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Die Existenzanalyse von Viktor E. Frankl : als Beitrag zu einer anthropologisch fundierten Pädagogik /Wicki, Beda, January 1991 (has links)
Abhandlung--Philosophischen Fakultät I--Universität Zürich, 1990. / Paraît également commme nr 13 dans la coll. : "Studien zur Geschichte der Pädagogik und Philosophie der Erziehung" Bibliogr. p. 300-315.
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L'Entrée dans la vie : essai sur l'inachèvement de l'homme /Lapassade, Georges, January 1972 (has links)
Thèse. Lettres. Paris. 1963. / Bibliogr. p. 303-313.
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S'approprier sa vie en donnant sens à l'épreuve : les manifestations des dimensions paradoxales de l'existence chez des personnes en réadaptationDubois, Alain 20 April 2018 (has links)
La recherche part de l'expérience clinique du chercheur, un conseiller d'orientation et psychothérapeute, lequel a œuvré plus de 25 ans à la réadaptation de personnes confrontées à des limitations fonctionnelles significatives et persistantes les menant à une situation de handicap. La thèse, portant un regard existentiel se voulant complémentaire aux modèles conceptuels en vigueur dans le secteur de la réadaptation, part de la question de recherche suivante : « Quelles sont les manifestations des dimensions paradoxales de l’existence humaine dans l’expérience de soi de personnes engagées dans une démarche de réadaptation à la suite d’un évènement traumatique? » La recherche procède à partir de trois études de cas uniques instrumentaux dans une perspective qualitative. Les parcours expérientiels qui émergent des études de cas sont ancrés dans l’expérience subjective des personnes impliquées. L'évolution de leur expérience pendant l'année de la cueillette de données, soit durant leur réadaptation, montre des manifestations des dimensions paradoxales de l'existence. Ces manifestations sont d’une part colorées par les préoccupations singulières de chacun des trois participants à la recherche. D’autre part, les trois études de cas suggèrent que les participants à la recherche vivent un bouleversement significatif de leur vision d'eux-mêmes et du monde dévoilant des dimensions paradoxales de l'existence dans ce contexte de confrontation à la finitude humaine : ils sont habités par des expériences de contraction (impression d'être petit et d'être diminué) et d'expansion (impression d'être grand et de se développer); ils tentent tous les trois dans un premier temps de rétablir leur centre conventionnel (Schneider, 1999a); et ils s'engagent progressivement dans un processus les portant à développer leur centre fluide (Schneider, 1999a; Schneider, 2004). Ces dernières dimensions ─ contraction-expansion, centre conventionnel-centre fluide ─ sont paradoxales au sens où elles constituent des expériences qui peuvent paraitre contradictoires dans leurs manifestations, mais qui sont en fait des expériences qui cohabitent au plan expérientiel, l’une étant moins manifeste au profit de l’autre selon les moments. Qui plus est, vivre de la contraction au sens de se retirer en soi et se fermer évoque inévitablement un désir d’expansion au sens de s’ouvrir et de trouver de nouvelles possibilités d’adaptation. Les interventions en réadaptation soutiennent habituellement le développement d'un sentiment d'efficacité, le rétablissement de l'estime de soi et la reprise des rôles sociaux. Ces visées, bien que positives, favorisent surtout la mise en place du centre conventionnel, lequel procure à la personne un sentiment de stabilité. Ce centre conventionnel, qui contribue à donner un sens à l'existence, est en effet ébranlé à la suite du bouleversement provoqué par la confrontation subite du sentiment illusoire de sécurité. Les résultats suggèrent toutefois que les participants à la recherche développent de façon intensive leur centre fluide, lequel permettra de modifier chez les sujets leurs façons usuelles de s’adapter, élargissant en quelque sorte les possibles au-delà du centre conventionnel, sans pour autant l’invalider. Bien que le centre fluide ne soit pas nécessairement une source de confort et de sentiment de contrôle de sa vie, cette dimension qui se développe sous l’effet de la souffrance vécue et, possiblement, du soutien par un intervenant, est source d'une présence à soi porteuse d'une transformation qui guide la personne dans ses actions, en particulier face à l’arbitraire de la vie et envers l'inconnu vis-à-vis sa propre existence. Pour ce qui est des manifestations d’expansion et de contraction, les résultats montrent qu’elles sont bien des manifestations paradoxales au sens où elles sont expérimentées simultanément par les participants, bien que l’un ou l’autre puisse être davantage manifeste selon les personnes. En se rappelant que chaque étude de cas s’est déroulée dans le cadre d'un processus de réadaptation, il devient apparent au chercheur qu'il y a une forme de complémentarité et non une contradiction dans le développement de ces deux centres, conventionnel et fluide, tout comme pour les dimensions paradoxales de l’expansion et de la contraction qui se manifestent à divers moments du processus de réadaptation et constituent en fait des formes différentes de tentatives de retrouver un contrôle sur leur vie des participants. Finalement, les résultats des trois études de cas illustrent un contexte de vie qui recoupe le concept de situation-limite développé par le philosophe Karl Jaspers. La réflexion du chercheur lors de l'analyse des données l'a conduit à ce concept qui réfère à des contextes de vie éprouvants, sans solution immédiate, qui confronte la personne au défi nécessaire d'assumer sa réalité personnelle et les aléas de la condition humaine. Tout en considérant les limites d'une recherche exploratoire et, qui plus est, provenant d'un petit nombre de sujets, les résultats de la présente recherche posent des jalons pour mieux comprendre l'expérience de personnes confrontées aux dimensions tragiques de l'existence humaine et permet de déceler des dimensions de l’expérience des personnes en réadaptation qu'un intervenant pourrait apprendre à repérer et à soutenir par ses interventions. Mots clés : dimensions paradoxales de l'existence, traumatisme, quête de sens, souffrance, expérience de soi, psychologie existentielle.
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Les espaces de parole comme source de reconnaissance existentielle au travailBénard Cyr, Marie-Line 12 1900 (has links) (PDF)
Les contextes sociaux et organisationnels contemporains suscitent un besoin de reconnaissance au travail chez une majorité d'employés. D'une part, les personnes accordent une grande importance à leur travail et ont de plus en plus d'attentes envers celui-ci. Il leur permet souvent de trouver et de donner un sens à leur vie. D'autre part, la pensée managériale classique, centrée sur l'efficacité, le rendement et l'excellence, est toujours vivante, fragilisant notamment les valeurs humaines et sociales. Les employés sont appelés à en faire toujours plus, plus rapidement, tout en étant davantage stressés et souffrants. En parallèle, la reconnaissance en contexte organisationnel constitue un vecteur de satisfaction, de bien-être et de santé psychologique. Elle apparaît aussi comme un puissant outil de dynamisation des employés. Les dispositions relationnelles propices à la reconnaissance mutuelle se sont toutefois désagrégées au cours des dernières années. Le rythme excessif du travail ne laisse plus place à l'écoute, à la parole et aux interactions. Pour réapprendre à être ensemble, il est pourtant crucial d'ouvrir des espaces de parole et d'offrir un temps à l'expression et à l'écoute. L'objectif principal de cette recherche est d'ailleurs d'explorer les espaces de parole et leur lien avec le sentiment de reconnaissance existentielle en contexte organisationnel, dans une perspective d'humanisation du travail. La reconnaissance existentielle s'attarde au travailleur en tant que personne distincte ayant une identité, une intelligence, des connaissances, des compétences et des sentiments. Dans cette étude, le point de vue du travailleur est privilégié, la recherche s'inscrivant dans une approche interprétativiste. La collecte de données a été effectuée au sein d'un centre jeunesse du Québec qui se préoccupe de la reconnaissance au travail. Six employés d'une même équipe, dont la gestionnaire, ainsi que le conseiller aux ressources humaines et la coordonnatrice du Comité sur la reconnaissance, ont été interviewés dans le cadre d'entretiens semi-dirigés. L'analyse qualitative des données démontre que les participants se sentent généralement reconnus existentiellement au travail. En outre, pour eux, un espace de parole est constitué de quatre dimensions principales : le temps, l'écoute, l'expression et l'amélioration. Le respect et l'ouverture sont également liés au concept. Selon les participants, de nombreux espaces de parole sont présents dans leur milieu, tels les rencontres, les échanges quotidiens et les comités de travail. Le volet amélioration tend cependant à ne pas être toujours présent, malgré son importance manifeste. Par ailleurs, les espaces de parole favorisent le sentiment de reconnaissance existentielle des employés dans le sens où ils laissent place à l'écoute tout en favorisant l'expression, ils donnent une importance à l'individu, ils accordent un temps, ils rendent les membres de l'organisation accessibles, ils aident à combler divers besoins, ils permettent la connaissance mutuelle et ils contribuent au sentiment d'être informé. En fait, le lien entre les deux processus est intrinsèque à divers égards.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : espace de parole, reconnaissance au travail, reconnaissance existentielle, communication interpersonnelle, bien-être au travail.
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Les médiateurs et modérateurs de l'effet d'une intervention cognitive-existentielle pour les personnes atteintes d'un cancer non-métastatique sur la qualité de vie existentielleCochrane, Jean-Philippe 20 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2014-2015 / Les questionnements de nature existentielle sont de plus en plus reconnus comme étant un sujet de préoccupations pour les personnes atteintes d’un cancer. Une intervention cognitive-existentielle (ICE) a été développée pour aider ces personnes à trouver un sens à travers cette épreuve. L’efficacité de l’intervention est présentement étudiée. Pour contribuer au développement des connaissances sur les mécanismes associés aux gains thérapeutiques, deux objectifs seront poursuivis dans le présent projet : 1) explorer les mécanismes par lesquels l’ICE produit un effet thérapeutique (analyses de médiation) et 2) identifier des sous-groupes de la population qui réagissent différemment à l’ICE (analyses de modération). Les analyses suggèrent qu’une grande partie de l’effet thérapeutique de l’ICE sur la qualité de vie existentielle s’explique par l’effet médiateur de la diminution des affects négatifs et de changements dans l’utilisation des stratégies d’adaptation. Les résultats indiquent que l’ICE peut convenir à de nombreux sous-groupes de patients chez qui elle semble produire des gains thérapeutiques comparables.
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La confrontation au sentiment de finitude et le potentiel de développement chez l'adulte engagé dans un processus d'insertion socioprofessionnelle vivant avec des incapacités locomotrices à la suite d'un accidentTrempe, Marie-Eve 10 February 2024 (has links)
Au Québec, plusieurs adultes vivent avec des incapacités locomotrices significatives et persistantes qui résultent d'un accident. Cette expérience de vie nécessite un processus d'adaptation dans diverses sphères de leur vie comme l'insertion socioprofessionnelle. Celui-ci implique également de faire face à plusieurs contraintes, dont le sentiment de finitude, aspect qui apparaît peu étudié à ce jour dans différentes études scientifiques. Bien qu'une telle expérience traumatique comprend une souffrance importante, un potentiel de développement pourrait être vécu à travers le temps. Cette recherche vise donc à mieux comprendre comment la confrontation au sentiment de finitude peut soutenir le potentiel de développement chez l'adulte engagé dans un processus d'insertion socioprofessionnelle vivant avec des incapacités locomotrices à la suite d'un accident. La recherche est axée autour de quatre objectifs : 1) décrire l'expérience subjective des personnes par rapport à leur processus d'insertion socioprofessionnelle afin de saisir le phénomène à partir de leur point de vue; 2) identifier les changements qui se sont manifestés chez la personne à la suite de cette expérience de vie majeure; 3) décrire les moyens utilisés par la personne afin de s'adapter à sa situation; 4) mettre en évidence le rapport qu'on les participants de leur confrontation au sentiment de finitude lié à l'expérience de la mort, la vulnérabilité et l'imprévisibilité. Une recension des écrits sur le sujet a d'abord permis de cerner la problématique. Ensuite, la méthode d'analyse phénoménologique interprétative de Smith et al. (2009) a été utilisée pour répondre aux objectifs de la recherche. Celle-ci a permis d'explorer en profondeur le vécu de ces personnes à travers deux entrevues individuelles semi-dirigées et leurs analyses. Finalement, la mise en relation de la recension des écrits et des résultats de la recherche a permis de mieux décrire et comprendre le processus d'adaptation et le potentiel de développement de ces personnes.
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Première paternité, expérience développementale et cheminement existentielSauvageau, Jacques 25 April 2018 (has links)
Postulant qu’un cheminement à l’égard des réalités existentielles fondamentales constitue un facteur explicatif majeur de ce qui fait qu’une expérience de transition peut favoriser le développement d’un individu, l’auteur questionne l’idée qu’un tel cheminement se produise à l'égard de la responsabilité existentielle chez des individus qui se définissent en transition suite à une première paternité. Une analyse qualitative de données obtenues suite à la réalisation d’entrevues semi-structurées auprès de deux pères d’un premier enfant âgé de 18 à 36 mois a montré que pour eux, cette expérience en a été une de transition et qu'elle les a amenés inévitablement à se responsabiliser davantage face à leur propre existence, ce qui supporte la théorie avancée et permet d’envisager plusieurs avenues d’investigation inexplorées, relativement à l’étude des transitions et de la paternité. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2015
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Système de croyances et menaces existentielles. Analyse d’un équilibre intégrant les croyances en la fin du monde / Beliefs system and existential threats. Analysis of a structure integrating the beliefs in the end of the worldJugel, Milena 01 July 2013 (has links)
Les recherches historiques montrent que les croyances en la fin du monde (CFM) sont très anciennes et qu’elles s’adaptent aux cultures et aux époques en fonction de certains risques perçus par les groupes sociaux (Boia, 1999). Sur cette base cette thèse fait l'hypothèse générale d'un système de croyances déjà structuré intégrant ces CFM, système dont l'équilibre pourrait évoluer sous l'influence de certaines peurs humaines. La première partie de ce travail postule donc l'existence d'un système de pensée intégrant les CFM. A partir de questionnaires (881 participants), nous avons pu mettre en évidence trois modalités de CFM : la fin du monde écologique (responsabilité humaine), la fin du monde scientifique (éloignement temporel et totalité), et la fin du monde religieuse (cause religieuse et meilleur monde possible). Chacune de ces modalités est liée de manière spécifique à diverses façons de justifier le monde : les Croyances en un Monde Juste (notamment la Justice Finale et la Justice Immanente ; Maes, 1998), la Justification du Système (Kay & Jost, 2003), la Religion et la Spiritualité. C'est ce système que nous nous efforçons de "déséquilibrer" dans la deuxième partie en intégrant les apports de la Psychologie Existentielle Expérimentale (Greenberg, Koole & Pyszczynski, 2004). Selon la littérature, l’individu mis dans une situation de « menace existentielle » (i.e. Mort et Incertitude) a besoin de se raccrocher à des croyances rassurantes. Nous émettons donc l'hypothèse selon laquelle ces menaces bouleversent la structure de croyances de l’individu. Nos résultats (245 participants) confirment en partie cette idée, et indiquent aussi l’importance de mesurer les affects. Pour résumer, cette thèse montre l'existence et le fonctionnement d'un système de croyances capable de se déséquilibrer sous l'influence de menaces existentielles et de l’état émotionnel. / Historical research show that beliefs in the end of the world (BEW) are very ancient and that they are culturally guided through the risks that are perceived by social groups (Boia, 1999). Thus, this thesis makes the hypothesis that there is a beliefs structure which integrates BEW, and that this structure could evolve with human fears. The first part of the present study suggests that there is a beliefs system that integrates BEW. 881 participants answered to a questionnaire, and results have shown three main BEW: ecological end of the world (human responsibility), scientific end of the world (totality and temporal distance), and religious end of the world (religious causality and possibility of a better world). Each of these beliefs is linked with specific ways of justifying the present world: Beliefs in a Just World (particularly Ultimate Justice and Immanent Justice, Maes, 1998), System Justification (Kay & Jost, 2003), Religion and Spirituality. In the second part of this study, we used the Experimental Existential Psychology to make this beliefs system unbalanced (Greenberg, Koole & Pyszczynski, 2004). According to this theory, individual faced to an “existential threat” (i.e. Death and Uncertainty) needs to cling on to reassuring beliefs. Thus, we made the hypothesis that these existential threats would have an effect on the beliefs system analyzed previously. Results have partially confirmed this hypothesis (on 245 participants) and brought new information about the importance of measuring emotional state. To summarize, this thesis shows the existence of a beliefs system, how it works, and how existential threats and emotional state can unbalance this beliefs system.
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L'affectivité dans l'oeuvre de Jean-Paul Sartre: tension entre spontanéité et passivitéMayer, Noémie 19 March 2014 (has links)
Le thème de l’affectivité parcourt l’œuvre de Sartre de part en part, de son premier essai de psychologie phénoménologique à sa dernière biographie existentielle. Le but de nos recherches est de dévoiler la tension qui se joue, au cœur de cette thématique, entre une liberté revendiquée et une passivité intrusive. Nous avons entrepris cette étude selon une démarche génétique et chronologique circonscrite en trois cadres de travail qui, au sein du projet sartrien global d’investigation de la réalité-humaine, sont à chaque fois axés sur une méthode particulière de compréhension de l’individu. Nous envisageons d’abord sa psychologie phénoménologique, soit les premiers pas de Sartre en philosophie, puis son ontologie phénoménologique, pour terminer par la mise en application de sa psychanalyse existentielle dans ses biographies. D’un cadre à l’autre, Sartre reprend, complète, fonde, abandonne, modifie ou encore infléchit ses conceptions de l’émotion, de la spontanéité, de la captivité, du psychique, de la passivité, des rapports affectifs avec autrui, de l’affectivité originelle, de l’aliénation. Au cours des textes se déploie une philosophie qui pense toujours plus profondément l’affectivité humaine :partant d’une conscience spontanée sans passé, sans histoire, sans contrainte, en commerce usuel avec un monde aux qualités affectives préexistantes, passant par une conscience maîtresse absolue d’elle-même dans les limites que se donne sa liberté, captivée au sein d’un libre projet qui scelle son destin affectif, Sartre aboutit à une émotivité aliénée, intériorisée par un individu enraciné dans un monde où il se fait être ce qu’on a fait de lui. <p> / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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