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Mémoire, oubli et imaginaires urbains, étude de deux hauts-lieux de la mémoire communiste à Berlin-Est : le Palais de la République et le Musée de la Stasi

Hocquet, Marie 29 September 2011 (has links) (PDF)
Berlin est une ville qui suscite un nombre impressionnant d'images liées à l'histoire du 20eme siècle. Rares sont les villes qui condensent autant d'empreintes dans lesquelles on peut lire les grands événements qui marquèrent l'Europe et le monde. Sur les ruines du siècle passé, Berlin tente aujourd'hui de s'ériger en capitale allemande, un centre du pouvoir politique et économique, la ville reflet d'une démocratie allemande qui se veut modeste et exemplaire. La chute du Mur est un événement qui, pour ses contemporains, a sans conteste débouché sur une rupture d'intelligibilité. Si elle ouvre de facto de nouvelles perspectives à venir, cette rupture d'intelligibilité n'en préfigure pas moins un rapport radicalement nouveau au passé. En Allemagne réunifiée, et plus particulièrement à Berlin, un vaste travail de réévaluation des passés s'est amorcé, ayant pour objectif de combler de sens la nouvelle donne née de l'événement 1989. Le traitement des hauts-lieux du communisme, qui s'effectue de concert avec un vaste travail sur le passé de la RDA, répond à de multiples exigences qui se déclinent en termes politiques, identitaires et économiques. Il importe à la fois de comprendre comment la construction de récits officiels du passé communiste s'inscrit dans une dynamique globale de constitution et 'inscription de récits nationaux de la nouvelle Allemagne dans l'espace urbain de la capitale, et de porter une attention particulière à la réception de ces reconstructions du passé au sein des "publics" berlinois. Comment des références communes à la RDA se construisent-elles? Et comment, en retour, des récits alternatifs de la ville et de ses passés viennent-ils s'opposer aux interprétations, parfois homogénéisantes, que propose le" Nouveau Berlin"?
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Mémoire, oubli et imaginaires urbains, étude de deux hauts-lieux de la mémoire communiste à Berlin-Est : le Palais de la République et le Musée de la Stasi / Memory, oblivion and imaginary realms, study oftwo centers of the communist memory in East-Berlin : the Palace of the Republic and the Stasi Museum

Hocquet, Marie 29 September 2011 (has links)
Berlin est une ville qui suscite un nombre impressionnant d'images liées à l'histoire du 20eme siècle. Rares sont les villes qui condensent autant d'empreintes dans lesquelles on peut lire les grands événements qui marquèrent l'Europe et le monde. Sur les ruines du siècle passé, Berlin tente aujourd'hui de s'ériger en capitale allemande, un centre du pouvoir politique et économique, la ville reflet d'une démocratie allemande qui se veut modeste et exemplaire. La chute du Mur est un événement qui, pour ses contemporains, a sans conteste débouché sur une rupture d'intelligibilité. Si elle ouvre de facto de nouvelles perspectives à venir, cette rupture d'intelligibilité n'en préfigure pas moins un rapport radicalement nouveau au passé. En Allemagne réunifiée, et plus particulièrement à Berlin, un vaste travail de réévaluation des passés s'est amorcé, ayant pour objectif de combler de sens la nouvelle donne née de l'événement 1989. Le traitement des hauts-lieux du communisme, qui s'effectue de concert avec un vaste travail sur le passé de la RDA, répond à de multiples exigences qui se déclinent en termes politiques, identitaires et économiques. Il importe à la fois de comprendre comment la construction de récits officiels du passé communiste s'inscrit dans une dynamique globale de constitution et 'inscription de récits nationaux de la nouvelle Allemagne dans l'espace urbain de la capitale, et de porter une attention particulière à la réception de ces reconstructions du passé au sein des "publics" berlinois. Comment des références communes à la RDA se construisent-elles? Et comment, en retour, des récits alternatifs de la ville et de ses passés viennent-ils s'opposer aux interprétations, parfois homogénéisantes, que propose le« Nouveau Berlin»? / Berlin is a city that spawns an irnpressive imagery related to the history of the 20th century. Few other cities contain so many !andmarks of the great events that shaped Europe and the world. From the ruins of the past century, Berlin is now trying to set itself up as German capital, center of political and economic power, which embodies the German democracy that sees itself as modest and exemplary. The collapse of the Wall is an event that has undoubtedly led to a break of intelligibility for those who lived within it. However much it opens de facto new prospects for the future, this break of intelligibility also foreshadows a radically new relationship with history. ln reunified Germany and especially in Berlin a large scale job of reevaluation of the past has begun, airning at bringing sense to the new historica~ political, economie and social order born from 1989. The treatrnent of the high places of communism, which takes place in conjunction with an extensive work on the past of the GDR, addresses multiple requirements formulated in political and economie terms as weil as in terms of identity. It is important to understand both how the construction of official narratives of the communist pastis part of an overall dyoamic of incorporation and of registration of narratives of the new Germany in the urban space of the capita~ and to pa y special attention to the reception of these reconstructions of the past within the 11public arena" in Berlin How does a common history of the GDR take shape? And how, in turn, do alternative narratives of the city and its past contradict the interpretations sometimes homogenizing proposed by the "New Berlin"?
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De monde carcéral à espace culturel : mémoire collective, patrimonialisation et réappropriations. Le cas de la transformation de l'Ex-cárcel de Valparaiso (Chili) / From prison world to cultural space : collective memory, patrimonialization and reappropriations. The case of the transformation of Valparaiso’s former prison (Chile)

Van Diest Honorato, Camila 16 December 2016 (has links)
Cette thèse étudie la transformation de l’ancienne prison publique de Valparaiso, au Chili, en un espace culturel à partir de sa désaffectation en 1999. S’appuyant sur une enquête de terrain intégrant des entretiens approfondis, des documents de presse écrite et d’autres sources secondaires, elle interroge les configurations singulières qui contribuent à la réhabilitation de ce lieu portant le stigmate de ses fonctions précédentes. Les enchevêtrements entre le monde carcéral et les mondes de l’art et de la culture ainsi que les formes d’administration à mi-chemin entre l’institutionnel et le citoyen sont analysés. La thèse soutient que les infrastructures désaffectées ne sont pas neutres : ancrées dans l’espace urbain, elles constituent le cadre de mémoires collectives et de significations qui dépassent leurs caractéristiques fonctionnelles. Le travail explore les effets de l’ancienne prison sur le capital symbolique et le travail des artistes locaux, dans un cadre de précarité matérielle. Réciproquement, il examine les réappropriations dont le site est l’objet et comment ils tendent à légitimer l’ancienne prison elle-même. Dans le contexte du classement de Valparaiso au patrimoine de l’Humanité par l’Unesco, en 2003, et plus largement du système économique néolibéral chilien, l’ancien pénitencier apparaît comme une plateforme pour des mégaprojets infrastructurels, en vue de la relance de la ville par le biais de stratégies fondées sur la patrimonialisation, le tourisme et les services. En ce sens, la thèse se penche sur la dimension conflictuelle du lieu, tout en analysant les discours officiels de promotion de ces mégaprojets, les contestations qu’ils rencontrent, ainsi que les difficultés éprouvées par les occupants pour s’organiser et parvenir à consolider un projet commun. / This thesis studies the transformation of Valparaiso’s former prison into a cultural space, from the moment of its clearance in 1999. Starting from a fieldwork based on in-depth interviews, written press material and other secondary sources, the investigation examines the singular configurations which contributes to the recovery of this space stigmatized because of its former functions. In this regard, the relations between the prison world and the art and culture world as well as the administration modes half way between the institutional and the civic, are analyzed. This thesis argues that the uninhabited infrastructures are not “neutral”, but are rooted into the urban space, forming the framework of collective memories and are of significations which go beyond merely functional characteristics. In this way this investigation explores the effects of the former prison on the symbolic capital and the work of local artists, framed in a situation of material precariousness. Reciprocally, this research analyses the re-appropriations of the space and to what extent they tend to legitimise the former prison itself. In the context of the designation of Valparaíso as world heritage by the Unesco in 2003, and more broadly of the neoliberal economic Chilean system, the former prison appears as a platform for diverse mega infrastructure projects, with the aim of boosting the city through strategies based on patrimonialization, tourism and services. In this regard, the thesis explores the conflict dimension of the location, by taking into account the official promotion speeches of these megaprojects, the forms of resistance they are confronted to, and the challenges experienced by the occupants themselves to organise and consolidate a common project.
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Santralistanbul : une usine en déclin, une friche culturelle en évolution : la reconversion de la friche industrielle de Silahtarağa en Santralistanbul; un espace culturel pluridisciplinaire et campus / Santralistanbul : a factory in decline, a cultural terrain in evolution

Gündogan, Göknur 10 December 2011 (has links)
La reconversion des friches industrielles constitue depuis les années 1950 un phénomène important en Europe. Bien qu’elle soit connue comme un mouvement de réaménagement urbain, elle porte aussi un sens particulier en ce qui concerne les pratiques culturelles et artistiques d’aujourd’hui. Ces vastes espaces abandonnés par la science et les industries de l’époque moderne deviennent de plus en plus des lieux d’expression alternatifs qui sont propices aux échanges entre l’art, l’industrie et la science de l’époque contemporaine. Ainsi, ces lieux de mémoires incarnent par leurs caractéristiques particulières l’entité des sociétés occidentales contemporaines. A commencer par leurs infrastructures, le modèle d’organisation de travail, et l’approche de production industrielle qu’ils reflètent ; ces usines, laboratoires et centrales sont au croisement de plusieurs questionnements artistiques. L’objectif principal de la présente thèse est d’analyser la possibilité d’une interaction entre l’art, la science, l’industrie mais aussi avec l’ institution académique au sein d’un projet de friche culturelle particulier réalisé à Istanbul en Turquie en mettant l’accent sur les retombées socio‐économiques d’une telle reconversion au niveau urbain. En partant de l’exemple unique de Santralistanbul ‐une initiative de l’université de Bilgi Istanbul qui a redonné vie à l’ancienne centrale électrique de Silahtarağa‐, il s’agit de mettreen lumière les particularités du projet et de se focaliser principalement sur ce qui concerne le domaine des arts du spectacle. / Since the 1950’s, the conversion of industrial wastelands constitute an important phenomenon in Europe. Even if it is more known as a movement of urban redevelopment, it also holds a particular meaning for today’s cultural and artistic practices. These huge (vast) spaces that were abandoned by science and industries of the modern era start to become the places of alternative expressions which are convenient for exchanges between art, industry and science of contemporary times. Thus, these memorial places‐ through their particular characteristics incarnate the entity of the western contemporary societies. Starting by their facilities, the model of organization of work, and the industrial production approach that they reflect; their factories, laboratories and centers are at the crossroads of several artistic questions. The major objective of this thesis is to analyze the possibility of an interaction between art, science, and industry but also academia within the project of a particular cultural wasteland realized in Istanbul in Turkey by putting the emphasis on social –economicalechoes of such a conversion at urban level. Observing the unique example of Santralistanbul – an initiative of Bilgi University that gave life again to the ancient electricity power station of Silahtaraga‐, the point is to highlight theparticularities of the project and to focus principally on the activities concerning the domain of performing arts.

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