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Psychologie développementale de deux processus : l'inhibition comportementale et l'intentionnalité émotionnelle et leurs relations avec l'émergence des troubles anxieux dans l'enfance / Developmental psychology of two processes : behavioral inhibition and emotional intentionality and their relation to the emergence of anxiety disorders in childhood

Harscoet, Vanessa 19 December 2017 (has links)
Cette recherche porte sur la compréhension des processus cognitifs, émotionnels et comportementaux en jeu dans l’émergence du trouble d’anxiété sociale chez l’enfant, et sur l’interaction de ces processus dans son développement. Nous tenterons de décrire les mécanismes précoces de développement de ce trouble chez les enfants de 6 à 9 ans. Il est observé un déficit de compétences dans la reconnaissance des émotions du visage d’autrui chez les enfants anxieux. Ils reconnaitraient plus difficilement les émotions positives d’un visage, et seraient particulièrement sensibles aux émotions négatives. Certaines études ont ainsi parlé d’« un biais de perception négative » dans la reconnaissance des visages chez ces enfants. Nous essaierons de mesurer si dès six ans, il existe des différences dans leur capacité de jugement de l’intentionnalité émotionnelle de l’autre en fonction de leur niveau d’anxiété sociale, et d’analyser l’évolution de ce processus dans le temps. Des auteurs ont montré que les enfants chez qui l’on observe une attitude comportementale inhibée devant des stimuli sociaux nouveaux paraissent émotionnellement plus réactifs et plus susceptibles de développer un trouble anxieux. Ils ont indiqué qu’apparaissant dès le très jeune âge chez l’enfant, l’inhibition comportementale peut être un facteur de risque de développement d’un trouble d’anxiété sociale. Nous testerons l’hypothèse d’un processus d’inhibition comportementale accompagnant l’émergence et l’évolution du trouble d’anxiété sociale au cours de l’enfance, et nous essaierons de voir comment ce processus s’articule avec les phases de développement émotionnel de l’enfant. Lors de l’introduction du concept d’anxiété sociale, on s’est interrogé sur les spécificités culturelles de ce trouble qui est, par essence, lié aux normes sociales et relationnelles véhiculées par le groupe d’appartenance d’un individu. Nous proposons donc d’intégrer une dimension interculturelle à cette étude afin de tester l’universalité de ces processus. / Pas de résumé disponible
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Le trouble d'anxiété sociale à l'adolescence : traitement par exposition de la peur de parler en public par la réalité virtuelle

Doré, Francine January 2008 (has links)
Le trouble d'anxiété sociale se manifeste surtout à partir de l'adolescence alors que les relations sociales sont cruciales. Le premier article vise à présenter le cadre théorique de l'anxiété sociale à partir des données empiriques actuelles. Le trouble d'anxiété sociale altère non seulement le fonctionnement social, mais les conséquences à long terme sont persistantes. Les facteurs de risque intrinsèques et extrinsèques au développement du trouble sont identifiés, ils sont discutés en fonction du modèle de Barlow sur le développement des troubles anxieux. Une faible proportion des adolescents reçoit le diagnostic et le nombre de ceux qui se présentent à un traitement est encore plus restreint. Les traitements disponibles sont issus de l'approche cognitive comportementale et leur efficacité à réduire l'anxiété sociale demeure mitigée pour un grand nombre d'entre eux. Le second article propose une étude de cas auprès de cinq adolescents avec un trouble d'anxiété sociale. Ils sont soumis à un traitement par exposition à un auditoire virtuel pour traiter leur peur de parler en public, une composante de l'anxiété sociale. L'objectif est de connaitre le potentiel thérapeutique de la réalité virtuelle en termes d'efficacité à réduire l'anxiété sociale, sa crédibilité et sa pertinence auprès d'adolescents en milieu clinique. La possibilité de généralisation des effets à d'autres contextes sociaux est également étudiée. Outre l'anxiété sociale, le sentiment de présence, la dépression et la motivation sont évalués. Les résultats indiquent que quatre des cinq participants ont réduit ou éliminé leur peur de parler en public. D'autre part, une amélioration des symptômes est observée dans leurs relations sociales ce qui supports une certaine généralisation des effets. La pertinence de la réalité virtuelle pour le participant et le thérapeute est discutée. Les limites de l'étude et des considérations futures sont présentées.
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L’anxiété sociale à l’adolescence en tant que facteur prédictif de la délinquance chez une population de jeunes québécois

Pagé, Caroline Anne 02 1900 (has links)
La présente thèse regroupe deux articles qui examinent le rôle de l’anxiété sociale sur les comportements délinquants à l’adolescence. Pour le premier article, l’apport de l’anxiété sociale sur l’émergence de comportements de délinquance générale et relationnelle parmi 191 adolescents a été évalué. Les adolescents provenaient d’écoles secondaires de la province de Québec qui participaient à l’évaluation d’une stratégie d’intervention Agir Autrement (SIAA), une stratégie de prévention du décrochage scolaire en milieu défavorisé. L’échantillon obtenu a permis d’identifier deux groupes d’adolescents présentant des caractéristiques de délinquance générale ou relationnelle pour tester le rôle prédictif de l’anxiété sociale, de l’estime de soi, de l’isolement social et de la dépression sur leur profil de délinquance. Les résultats d’une analyse linéaire discriminante ont révélé qu’au-delà des facteurs individuels et sociaux testés, l’anxiété sociale prédit les trajectoires de délinquance deux ans plus tard. Pour le deuxième article, des analyses de trajectoires à partir d’analyses par équations structurelles ont été effectuées pour expliquer les associations prospectives entre l’anxiété sociale, la dépression et l’isolement social au début de l’adolescence sur les comportements de délinquance générale et relationnelle. Les résultats ont montré que l’anxiété sociale et l’isolement social sont des prédicteurs importants dans le développement de la délinquance relationnelle, toutefois la dépression ne s’est pas avérée prédictive. Ces études contribuent à la recherche dans le domaine de l’anxiété en expliquant l’importance de poursuivre les travaux pour mieux cerner le rôle de l’anxiété sociale et de l’isolement social chez les adolescents qui commettent des actes de délinquance relationnelle. / This thesis unites two articles that examine the role of social anxiety on delinquent behaviours during adolescence. For the first article, we evaluated the role of social anxiety on the emergence of general and relational delinquency behaviours among 191 adolescents. Participants came from secondary schools in Quebec who participated in the evaluation of the New Approaches New Solutions (NANS), a strategy to prevent students in disadvantaged communities from dropping out of school. The sample obtained allowed us to identify two groups of adolescents that showed characteristics of general or relational delinquency in order to test the predictive role of social anxiety, self-esteem, loneliness and depression on their delinquency profile. The results of a linear discriminant analysis showed that, beyond the individual and social factors tested, social anxiety predicts the trajectories of delinquency two years later. For the second article, we carried out path analyses using structural equations modeling to explain the potential links between social anxiety, depression and loneliness at the beginning of adolescence on general and relational delinquency behaviours. The results showed that social anxiety and loneliness are important predictors in the development of relational delinquency. However, depression was not proven to be predictive. These two studies contribute to research in the field of anxiety by explaining the importance of pursuing work to better identify the role of social anxiety and loneliness among adolescents who engage in acts of relational delinquency.
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Difficultés socio-affectives dans l'anorexie mentale : impact sur la sévérité du trouble et comparaison avec le syndrome d'Asperger

Courty, Annaïg 23 September 2013 (has links) (PDF)
Cette recherche porte sur l'impact et la caractérisation des difficultés socio-affectives dans l'anorexie mentale (AM). Les difficultés intéroceptives et introspectives, telles qu'appréhendées par des mesures d'alexithymie, pourraient être liées à la sévérité des tableaux cliniques des AM et impacter non seulement leur état somatique mais également leur fonctionnement interpersonnel. Par ailleurs l'alexithymie et l'évitement social sont des déficits retrouvés dans les troubles du spectre autistique. L'Institut de Psychiatrie de Londres a d'ailleurs proposé un modèle mettant en cause un partage d'endophénotypes entre ces troubles et l'anorexie mentale qui rendrait compte de leur chevauchement phénotypique. Le manque de flexibilité et de cohérence centrale font l'objet d'une littérature grandissante et semblent bien être commun aux deux pathologies. Des difficultés socio-affectives communes sont aussi discutées, mais encore peu étudiées. Un axe de notre travail a été d'étudier les liens entre l'alexithymie, les facteurs cliniques (e.g âge de début, durée d'évolution, nombre de rechutes, évolution de l'état globlal) et l'anxiété sociale en prenant en compte d'éventuels facteurs de confusion mis en cause dans la littérature (état nutritionnel,, affects anxio-dépressifs). Le deuxième axe de notre travail a porté sur la caractérisation du chevauchement existant entre les troubles du spectre autistique et l'anorexie mentale en comparant les profils socio-affectifs d'anorexiques et de personnes atteintes du syndrome d'Asperger. Pour répondre au premier axe de recherche, nous avons réalisé deux études : une 1ère auprès de 60 patientes ; une 2ème auprès de 213 patients. Les sujets des deux études étaient des patients hospitalisés pour un épisode d'anorexie dans une unité spécialisée dans la prise en charge des troubles des conduites alimentaires. La première étude a porté sur une population homogène d'adolescentes anorexiques, malades depuis moins de 3 ans et toutes hospitalisées dans le même centre parisien. La participation à la deuxième étude a été proposée à tous les patients âgés de 13 à 65 ans hospitalisés pour un épisode d'anorexie au sein de 11 services spécialisés en France. Pour les deux études, nous avons utilisé les scores à des instruments psychométriques mesurant l'alexithymie (TAS-20 ou BVAQ), la symptomatologie alimentaire (EDI, ou EDE-Q et EAT) et les affects anxio-dépressifs (SCL-90 ou HAD). L'état global des patients, l'anxiété et l'évitement social ont été évalués lors d'entretiens semi-structurés (respectivement Morgan et Russell, LSAS). De ces deux études, il ressort que l'alexithymie semble jouer un rôle péjorant, non seulement sur les symptômes alimentaires, mais également sur l'évitement social. L'impact de l'alexithymie existe au-delà de l'effet de l'état nutritionnel et des affects dysphoriques. Le fonctionnement alexithymique semble par ailleurs influencer négativement l'évolution de l'état clinique des personnes ayant nécessité une hospitalisation pour anorexie mentale dans une unité spécialisée. Pour répondre à notre deuxième axe de recherche, nous avons réalisé une étude psychométrique comparative auprès de 15 personnes présentant un Syndrome d'Asperger, 15 anorexiques et deux groupes de témoins appariés à chaque groupe clinique. Nous avons utilisé des entretiens semi-structurés pour confirmer les diagnostics du Syndrome d'Asperger et d'AM (ADOS et MINI). Les participants ont complété des échelles d'alexithymie (BVAQ), de traits autistiques (AQ), d'empathie (IRI, EQ), de dépression (BDI) ainsi que de symptomatologie alimentaire (EAT). Cette étude comparative montre que les anorexiques se rapprochent des personnes souffrant du Syndrome d'Asperger en ce qui concerne l'alexithymie et certains traits autistiques, notamment cognitifs. (...)
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Difficultés socio-affectives dans l’anorexie mentale : impact sur la sévérité du trouble et comparaison avec le syndrome d'Asperger / Socio-affective difficulties in anorexia nervosa : impact on the severity of the disorder and comparison with Asperger's syndrome

Courty, Annaïg 23 September 2013 (has links)
Cette recherche porte sur l’impact et la caractérisation des difficultés socio-affectives dans l’anorexie mentale (AM). Les difficultés intéroceptives et introspectives, telles qu’appréhendées par des mesures d’alexithymie, pourraient être liées à la sévérité des tableaux cliniques des AM et impacter non seulement leur état somatique mais également leur fonctionnement interpersonnel. Par ailleurs l’alexithymie et l’évitement social sont des déficits retrouvés dans les troubles du spectre autistique. L’Institut de Psychiatrie de Londres a d’ailleurs proposé un modèle mettant en cause un partage d’endophénotypes entre ces troubles et l’anorexie mentale qui rendrait compte de leur chevauchement phénotypique. Le manque de flexibilité et de cohérence centrale font l’objet d’une littérature grandissante et semblent bien être commun aux deux pathologies. Des difficultés socio-affectives communes sont aussi discutées, mais encore peu étudiées. Un axe de notre travail a été d’étudier les liens entre l’alexithymie, les facteurs cliniques (e.g âge de début, durée d’évolution, nombre de rechutes, évolution de l’état globlal) et l’anxiété sociale en prenant en compte d’éventuels facteurs de confusion mis en cause dans la littérature (état nutritionnel,, affects anxio-dépressifs). Le deuxième axe de notre travail a porté sur la caractérisation du chevauchement existant entre les troubles du spectre autistique et l’anorexie mentale en comparant les profils socio-affectifs d‘anorexiques et de personnes atteintes du syndrome d’Asperger. Pour répondre au premier axe de recherche, nous avons réalisé deux études : une 1ère auprès de 60 patientes ; une 2ème auprès de 213 patients. Les sujets des deux études étaient des patients hospitalisés pour un épisode d’anorexie dans une unité spécialisée dans la prise en charge des troubles des conduites alimentaires. La première étude a porté sur une population homogène d’adolescentes anorexiques, malades depuis moins de 3 ans et toutes hospitalisées dans le même centre parisien. La participation à la deuxième étude a été proposée à tous les patients âgés de 13 à 65 ans hospitalisés pour un épisode d’anorexie au sein de 11 services spécialisés en France. Pour les deux études, nous avons utilisé les scores à des instruments psychométriques mesurant l’alexithymie (TAS-20 ou BVAQ), la symptomatologie alimentaire (EDI, ou EDE-Q et EAT) et les affects anxio-dépressifs (SCL-90 ou HAD). L’état global des patients, l’anxiété et l’évitement social ont été évalués lors d’entretiens semi-structurés (respectivement Morgan et Russell, LSAS). De ces deux études, il ressort que l’alexithymie semble jouer un rôle péjorant, non seulement sur les symptômes alimentaires, mais également sur l’évitement social. L’impact de l’alexithymie existe au-delà de l’effet de l’état nutritionnel et des affects dysphoriques. Le fonctionnement alexithymique semble par ailleurs influencer négativement l’évolution de l’état clinique des personnes ayant nécessité une hospitalisation pour anorexie mentale dans une unité spécialisée. Pour répondre à notre deuxième axe de recherche, nous avons réalisé une étude psychométrique comparative auprès de 15 personnes présentant un Syndrome d’Asperger, 15 anorexiques et deux groupes de témoins appariés à chaque groupe clinique. Nous avons utilisé des entretiens semi-structurés pour confirmer les diagnostics du Syndrome d’Asperger et d’AM (ADOS et MINI). Les participants ont complété des échelles d’alexithymie (BVAQ), de traits autistiques (AQ), d’empathie (IRI, EQ), de dépression (BDI) ainsi que de symptomatologie alimentaire (EAT). Cette étude comparative montre que les anorexiques se rapprochent des personnes souffrant du Syndrome d’Asperger en ce qui concerne l’alexithymie et certains traits autistiques, notamment cognitifs. (...) / This work concerns the impact and the nature of socio-affective difficulties in Anorexia Nervosa (AN). Interoceptive and introspective difficulties, as apprehended by measures of alexithymia, could be linked to the severity of clinical profiles among AN patients, and have an impact not only on their somatic state but also on their interpersonal functioning.Alongside, alexithymia and social avoidance are deficits that are encountered in disorders in the autistic spectrum. The London Institute of Psychiatry has indeed proposed a model involving shared endophenotypes between these disorders and AN, thus concluding to a phenotype overlap. The lack of flexibility and central coherence among these patients are issues that are being increasingly broached in the literature, and these features do indeed appear common to both pathologies. Socio-affective difficulties are also widely discussed in this respect, but as yet there have been few studies. Our first line of research was the study of the links between alexithymia, clinical factors (such as age at onset, duration of illness, number of relapses, evolution of global state), and social anxiety, taking into account any possible confounders highlighted in the literature (nutritional state, anxious-depressive affects). The second line of research was an exploration of the overlap between disorders in the autism spectrum and AN, by way of a comparison of the socio-affective profiles of AN patients and patients with Asperger's syndrome. To address the first line of research two studies were conducted. The first involved 60 female patients, and the second included 213 male and female patients. The patients in both of these studies were hospitalised for an episode of anorexia in units specialised in the care of eating disorders. The first study explored a homogenous population of anorexic adolescent girls with an illness duration of three years or more, all hospitalised in the same facility in Paris. Participation in the second study was proposed to all patents aged between 13 and 65 years hospitalised for an episode of anorexia across 11 specialised units in France. For both studies the scores used were derived from psychometric measures of alexithymia (TAS-20 or BVAQ), eating disorder symptoms (EDI or EDE-Q and EAT), and anxious-depressive affects (SCL-90 or HAD). Global state, anxiety and social avoidance were assessed in the course of semi-structured interviews (GOAS and LSAS respectively). From these studies it emerged that alexithymia appears to have an aggravating role, not only on eating symptoms, but also on social avoidance. The impact of alexithymia extends beyond that of the nutritional state and dysphoric affects. Alexithymic functioning also appears to have a negative impact on the evolution of clinical state among individuals having required hospitalisation in a unit specialised in AN. To explore the second line of research we performed a comparative psychometric study on 15 individuals presenting Asperger's syndrome, 15 anorexic patients, and two control groups matched to the two clinical groups. Semi-structured interviews were used to confirm the diagnoses of Asperger's Syndrome and AN (ADOS and MINI). The participants completed the scales for alexithymia (BVAQ), autistic traits (AQ), empathy (IRI,EQ), depression (BDI) and eating symptoms (EAT). This comparative study showed that AN subjects exhibited similarities with Asperger subjects for alexithymia and certain autistic traits, in particular cognitive. In contrast, important differences were observed for social skills, with anorexics exhibiting more empathy and greater concern for others that the patients with a disorder in the autism spectrum. From a clinical point of view in the field of the care of AN, this research shows the value of developing new approaches centred on the recognition of emotional states and the improvement of social skills. (...)
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The process of anxiety reduction during the treatment of social phobia with an interpersonal approach : alone or combined with paroxetine

Pilarinos, Vassiliki January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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The process of anxiety reduction during the treatment of social phobia with an interpersonal approach : alone or combined with paroxetine

Pilarinos, Vassiliki January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Le décodage des expressions faciales émotionnelles à travers différentes bandes de fréquences spatiales et ses interactions avec l’anxiété

Harel, Yann 08 1900 (has links)
Le décodage des expressions faciales émotionnelles (EFE) est une fonction clé du système visuel humain puisqu’il est à la base de la communication non-verbale sur laquelle reposent les interactions sociales. De nombreuses études suggèrent un traitement différentiel des attributs diagnostiques du visage au sein des basses et des hautes fréquences spatiales (FS), respectivement sous-tendu par les voies magno- et parvocellulaires. En outre, des conditions telles que l’anxiété sociale sont susceptibles d’affecter ce traitement et d’entrainer une modulation des potentiels reliés aux évènements (PRE). Cette étude explore la possibilité de prédire le niveau d’anxiété social des individus à partir des corrélats électrophysiologiques du décodage d’EFE dans différentes bandes de FS. À cette fin, les PRE de 26 participants (âge moyen = 23.7 ± 4.7) ont été enregistrés lors de la présentation visuelle d’expressions neutres, de joie ou de colère filtrées pour ne retenir que les basses, moyennes ou hautes FS. L’anxiété sociale a été évaluée par l’administration préalable du questionnaire LSAS. Les latences et pics d’amplitude de la P100, N170, du complexe N2b/P3a et de la P3b ont été analysés statistiquement et utilisés pour entrainer différents algorithmes de classification. L’amplitude de la P100 était reliée au contenu en FS. La N170 a montré un effet des EFE. Le complexe N2b/P3a était plus ample pour les EFE et plus précoce pour les hautes FS. La P3b était moins ample pour les visages neutres, qui étaient aussi plus souvent omis. L’analyse discriminante linéaire a montré une précision de décodage d’en moyenne 56.11% au sein des attributs significatifs. La nature de ces attributs et leur sensibilité à l’anxiété sociale sera discutée. / The decoding of emotional facial expressions (EFE) is a key function of the human visual system since it lays at the basis of non-verbal communication that allows social interactions. Numerous studies suggests that the processing of faces diagnostic features may take place differently for low and high spatial frequencies (SF), respectively in the magno- and parvocellular pathways. Moreover, conditions such as social anxiety are supposed to influence this processing and the associated event-related potentials (ERP). This study explores the feasibility of predicting social anxiety levels using electrophysiological correlates of EFE processing across various SF bands. To this end, ERP from 26 participants (mean age = 23.7 ± 4.7) years old were recorded during visual presentation of neutral, angry and happy facial expressions, filtered to retain only low, medium or high SF. Social anxiety was previously assessed using the LSAS questionnary. Peak latencies and amplitudes of the P100, N170, N2b/P3a complex and P3b components were statistically analyzed and used to feed supervised machine learning algorithms. P100 amplitude was linked to SF content. N170 was effected by EFE. N2b/P3a complex was larger for EFE and earlier for high SF. P3b was lower for neutral faces, which were also more often omitted. The linear discriminant analysis showed a decoding accuracy across significant features with a mean of 56.11%. The nature of these features and their sensitivity to social anxiety will be discussed.
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La victimisation par les pairs et le développement de l’anxiété sociale au début de l’adolescence : l’effet modérateur des caractéristiques des amis

Allard, Ariane 12 1900 (has links)
L’objectif de cette étude est d’explorer l’effet modérateur du nombre d’amis et de leurs caractéristiques sur le lien prédictif entre la victimisation par les pairs et l’anxiété sociale. Plus spécifiquement, cette étude s’intéresse aux niveaux moyens de victimisation, de rejet et d’anxiété sociale des amis comme facteurs aggravants potentiels. Les données ont été recueillies à deux reprises auprès de 576 adolescents d’en moyenne 13,5 ans au début de leur secondaire deux et à la fin de leur secondaire trois. Les participants ont répondu à des questionnaires auto-rapportés pour les mesures de victimisation et d’anxiété sociale et ont participé à une procédure de nomination sociométrique pour la mesure de statut social et l’identification des amis. De manière concomitante, les résultats démontrent que la victimisation par les pairs et certaines caractéristiques des amis (niveaux d’anxiété et de rejet social) contribuent respectivement, de manière unique et indépendante, à rendre compte de l’anxiété sociale des participants. De manière longitudinale, la victimisation par les pairs permet de prédire le développement de l’anxiété sociale sur une période de 1,5 ans. Néanmoins, le nombre d’amis et leurs caractéristiques ne contribuent pas de manière additive au développement ultérieur de l’anxiété sociale. De plus, les caractéristiques des amis n’interagissent d’aucune façon avec la victimisation par les pairs pour rendre compte du développement ultérieur de l’anxiété sociale. Cependant, des analyses exploratoires ont permis de montrer que le niveau de victimisation des amis constitue un facteur aggravant pour les enfants rejetés socialement; le rejet par les pairs étant positivement associé au développement de l’anxiété sociale chez les élèves qui entretiennent des relations d’amitié avec des élèves qui rapportent être victimes de mauvais traitements. / The aim of this study was to explore to what extent the number of friends and friends’ characteristics interact with peers’ victimization to predict the development of social anxiety over time. More specifically, friends’ characteristics considered by this study were peers’ victimization, peers’ rejection and social anxiety average levels as potential aggravating factors. Data was collected two consecutive years, from 576 adolescents of 13,5 years old average. The data was collected first during the fall semester of 8th grade, and a second time during the spring semester of 9th grade. Participants answered self-reported questionnaires concerning peers’ victimization and social anxiety. They also participated in a sociometric nomination procedure within their school and classroom concerning social status and friends’ identification. Results indicated that peers’ victimization and friends’ characteristics (i.e. social anxiety and rejection levels) have an additive contribution when predicting concurrent social anxiety. Results also showed that peers’ victimization predicted subsequent increase in social anxiety 1.5 year later. However, the number of friends and friends’ characteristics did not show any additive effect in predicting development of ulterior social anxiety. Moreover, friends’ characteristics do not interact with victimization to predict ulterior social anxiety. Nonetheless, exploratory analysis showed that friends’ victimization acts as an aggravating factor for participants with a negative social status: peers’ rejection being positively associated to an increase in social anxiety in students with victimized friends.
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Les timides et leur timidité : typologie des représentations subjectives dans quatre fils de discussion

Carignan Jacob, Marilyne 08 1900 (has links)
Ce mémoire s’intéresse aux représentations que se font les timides de leur timidité au sein d’un forum de discussion anglophone. Alors que les représentations sociales de la timidité se sont transformées suivant leur contexte sociohistorique et socioculturel, les valeurs occidentales contemporaines de la sociabilité ont posé les conditions pour une timidité perçue comme un problème social et médical. De ce fait, ce mémoire souhaite comprendre comment les sujets timides se représentent l’objet de leur timidité au sein de quatre fils de discussion qui engagent chacun une manière spécifique d'envisager la timidité : « Identité de soi », « Introverti.e », « Compétences sociales », « Anxiété sociale ». Mobilisant les représentations sociales, « l’idéaltype », l’interactionnisme symbolique et l’identité, une centaine de billets anonymes rédigés en 2019 et en 2020 ont fait l’objet d’une analyse thématique avec le logiciel NVivo. De cette analyse, quatre « idéaltypes » sont proposés suivant les représentations de la timidité et la motivation de rédaction des billets : la timidité acquise face à une introversion innée (« Introverti.e »); la timidité comme une souffrance expérientielle avec un regard tourné vers le passé (« Anxiété sociale »); la quête du secret des interactions sociales avec un regard sur le présent (« Compétences sociales »); le processus optimiste de la transformation de soi avec un regard tourné vers le futur (« Identité de soi »). Ces quatre « idéaltypes » partagent une représentation de la timidité comme un problème individuel dont la thérapie est une responsabilité individuelle. / This thesis examines the representations shy people have of their shyness in an English-speaking discussion forum. While social representations of shyness have transformed according to their sociohistorical and sociocultural context, contemporary Western values of sociability have set the conditions for shyness seen as a social and medical problem. As a result, this thesis aims to understand how shy subjects perceive the object of their shyness within four discussion threads, which each engage a specific way of considering shyness: “Self-identity”, “Introversion”, “Social skills”, “Social anxiety”. Mobilizing social representations, the “ideal type”, symbolic interactionism and identity, a hundred anonymous posts written in 2019 and 2020 were the subject of a thematic analysis with NVivo. From this analysis, I propose four “ideal types” according to the representations of shyness and the motivation for writing posts: the shyness acquired in the face of innate introversion (“Introvert”); shyness as experiential suffering with a look to the past (“social anxiety”); the quest for the secret of social interactions with a look at the present (“Social skills”); the optimistic process of self-transformation with a look to the future (“Self-identity”). These four “ideal types” share a representation of shyness as an individual problem for which therapy is an individual responsibility.

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