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Analyse de survie sur les prédicteurs de la durée d’un processus thérapeutique individuel chez les hommes auteurs de violence conjugale

Belzile, Martin January 2016 (has links)
La violence conjugale est un problème social qui engendre des coûts sérieux (Statistique Canada, 2016). Son traitement est important. Les taux d’abandon thérapeutique observés dans les programmes de traitement en groupe pour les hommes auteurs de comportements violents en contexte conjugal se situent entre 15 et 58 % (Jewell & Wormith, 2010). Ces hauts taux d’abandon réduisent l’efficacité réelle des suivis pour violence conjugale (Bowen & Gilchrist, 2006). Des études montrent que l’âge, l’occupation, le statut conjugal, le faible revenu, l’expérience de violence physique à l’enfance, la consommation de drogue et d’alcool, ainsi que la personnalité colérique et la fréquence des comportements de violence sont des variables qui permettent de prédire l’abandon d’un programme de traitement de la violence conjugale en format de groupe et de type fermé (Jewell & Wormith, 2010). Aucune étude recensée n’a étudié les prédicteurs liés à l’abandon thérapeutique d’un traitement en format individuel de type ouvert. Cette étude visait à identifier quels sont les moments-clés où il y a cessation du suivi pour violence conjugale et à vérifier quelles variables sont associées à une cessation plus ou moins précoce du traitement individuel des hommes auteurs de violence conjugale. Une batterie de questionnaires auto-rapportés a été soumise à 206 hommes francophones qui amorcent une consultation individuelle pour un problème de violence conjugale dans un centre communautaire de la province de Québec. Parmi ceux-ci se trouvaient des questionnaires évaluant l’expérience de la colère, les comportements de violence conjugale, les insécurités d’attachement amoureux et la désirabilité sociable. Le nombre de séances complétées par chaque participant a également été obtenu par le biais de l’organisme. Une première analyse de survie a permis de produire une table de survie et d’identifier trois moments où la cessation du suivi est la plus fréquente, soient une cessation précoce (1 ou 2 séances), une cessation à court terme (3 à 5 séances) et une cessation à moyen terme (après la 11e séance). L’analyse de survie par régression de Cox a ensuite permis de montrer que l’âge, le fait d’avoir complété ou non des études post-secondaires, le fait d’avoir une occupation stable (emploi ou études à temps plein) ou non, le fait de consulter sous ordonnance légale, le niveau de violence psychologique émise, ainsi que les insécurités d’attachement (évitement de l’intimité, anxiété d’abandon) sont tous des prédicteurs significatifs du moment de cessation d’un suivi individuel de type ouvert pour violence conjugale. Plus précisément, les participants qui n’ont pas complété d’études post-secondaires, qui sont sans occupation stable, qui consultent sous ordonnance de la Cour ou de la DPJ et qui présentent peu d’évitement de l’intimité ont davantage tendance à cesser leur suivi de façon précoce; les participants qui ont complété des études post-secondaires et qui présentent peu d’anxiété d’abandon ont davantage tendance à cesser leur suivi à court terme; les clients qui posent moins d’actes de violence psychologique ont davantage tendance à mettre fin à leur suivi à moyen terme. Les implications cliniques de ces résultats sont discutées
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"The fertility transition in Kenya : patterns and determinants"

Ojakaa, David January 2008 (has links)
Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur. / In spite of considerable research on Kenya’s fertility, questions remain. This dissertation examines three of these issues - the national and sub-national trend patterns in the country’s fertility and related proximate determinants, factors in the transitions to second and third conceptions, and the determinants of contraceptive use. Results, presented below, are based upon data which comprised five sample surveys conducted between 1977 and 2003 among women of reproductive age, as well as a community and health facility survey implemented in 1999. First, an exploratory analysis of trends in fertility and its proximate determinants shows that a pattern of later family formation and of a higher level of fertility control is associated with the more modernized and developed regions (urban areas and rural Central Province). Secondly, using survival analysis, the relative hazards of transition to the second and third conceptions for the 12-year periods during which fertility fell rapidly (1977-1989) and the pace of decline reduced (1991-2003) are compared. Among the findings, although child survival has significant effects during both periods, its influence is more pronounced during the recent period. Thirdly, multivariate analysis of the determinants of contraceptive use shows that motivation for fertility control is significant, while access to family planning services is not. That proximity to family planning services might nevertheless be important is shown by the significance of exposure to family planning messages, many of which are often communicated from the health facilities. This dissertation makes contributions in three areas. One, it confirms the dichotomy in the pattern of fertility change and its proximate determinants in the country, not so much along the usual rural-urban separation, but rather between urban areas and rural Central versus the rest of rural Kenya. Two, it shows that the decreased pace of the fertility transition in Kenya, including constant fertility over 1998-2003, might be associated with the rise in infant and child mortality since the 1990s. Three, it shows the significance of education, motivation for fertility control, and exposure to media messages about family planning in contraceptive use, thereby pointing out where policy and program effort should be directed in order to sustain the fertility transition. / Malgré de nombreuses études consacrées à la problématique de la transition de fécondité au Kenya, des questions subsistent. Cette thèse traite de trois d’entre elles : les tendances de la fécondité et ses déterminants proches, les facteurs liés au passage à la deuxième et à la troisième grossesse, et les déterminants de l’utilisation de la contraception. Les données proviennent de cinq enquêtes menées dans ce pays entre 1977 et 2003, auprès de femmes d’âge reproductif, ainsi que d’une étude, conduite en 1999, au niveau communautaire et de centres de santé. Les résultats montrent d’abord une tendance au mariage tardif et à un niveau plus élevé de contrôle de la fécondité dans les régions les plus modernisées et les plus développées (les villes et les zones rurales de la région de la Province Central). Deuxièmement, dans la comparaison des 12 années durant lesquelles la fécondité, mesurée par l’indice de fécondité, s’est réduite (1977- 1989) et celles où le pas de sa baisse a ralenti (1991-2003), on note une augmentation des effets relatifs de la mortalité infantile pendant la deuxième période. Troisièmement, la régression multi variée utilisée pour l’analyse des déterminants proches de l’utilisation de la contraception fait ressortir le rôle important de la motivation pour le contrôle de la fécondité. Bien que l’accès aux services de planification familiale ne constitue pas un facteur significatif en soi, il pourrait jouer néanmoins un rôle dans la mesure où les résultats montrent que l’exposition aux messages de planification familiale (généralement offerts dans les centres de santé) a un effet significatif. La contribution de cette thèse s’articule autour de trois aspects. Premièrement, elle montre une opposition dans les changements de la fécondité et de ses déterminants entre 1977 et 2003, non pas entre les zones urbaines et rurales comme d’habitude, mais plutôt entre zones urbaines et partie rurale de la Province Central d’une part et le reste du Kenya d’autre part. Deuxièmement, le ralentissement de la baisse de la fécondité, y compris le niveau stable observé entre 1998 et 2003, est probablement lié à la hausse, depuis les années quatre-vingt dix, de la mortalité infantile. Troisièmement, cette thèse confirme le rôle significatif de la scolarisation, de la motivation pour le contrôle des naissances, et de l’effet positif des messages sur l’usage des méthodes de planification familiale, montrant ainsi les domaines dans lesquels doivent intervenir les politiques et programmes afin de maintenir la transition de fécondité.
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"The fertility transition in Kenya : patterns and determinants"

Ojakaa, David January 2008 (has links)
Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur.
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D’un système à l’autre : facteurs de risque d’incidence LSJPA chez les jeunes pris en charge en protection de la jeunesse en raison de troubles de comportement

Pineau-Villeneuve, Catherine 08 1900 (has links)
Le but premier des services de protection de la jeunesse est de mettre fin à une situation de compromission et d’éviter que celle-ci ne se reproduise. Cependant, une meilleure connaissance des facteurs de risque d’incidence LSJPA chez les jeunes pris en charge en raison de leurs comportements problématiques permettrait de mieux identifier et ainsi, d’adapter les interventions chez ceux se révélant être les plus à risque de délinquance juvénile. La présente étude propose donc de décrire l’ampleur et le risque d’incidence c’est-à-dire, l’application d’une sanction ou d’une mesure en vertu de la LSJPA chez ces jeunes et de déterminer, parmi les facteurs associés au jeune et ceux inhérents à l’intervention, quels en sont les meilleurs prédicteurs. Pour ce faire, des données clinico-administratives des 16 centres jeunesse du Québec ont été utilisées. Ainsi, tous les enfants et adolescents dont le dossier a été fermé à la suite d’une première intervention en protection de la jeunesse en raison de troubles de comportement entre le 1er janvier 2005 et le 31 décembre 2009 ont été observés (N = 6 630). Des analyses de survie (modèle Kaplan-Meier) ainsi que des régressions de Cox ont été effectuées. Les résultats indiquent qu’un jeune pris en charge en raison de troubles de comportement a 39,7% de risque de migrer vers les services judiciaires pour adolescents dans les cinq années qui suivent la fermeture de son dossier. Sans grande surprise, les garçons présentent un plus grand risque que leurs homologues féminins. Il appert également que le risque d’incidence varie en fonction du sexe et de la présence de maltraitance lors de la prise en charge initiale. De plus, les facteurs associés à l’usager lui-même semblent avoir un impact plus important sur l’incidence que ceux associés à la prise en charge. Aussi, la récurrence dans les services de protection en raison de troubles de comportement mais également en raison de nouveaux éléments liés à la maltraitance sont au nombre des éléments à surveiller avec beaucoup d’attention puisqu’ils sont fortement liés à une migration vers la LSJPA. Les implications cliniques sont discutées et une ouverture sur de futurs travaux est faite. / Among children and youth who have been maltreated, several studies point to the elevated risk of developmental problems such as delinquency and justice system involvement. Presenting serious behavioral problems is a sufficient condition to receive child protection services (CPS) in the province of Quebec; this offers the opportunity to focus on this condition and on the role it may play or not in the subsequent risk of Youth Criminal Justice Act (YCJA) involvement. The primary role of CPS is to end an abusive situation and to prevent its recurrence. However, a better understanding of the risk factors that lead to an YCJA involvement would help to identify and to adapt interventions for those at greatest risk of juvenile delinquency. The aim of this study is to describe the risk of an YCJA event after a first intervention of CPS due to behavioral problems, and to determine the individual and intervention related factors associated with this YCJA involvement. Administrative data from 16 youth centers in the province of Quebec has been used. Thus, all children and adolescents who have had their file closed after a first CPS intervention due to behavioral problems between January 1st 2005 and December, 31st 2009 were observed (N = 6,630). Survival analysis (Kaplan-Meier model) and Cox regression analyzes were performed. The results indicate that youths in the sample present a 39.7% overall risk of YCJA involvement within the 5-year follow-up period. Boys present a higher risk of YCJA involvement than girls, an unsurprising result. It also appears that the risk varies by gender and the presence of co-occurrence of maltreatment at initial report. Individual risk factors seem to have a greater impact on YCJA involvement than those associated with the CPS intervention. Moreover, recurrences of CPS due to behavioral problems but also because of new information related to child’s maltreatment are particularly important since they are strongly associated with future YCJA involvement. Implications for theory, research, and practice are discussed.

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