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Anxiété et désengagement attentionnel de l'information menaçante / Anxiety and attentional disengagement from threatening information

Leleu, Vincent 02 July 2013 (has links)
Les recherches en psychopathologie cognitive ont montré que le biais attentionnel vers l'information menaçante contribue au développement et au maintien de l'anxiété. La difficulté rencontrée par les individus anxieux pour se désengager de l'information menaçante est l'une des principales composantes de ce biais attentionnel. Les recherches menées au cours de cette thèse ont permis, au moyen de paradigmes expérimentaux, de connaître : (1) les étapes du traitement de l'information concernées par la difficulté de désengagement attentionnel de mots menaçants et d'expressions faciales menaçantes, (2) l'importance de l'inhibition et du déplacement attentionnel dans la détérioration du désengagement attentionnel, (3) les relations entre la sous-échelle de focalisation attentionnelle de l'Attention Control Scale et le contrôle exécutif, et celle de déplacement attentionnel avec l'orientation de l'attention, et (4) la présence d'une difficulté de désengagement attentionnel des émotions négatives, non dans l'anxiété mais dans une situation stressante de menace du stéréotype de genre en mathématiques. Notre discussion reprend les résultats concernant le désengagement attentionnel et montre comment ils peuvent être étayés par des mesures telles que l'enregistrement des mouvements oculaires ou le recours à des investigations électrophysiologiques, auprès de populations cliniques et non-cliniques. Nous proposons aussi des pistes d'amélioration du dispositif d'entraînement attentionnel au désengagement, des mesures des fonctions d'inhibition et de déplacement attentionnel, ainsi que de nouvelles perspectives concernant l'évaluation du contrôle attentionnel par questionnaire et paradigmes expérimentaux. / Research in cognitive psychopathology showed that attentional bias towards threat contributes to development and maintenance of anxiety. Difficulty to disengage from threatening stimuli is one of the major components of attentional bias in anxiety. Research conducted in this thesis, using experimental paradigms, enabled to identify : (1) the stages of information processing involved in the impaired, disengagement from threatening words and threatening facial expressions, (2) the role of inhibition and attentional shifting in the impaired attentional disengagement, (3) the link between the attentional focusing subscale of Attentional Control Scale and executive control on the one hand, and betweeen the attentional shifting subscale and orientation of attention, on the other hand, and (4) attentional disengagement impairment from negative emotions in a stressful situation of mathematical gender stereotype threat. Finally, we discussed the results related to attentional disengagement and showed how they might be supported by eyes tracking or electrophysiological measures in clinical and non-clinical samples. We also put forward suggestions to improve attentional disengagement training and develop new measures of inhibition and attentional shifting functions. We also proposed new perspectives for the assessment of attentional control using questionnaire and experimental paradigms.
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Contrôle volontaire des crises et régulation des émotions dans l'épilepsie temporale pharmacorésistante : l’exemple d’une thérapie par GSR biofeedback / Voluntary control of seizures and emotional regulation in drug resistant temporal lobe epilepsy : an exemple of skin conductance biofeedback

Kotwas, Iliana 28 September 2018 (has links)
Parmi les patients souffrant d'épilepsie, particulièrement du lobe temporal (ELT), 30% restent résistants aux médicaments malgré l'administration optimale des traitements pharmacologiques. Le caractère imprédictible des crises est l’un des aspects les plus invalidants de la maladie. De plus, les troubles dépressifs et anxieux sont des comorbidités psychiatriques fréquemment associées à l’épilepsie et impactent encore plus négativement la qualité de vie que les crises. Les approches par biofeedback, ont démontré leur efficacité dans le contrôle des crises. Une thérapie par biofeedback sur la conductance cutanée (GSR biofeedback) a montré son efficacité sur les symptômes psychiatriques. Cependant, les mécanismes sous-tendant l’efficacité sur ces symptômes restent peu connus. L’objectif de cette thèse est de mieux comprendre ces mécanismes. Deux pistes sont explorées : une physiologique dans laquelle il existerait un effet direct du GSR biofeedback sur la régulation physiologique des émotions ; une attentionnelle, dans laquelle il y aurait un effet indirect de l’entraînement sur le contrôle de l’attention. Les études menées ont permis de montrer que les patients avec ELT présentent des réponses électrodermales aux émotions plus faibles que des témoins, mais qu'elles ne sont pas plus élevées après des séances de GSR biofeedback. En revanche, l’amélioration des symptômes anxieux et dépressifs est liée à des modifications du traitement attentionnel des informations menaçantes. Le GSR biofeedback en améliorant le contrôle attentionnel induirait une diminution de la vigilance face à la menace, conduisant à une réduction de la vulnérabilité émotionnelle chez ces patients. / Among patients with epilepsy, particularly temporal lobe epilepsy (TLE), 30% remain drug-resistant despite optimal administration of pharmacological treatments. The unpredictability of seizures is one of the most disabling aspects of the disease. In addition, depressive and anxiety disorders are psychiatric comorbidities frequently associated with epilepsy and have a greater negative impact on quality of life than seizures. Biofeedback approaches have been shown to be effective in controlling seizures. A biofeedback therapy on skin conductance (GSR biofeedback) has shown its efficacy on psychiatric symptoms. However, the mechanisms underlying this efficacy remain poorly understood. The objective of this thesis is to better understand these mechanisms. Two tracks are explored: a physiological one in which there is a direct effect of GSR biofeedback on the physiological regulation of emotions; an attentional one, in which there would be an indirect effect of the training on the control of attention. The studies presented have shown that TLE patients have weaker electrodermal responses than controls but that they are not higher after GSR biofeedback sessions. In contrast, the improvement of anxiety and depressive symptoms is related to changes in the attentional processing of threatening information. GSR biofeedback by improving attentional control would lead to a decrease in alertness to threat, leading to a reduction in emotional vulnerability in these patients.
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La régulation des émotions après le diagnostic et le traitement d'un cancer du sein :optimisation de son évaluation et de sa prise en charge

Waroquier, Pauline 07 October 2021 (has links) (PDF)
Les conséquences à la fois physiques et psychologiques du diagnostic de cancer et de ses traitements ont rendu nécessaire le développement et l’adaptation en oncologie des interventions psychologiques existantes. Parallèlement à cet intérêt est apparue la nécessité d’évaluer l’efficacité des interventions proposées. L’objectif de ce travail de thèse est d’optimiser l’évaluation et la prise en charge de la régulation émotionnelle des patientes durant le début de la période de rémission d’un cancer du sein à travers l’élaboration et la réalisation d’une étude cas-témoins et d’une étude randomisée contrôlée. L’étude cas-témoins a pour objectif d’identifier et de mieux comprendre les facteurs psychologiques qui contribuent à des niveaux cliniques de peur de la récidive du cancer. Les résultats de cette étude nous invitent à être attentifs à l’intolérance à l’incertitude et à l’inquiétude dans l’évaluation et dans la prise en charge de la peur de la récidive du cancer des patientes. L’étude randomisée contrôlée a pour objectif d’évaluer l’efficacité d’une brève intervention psychologique de groupe promouvant la régulation émotionnelle et l’autorégulation et reposant sur des techniques cognitivo-comportementales, d’hypnose et de psychologie positive chez des patientes qui présentent des niveaux cliniques de symptômes psychologiques. Les résultats de cette étude mettent en évidence l’efficacité à court terme et à moyen terme de l’intervention sur la régulation émotionnelle et sur les symptômes psychologiques des patientes. Face à des déclencheurs liés au cancer, les patientes rapportent des émotions négatives d’intensité moindre. Elles présentent également une réduction de leurs niveaux de détresse émotionnelle, de pensées intrusives et d’inquiétude. Les résultats démontrent par ailleurs que l’intervention psychologique de groupe, même brève, permet de promouvoir l’acquisition et l’utilisation de stratégies de régulation émotionnelle plus adaptatives face à des déclencheurs liés au cancer et de se confronter attentionnellement à ces derniers tout en expérimentant moins d’inconfort psychologique. L’utilisation de stratégies de régulation émotionnelle adaptatives, la capacité de se confronter à des déclencheurs liés au cancer et la diminution de l’inconfort psychologique face à ces derniers sont associées à des processus actifs qui se reflètent par une activation physiologique. Les résultats démontrent la faisabilité, l’acceptabilité et l’efficacité d’une telle intervention et nous encouragent à poursuivre le développement d’interventions psychologiques intensives de groupe visant à améliorer la régulation émotionnelle et l’autorégulation des patientes présentant des niveaux cliniques de symptômes psychologiques en début de période de rémission d’un cancer du sein. / Doctorat en Sciences psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Effets de l’adversité précoce sur le système physiologique de stress et la cognition chez l’adulte en santé : le rôle modulateur de l’âge d’exposition à l’adversité

Raymond, Catherine 04 1900 (has links)
L’exposition à l’adversité précoce (AP) a été suggérée comme augmentant le risque de souffrir de psychopathologies associées à une dérégulation du système physiologique de stress ainsi qu’une altération de certains processus cognitifs. Cela dit, les études rapportent des résultats divergents quant à la direction de l’association entre l’AP, la sécrétion de cortisol (la principale hormone de stress chez l’humain) ainsi que la nature de ces dérèglements cognitifs chez l’adulte. Le ‘modèle du cycle de vie’ souligne l’importance de considérer le moment où l’AP a eu lieu pour la première fois (c.-à-d. l’âge minimal d’exposition) en vue d’expliquer ces discordances, considérant que les régions cérébrales importantes à la régulation du stress physiologique et possédant des récepteurs à cortisol (l’hippocampe, l’amygdale et le cortex préfrontal) ne se développent pas au même rythme. En vue de tester le modèle du cycle de vie, le but de cette thèse est d’évaluer le rôle modulateur de l’âge de la première exposition à l’AP sur le système physiologique de stress de même que sur les processus cognitifs soutenus par l’hippocampe, l’amygdale et le cortex préfrontal d’adultes en santé. Précisément, l’objectif de la première étude était de déterminer si l’âge minimal d’exposition à l’AP modulait le cortisol basal et réactif d’adultes en santé, et ce, en comparaison avec un modèle compétitif : celui de l’accumulation de l’AP, qui considère qu’il est important de considérer le nombre d’AP auquel l’individu a fait face au cours de son développement. Pour ce faire, nous avons mesuré le cortisol basal à l’aide d’échantillons de salive récoltés à la maison de même qu’en réaction à un stresseur psychosocial validé, le Trier Social Stress Test, chez 85 adultes en santé. Nous avons démontré que l’âge minimal d’exposition à l’AP module bel et bien le cortisol basal et réactif d’adultes en santé, et que ce modèle est un meilleur prédicteur du système physiologique de stress que celui du modèle d’accumulation mesuré via le Adverse Childhood Experience Questionnaire. En effet, nous avons démontré qu’être exposé pour la première fois à l’AP entre 3 et 7 ans (importante fenêtre de développement de l’amygdale) mène à une réponse cortisolaire au réveil plus élevée ainsi qu’à une réactivité cortisolaire plus faible en comparaison aux adultes ayant été exposés pour la première fois avant 3 ans ou après 7 ans. Ensuite, étant donné que l’hippocampe, l’amygdale et le cortex préfrontal possèdent des récepteurs à cortisol qui sont affectés par la sécrétion chronique d’hormones de stress en lien avec l’AP, l’objectif de la seconde étude était d’évaluer l’effet de l’âge minimal d’exposition à l’AP sur les processus cognitifs soutenus par ces structures. Pour ce faire, nous avons mesuré la mémoire déclarative (hippocampe), les biais attentionnels vers les informations menaçantes (amygdale) et la régulation émotionnelle (connexion frontoamygdalienne) en fonction de l’âge minimal d’exposition à l’AP chez les mêmes sujets en santé. Nous avons démontré que les femmes exposées à l’AP pour la première fois après l'âge de 8 ans (fenêtre de développement de la connectivité frontoamygdalienne) présentent un biais attentionnel vers les informations menaçantes. Dans l’ensemble, les résultats de cette thèse soutiennent partiellement le modèle du cycle de vie et offrent une perspective nouvelle sur certaines fenêtres développementales qui semblent plus sensibles aux effets de l’AP sur certaines régions du cerveau responsables de réguler le stress et les émotions. / Early adversity (EA) has been shown to be a potent risk factor in the development of psychopathologies associated with a deregulation of the physiological stress system as well as cognitive functions. However, studies report divergent results as to the direction of the association between EA, the secretion of cortisol (the main stress hormone in humans) and the nature of these cognitive dysfunctions in adulthood. The Life cycle model of stress underlines the importance of considering the moment at which EA first occurred, given that the brain regions that are necessary to regulate the stress response and that are dense in cortisol receptors (the hippocampus, the amygdala and the prefrontal cortex) do not develop at the same rhythm. In order to test the Life cycle model of stress, the aim of this thesis is to evaluate the modulating role of the age at first exposure to EA on the physiological stress system as well as on the cognitive processes sustained by the hippocampus, the amygdala and the prefrontal cortex in healthy adults. Precisely, the goal of the first study was to determine if the minimal age at exposure to EA modulated basal and reactive cortisol levels in 85 healthy adults, and to compare these results to a competing model: the Accumulation model (which suggests that the number of EA predicts patterns of cortisol dysregulations). To do so, we measured basal cortisol using saliva samples collected at home as well as in response to a validated psychosocial stressor, the Trier Social Stress Test. We have shown that minimal age at exposure to EA does indeed modulate the basal and reactive cortisol patterns in healthy adults, and that this model is a better predictor of the physiological stress system as opposed to the Accumulation model measured using the Adverse Childhood Experience Questionnaire. Indeed, results showed that although the number of EA was not associated with patterns of basal or reactive cortisol secretion, adults first exposed to EA between the ages of 3 and 7 – an important time window for amygdala development – showed greater cortisol awakening response and lower cortisol reactivity relative to those first exposed to EA before 3 or after 7. Then, given that the hippocampus, the amygdala and the prefrontal cortex possess cortisol receptors that are affected by the chronic secretion of stress hormones following EA, the goal of the second study was to evaluate the effect of minimal age at exposure to EA on the cognitive processes sustained by these structures. To do this, we measured declarative memory (hippocampus), attentional bias to threat (amygdala) and emotional regulation (frontoamygdala connection) as a function of minimal age at exposure to EA in the vi same healthy subjects. Results revealed increased attentional bias to threat in women first exposed to EA after 8 years (prefrontal cortex and frontoamygdala connectivity development). Overall, the results of this thesis partially support the Life cycle model of stress and highlight the importance of considering the age at first exposure to EA when investigating the long-lasting effects of EA on physiological stress and cognitive processes in healthy adults.

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