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Les scénarios sociaux pour la gestion de crises chez les autistes de haut niveau

Garon, Marie-Ève January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Insertion professionnelle des adultes ayant un trouble autistique ou un syndrome d'Asperger au Québec

Fontaine, Caroline 04 1900 (has links) (PDF)
Ce mémoire de recherche présente un survol historique de l'insertion professionnelle des adultes ayant un trouble autistique ou un syndrome d'Asperger, et décrit les différentes formes d'emploi adaptées pour ces personnes. Puis, des entretiens semi dirigés sont faits avec les agents à l'insertion professionnelle des centres d'emploi pour personnes handicapées de différentes régions du Québec et des centres de réadaptation en déficience intellectuelle trouble envahissant du développement [CRDITED]. Les entretiens se rapportent aux conditions d'emploi des personnes ayant un trouble autistique ou un syndrome d'Asperger, aux procédures d'insertion professionnelle, à la réceptivité des employeurs potentiels et au nouveau programme du Gouvernement du Québec «Le Pacte pour l'emploi: Le Québec de toutes ses forces» (2008) qui vise principalement à contrer le manque de main d'oeuvre au Québec. Les réalités vécues par les centres d'emploi pour personnes handicapées en ce qui concerne les conditions d'emploi des personnes ayant un trouble autistique ou un syndrome d'Asperger sont assez similaires. Toutefois, le type et le nombre de services offerts ainsi que la fonnation offerte aux agents pour les informer sur le trouble autistique et le syndrome d'Asperger varient d'un centre d'emploi à l'autre, ces pratiques n'étant pas uniformisées. Finalement, les agents des centres d'emploi se questionnent quant à la réelle pertinence et aux retombées du programme «Le Pacte pour l'emploi: Le Québec de toutes ses forces» (2008). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : insertion professionnelle, trouble autistique, syndrome d'Asperger, adulte autiste, intégration, conditions d'emploi
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Programme psychoéducatif appliqué en milieu scolaire pour les troubles envahissants du développement sans déficience

Jacques, Claudine January 1999 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
4

Le profil alimentaire des enfants présentant un trouble envahissant du développement : un lien avec l'âge et le diagnostic

Nadon, Geneviève January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Décider dans un monde imprévisible et social : les mécanismes en jeu et leurs bases cérébrales dans l'autisme / Decision-making in a changing social world : mechanisms at stake and their cerebral basis in autism

Robic, Suzanne 16 December 2013 (has links)
Le monde social est par essence fortement incertain, dans la mesure où les informations peuvent varier rapidement et de façon imprévisible, et il est essentiel de pouvoir s’y adapter. Les personnes avec autisme présentent souvent une intolérance au changement et une recherche d’immuabilité, associées à des difficultés dans le domaine de la prise de décision. Elles rapportent également que leurs difficultés sont amplifiées lorsque la prise de décision implique un changement de routine et lorsqu’elle fait entrer en jeu une composante sociale. Si la prise de décision dans un environnement social a été beaucoup explorée, l’influence de l’incertitude du contexte (c’est-à-dire d’un changement brutal des probabilités de survenue d’un événement) et son interaction avec la nature sociale de l’environnement n’ont jamais été étudiées dans le cadre de l’autisme. Cette thèse vise à mieux comprendre les spécificités du traitement du caractère imprévisible du contexte chez les personnes autistes de haut niveau (High-Functioning Autism : HFA) et avec un Syndrome d’Asperger (AS). La question posée ici est de savoir si c’est l’aspect social, ou bien l’aspect imprévisible, qui pose problème aux personnes avec autisme dans les interactions sociales. Nous avons fait l’hypothèse d’une altération du traitement du caractère imprévisible chez ces personnes, comparées à des sujets neurotypiques appariés, et nous souhaitions préciser l’influence de la nature sociale ou non-sociale de la source d’information sur cette altération. Dans la première étude, comportementale, de cette thèse, nous avons adapté une tâche de prise de décision de Behrens et al. (2007, 2008), comportant une condition stable et une condition instable (i.e. incertaine), cet aspect stable ou instable pouvant venir d’un indice social ou non-social. Cette première étude a permis de montrer que, dans notre tâche, les difficultés rencontrées par les personnes HFA/AS dans un environnement social tiennent plus à son caractère imprévisible qu’à son aspect social. A cela s’ajoute une difficulté globale à intégrer les indices contextuels dans la prise de décision. Notre deuxième étude, en IRM fonctionnelle, visait à identifier les régions cérébrales impliquées dans le traitement du caractère imprévisible du contexte, ainsi que l’effet de la nature sociale de l’environnement sur ce traitement, chez des personnes avec autisme. Cette seconde étude a montré que les personnes HFA/AS mobilisent moins le réseau attentionnel fronto-pariétal que les personnes neurotypiques dans un contexte incertain (qu’il soit social ou non). On observe également chez ces personnes une difficulté à réorienter l’attention lorsque les indices contextuels ne sont pas pertinents. Par ailleurs, dans un environnement social les personnes HFA/AS activent moins les aires du « cerveau social » que les personnes neurotypiques. La discussion établit un parallèle entre ces résultats et la littérature existante, et propose des perspectives en termes de prise en charge dans l’autisme / The social world is inherently very uncertain, as the information can change rapidly, unpredictably, and thus it is essential to be able to adapt. People with autism often show a resistance to change and a preference for sameness, associated with decision-making difficulties. They also report that their difficulties are augmented when the decision involves a change in the routine and when a social component is involved. While the decision-making in a social environment has been widely investigated, the influence of the uncertainty of the context (i.e. of a sudden change in the probability of occurrence of an event) and its interaction with the social nature of the environment has never been studied in the context of autism. This thesis aims to better understand how people with High-Functioning Autism (HFA) and Asperger's syndrome (AS) process an unpredictable context. The main question asked here is which of the social or unexpected aspects denote a problem for people with autism in social interactions. We hypothesized that processing of uncertainty is altered in HFA/AS people compared to matched controls, and we wanted to determine what is the influence of a social or a non-social source of information on this alteration. In the first study of this thesis (a behavioural study), we adapted a decision-making task from Behrens et al. (2007, 2008), which implies a stable and an unstable (i.e. uncertain) conditions. The stable or unstable aspect could derive from a social or a non-social cue. The study showed that in our task the difficulties faced by people with HFA/AS in a social environment are more linked to the uncertainty of the context than to its social aspect. HFA/AS participants also showed a global difficulty to integrate contextual cues in decisionmaking. The second study (a functional MRI study) aimed to identify brain regions involved in the uncertainty processing, as well as the effect of the social nature of the environment on this processing. We observed in HFA/AS participants a weaker engagement of the fronto-parietal attentional cerebral network in an unstable context (regardless whether the cue was social or non-social). We also observed in these participants a difficulty to redirect their attention when contextual cues were not relevant. Moreover, in a social environment people with HFA/AS activated less than controls brain areas belonging to the "social brain”. The discussion draws a parallel between these results and the literature, and opens to rehabilitation perspectives for people with autism
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Difficultés socio-affectives dans l'anorexie mentale : impact sur la sévérité du trouble et comparaison avec le syndrome d'Asperger

Courty, Annaïg 23 September 2013 (has links) (PDF)
Cette recherche porte sur l'impact et la caractérisation des difficultés socio-affectives dans l'anorexie mentale (AM). Les difficultés intéroceptives et introspectives, telles qu'appréhendées par des mesures d'alexithymie, pourraient être liées à la sévérité des tableaux cliniques des AM et impacter non seulement leur état somatique mais également leur fonctionnement interpersonnel. Par ailleurs l'alexithymie et l'évitement social sont des déficits retrouvés dans les troubles du spectre autistique. L'Institut de Psychiatrie de Londres a d'ailleurs proposé un modèle mettant en cause un partage d'endophénotypes entre ces troubles et l'anorexie mentale qui rendrait compte de leur chevauchement phénotypique. Le manque de flexibilité et de cohérence centrale font l'objet d'une littérature grandissante et semblent bien être commun aux deux pathologies. Des difficultés socio-affectives communes sont aussi discutées, mais encore peu étudiées. Un axe de notre travail a été d'étudier les liens entre l'alexithymie, les facteurs cliniques (e.g âge de début, durée d'évolution, nombre de rechutes, évolution de l'état globlal) et l'anxiété sociale en prenant en compte d'éventuels facteurs de confusion mis en cause dans la littérature (état nutritionnel,, affects anxio-dépressifs). Le deuxième axe de notre travail a porté sur la caractérisation du chevauchement existant entre les troubles du spectre autistique et l'anorexie mentale en comparant les profils socio-affectifs d'anorexiques et de personnes atteintes du syndrome d'Asperger. Pour répondre au premier axe de recherche, nous avons réalisé deux études : une 1ère auprès de 60 patientes ; une 2ème auprès de 213 patients. Les sujets des deux études étaient des patients hospitalisés pour un épisode d'anorexie dans une unité spécialisée dans la prise en charge des troubles des conduites alimentaires. La première étude a porté sur une population homogène d'adolescentes anorexiques, malades depuis moins de 3 ans et toutes hospitalisées dans le même centre parisien. La participation à la deuxième étude a été proposée à tous les patients âgés de 13 à 65 ans hospitalisés pour un épisode d'anorexie au sein de 11 services spécialisés en France. Pour les deux études, nous avons utilisé les scores à des instruments psychométriques mesurant l'alexithymie (TAS-20 ou BVAQ), la symptomatologie alimentaire (EDI, ou EDE-Q et EAT) et les affects anxio-dépressifs (SCL-90 ou HAD). L'état global des patients, l'anxiété et l'évitement social ont été évalués lors d'entretiens semi-structurés (respectivement Morgan et Russell, LSAS). De ces deux études, il ressort que l'alexithymie semble jouer un rôle péjorant, non seulement sur les symptômes alimentaires, mais également sur l'évitement social. L'impact de l'alexithymie existe au-delà de l'effet de l'état nutritionnel et des affects dysphoriques. Le fonctionnement alexithymique semble par ailleurs influencer négativement l'évolution de l'état clinique des personnes ayant nécessité une hospitalisation pour anorexie mentale dans une unité spécialisée. Pour répondre à notre deuxième axe de recherche, nous avons réalisé une étude psychométrique comparative auprès de 15 personnes présentant un Syndrome d'Asperger, 15 anorexiques et deux groupes de témoins appariés à chaque groupe clinique. Nous avons utilisé des entretiens semi-structurés pour confirmer les diagnostics du Syndrome d'Asperger et d'AM (ADOS et MINI). Les participants ont complété des échelles d'alexithymie (BVAQ), de traits autistiques (AQ), d'empathie (IRI, EQ), de dépression (BDI) ainsi que de symptomatologie alimentaire (EAT). Cette étude comparative montre que les anorexiques se rapprochent des personnes souffrant du Syndrome d'Asperger en ce qui concerne l'alexithymie et certains traits autistiques, notamment cognitifs. (...)
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Décider dans un monde imprévisible et social : les mécanismes en jeu et leurs bases cérébrales dans l'autisme

Robic, Suzanne 16 December 2013 (has links) (PDF)
Le monde social est par essence fortement incertain, dans la mesure où les informations peuvent varier rapidement et de façon imprévisible, et il est essentiel de pouvoir s'y adapter. Les personnes avec autisme présentent souvent une intolérance au changement et une recherche d'immuabilité, associées à des difficultés dans le domaine de la prise de décision. Elles rapportent également que leurs difficultés sont amplifiées lorsque la prise de décision implique un changement de routine et lorsqu'elle fait entrer en jeu une composante sociale. Si la prise de décision dans un environnement social a été beaucoup explorée, l'influence de l'incertitude du contexte (c'est-à-dire d'un changement brutal des probabilités de survenue d'un événement) et son interaction avec la nature sociale de l'environnement n'ont jamais été étudiées dans le cadre de l'autisme. Cette thèse vise à mieux comprendre les spécificités du traitement du caractère imprévisible du contexte chez les personnes autistes de haut niveau (High-Functioning Autism : HFA) et avec un Syndrome d'Asperger (AS). La question posée ici est de savoir si c'est l'aspect social, ou bien l'aspect imprévisible, qui pose problème aux personnes avec autisme dans les interactions sociales. Nous avons fait l'hypothèse d'une altération du traitement du caractère imprévisible chez ces personnes, comparées à des sujets neurotypiques appariés, et nous souhaitions préciser l'influence de la nature sociale ou non-sociale de la source d'information sur cette altération. Dans la première étude, comportementale, de cette thèse, nous avons adapté une tâche de prise de décision de Behrens et al. (2007, 2008), comportant une condition stable et une condition instable (i.e. incertaine), cet aspect stable ou instable pouvant venir d'un indice social ou non-social. Cette première étude a permis de montrer que, dans notre tâche, les difficultés rencontrées par les personnes HFA/AS dans un environnement social tiennent plus à son caractère imprévisible qu'à son aspect social. A cela s'ajoute une difficulté globale à intégrer les indices contextuels dans la prise de décision. Notre deuxième étude, en IRM fonctionnelle, visait à identifier les régions cérébrales impliquées dans le traitement du caractère imprévisible du contexte, ainsi que l'effet de la nature sociale de l'environnement sur ce traitement, chez des personnes avec autisme. Cette seconde étude a montré que les personnes HFA/AS mobilisent moins le réseau attentionnel fronto-pariétal que les personnes neurotypiques dans un contexte incertain (qu'il soit social ou non). On observe également chez ces personnes une difficulté à réorienter l'attention lorsque les indices contextuels ne sont pas pertinents. Par ailleurs, dans un environnement social les personnes HFA/AS activent moins les aires du " cerveau social " que les personnes neurotypiques. La discussion établit un parallèle entre ces résultats et la littérature existante, et propose des perspectives en termes de prise en charge dans l'autisme
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Micro-analyse des caractéristiques scolaires et intellectuelles des apprenants ayant un trouble envahissant du développement sans déficience intellectuelle

Smith, Caroline January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Étude clinique comparative auprès de garçons à haut potentiel intellectuel de 6 à 12 ans, dont certains ont un syndrome d'Asperger / Clinical comparative study of boys with high intellectual potential from 6 to 12 years old, some of whom have Asperger's syndrome

Romand, Morgane 12 July 2019 (has links)
Objectifs. – Le haut potentiel intellectuel (HPI) concerne tant le champ du normal que celui du pathologique, et s’associe notamment au syndrome d’Asperger chez certains sujets. Aussi, des spécificités communes s'observent chez les enfants HPI comme chez ceux qui ont un syndrome d'Asperger. La reconnaissance et l'accompagnement de leurs particularités est un enjeu d'actualité, et pourtant aucune étude actuelle ne porte sur les relations entre ces deux entités. Dans une démarche exploratoire, cette recherche a ainsi pour objectif de mieux identifier ce qui rend similaire et ce qui distingue des enfants HPI, d'enfants qui ont un syndrome d'Asperger associé à un HPI. Méthode. – Cette étude porte sur l'analyse clinique comparative des bilans psychologiques de 11 garçons HPI et 6 garçons qui ont un syndrome d'Asperger et HPI. Ils ont entre 6 et 12 ans. Le bilan psychologique est composé d'un entretien semi-directif enfant-parents, de deux échelles (l'inventaire d'identification des enfants précoces et l'échelle Australienne du syndrome d'Asperger), de l'UDN-II et de tests projectifs (dessin de la famille, Rorschach et TAT). Résultats. – En terme de vécus et de représentations des protagonistes à l'égard du HPI et du syndrome d'Asperger, on observe communément une grande ambivalence (entre forces et vulnérabilités). En terme de tableaux cliniques, les similitudes se situent dans le fonctionnement cognitif, l'hyper-sensibilité sensorielle, émotionnelle et perceptive ainsi que dans la fragilité identitaire. L'anxiété, les troubles des conduites motrices, les rituels et TOCs et les difficultés sociales sont aussi communs aux deux groupes. Des TSA s'observent également chez les enfants HPI typiques. Les contrastes entre les deux groupes concernent la nature et la diversité des troubles qu'ils rencontrent, ainsi que la nature et l'intensité des particularités relationnelles et sociales. En terme de processus, la fragilité identitaire est commune à tous bien que la vulnérabilité des enveloppes soit plus importante chez les garçons qui ont un syndrome d'Asperger. Chez tous, l'espace relationnel est un terrain fragile, le contrôle rationnel l'emporte sur la liberté fantasmatique et l'angoisse est une angoisse de perte. Discussion. – Les résultats de cette recherche nous permettent d'affirmer que HPI et syndrome d'Asperger s'inscrivent dans un continuum. Ils semblent se faire écho, de même que sur-investissement de la pensée et défenses autistiques. Pour tous, le sur-investissement intellectuel serait force de pare-excitation. Conclusion. – Ce travail invite à poursuivre nos recherches cliniques dans le but de mieux saisir l’enjeu des difficultés de ces enfants et d'améliorer leurs prises en soin. / Aims. - High intellectual potential (HIP) concerns both normal and pathological area, and is particulary associated with Asperger's syndrome in some individuals. Also, common features are observed in children with HIP as in those with Asperger's syndrome. Recognition and supporting of their particularities is a topical issue, but no current or past study have dealt with the relations between these two entities. With an exploratory approach, this research aims to better identify what makes similar and distinguishes children with HIP, from children with Asperger' syndrome associated with HIP.Method. - This study relates on the comparative clinical analysis of the psychological assessments of 11 boys with HIP and 6 boys with Asperger's syndrome and HIP. All of them are from 6 to 12 years old. The psychological assessment includes a semi-structured child-parent interview, two scales (an inventory for gifted children and the Australian scale for Asperger's syndrome), the UDN-II and projective tests (drawing of the family, Rorschach and TAT).Results. - In terms of experiences and representations of the protagonists towards HIP and Asperger's Syndrome, there is commonly a great ambivalence (between strengths and vulnerabilities). In terms of clinical pictures, the similarities are located in cognitive functioning, sensory, emotional and perceptive hyper-sensitivity as well as in vulnerability felt. Anxiety, motor conduct disorders, rituals and OCDs, and social difficulties are also common to both groups. ASD are also seen in typical HIP children. The contrasts between the two groups concerns the nature and the diversity of their disorders, as well as the nature and the intensity of their relational and social particularities. In terms of process, vulnerability felt is common to both groups, although the shell is most vulnerable in boys with Asperger's syndrome. For all, the relational area is a fragile, rational control prevails over opportunity of fantasize, and anxiety is an anxiety of loss.Discussion. - The results of this research allow us to affirm that HIP and Asperger's syndrome are part of a continuum. They seem to echo each other, such as hyperinvestment of thought and autistic defenses. For all, the intellectual hyperinvestment would have a protective function.Conclusion. - This work invites us to continue our clinical studies in order to better understand the challenges of these children and improve their care.
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Étude comparative des profils neurocognitifs, socio-émotionnels et neuro-psychomoteurs d’enfants et adolescents avec autisme de haut niveau, syndrome d’Asperger et haut potentiel intellectuel / Comparison study of the neurocognitive, socio-emotional and psychomotor profiles of children and adolescents with high-functioning autism, Asperger's syndrome and high intellectual potential ("giftedness")

Boschi, Aurélie 29 November 2016 (has links)
Les cliniciens soulèvent de plus en plus souvent la question de liens entre Troubles Autistiques et Haut Potentiel Intellectuel (HPI), en raison de signes cliniques parfois communs, en particulier avec le Syndrome d'Asperger (SA). Dans cette étude, nous avons comparé le profil clinique, cognitif, socio-émotionnel et moteur de 5 groupes (N = 75 ; 7 à 15 ans) : Autisme de Haut Niveau (AHN) ; SA ; HPI avec profil homogène à la WISC-IV (HPI HO) ; HPI avec profil hétérogène à la WISC-IV (HPI HE) et Contrôle. Les résultats montrent que le groupe HPI HO présente moins de spécificités cliniques, et obtient des performances globalement au-dessus de la norme et supérieures aux autres groupes, notamment en Mémoire de Travail et raisonnement fluide. Le groupe HPI HE se caractérise par des performances verbales significativement supérieures aux autres groupes. Il obtient un score déficitaire au « Quotient Autisme » (AQ), à l'échelle d'évaluation de la pragmatique du langage (CCC) et présente de légers troubles moteurs (coordination, contrôle postural, latéralité mal affirmée). Les groupes SA et AHN obtiennent les scores les plus déficitaires au AQ, à la CCC, en cognition sociale et présentent divers troubles moteurs. Les comparaisons de paires de groupes montrent que : le groupe HPI HO présentent de meilleurs compétences mnésiques et motrices que le groupe HPI HE, les deux groupes se distinguent significativement sur 38,9% de variables hors normes. Le groupe HPI HE présente de meilleures performances en cognition sociale que le groupe SA et les deux groupes se distinguent significativement sur 35,1 % de variables hors normes. Le groupe SA présente de meilleures performances verbales que le groupe AHN et les deux groupes se distinguent significativement sur 28,3 % de variables hors norme. Le sous-groupe HPI HE obtenant des scores très déficitaires au AQ (HPI HE AQ+) se distingue significativement du sous-groupe SA de haut niveau verbal sur seulement 4,8 % de variables hors norme. Ce sous-groupe HPI HE AQ+ présente un tableau clinique et un profil neuro-développemental proche du groupe SA mais ne présente pas de déficit en cognition sociale. Il existe un socle de caractéristiques communes entre ces différents groupes mais aussi des spécificités qui leur sont propres, renvoyant à des trajectoires développementales atypiques, peut-être portées par une étiologie commune. / The issue of the links between Autistic Disorders and High Intellectual Potential (HIP) is an increasing focus among clinicians on account of certain shared symptoms, in particular with Asperger's syndrome (AS). The present study compared clinical, cognitive, socio-emotional and motor profiles across five groups (n = 75, age 7-15 years): High-Functioning Autism (HFA), AS, HIP with a homogenous WISIV profile (HIP HO), HIP with a heterogeneous WISC-IV profile (HIP HE), and a control group. The results showed that the HIP HO group presented fewer clinical specificities, and achieved performances that were overall above the norms and higher than in the other groups, in particular for working memory and fluid reasoning. The HIP HE group was characterised by better verbal performances than the other groups. HIP HE scores were below the norms on the Autism Quotient (AQ), and on the Children's Communication Checklist (CCC), and this group presented minor motor disorders (coordination, postural control, poorly determined laterality). The AS and HFA groups obtained the lowest scores on the AQ and the CCC, and in social cognition, and presented various motor impairments. The paired comparisons of groups showed that the HIP HO group presented better memory performances than the HIP HE group, and the two groups were significantly different for 38.9% of the variables falling outside the norms. The HIP HE group presented better performances in social cognition than the AS group, and the two groups were significantly different for 35.1% of the variables outside the norms. The AS group presented better verbal performances than the HFA group, and these groups differed significantly for 28.3% of the variables outside the norms. The HIP HE subgroup that obtained very low scores on the AQ (HIP HE AQ+) was significantly distinct from the AS subgroup with high-verbal skills for just 4.8% of the variables outside the norms. The HIP HE AQ+ subgroup exhibited a clinical presentation and a neuro-developmental profile that was close to the AS group, but presented no deficit in social cognition. There is a common core of features across these different groups, but there are also features specific to each, suggesting atypical developmental trajectories, possibly with a common aetiology.

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