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UMA FONTE DE ?GUA VIVA: A participa??o das mulheres no assentamento Arizona S?o Miguel do Gostoso-RNSilva, Marialda Moura da 13 November 2006 (has links)
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Previous issue date: 2006-11-13 / Cette ?tude cherche ? comprendre la signification sociale de La participation des f?minine dans le contexte de l organisation des p?rim?tres de r?forme agraire. Elle est construite autour de la mise en ?vidence des effets de cette participation dans la vie des femmes et dans les relations qu elles ?tablissent avec leurs familles et avec la communaut? du p?rim?tre. Les donn?es ont ?t? obtenues ? partir d observations participatives, entretiens et discussions. Elles ont permis d identifier les relations de genre et de pouvoir, construites autour du processus d organisation du p?rim?tre de Arizona, dans la pr?fecture de S?o Miguel do Gostoso, Rio Grande do Norte, r?gion de l ?tude. L analyse s est concentr?e sur l?s dynamiques li?es ? la lutte pour l acc?s ? la terre, pour identifier diff?rentes formes de participation de femmes et d hommes, en recherche d alternatives pour s installer dans ce contexte. On constate la participation des femmes ? diverses formes d activit?s inh?rentes ? l organisation du quotidien en milieu rural, principalement pour la recherche d am?liorations des conditions de vies, pour elles et leurs familles. Pour cela elles tissent des liens de solidarit? et d amiti?, occupent les espaces politiques et de d?cision, dans le p?rim?tre de r?forme agraire et de fa?on plus large, au niveau de la pr?fecture. Elles pratiquent le travail en groupe, comme forme d organisation et d?veloppent des activit?s productives dans le domaine de l agro?cologie. On constate que les femmes ont une place essentielle dans l ?conomie domestique et s affirment comme des acteurs productifs et sociaux. Il faut noter enfin, que cette ?tude est une invitation au d?bat, sur le quotidien de l acteur f?minin dans les p?rim?tres de r?forme agraire, dans la mesure o? le substrat symbolique est avanc? comme un support pour expliquer la participation diff?renci?e de la femme dans la lutte pour la terre et dans son quotidien / Este estudo busca compreender o significado social que tem a participa??o das mulheres no contexto de organiza??o do assentamento rural, evidenciando os efeitos que tem essa participa??o na vida das mulheres assentadas e nas rela??es que estabelecem com a sua fam?lia e o assentamento. Os dados foram obtidos a partir da observa??o participante, entrevistas e relatos orais, que possibilitaram a identifica??o das rela??es de g?nero e poder constru?das no processo de organiza??o do assentamento Arizona no munic?pio de S?o Miguel do Gostoso-RN, universo pesquisado. A an?lise orientou-se no sentido de desvelar processos em torno da luta pela terra e de captar formas de participa??o diferenciada de mulheres e homens que buscam alternativas para permanecerem no lugar. Constata-se, nesse contexto, a participa??o das mulheres assentadas em diversas atividades inerentes ? organiza??o do cotidiano rural, sobretudo, a busca por melhorias de vida para si e sua fam?lia. Para isso, constroem la?os de solidariedade e amizade, ocupam espa?os p?blicos e de decis?o no assentamento e em n?vel de munic?pio. Experimentam a organiza??o, enquanto grupo, e desenvolvem atividades produtivas no ?mbito da agroecologia. Verifica-se que as mulheres assentadas desempenham um papel essencial na economia dom?stica, afirmando-se na qualidade de sujeito produtivo e social. Ressaltamos, por fim, que este estudo representa uma iniciativa de abertura ao debate sobre o cotidiano desse sujeito feminino no assentamento rural, na medida em que o substrato simb?lico ? colocado como suporte para explicar a participa??o diferenciada da mulher durante o conflito de luta pela terra e na vida cotidiana do assentamento rural
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L'église s'engage dans la politique / The politic engagement of roman catholic churchPinheiro, Mario Doraci 17 September 2013 (has links)
Cette thèse a pour but d’analyser l’engagement institutionnel de l’Église catholique et des groupes pentecôtistes sur le terrain politique et agraire du Brésil à partir de l’organisation de la Conférence nationale des évêques du Brésil (CNBB) en 1952. Nous discutons la façon dont l’Église catholique commence la lutte d’abord pour « alphabétiser » et « rapprocher » ses fidèles perdus par l’idéologie socialiste développée par les ligues paysannes, puis pour empêcher l’accroissement du front communiste dans les campagnes. L’engagement social de l’Église catholique n’est pas désintéressé car les militaires brésiliens, avec l’aide américaine, déclarent le « coup d’État » en 1964. L’Église catholique brésilienne se divise en deux pôles, progressiste et conservateur. Le côté progressiste de la théologie de la libération se voit empêché et interdit par Rome. Mais cette minorité religieuse arrive à créer la Commission pastorale de la terre (CPT) qui contribuera au retour de la démocratie, à la création du Parti des travailleurs (PT) en 1980, considéré alors comme le parti de Dieu, et du Mouvement des paysans sans terre en 1984. / This thesis aims to analyse the institutional engagement of the Roman Catholic Church and other Pentecostal groups, regarding the land reform and agrarian policies launched in Brazil after the organisation of the Brazil’s Conference of Catholic Bishops (CNBB) held in 1952. We underline that it is necessary to highlight the way how the Roman Catholic Church started its actions by “teaching to read and write” and “recovering” their members those who were dragged into the socialist ideology developed by peasant’s leagues, in order to prevent the growing of the communist front in the countryside. At that time, the catholic’s social movement objectives were under eminent danger, due the Brazilian army aided by the U.S. government, declared a coup in 1964. The Roman Catholic Church in Brazil is divided into two wings: a left and a conservative. The left wing has launched the “Liberation Theology” prohibited by the head of the church in Rome. However, this religious left minority succeeded by organizing the Land’s Pastoral Commission, which contributed to the return of democracy, as well as the organization of the Worker’s Party in 1980, considered by the believers as the God’s will and the foundation of the Landless Worker’s Movement in 1984.
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Identité culturelle et contrôle de la terre : le pays Meč̣č̣a (Éthiopie du centre-ouest) de l'Ancien Régime à la RévolutionGascon, Alain 15 July 1982 (has links) (PDF)
L'un des traits fondamentaux de l'Ancien Régime Ethiopien est la liaison étroite entre la possession de la terre et la participation à l'exercice du mouvoir. Au Meč̣č̣a , la minorité des propriétaires fonciers Amhara résident en ville autour des églises, des écoles et des administrations, fiers de leur antique civilisation chrétienne et de leur généalogie salomonienne, et conscients de la supériorité de leur culture écrite. Les Oromo Méa, majoritaires, repliés dans les campagnes, ont perdu simultanément leurs droits sur la terre et leur indépendance depuis leur défaite devant les troupes de Menilek (vers 1870-1880). Depuis près d'un siècle, aucune assimilation n'a été possible entre le peuple élu des vainqueurs et les vaincus qui ont abandonné des pans entiers de leur mémoire collective, se soumettant à la loi des maîtres. A cette règle, échappent les quelques Meč̣č̣a auxiliaires des Amhara qui ont rompu avec leurs origines et reçu des droits sur la terre et des bribes de pouvoir. D'autre part, les Galila, isolés sur le Wonn, planteurs de faux-bananiers, représentent une enclave de paix, alors que, partout au Meč̣č̣a, les Amhara campent comme une armée d'occupation. La Révolution de 1974 en apporte la preuve éclatante quand l'Ancien Régime s'effondre en quelques jours à l'annonce de la Réforme Agraire. Avec la terre, les militaires ont rendu aux Meč̣č̣a leurs traditions et leur langue,diffusée à la radio et enseignée dans les écoles. Depuis quelques temps, les autorités affermies tentent de contrôler la terre par l'intermédiaire des coopératives et montrent des hésitations à revenir sur le caractère dominant de l'Amharique. Les Meč̣č̣a n'ont-ils fait que de changer de maîtres ?
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