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Splendeurs et misères du Corps Expéditionnaire Français en Italie : (novembre 1942 - juillet 1944) / The splendors and miseries of the French Expeditionary Corps in Italy : (November 1942 - July 1944)

Le Gac, Julie 09 December 2011 (has links)
En portant pour la première fois depuis la défaite de 1940 l’étendard tricolore sur le sol européen, le Corps Expéditionnaire Français accomplit un geste capital pour le relèvement national. La force du symbole ne saurait occulter ses vicissitudes. La thèse propose une histoire totale du CEF, du débarquement allié en Afrique du Nord en novembre 1942 à son retrait d’Italie en juillet 1944. Au-delà des opérations militaires, il importait de revenir sur la genèse du CEF : d’évaluer la mobilisation générale de l’AFN à laquelle répondent sans enthousiasme Européens et indigènes, d’étudier les affres de la fusion entre l’armée d’Afrique et les Forces Françaises Libres et d’observer les liens entre Français et Alliés, alors que les armes fournies par Washington accentuent la dépendance tricolore. Enjeu diplomatique pour Alger, la participation française est examinée à la lumière des débats sur la stratégie méditerranéenne. Théâtre d’opérations secondaire, la campagne d’Italie se révèle fort éprouvante. La thèse analyse alors l’anatomie de la bataille : la violence de la guerre de positions pendant l’hiver 1943-1944, les souffrances des combattants et les pertes physiques et psychiatriques. Elle s’intéresse aussi aux loisirs des soldats, à l’exercice de la discipline et à la nature des relations coloniales au sein de l’armée. La thèse évalue ensuite le rôle du CEF dans la libération de Rome en juin 1944. Cette victoire est toutefois ternie par les nombreux viols et pillages commis à l’encontre des civils italiens. Enfin, si le CEF marque une étape décisive dans la reconstruction de l’armée française, il révèle également la césure qui se dessine entre la métropole et son Empire. / By fighting under the tricolour flag for the first time on European soil since the defeat of 1940 the French Expeditionary Corps (FEC) made an important symbolic gesture towards national recovery. The symbolism of this historical moment should not, however, obscure the difficulties behind it. This thesis presents a wide-ranging study of the FEC from the Allied landings in North Africa in November 1942 to the FEC’s withdrawal from Italy in July 1944. It not only examines military operations but also highlights the political and diplomatic difficulties faced during the FEC’s creation: the lukewarm public response to the levée en masse in French North Africa, the problematic amalgamation of Vichy’s Army of Africa with the Free French Forces and the uneasy relationship between French and Allied leaders, French diplomacy impeded by dependence on U.S. arms. French participation in the Italian campaign is also examined in the light of Allied debates on military strategy in the Mediterranean Theatre. Though a peripheral war zone, the Italian peninsula was the scene of a gruelling struggle. This thesis offers a detailed analysis of the combat experience: the violence of the war of attrition in the winter of 1943-44, the suffering of the combatants and the physical and psychiatric casualties. It also examines questions relating to soldiers’ leisure, discipline and colonial relations within the army. It then evaluates the role of the FEC in the liberation of Rome in June 1944, a victory tarnished by incidents of rape and looting. Ultimately, while the FEC marks a decisive step in the reconstruction of the French Army, it also reveals a growing rift between France and its Empire.
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La France et les Français devant le service du travail obligatoire (1942-1945)

Spina, Raphaël 29 June 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse représente la première synthèse scientifique à l'échelle nationale sur le Service du Travail Obligatoire (STO). De septembre 1942 à l'été 1944, les lois du régime de Vichy contraignent 600 000 à 650 000 personnes à partir dans le Reich remplacer les mobilisés allemands. Ce drame, tournant majeur de l'Occupation, reste après-guerre sous-étudié, et ses victimes oubliées. Il est reconstitué ici sous l'ensemble de ses aspects : relations franco-allemandes, impacts économiques et sociaux, accentuation du discrédit de l'Etat français et du collaborationnisme, contribution à l'essor de la Résistance et des maquis. Notre travail se clôt sur la vie des exilés en Allemagne, leur retour et leur mémoire amère, portée par l'ex-Fédération Nationale des Déportés du Travail. Un fil conducteur est l'attitude de l'opinion publique face aux prélèvements de main-d'œuvre. Perceptions et comportements dépendent des étapes du STO, des classes sociales, des appartenances religieuses ou des circonstances locales. Malgré bien des contestations (grèves, manifestations), la France est le seul pays d'Europe occupée à fournir tous les hommes demandés, du moins jusqu'à l'été 1943. Les Français paraissent d'abord pris au dépourvu, impuissants, divisés. Les individus, repliés sur eux-mêmes, semblent moins soucieux de se soustraire au travail forcé ou d'aider autrui à s'y dérober que d'exiger que ce tribut impopulaire frappe tous les groupes à égalité. La désobéissance de masse ne s'instaure que dans un second temps. A côté de l'obéissance et du réfractariat, nous étudions ce que nous baptisons la " refusance ", c'est-à-dire les moyens de refuser le STO sans recourir à la clandestinité (emplois protégés, faux certificats médicaux, entrée dans les forces de l'ordre, etc.).
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La France et les Français devant le service du travail obligatoire (1942-1945) / France and its population confronted to the compulsory labor draft (1942-1945)

Spina, Raphaël 29 June 2012 (has links)
Cette thèse représente la première synthèse scientifique à l’échelle nationale sur le Service du Travail Obligatoire (STO). De septembre 1942 à l’été 1944, les lois du régime de Vichy contraignent 600 000 à 650 000 personnes à partir dans le Reich remplacer les mobilisés allemands. Ce drame, tournant majeur de l’Occupation, reste après-guerre sous-étudié, et ses victimes oubliées. Il est reconstitué ici sous l’ensemble de ses aspects : relations franco-allemandes, impacts économiques et sociaux, accentuation du discrédit de l’Etat français et du collaborationnisme, contribution à l’essor de la Résistance et des maquis. Notre travail se clôt sur la vie des exilés en Allemagne, leur retour et leur mémoire amère, portée par l’ex-Fédération Nationale des Déportés du Travail. Un fil conducteur est l’attitude de l’opinion publique face aux prélèvements de main-d’œuvre. Perceptions et comportements dépendent des étapes du STO, des classes sociales, des appartenances religieuses ou des circonstances locales. Malgré bien des contestations (grèves, manifestations), la France est le seul pays d’Europe occupée à fournir tous les hommes demandés, du moins jusqu’à l’été 1943. Les Français paraissent d’abord pris au dépourvu, impuissants, divisés. Les individus, repliés sur eux-mêmes, semblent moins soucieux de se soustraire au travail forcé ou d’aider autrui à s’y dérober que d’exiger que ce tribut impopulaire frappe tous les groupes à égalité. La désobéissance de masse ne s’instaure que dans un second temps. A côté de l’obéissance et du réfractariat, nous étudions ce que nous baptisons la « refusance », c’est-à-dire les moyens de refuser le STO sans recourir à la clandestinité (emplois protégés, faux certificats médicaux, entrée dans les forces de l’ordre, etc.). / This thesis represents the first scientific synthesis nationwide about the Compulsory Labor Draft (Service du Travail Obligatoire, STO) inflicted upon France during the Second World War. Between September 1942 and the summer of 1944, laws enacted by the Vichy Regime forced approximately 600000 to 650000 French people to leave for the Reich in order to replace the German people recruited to the military. This turning point of the Occupation remained underrepresented in post-war research, and the victims felt into oblivion. The STO is reconstructed with special interest to the relationships between France and Germany, the socio-economic impacts, the discredit brought to the Vichy government and the collaborationist parties, the help to the expansion of the French Resistance and of the Maquis. The work ends with a depiction of the exiled people’s lives, their return and their bitter memories, supported by the former Fédération Nationale des Déportés du Travail. The main idea throughout this work is the attitude displayed by the public opinion confronted to the forced labor. Perceptions and behaviors depend on the periods in the history of the STO, of social classes, religion or local contexts. In spite of many protests such as strikes and demonstrations, France is the only country to have delivered all men requested by Germany, at least up to the summer of 1943. The French people seem to have been taken by surprise, powerless and divided. Individuals seem less troubled with dodging the forced labour service or with helping others to do so than with claiming that the whole population should equally be taken by this highly obnoxious toll. The massive disobedience only took over in a second cycle. Alongside the obedience and the réfractariat, the refusal newly coined as “refusance”, is a phenomenon studied in this work. The latter world refers to official actions and dynamics of refusing the STO without having to go underground, i.e. protected workplaces, false medical certificates or the joining of the law polices, to name but a few.

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