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Existe-t-il un pattern de comportements spécifique aux phobiques sociaux ? une étude ethnographique

Amado, Danielle January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Etude, analyse et réalisation d'un système de choix automatique de scènes dans le cadre d'une thérapie par mise en situation virtuelle pour la phobie sociale / Study, analysis and implementation of a system for automatic selection of scenes in the framework of a virtual reality therapy for social phobia

Moussaoui, Abdelhak 09 November 2010 (has links)
Ce travail de thèse s’inscrit dans le cadre de l’étude des réponses optiques des nanocristaux à base de semiconducteurs II-VI. Ici nous avons déterminé les propriétés optiques de ZnTe, ZnS et ‘ZnS : Mn’ nanostructurés par ellipsométrie spectroscopique (SE). Nous avons déterminé la fonction diélectrique et les transitions optiques des NC-ZnTe par SE dans la gamme spectrale 0.6 à 6.5 eV. L’influence de la taille des NC sur les propriétés optiques et en particulier sur les transitions optiques a été aussi montrée. Les réponses optiques ont été déterminées en utilisant deux modèles : le modèle des points critiques d’Adachi et la loi de dispersion de Tauc-Lorentz. Tout au long de ce travail, nous avons tenté de contribuer à la compréhension du processus d’absorption dans les NC semi-conducteurs avec une technique non destructive capable de rendre compte des phénomènes liés à la réduction de la taille. Malgré le caractère indirect de l’ellipsométrie nécessitant une bonne connaissance de l’échantillon, nous avons démontré qu’elle est capable de déterminer plusieurs propriétés des NC (indice de réfraction complexe, coefficient d’absorption, énergie de gap, signatures des transitions optiques, excès de NC, taille moyenne, épaisseurs des couches de silice) et même de tenir compte des défauts liés à l’implantation / In this work, we report on the study of the optical responses of nanocrystals semiconductor based II-VI. Here we have determined the optical properties of nanostructured ZnTe, ZnS and 'ZnS:Mn' by spectroscopic ellipsometry (SE). We have obtained the dielectric function and optical transitions of NC-ZnTe by spectroscopic ellipsometry in the spectral range 0.6 à 6.5 eV. The influence of the NC size on the optical properties and on the optical transitions was also shown. The optical responses were extracted using two models: the generalized critical points model of Adachi and the Tauc-Lorentz dispersion formula. Throughout this work we have tried to contribute to the understanding of absorption processes in semiconductor NC with a nondestructive technique by tacking into account the phenomena related to quantum confinement. Despite the indirect nature of ellipsometry requiring a good knowledge of the sample, we demonstrated that it is able to determine several properties of NC (complex refractive index, absorption coefficient, energy gap, optical transition energies, NC of excess, thick layers of silica) and even to take account into defects due to implantation
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Social cognition and anxiety following a first-episode of psychosis : markers of clinical remission in schizoprenia and the development of a manualized cognitive-behavioral group intervention for social anxiety

Montreuil, Tina 03 1900 (has links) (PDF)
Évaluation des prédicteurs de la rémission en schizophrénie en lien avec le développement d'une intervention cognitivo-comportementale de groupe pour le traitement de l'anxiété sociale chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Depuis les dernières années, il existe un intérêt croissant pour la notion de comorbidité en psychiatrie. Malgré cette évolution dans la compréhension des problématiques psychiatriques, la relation entre l'anxiété et la schizophrénie demeure toutefois négligée. Cependant, la problématique de la schizophrénie et d'un trouble comorbide à l'axe I du DSM-IV demeure toujours peu explorée dans les écrits scientifiques disponibles. Parmi la recherche existante, portant plus particulièrement sur la comorbidité d'un trouble relié à l'anxiété chez les personnes qui sont atteints de schizophrénie, un très petit nombre d'études ont exploré les liens qui existent entre les symptômes de l'anxiété et la schizophrénie. Le champ des études portant sur la comorbidité chez les personnes présentant plus particulièrement un premier épisode psychotique, demeure davantage inexploré. L'anxiété sociale est le trouble le plus fréquemment diagnostiqué parmi les troubles qui se retrouvent sur le continuum de l'anxiété. Cette problématique représente aussi l'une des pathologies les plus répandues en ce qui a trait à la comorbidité en schizophrénie. Malgré un intérêt croissant pour l'application de la thérapie cognitivo-comportementale dans le traitement des symptômes reliés à la schizophrénie, très peu d'études ont à ce jour proposé une intervention d'approche cognitivo-comportementale pour l'anxiété sociale spécifiquement adaptée pour les personnes atteintes de schizophrénie. Sur cette base, la présente recherche porte sur une intervention de ce type avec cette population. Nous avons formulé l'hypothèse que les participants qui prendraient part à une thérapie de groupe d'approche cognitivo-comportementale pour l'anxiété sociale qui aurait été adaptée plus particulièrement pour les personnes atteintes de schizophrénie, manifesteraient une réduction significative des symptômes reliés à l'anxiété sociale ainsi que des symptômes psychotiques à la suite de l'intervention. Cette étude portant principalement sur l'efficacité d'un programme d'intervention pour le traitement de l'anxiété sociale en tant que comorbidité en premier épisode de psychose fut développée selon un devis non contrôlé. Dans le cadre de cette étude, 29 participants ont été recrutés et ont donné leur consentement à participer à l'étude. De ce nombre, 26 personnes ont complété avec succès le programme d'intervention. Les participants ont pris part à la thérapie de groupe d'approche cognitivo-comportementale qui s'est déroulée en 14 séances hebdomadaires de 90 minutes chacune. L'effet thérapeutique de l'intervention a été évalué à l'aide de tests « t » d'échantillons appariés (T1 pré-test - T2 post-test) pour toutes les mesures de résultats thérapeutiques qui comprennent l'anxiété sociale, les symptômes positifs et négatifs de la psychose et les symptômes de la psychopathologie générale (dépression, insight, stigma). Le chapitre I de la thèse consiste en une introduction générale qui présente une recension des écrits scientifiques, et plus précisément sur les marqueurs de la rémission clinique en schizophrénie et sur la nature des comorbidités, plus particulièrement l'anxiété sociale chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Les chapitres II et III présentent deux études empiriques indépendantes qui ont examiné l'impact de la cognition sociale pour l'une des études, et, pour l'autre étude, la fonction de la sévérité des symptômes reliés à l'anxiété sur la rémission clinique chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Les résultats de ces recherches ont révélé que les déficits au chapitre de la cognition sociale et la sévérité des symptômes reliés à l'anxiété sont des marqueurs importants de la rémission clinique chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Le chapitre IV comprend un troisième article empirique qui vise à évaluer l'efficacité d'une intervention de groupe d'approche cognitivo-comportementale manualisée pour le traitement des symptômes reliés à l'anxiété sociale chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Les résultats de cette étude révèlent que l'intervention semble contribuer à une réduction significative des symptômes d'anxiété sociale, des symptômes négatifs de la psychose, des symptômes dépressifs et du stigma. Finalement, le chapitre V présente une discussion générale des résultats de la thèse ainsi que des implications cliniques, des considérations méthodologiques et des pistes de recherche future. Les marqueurs de la rémission clinique chez les personnes présentant un premier épisode psychotique sont présentés. Un modèle de l'anxiété sociale en premier épisode psychotique, selon l'intervention de groupe d'approche TCC manualisée, est proposé. Dans l'ensemble, les résultats thérapeutiques de ce programme de recherche suggèrent que l'intervention de groupe d'approche cognitivo-comportementale manualisée doit être soumis à un essai contrôlé randomisé (ECR). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Anxiété sociale, premier épisode psychotique, schizophrénie, thérapie cognitivo-comportementale, intervention psychologique, résultats thérapeutiques, rémission, fonctionnement social, stigma, insight
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Une comparaison de l'anxiété et de la préparation à l'action en tant qu'explication de la phobie sociale

Roy, Caroline January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Is there a link between social phobia and sexual problems? : a comparison between social phobic, sexually dysfunctional and normal individuals

Munoz, Valentina January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le niveau d'anxiété sociale chez des étudiants universitaires ayant déjà vécu des sensations de présence durant des épisodes de paralysie du sommeil isolée

Simard, Valérie January 2003 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le rôle des comportements parentaux dans le développement de la phobie sociale

Bond, Suzie January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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The process of anxiety reduction during the treatment of social phobia with an interpersonal approach : alone or combined with paroxetine

Pilarinos, Vassiliki January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Is social phobia characterized by a distinct interpersonal pattern?

Kyparissis, Angela 05 1900 (has links)
Traditionnellement, le construit de la phobie sociale a été défini selon une vision intrapersonnelle, en tant que trouble de l’anxiété. Une autre conception se propose de la définir d’un point de vue interpersonnel, comme un pattern global d’autoprotection. L’objectif principal de cette thèse est de tester des hypothèses tirées du modèle interpersonnel de la phobie sociale. Deux études, présentées sous forme d’articles, ont permis d’examiner si des patterns spécifiques d’autoprotection, tels que l’impuissance et la soumission, caractérisent le mode de fonctionnement des phobiques sociaux. Les études ont également évalué si l’autoprotection et l’anxiété sont interreliées. Pour la première étude, les patterns interpersonnels de 132 phobiques sociaux, évalués à l’aide d’une mesure dérivée du Circumplex interpersonnel, ont été comparés à ceux de 85 individus célibataires ayant une dysfonction sexuelle et 105 sujets normaux. La relation entre les patterns d’autoprotection, l’anxiété sociale, la détresse générale et le fonctionnement social a également été examinée chez les phobiques sociaux. La seconde étude a permis d’examiner l’évolution des patterns d’autoprotection ainsi que de l’anxiété sociale, de la détresse générale et du fonctionnement social, chez 85 phobiques sociaux à quatre moments : avant et après un traitement d’approche interpersonnelle, ainsi qu’aux relances de six mois et d’un an. L’étude a également comparé les participants en rémission et ceux satisfaisant les critères de la phobie sociale un an suivant la fin du traitement. Les résultats suggèrent que les patterns d’impuissance et de soumission sont caractéristiques de la phobie sociale. Plus précisément, ces patterns décrivent davantage les comportements des phobiques sociaux plutôt que ceux des groupes de comparaison. De plus, une réduction significative de l’autoprotection a été notée au post-traitement et maintenue jusqu’au suivi d’un an, surtout chez les participants en rémission.En outre, une relation entre l’autoprotection, l’anxiété sociale et la détresse générale a été mise en évidence chez les phobiques sociaux. Une amélioration de l’anxiété, de la détresse subjective et du fonctionnement social cohérente avec la dissolution des patterns d’autoprotection a également été obtenue au post-traitement. En conclusion, les résultats des deux études appuient une conception interpersonnelle de la phobie sociale. / Traditionally, the construct of social phobia has been viewed intra-personally, as a disorder of anxiety. In recent years, an alternative interpersonal account of the concept has been proposed, whereby social phobia is characterized as an overall self-protective pattern of specific fearfully self-protective patterns of interpersonal behaviour. The main objective of this dissertation was to test hypotheses drawn from this interpersonal approach. Two studies, presented in the form of research articles, were devised to examine whether specific self-protective interpersonal patterns of powerlessness and submissiveness are characteristic of the overall socially phobic pattern. The studies also examined whether self-protectiveness is interrelated with anxiousness. The first study compared the interpersonal patterns, assessed using an Interpersonal Circumplex measure, of 132 socially phobic individuals to those of 85 single sexually dysfunctional and 105 normal control participants. The relationship between self-protective patterns and social anxiety, general distress, and social functioning were also examined in the socially phobic group. The second study examined the evolution of self-protectiveness, as well as social anxiety, general distress, and social functioning, in 85 socially phobic individuals at four time-points: Prior to being treated by an interpersonal approach, post-treatment, as well as at a six-month and one-year follow-up. Remitted and non-remitted participants at the one-year follow-up were also compared. Results support the hypothesis that social phobia is characterized by self-protective patterns of powerlessness and submissiveness. Specifically, these interpersonal patterns were found to characterize the socially phobic group to a larger extent than either of the two contrast groups. They were also shown to improve meaningfully after treatment, especially in participants who achieved remission one year later.In addition, a relationship between the self-protective patterns and increased levels of social anxiety and subjective distress was found in the socially phobic group. Results also showed an improvement in anxiety, general distress, and social functioning consistent with the shrinking in self-protectiveness after treatment. In conclusion, the findings are consistent with predictions drawn from an interpersonal approach and provide support for this alternative conceptualization of social phobia.
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Une histoire japonaise de la névrose. La phobie interpersonnelle (taijinkyōfu) 1930-1970. Émergence, développement et circulation d’un diagnostic psychiatrique / A Japanese History of neurosis. Interpersonal phobia (taijinkyōfu) 1930-1970. Emergence, development and circulation of a psychiatric diagnosis

Terrail Lormel, Sarah 15 December 2018 (has links)
La « phobie interpersonnelle » (taijinkyōfu ou taijin kyōfushō) est définie par la psychiatrie japonaise comme une angoisse qui se manifeste en présence d’autres personnes et peut prendre des formes variées telles que la conviction de rougir excessivement, d’avoir un regard anormal, un aspect physique inesthétique, d’émettre une odeur nauséabonde, etc. ; elle provoque une inquiétude quant au fait de susciter le mépris, le rejet ou d’être source de désagrément, et conduit à l’évitement des relations interpersonnelles. Cette entité nosographique, formulée au Japon dans les années 1930, y a depuis lors fait l’objet d’une riche pratique clinique et d’abondantes recherches. L’idée que cette pathologie mentale y serait particulièrement fréquente et reflèterait des caractères spécifiques de la société et de la culture japonaises a longtemps été entretenue par les psychiatres japonais, et c’est ce motif qui a attiré l'attention des psychiatres, mais également des anthropologues étrangers sur ce concept. Dans les années 1990, la phobie interpersonnelle apparaît comme un «syndrome lié à la culture» dans les taxinomies psychiatriques internationales, en même temps que l’idée de la spécificité culturelle du taijinkyōfu s’affaiblit progressivement au Japon. C’est l’histoire particulière de ce concept que ce travail vise à retracer. Au croisement de l’histoire de la psychiatrie et de l’histoire des idées, nous cherchons à comprendre les facteurs théoriques, cliniques et idéologiques qui ont contribué à l’émergence et à la prospérité du concept de phobie interpersonnelle dans la psychiatrie japonaise. En repartant des origines euro-américaines au XIXe siècle du concept d’éreuthophobie, archétype de ce qui deviendra la phobie interpersonnelle, nous décrivons l’émergence du concept de taijinkyōfu, formulé par le psychiatre Morita Shōma (ou Masatake) dans les années 1930, puis analysons ses développements théoriques dans les années 1960-1970. / “Interpersonal phobia” (taijinkyōfu ou taijin kyōfushō) is defined in Japanese psychiatry as a form of anxiety that manifests itself in the presence of other people and can take various forms, such as the belief that one blushes excessively, or has an abnormal gaze, or an unsightly physical appearance, or that one's body produces a foul odor, etc.; it causes concern about being contempted, rejected or being an annoyance to others, and leads to avoidance of interpersonal relationships. This nosological entity, formulated in Japan in the 1930s, has since been the subject of a rich clinical practice and abundant research. The idea that this mental condition is particularly frequent and reflects specific characteristics of Japanese society and culture has long been maintained by Japanese psychiatrists, and this very reason has attracted the attention of foreign psychiatrists and anthropologists on this concept. In the 1990s, interpersonal phobia emerged as a “culture-bound syndrome” in international psychiatric nosologies, and at the same time the idea of taijinkyōfu's cultural specificity was gradually weakening in Japan. This work aims to trace out the particular history of this concept. At the intersection of the history of psychiatry and the history of ideas, we seek to understand the theoretical, clinical and ideological factors that have contributed to the emergence and prosperity of the concept of interpersonal phobia in Japanese psychiatry. Starting from the nineteenth-century Euro-American origins of the concept of ereuthophobia, the archetype of what will become interpersonal phobia, we describe the emergence of the concept of taijinkyōfu, formulated by the psychiatrist Morita Shōma (or Masatake) in the 1930s, and then analyze its theoretical developments in the 1960s and 1970s.

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