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Variables médiatrices associées aux symptômes dépressifs à l'adolescence chez des enfants présentant des problèmes de comportement à l'enfance : effet du genre

Picarou, Katherine January 2015 (has links)
Les problèmes de comportement et la dépression surviennent fréquemment en cooccurrence chez les adolescents et les adolescentes et entraînent leur lot de conséquences respectives. En se basant sur le modèle de Patterson et Capaldi (1990), la présente étude a pour but de valider le rôle des variables du rejet social et des difficultés académiques comme médiateurs du lien entre les problèmes de comportement présents à l’enfance et le développement de problèmes dépressifs à l’aube de l’adolescence, et de vérifier si ces liens diffèrent selon le genre. L’échantillon est composé de 745 enfants âgés entre 6 et 9 ans et recrutés parce qu’ils présentaient des problèmes de comportement ou différents facteurs de risque des problèmes de comportement. Les résultats montrent que, si la coercition parentale est un médiateur significatif pour l’ensemble des enfants, c’est la qualité de l’insertion sociale qui s’avère être un médiateur particulièrement déterminant du développement de problèmes dépressifs chez les garçons présentant des problèmes de comportement. Chez les filles, le rejet social comme médiateur se traduit particulièrement par la qualité de l’implication relationnelle du parent et le rejet parental. Sur le plan des retombées pratiques, les résultats pointent le rôle des relations parentales et de l’insertion sociale dont l’importance varie selon le genre dans la relation entre les problèmes de comportement et la dépression. Certaines recommandations concernant les pratiques probantes en matière d’intervention auprès des enfants présentant des problèmes de comportement sont formulées.
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La victimisation par les pairs et le développement de l’anxiété sociale au début de l’adolescence : l’effet modérateur des caractéristiques des amis

Allard, Ariane 12 1900 (has links)
L’objectif de cette étude est d’explorer l’effet modérateur du nombre d’amis et de leurs caractéristiques sur le lien prédictif entre la victimisation par les pairs et l’anxiété sociale. Plus spécifiquement, cette étude s’intéresse aux niveaux moyens de victimisation, de rejet et d’anxiété sociale des amis comme facteurs aggravants potentiels. Les données ont été recueillies à deux reprises auprès de 576 adolescents d’en moyenne 13,5 ans au début de leur secondaire deux et à la fin de leur secondaire trois. Les participants ont répondu à des questionnaires auto-rapportés pour les mesures de victimisation et d’anxiété sociale et ont participé à une procédure de nomination sociométrique pour la mesure de statut social et l’identification des amis. De manière concomitante, les résultats démontrent que la victimisation par les pairs et certaines caractéristiques des amis (niveaux d’anxiété et de rejet social) contribuent respectivement, de manière unique et indépendante, à rendre compte de l’anxiété sociale des participants. De manière longitudinale, la victimisation par les pairs permet de prédire le développement de l’anxiété sociale sur une période de 1,5 ans. Néanmoins, le nombre d’amis et leurs caractéristiques ne contribuent pas de manière additive au développement ultérieur de l’anxiété sociale. De plus, les caractéristiques des amis n’interagissent d’aucune façon avec la victimisation par les pairs pour rendre compte du développement ultérieur de l’anxiété sociale. Cependant, des analyses exploratoires ont permis de montrer que le niveau de victimisation des amis constitue un facteur aggravant pour les enfants rejetés socialement; le rejet par les pairs étant positivement associé au développement de l’anxiété sociale chez les élèves qui entretiennent des relations d’amitié avec des élèves qui rapportent être victimes de mauvais traitements. / The aim of this study was to explore to what extent the number of friends and friends’ characteristics interact with peers’ victimization to predict the development of social anxiety over time. More specifically, friends’ characteristics considered by this study were peers’ victimization, peers’ rejection and social anxiety average levels as potential aggravating factors. Data was collected two consecutive years, from 576 adolescents of 13,5 years old average. The data was collected first during the fall semester of 8th grade, and a second time during the spring semester of 9th grade. Participants answered self-reported questionnaires concerning peers’ victimization and social anxiety. They also participated in a sociometric nomination procedure within their school and classroom concerning social status and friends’ identification. Results indicated that peers’ victimization and friends’ characteristics (i.e. social anxiety and rejection levels) have an additive contribution when predicting concurrent social anxiety. Results also showed that peers’ victimization predicted subsequent increase in social anxiety 1.5 year later. However, the number of friends and friends’ characteristics did not show any additive effect in predicting development of ulterior social anxiety. Moreover, friends’ characteristics do not interact with victimization to predict ulterior social anxiety. Nonetheless, exploratory analysis showed that friends’ victimization acts as an aggravating factor for participants with a negative social status: peers’ rejection being positively associated to an increase in social anxiety in students with victimized friends.
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La résistance à l’interférence proactive en situation de rejet social et le rôle de la propension au clivage

Saleh, Gasser 08 1900 (has links)
Le clivage est un mécanisme de défense dans lequel les représentations positives et négatives de soi-même et d’autrui sont séparées afin d’éviter de ressentir l’anxiété. Les stresseurs interpersonnels provoqueraient des comportements impulsifs chez les individus ayant une propension au clivage élevée. Ceci dit, les processus cognitifs associés à la propension au clivage sont inconnus. La capacité de résistance à l’interférence proactive est la capacité de résister à l’intrusion en mémoire de travail de pensées impertinentes pour la tâche en cours. Ainsi, cette capacité pourrait jouer un rôle important dans la gestion de représentations et être diminuée par les stresseurs de nature interpersonnelle. La présente étude avait pour but de vérifier l’hypothèse voulant que la résistance à l’interférence proactive diminue dans une condition d’exclusion sociale et que cet effet soit augmenté par la propension au clivage. L’échantillon comprenait 131 individus provenant d’une population non-clinique. D’abord, ils ont complété un questionnaire mesurant la propension au clivage. Ensuite, ils ont été assignés aléatoirement à une condition soit d’exclusion sociale, soit d’inclusion sociale. Finalement, ils ont effectué une tâche de résistance à l’interférence proactive. Dans la condition d’exclusion, les participants commettent davantage d’erreurs sur les cibles négatives non récentes que sur les cibles négatives récentes à la tâche de résistance à l’interférence proactive. Aucune interaction n’a été obtenue entre la propension au clivage et les conditions sociales. Conséquemment, les processus cognitifs associés à la propension au clivage demeurent inconnus, mais des pistes d’explication sont explorées du point de vue méthodologique pour les recherches futures. / Splitting refers to a defense mechanism by which the positively and negatively charged representations of self and others are separated in order to protect oneself from several anxiety. Interpersonal stresses play a major role in triggering impulsive behaviors among individuals with a high splitting usage. However, the cognitive processes associated with the usage of splitting are unknown. Resistance to proactive interference is the ability to resist memory intrusions from irrelevant previously learned information. This cognitive ability might, thus, play an important role in regulating representations and be decreased by interpersonal stress. It is hypothesized that the resistance to proactive interference would decrease during social exclusion and this effect would be function of splitting use frequency. The sample consisted of 131 nonclinical individuals from student and general population. They completed a self-report splitting questionnaire. Then, they were randomly assigned to rejection or inclusion conditions on an interpersonal task. Finally, they performed a resistance to proactive interference task. In the rejection condition, the error rate on negative probes trials was higher than recent negative probes trials. Splitting usage did not interact with social condition in predicting the error rate in the resistance to proactive interference task. Consequently, the cognitive processes associated to splitting usage remain unknown but explanations are explored in a methodological view for future researches.

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