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Social cognition and anxiety following a first-episode of psychosis : markers of clinical remission in schizoprenia and the development of a manualized cognitive-behavioral group intervention for social anxiety

Montreuil, Tina 03 1900 (has links) (PDF)
Évaluation des prédicteurs de la rémission en schizophrénie en lien avec le développement d'une intervention cognitivo-comportementale de groupe pour le traitement de l'anxiété sociale chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Depuis les dernières années, il existe un intérêt croissant pour la notion de comorbidité en psychiatrie. Malgré cette évolution dans la compréhension des problématiques psychiatriques, la relation entre l'anxiété et la schizophrénie demeure toutefois négligée. Cependant, la problématique de la schizophrénie et d'un trouble comorbide à l'axe I du DSM-IV demeure toujours peu explorée dans les écrits scientifiques disponibles. Parmi la recherche existante, portant plus particulièrement sur la comorbidité d'un trouble relié à l'anxiété chez les personnes qui sont atteints de schizophrénie, un très petit nombre d'études ont exploré les liens qui existent entre les symptômes de l'anxiété et la schizophrénie. Le champ des études portant sur la comorbidité chez les personnes présentant plus particulièrement un premier épisode psychotique, demeure davantage inexploré. L'anxiété sociale est le trouble le plus fréquemment diagnostiqué parmi les troubles qui se retrouvent sur le continuum de l'anxiété. Cette problématique représente aussi l'une des pathologies les plus répandues en ce qui a trait à la comorbidité en schizophrénie. Malgré un intérêt croissant pour l'application de la thérapie cognitivo-comportementale dans le traitement des symptômes reliés à la schizophrénie, très peu d'études ont à ce jour proposé une intervention d'approche cognitivo-comportementale pour l'anxiété sociale spécifiquement adaptée pour les personnes atteintes de schizophrénie. Sur cette base, la présente recherche porte sur une intervention de ce type avec cette population. Nous avons formulé l'hypothèse que les participants qui prendraient part à une thérapie de groupe d'approche cognitivo-comportementale pour l'anxiété sociale qui aurait été adaptée plus particulièrement pour les personnes atteintes de schizophrénie, manifesteraient une réduction significative des symptômes reliés à l'anxiété sociale ainsi que des symptômes psychotiques à la suite de l'intervention. Cette étude portant principalement sur l'efficacité d'un programme d'intervention pour le traitement de l'anxiété sociale en tant que comorbidité en premier épisode de psychose fut développée selon un devis non contrôlé. Dans le cadre de cette étude, 29 participants ont été recrutés et ont donné leur consentement à participer à l'étude. De ce nombre, 26 personnes ont complété avec succès le programme d'intervention. Les participants ont pris part à la thérapie de groupe d'approche cognitivo-comportementale qui s'est déroulée en 14 séances hebdomadaires de 90 minutes chacune. L'effet thérapeutique de l'intervention a été évalué à l'aide de tests « t » d'échantillons appariés (T1 pré-test - T2 post-test) pour toutes les mesures de résultats thérapeutiques qui comprennent l'anxiété sociale, les symptômes positifs et négatifs de la psychose et les symptômes de la psychopathologie générale (dépression, insight, stigma). Le chapitre I de la thèse consiste en une introduction générale qui présente une recension des écrits scientifiques, et plus précisément sur les marqueurs de la rémission clinique en schizophrénie et sur la nature des comorbidités, plus particulièrement l'anxiété sociale chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Les chapitres II et III présentent deux études empiriques indépendantes qui ont examiné l'impact de la cognition sociale pour l'une des études, et, pour l'autre étude, la fonction de la sévérité des symptômes reliés à l'anxiété sur la rémission clinique chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Les résultats de ces recherches ont révélé que les déficits au chapitre de la cognition sociale et la sévérité des symptômes reliés à l'anxiété sont des marqueurs importants de la rémission clinique chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Le chapitre IV comprend un troisième article empirique qui vise à évaluer l'efficacité d'une intervention de groupe d'approche cognitivo-comportementale manualisée pour le traitement des symptômes reliés à l'anxiété sociale chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Les résultats de cette étude révèlent que l'intervention semble contribuer à une réduction significative des symptômes d'anxiété sociale, des symptômes négatifs de la psychose, des symptômes dépressifs et du stigma. Finalement, le chapitre V présente une discussion générale des résultats de la thèse ainsi que des implications cliniques, des considérations méthodologiques et des pistes de recherche future. Les marqueurs de la rémission clinique chez les personnes présentant un premier épisode psychotique sont présentés. Un modèle de l'anxiété sociale en premier épisode psychotique, selon l'intervention de groupe d'approche TCC manualisée, est proposé. Dans l'ensemble, les résultats thérapeutiques de ce programme de recherche suggèrent que l'intervention de groupe d'approche cognitivo-comportementale manualisée doit être soumis à un essai contrôlé randomisé (ECR). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Anxiété sociale, premier épisode psychotique, schizophrénie, thérapie cognitivo-comportementale, intervention psychologique, résultats thérapeutiques, rémission, fonctionnement social, stigma, insight
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Interventions psychologiques brèves du trouble panique chez les individus qui se présentent au service d'urgence pour des douleurs thoraciques non cardiaques : efficacité et recension des écrits

Lessard, Marie-Josée 04 1900 (has links) (PDF)
Près de 91% des patients qui souffrent d'un trouble panique (TP) cherchent d'abord de l'aide dans les services médicaux, en particulier les services d'urgence médicale (SU). Le TP est ainsi davantage fréquent dans ces services où ces individus se présentent souvent décrivant les symptômes physiques d'anxiété (tel qu'une douleur thoracique) qu'ils craignent le plus. Les SU sont souvent la porte d'entrée de ces patients qui recherchent une explication à leurs symptômes et par le fait même, un traitement adéquat. Cependant, dans la plupart des cas, ces patients avec des douleurs thoraciques non cardiaques (DTNC) et un TP concomitant reçoivent les soins usuels (c.-à-d., une évaluation médicale et des tests médicaux permettant d'éliminer la présence d'une maladie potentiellement fatale) sans que l'on initie ou qu'on les dirige vers un traitement approprié. Or, sans traitement le TP suit généralement un cours chronique et les DT tendent à persister. Les interventions psychologiques comme la thérapie cognitive et comportementale (TCC), en format conventionnel ou bref, ont démontré leur efficacité à traiter le TP (avec ou sans agoraphobie) et des résultats prometteurs semblent le prouver pour les DTNC (avec ou sans TP). Pourtant, la TCC, bien que considérée comme traitement de choix par les principaux guides de pratiques pour le TP n'est que rarement initiée dans le cadre des soins offerts dans les SU. Or, non traité, le TP peut aussi mener au développement d'autres troubles mentaux, et le TP et les DTNC conduisent à une utilisation répétée des services de santé, tout en contribuant à alourdir le système de santé. Dans ce contexte, il apparaît souhaitable et nécessaire de rendre les interventions psychologiques brèves et précoces accessibles à tous ces patients souffrant de TP et de DTNC (reliée à l'anxiété) sollicitant de l'aide par l'entremise des services médicaux, en particulier des SU et ce, afin de favoriser une meilleure compréhension de leurs symptômes, d'en alléger leur souffrance et d'améliorer leur niveau de fonctionnement. Une solution prometteuse consiste à initier des interventions psychologiques dans le cadre des SU par l'entremise de personnel qualifié ou d'introduire une procédure systématique de référence à un professionnel de la santé mentale. La présente étude vise à évaluer l'efficacité de deux différentes modalités d'intervention psychologique brèves utilisant des stratégies d'orientation cognitive et comportementale auprès d'individus souffrant d'un TP et consultant via les SU en raison de DTNC. Cinquante-huit adultes participent au projet et reçoivent soit une intervention concernant la gestion de la panique de deux heures, une TCC répartie sur sept séances d'une heure chacune ou les soins usuels généralement offerts au SU pour cette population. Le présent document présente un compte-rendu des travaux de thèse. Le premier chapitre expose le contexte général en situant notamment le problème à l'étude, en décrivant les caractéristiques de cette population médicale et en faisant l'état des écrits scientifiques à ce jour dans le domaine du traitement du TP et des DTNC, particulièrement en milieu de première ligne tel que les SU. Le second chapitre présente les résultats obtenus lors du premier volet de cette thèse portant sur l'efficacité d'une intervention ciblant la gestion de la panique (une séance) et d'une intervention cognitive et comportementale (sept séances), versus une condition contrôle de type soins usuels offerts au SU. Dans l'ensemble, les données révèlent une diminution significative de la sévérité du TP suite aux deux types d'intervention psychologique. L'intervention brève de sept séances ne diffère pas de l'intervention brève d'une séance sur l'ensemble des mesures (mise à part sur le nombre de participants avec le diagnostic du TP suite à l'intervention). Le troisième chapitre présente les résultats du second volet de la thèse consistant à une recension systématique des diverses études effectuées au SU et ciblant l'efficacité de traitements psychologiques et pharmacologiques offerts aux patients qui consultent pour des DTNC avec ou sans réactions anxieuses concomitantes (c.-à-d. des AP et/ou TP). Malgré le peu d'études portant sur cette question, les résultats divulguent que les interventions pharmacologiques (ISRS) et psychologiques brèves (utilisant principalement des stratégies d'approche cognitive-comportementale) semblent efficaces, lorsque comparé à une condition contrôle de type aux soins usuels au SU. Finalement, le quatrième chapitre comporte une discussion générale des résultats obtenus. Des considérations méthodologiques et cliniques y sont suggérées, en plus d'avenues de recherches futures. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : trouble panique, attaque de panique, douleur thoracique non cardiaque, département d'urgence, efficacité, thérapie cognitive-comportementale, pharmacothérapie.
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Contribution à l'optimisation de la communication et du coping dyadique en oncologie

Tiete, Julien 13 February 2019 (has links) (PDF)
Il existe actuellement différents modèles d’adaptation dyadique à la maladie cancéreuse. Cette adaptation est associée à de nombreux facteurs et est le résultat d’un processus complexe. La communication apparait comme l’un des principaux facteurs de l’adaptation dyadique. La littérature rapporte qu’un certain nombre d’interventions ont été développées et testées, mais il n’existe actuellement pas de consensus quant à leur contenu optimal.Dans ce contexte, ce travail de thèse a porté sur l’optimisation de la communication et du coping dyadique par le développement d’une intervention psycho-oncologique dyadique. La première partie de ce travail établit, d’une part, un état des lieux de la littérature portant sur l’adaptation de la famille et des proches et, d’autre part, un état des lieux des interventions destinées aux proches, à la dyade et à la famille. La deuxième partie de ce travail est axée sur le développement d’une intervention dyadique brève centrée sur la communication à propos de la maladie. Cette intervention s’appuie sur un manuel d’intervention. Cette intervention a été évaluée par le biais d’une étude contrôlée et randomisée menée auprès de patients en cours de traitement et de leurs proches aidants.Cette intervention avait pour objectif de renforcer l’expression mutuelle des stress liés à la maladie et de renforcer la formulation de demandes d’aide réciproques pour faire face à ces stress. Les résultats de cette étude ont montré des effets positifs significatifs pour les patients et leurs proches sur leur capacité perçue à communiquer à propos de la maladie et sur leur adaptation dyadique. Ces résultats impliquent qu’une intervention dyadique brève peut déjà être efficace pour les patients et leurs proches. Ils impliquent également que renforcer la manière dont les patients et leurs proches communiquent est aussi important que de les accompagner dans la résolution de problèmes concrets. Les tailles d’effets de l’intervention étaient, néanmoins, plus grandes pour les patients. Le contenu de l’intervention et les critères de recrutement pourraient ainsi être modifiés afin d’augmenter l’effet sur la communication des proches. L’amélioration de la prise en charge dyadique nécessite, par ailleurs, la conception d’autres études interventionnelles multidimensionnelles qui évaluent, notamment, le transfert de compétences dans la vie quotidienne. / Patients and their close ones have to face many cancer-related stressors. One of these close ones frequently becomes a caregiver and gives specific support to the patient. The dyadic adaptation to cancer is associated with many factors and is the result of a complex process. Communication appears to be one of the main factors of this dyadic adaptation. The literature reports number of dyadic interventions, but there is currently no consensus on their optimal content.In this context, this thesis work focused on optimizing communication and dyadic coping through the development of a dyadic psycho-oncological intervention. The first part of this work establishes, on the one hand, an inventory of the literature on the adaptation of the family and close ones and, on the other hand, an inventory of the interventions intended for close ones, patient-caregiver dyad and patient’s family. The second part of this work focuses on the development of a brief dyadic intervention designed to improve supportive dyadic communication. This intervention was tested through a randomized controlled trial. The intervention was effective on patients and their caregivers, especially on their perceived dyadic communication self-efficacy and dyadic coping. These intervention effects were larger for patients than caregivers. / Doctorat en Sciences psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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La régulation des émotions après le diagnostic et le traitement d'un cancer du sein :optimisation de son évaluation et de sa prise en charge

Waroquier, Pauline 07 October 2021 (has links) (PDF)
Les conséquences à la fois physiques et psychologiques du diagnostic de cancer et de ses traitements ont rendu nécessaire le développement et l’adaptation en oncologie des interventions psychologiques existantes. Parallèlement à cet intérêt est apparue la nécessité d’évaluer l’efficacité des interventions proposées. L’objectif de ce travail de thèse est d’optimiser l’évaluation et la prise en charge de la régulation émotionnelle des patientes durant le début de la période de rémission d’un cancer du sein à travers l’élaboration et la réalisation d’une étude cas-témoins et d’une étude randomisée contrôlée. L’étude cas-témoins a pour objectif d’identifier et de mieux comprendre les facteurs psychologiques qui contribuent à des niveaux cliniques de peur de la récidive du cancer. Les résultats de cette étude nous invitent à être attentifs à l’intolérance à l’incertitude et à l’inquiétude dans l’évaluation et dans la prise en charge de la peur de la récidive du cancer des patientes. L’étude randomisée contrôlée a pour objectif d’évaluer l’efficacité d’une brève intervention psychologique de groupe promouvant la régulation émotionnelle et l’autorégulation et reposant sur des techniques cognitivo-comportementales, d’hypnose et de psychologie positive chez des patientes qui présentent des niveaux cliniques de symptômes psychologiques. Les résultats de cette étude mettent en évidence l’efficacité à court terme et à moyen terme de l’intervention sur la régulation émotionnelle et sur les symptômes psychologiques des patientes. Face à des déclencheurs liés au cancer, les patientes rapportent des émotions négatives d’intensité moindre. Elles présentent également une réduction de leurs niveaux de détresse émotionnelle, de pensées intrusives et d’inquiétude. Les résultats démontrent par ailleurs que l’intervention psychologique de groupe, même brève, permet de promouvoir l’acquisition et l’utilisation de stratégies de régulation émotionnelle plus adaptatives face à des déclencheurs liés au cancer et de se confronter attentionnellement à ces derniers tout en expérimentant moins d’inconfort psychologique. L’utilisation de stratégies de régulation émotionnelle adaptatives, la capacité de se confronter à des déclencheurs liés au cancer et la diminution de l’inconfort psychologique face à ces derniers sont associées à des processus actifs qui se reflètent par une activation physiologique. Les résultats démontrent la faisabilité, l’acceptabilité et l’efficacité d’une telle intervention et nous encouragent à poursuivre le développement d’interventions psychologiques intensives de groupe visant à améliorer la régulation émotionnelle et l’autorégulation des patientes présentant des niveaux cliniques de symptômes psychologiques en début de période de rémission d’un cancer du sein. / Doctorat en Sciences psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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