est possible de créer un entraînement spécifique pour des acteurs adolescents afin de générer des comportements scéniques qui captent l'attention des spectateurs. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Jeu, présence, entraînement, corps, enseignement de l'art dramatique, adolescent.
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Peut-on enseigner la présence scénique? Delphine Eliet, une pédagogue à la croisée des théories de l'art du jeu qui ont marqué le XXème siècle théâtral / Can presence on stage be taught ? Delphine Eliet, a teacher at the intersection of the acting theories that marked the 20ieth century in theater

Irubetagoyena, Keti 18 November 2013 (has links)
La présence scénique est une notion complexe du jeu de l’acteur. Pomme de discorde, elle fait s’affronter, schématiquement, les partisans du don et ceux de la technique, les défenseurs de l’énergie contre les stratèges de la réception spectatrice. Il est pourtant une évidence : il ne peut y avoir de présence scénique en soi. Constantin Stanislavski parle d’un « charme scénique » à l’origine d’un « enchantement », d’une « emprise sur l’auditoire »1 . La présence de l’acteur est décrite comme un pouvoir que ce dernier a sur les sens des spectateurs – pouvoir voilé du mystère dont les mots « charme » et « enchantement » sont empreints. L’acteur n’est présent que dans la réception qu’a le spectateur de sa performance, un truisme, certes, mais qui n’est pas sans conséquences. Sans nier l’évidence d’un don chez les acteurs que l’on dit nés, peut-on considérer la possibilité d’une présence scénique qui, en tant que coprésence, puisse faire l’objet d’une construction ? Partant de l’analyse spectatrice et pratique de la pédagogie de Delphine Eliet à l’École du Jeu, hypothèse est faite qu’une présence scénique pourrait être construite par l’acteur au moyen d’un usage conscient et maîtrisé de cet ici et maintenant qui fait du théâtre un art vivant dont il est l’agent fondamental, usage touchant tous les niveaux du jeu, du muet être-là au projet artistique le plus complet. 1-Cf. STANISLAVSKI, Constantin, La Construction du personnage, traduit de l’anglais par Charles ANTONETTI, Éditions Pygmalion – Gérard Watelet, 1988, pp. 275-176. / Presence on stage is a complex notion of the actor's performance. It confronts those in favor of the gift and those of the technique, champions of energy against strategists of the audience's reception. Yet, there is an evidence: no presence on stage can exist in itself. Constantin Stanislavski talks about a «scenic charm» from which comes an «enchanment», an «influence on the audience»1. The presence of the actor is described as a power the latter has on the senses of the spectators – power colored of the mystery contained in the words «charm» and «enchanment». The actor's presence only exists through the reception of his acting by the audience, an obvious fact, of course, but not without consequences. Without denying the gift of the so called born actors, is it possible to imagin presence on stage which, as co-presence, could be the object of a construction? Based on the analysis of Delphine Eliet's pedagogy at Ecole du Jeu, both as a spectator and a pratician, the hypothesis is made that a presence on stage could be built by the actor through a conscious and controlled use of the here and now that makes theater a living art of which he is the fundamental agent, a use affecting all the levels of acting, from the silent being-there to the most complete artistic project. 1-Cf. STANISLAVSKI, Constantin, La Construction du personnage, traduit de l’anglais par Charles ANTONETTI, Éditions Pygmalion – Gérard Watelet, 1988, pp. 275-176.
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Le Corps qui pense, l'esprit qui danse - l'acteur dans sa quête de l'unité perdue / The Thinking Body, the Dancing Mind - the Actor in his Quest for the Lost Unity

Alaniz, Sirlei 13 October 2014 (has links)
Cette étude aborde le thème de la quête de vérité menée par l’acteur. Partant du « paradoxe de l’acteur » qui met en lumière la tension qui se joue entre Forme et Spontanéité, ainsi que sa difficulté à être simultanément artiste et œuvre d’art. Or une recherche comparative sur le théâtre Occidental/Oriental, et d’autres sources telles que les pensées de Georges Gurdjieff et de François Delsarte nous ont conduit à considérer le travail du comédien d’un point de vue trinitaire, en prenant en compte les trois éléments essentiels que sont son corps, son émotion et son esprit. La quête de vérité que mène l’acteur tout au long de sa vie doit s’enraciner dans une compréhension de sa propre nature trinitaire et d’un éventuel manque d’harmonie qui peut résulter dans des comportements automatiques et stéréotypés. Cette vision nous a servi de base pour mener une étude de la pensée de certains grands réformateurs du théâtre du XXe siècle. Ainsi, les méthodes de Jerzy Grotowski et d’Etienne Decroux sont analysées à partir des approches de l’organicité et de l'artificialité selon la perspective de Grotowski. Notre but est de trouver une possible complémentarité entre les travaux de ces deux investigateurs, dans la quête de l’équilibre du trinôme corps-émotion-esprit. Finalement, l’acteur doit cultiver simultanément ses trois centres pour unifier le créateur, l’artisan et la matière de son œuvre, et retrouver ainsi sa vraie Présence sur scène. / This study begins with the actor’s quest for truth. Starting from the « actor’s paradox » which shines light on the tension that plays between Form and Spontaneity, and the difficulty of being simultaneously artist and work of art. A comparative research of Occidental/Oriental theatre, and other sources such as the thoughts of George Gurdjieff and François Delsarte led us to consider the work of the actor from the point of Trinitarian view, taking into account the three essential elements that are his body, his emotion and his mind. The quest for the truth that drives the actor has to begin with the comprehension of his own nature of this human trinity; before the understanding of its fragmentation, that is, the lack of harmony that can exist between these three principle functions and the danger of falling into automatic and stereotypic behaviors and reactions. This study allows us to observe the thought of certain great theatre reformers of the 20th century. Therefore, methods of Jerzy Grotowski and Etienne Decroux are analyzed using approaches of organicity and artificiality from the perspective of Grotowski. Our objective is to find a possible complementarity between the works of these two researchers in the quest for balance of the trinity body/emotion/intellect. Finally, the actor must simultaneously cultivate the three centers in order to unify the creator, the artisan and the matter of his work, and find his true presence on stage.
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Peut-on enseigner la présence scénique? Delphine Eliet, une pédagogue à la croisée des théories de l'art du jeu qui ont marqué le XXème siècle théâtral

Irubetagoyena, Keti 18 November 2013 (has links) (PDF)
La présence scénique est une notion complexe du jeu de l'acteur. Pomme de discorde, elle fait s'affronter, schématiquement, les partisans du don et ceux de la technique, les défenseurs de l'énergie contre les stratèges de la réception spectatrice. Il est pourtant une évidence : il ne peut y avoir de présence scénique en soi. Constantin Stanislavski parle d'un " charme scénique " à l'origine d'un " enchantement ", d'une " emprise sur l'auditoire "1 . La présence de l'acteur est décrite comme un pouvoir que ce dernier a sur les sens des spectateurs - pouvoir voilé du mystère dont les mots " charme " et " enchantement " sont empreints. L'acteur n'est présent que dans la réception qu'a le spectateur de sa performance, un truisme, certes, mais qui n'est pas sans conséquences. Sans nier l'évidence d'un don chez les acteurs que l'on dit nés, peut-on considérer la possibilité d'une présence scénique qui, en tant que coprésence, puisse faire l'objet d'une construction ? Partant de l'analyse spectatrice et pratique de la pédagogie de Delphine Eliet à l'École du Jeu, hypothèse est faite qu'une présence scénique pourrait être construite par l'acteur au moyen d'un usage conscient et maîtrisé de cet ici et maintenant qui fait du théâtre un art vivant dont il est l'agent fondamental, usage touchant tous les niveaux du jeu, du muet être-là au projet artistique le plus complet. 1-Cf. STANISLAVSKI, Constantin, La Construction du personnage, traduit de l'anglais par Charles ANTONETTI, Éditions Pygmalion - Gérard Watelet, 1988, pp. 275-176.

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