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Social cognition and anxiety following a first-episode of psychosis : markers of clinical remission in schizoprenia and the development of a manualized cognitive-behavioral group intervention for social anxiety

Montreuil, Tina 03 1900 (has links) (PDF)
Évaluation des prédicteurs de la rémission en schizophrénie en lien avec le développement d'une intervention cognitivo-comportementale de groupe pour le traitement de l'anxiété sociale chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Depuis les dernières années, il existe un intérêt croissant pour la notion de comorbidité en psychiatrie. Malgré cette évolution dans la compréhension des problématiques psychiatriques, la relation entre l'anxiété et la schizophrénie demeure toutefois négligée. Cependant, la problématique de la schizophrénie et d'un trouble comorbide à l'axe I du DSM-IV demeure toujours peu explorée dans les écrits scientifiques disponibles. Parmi la recherche existante, portant plus particulièrement sur la comorbidité d'un trouble relié à l'anxiété chez les personnes qui sont atteints de schizophrénie, un très petit nombre d'études ont exploré les liens qui existent entre les symptômes de l'anxiété et la schizophrénie. Le champ des études portant sur la comorbidité chez les personnes présentant plus particulièrement un premier épisode psychotique, demeure davantage inexploré. L'anxiété sociale est le trouble le plus fréquemment diagnostiqué parmi les troubles qui se retrouvent sur le continuum de l'anxiété. Cette problématique représente aussi l'une des pathologies les plus répandues en ce qui a trait à la comorbidité en schizophrénie. Malgré un intérêt croissant pour l'application de la thérapie cognitivo-comportementale dans le traitement des symptômes reliés à la schizophrénie, très peu d'études ont à ce jour proposé une intervention d'approche cognitivo-comportementale pour l'anxiété sociale spécifiquement adaptée pour les personnes atteintes de schizophrénie. Sur cette base, la présente recherche porte sur une intervention de ce type avec cette population. Nous avons formulé l'hypothèse que les participants qui prendraient part à une thérapie de groupe d'approche cognitivo-comportementale pour l'anxiété sociale qui aurait été adaptée plus particulièrement pour les personnes atteintes de schizophrénie, manifesteraient une réduction significative des symptômes reliés à l'anxiété sociale ainsi que des symptômes psychotiques à la suite de l'intervention. Cette étude portant principalement sur l'efficacité d'un programme d'intervention pour le traitement de l'anxiété sociale en tant que comorbidité en premier épisode de psychose fut développée selon un devis non contrôlé. Dans le cadre de cette étude, 29 participants ont été recrutés et ont donné leur consentement à participer à l'étude. De ce nombre, 26 personnes ont complété avec succès le programme d'intervention. Les participants ont pris part à la thérapie de groupe d'approche cognitivo-comportementale qui s'est déroulée en 14 séances hebdomadaires de 90 minutes chacune. L'effet thérapeutique de l'intervention a été évalué à l'aide de tests « t » d'échantillons appariés (T1 pré-test - T2 post-test) pour toutes les mesures de résultats thérapeutiques qui comprennent l'anxiété sociale, les symptômes positifs et négatifs de la psychose et les symptômes de la psychopathologie générale (dépression, insight, stigma). Le chapitre I de la thèse consiste en une introduction générale qui présente une recension des écrits scientifiques, et plus précisément sur les marqueurs de la rémission clinique en schizophrénie et sur la nature des comorbidités, plus particulièrement l'anxiété sociale chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Les chapitres II et III présentent deux études empiriques indépendantes qui ont examiné l'impact de la cognition sociale pour l'une des études, et, pour l'autre étude, la fonction de la sévérité des symptômes reliés à l'anxiété sur la rémission clinique chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Les résultats de ces recherches ont révélé que les déficits au chapitre de la cognition sociale et la sévérité des symptômes reliés à l'anxiété sont des marqueurs importants de la rémission clinique chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Le chapitre IV comprend un troisième article empirique qui vise à évaluer l'efficacité d'une intervention de groupe d'approche cognitivo-comportementale manualisée pour le traitement des symptômes reliés à l'anxiété sociale chez les personnes présentant un premier épisode psychotique. Les résultats de cette étude révèlent que l'intervention semble contribuer à une réduction significative des symptômes d'anxiété sociale, des symptômes négatifs de la psychose, des symptômes dépressifs et du stigma. Finalement, le chapitre V présente une discussion générale des résultats de la thèse ainsi que des implications cliniques, des considérations méthodologiques et des pistes de recherche future. Les marqueurs de la rémission clinique chez les personnes présentant un premier épisode psychotique sont présentés. Un modèle de l'anxiété sociale en premier épisode psychotique, selon l'intervention de groupe d'approche TCC manualisée, est proposé. Dans l'ensemble, les résultats thérapeutiques de ce programme de recherche suggèrent que l'intervention de groupe d'approche cognitivo-comportementale manualisée doit être soumis à un essai contrôlé randomisé (ECR). ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Anxiété sociale, premier épisode psychotique, schizophrénie, thérapie cognitivo-comportementale, intervention psychologique, résultats thérapeutiques, rémission, fonctionnement social, stigma, insight
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La qualité de vie de l'adolescent en rémission complète d'hémopathie maligne et d'un de ses parents / The quality of life of adolescents in complete remission of hematologic malignancies and one of its parents

Buttin-Longueville, Virginie 10 December 2012 (has links)
Du fait des récentes avancées thérapeutiques, de plus en plus de jeunes se trouvent actuellement en rémission complète de cancer. Cette période entre les traitements et la guérison est pourtant peu évoquée dans la littérature. Elle s’accompagne assez souvent de séquelles iatrogènes, de difficultés de réinsertion sociale ou de troubles psychopathologiques. (Oeffinger et Wallace, 2006). Cette étude a pour principal objectif d’appréhender l’expérience spécifique de la rémission complète par l’adolescent et ses parents. Notre hypothèse principale est qu’ils connaissent des difficultés psychosociales durant cette période.Notre recherche a été menée auprès de 38 dyades parents- adolescents en rémission complète de cancer hématologique au sein des hôpitaux de Toulouse, Montpellier et Bordeaux. Nous avons évalué les représentations de santé, l’anxiété, les stratégies d’adaptation, les relations familiales, le soutien social perçu, les relations avec le corps médical et la qualité de vie chez l’adolescent et son parent. Nous avons mené des entretiens semi-directifs auprès de l'adolescent ainsi qu'un de ses parents avec un suivi longitudinal au cours de trois temps de la rémission : lors du bilan de fin des traitements, lors de la première visite de rémission, lors de la troisième visite de surveillance. L’adolescent et les parents ont rempli trois questionnaires respectifs: l ’Ok-Ado, le QLACS, et le STAIC pour l’adolescent ; et pour le parent: le GHQ-28, le QSSP et le STAI.Le bilan de fin de traitements est un moment anxiogène pour l’adolescent et ses parents qui ont surtout des représentations négatives de la maladie et des perceptions plus positives de la rémission et du suivi médical. Les représentations de la santé et l’anxiété de l’adolescent varient peu au cours du temps aussi bien pour les adolescents que les parents. Lors de la première visite de surveillance, les adolescents sont en majorité dans le refus de parler de leur maladie, avec une désillusion de la rémission et de la surveillance médicale. Ils connaissent une diminution de leur qualité de vie avec une plus grande insatisfaction vis-à-vis du soutien parental, un repli sur soi et un recours à l’hypervigilance. Des attitudes parentales de surprotection et d’hypervigilance vis-à-vis des adolescents perdurent. Les parents souffrent d’une diminution de leur soutien familial. La troisième visite est marquée par une importante dénégation de la maladie des adolescents qui s’accompagne d’un épuisement émotionnel. Les adolescents et les parents ont des représentations négatives du suivi médical. Les parents sont plus dans le contrôle émotionnel et connaissent une diminution de leur qualité de vie. La dyade évoque plus les troubles physiques à ce stade. Le bilan de fin de traitements semble être un temps propice pour exprimer et évaluer leurs représentations de la maladie, de la rémission, de la santé qui influent sur les niveaux d’anxiété. Nous pouvons souligner un contre- coup pour l’adolescent lors de la première visite de surveillance où il semble prendre conscience des risques de santé. Ce temps est l’occasion pour les parents de s’autoriser à exprimer leur détresse émotionnelle, ce qui améliore leur qualité de vie. Un dispositif de sortie de maladie intégrant la possibilité d’un soutien psychologique pourrait permettre un dépistage et une prise en charge des difficultés post traitements des adolescents et de leur famille. / Due to recent therapeutics progress, more and more young people are now in complete cancer remission. However, this period between treatment and healing is rarely mentioned in the literature. This period often goes with iatrogenic sequelae, rehabilitation difficulties or psychopathological disorders (Oeffinger and Wallace, 206).This study has for main objective to apprehend the specific experience of complete remission for the adolescent and his parents. Our principal hypothesis is that psychological difficulties are important during this period.Our study included 38 dyads (parents-adolescents) with total remission of hematologic cancer from Toulouse, Montpellier and Bordeaux hospitals. We have assessed health representations, anxiety, coping strategies, family relationships, perceived social support, relationships with medical profession and quality of life for the adolescent and his parent. We have led semi-directed interviews with the adolescent and one of his parent on a longitudinal follow-up within three steps of remission: during end treatment check-up, during first remission visit, then for the third monitoring visit. Adolescent and his parents have filled out three questionnaires: the Ok-Ado, the QLACS, and the STAIC for the adolescent; and for the parent: the GHQ-28, the QSSP and the STAI.The consult which take place at the end of treatment is an anxious moment for the adolescent and his parents. Indeed their representations of the disease are negatives, while their representation of the medical follow-up and their remission are more positive. Representations of health and anxiety vary little over time both for adolescents and parents.During the first consult after treatment, majority of adolescents don’t want to talk about their disease. Disillusion about remission and medical follow up are important. They’re facing decrease in quality of life with a major dissatisfaction with parental support, a withdrawal and tendency to increase their vigilance. Parents suffer from a decrease of their family support.During the third visit, denial of the disease is considerable and often associated with moral exhaustion. Adolescents and parents have negative representations of medical follow-up. Parents are more into emotional control and experience a decrease of their quality of life. At this stage, the dyad shows mostly physical disorders.End treatment checkup seems to be the perfect time to evaluate their representations of the disease, of remisssion and health which contribute to anxiety. We can underline repercussions for the adolescent during first surveillance visit where he seems to take conscience about health risks. This consult is the opportunity for the parents to express their emotional distress, which improve their quality of life. A psychological follow-up ending illness organized at the end of treatment would ensure to screen and to take care of the difficulties encountered by the patient and his family.
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Le contrôle des guerres privées sous le règne de Philippe VI de Valois (1328-1350)

Champagne, Cédric January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Toxicomanie et inadaptation sociale sévère chez des femmes en traitement : trajectoire et services reçus

Bertrand, Karine January 2003 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Predicting distress and benefit finding in breast cancer survivors at six-year follow-up

Lebel, Sophie January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Incidence et rémission de l’incontinence urinaire des femmes entre 45 et 60 ans. / Incidence and Remission of Female Urinary Incontinence at Midlife

Legendre, Guillaume 08 December 2016 (has links)
Objectif : L’objectif principal de ce travail était d’évaluer les facteurs de risque d’incidence et de rémission de l’incontinence urinaire (IU) au sein d’une cohorte de femmes de la cinquantaine en prenant en compte le type d’IU (Incontinence urinaire d’effort - IUE -, Incontinence par argenture - IUU- et Incontinence urinaire mixte – IUM) et la gravité des symptômes.Matériel et Méthodes : Les données sont issues des questionnaires de l’enquête « les femmes et leur santé », des questionnaires annuels de la cohorte GAZEL et du questionnaire spécifique « les troubles urinaires » posé en 2000 et 2008. Un modèle de Cox a été utilisé entre 1990 et 2008 à partir des données de la question « Avez-vous des difficultés à retenir vos urines ? ». Des modèles de régression logistiques ont été utilisés entre 2000 et 2008 à partir de la question validée de l’IU « Au cours des 12 derniers mois, vous est-il arrivé d’avoir des fuites involontaires d’urine ? ».Résultats : Au sein de notre population, le taux annuel d’incidence de l’IU est de 5,5 % et le taux annuel de rémission est de 6,2 %, confirmant que l’IU est un phénomène dynamique avec des périodes possibles d’aggravation et d’amélioration partielle ou totale. Ces taux sont variables avec le type d’IU : entre 2000 et 2008, les taux d’incidence étaient respectivement de 14,9 % pour l’IUE, de 3,2 % pour l’IUU et de 3.1% pour l’IUM. L’IUE est le type le plus enclin à connaître une rémission de l’IU en comparaison à l’IUU et l’IUM. Les facteurs associés à l’apparition d’une IU sont des facteurs sociaux (le niveau d’études élevé), obstétricaux (la parité), hormonaux (la ménopause), et en rapport avec l’état de santé, physique ou mentale (la prise de poids, l’apparition de symptômes dépressifs, la dégradation de la qualité de vie - dans les dimensions tonus et isolement social du score NHP). La rémission complète est d’autant moins fréquente que les femmes vieillissent et qu’elles prennent du poids. Pour chaque type d’IU, l’influence des facteurs de risque semble différente. Ainsi, le niveau d’étude (être titulaire du baccalauréat), l’IMC (à l’inclusion, et au cours du suivi) et un syndrome dépressif à l’inclusion sont associés à l’apparition d’une IUE. Un antécédent de prise en charge chirurgicale de l’IU est associé à l’apparition d’une IUU et d’une IUM. La correction chirurgicale de l’IU pendant le suivi est, comme attendu, associée à une rémission des symptômes d’IUE, mais en revanche la rééducation périnéale et un antécédent d’accouchement par voie vaginale, sont associés à une persistance des symptômes d’IUE. L’accouchement par voie vaginale était également associé à la persistance de l’IUM. L’IUU et l’IUM sont les types d’IU les plus graves à l’inclusion. De plus, l’aggravation est plus marquée en cas d’IUU ou d’IUM que d’IUE. Hormis le type, les facteurs associés à une aggravation des symptômes sont une operation pour une IU (à l’inclusion) et l’apparition d’un syndrome dépressif. L’aggravation des symptômes est négativement associée à la consommation d’alcool à l’inclusion et une chirurgie de l’incontinence pendant la période d’étude. Le rôle des facteurs sociaux, comme l’obtention du baccalauréat par exemple, est associé à l’apparition d’un IU légère, alors que des facteurs obstétricaux comme un antécédent d’accouchement par voie basse est associé à une apparition de l’IU grave.Conclusion : L’IU est un phénomène dynamique avec des périodes possibles d’aggravation et d’amélioration partielle ou totale. L’analyse des facteurs de risque associés à l’IU doit intégrer une différentiation du type et de la gravité. Les données concernant l’épidémiologie de l’IU chez les femmes entre 45 et 60 ans sont encore trop peu nombreuses. D'autres enquêtes longitudinales incluant un nombre plus important de femmes sont essentielles afin de confirmer nos résultats et mieux conseiller les femmes en présentant les symptômes. / Objective: The main objective of this work was to evaluate the risk factors of incidence and remission of urinary incontinence (UI) in a cohort of women at midlife, taking into account the type of UI (Stress urinary incontinence - SUI – Urge urinary incontinence – IUU - and mixed urinary incontinence - IUM) and the severity of symptoms.Material and Methods: Data were obtained from the survey questionnaires "women and their health," the annual questionnaires cohort GAZEL and specific questionnaire "urinary problems" posed in 2000 and 2008. A Cox model was used between 1990 and 2008 from the data of the question "Have you trouble holding your urine? ". Logistic regression models were used between 2000 and 2008 from the issue validated UI "Over the last 12 months, did you have any involuntary loss of urine ? ".Results: In our population, the annual rate of incidence of UI was 5.5% and the annual rate of remission was 6.2%, confirming that the UI is a dynamic condition with possible periods of worsening and of improvement. These rates vary with the type of UI: between 2000 and 2008, incidence rates were 14.9% for SUI, 3.2% for UUI and 3.1% for the MUI. SUI is the most likely type to experience a possible remission of the UI compared to UUI and MUI. Factors associated with the occurrence of UI are social factors (high educational level), obstetrical (parity), hormonal (menopause), and factors in relation with physical or mental health status (weight gain, onset of depressive symptoms, impairment in health-related quality of life - energy dimension and social isolation dimension of NHP score). Complete remission is even less common as women gain in age and in weight. For each type of UI, the influence of risk factors seems different. Thus, educational level (baccalaureate), BMI (at baseline and during follow-up) and a depressive syndrome at baseline are associated with the onset of SUI. An antecedent of surgical procedure for UI is associated with the occurrence of UUI and MUI. Surgical correction of the UI during follow-up is, as expected, associated with remission of symptoms of SUI. By contrast, pelvic floor muscle training exercises and vaginal childbirth, are associated with persistence of symptoms of SUI. The vaginal delivery was also associated with the persistence of MUI. MUI and UUI are the more severe types of UI at baseline. Furthermore, the aggravation is more pronounced in case of UUI or MUI that for SUI. Aside from the type, the factors associated with worsening symptoms are a prior surgery for a UI (at baseline) and the onset of a depressive syndrome. A worsening of UI is negatively associated with alcohol consumption at baseline and incontinence surgery during the study period. The role of social factors, such as the baccalaureate for example, is associated with the appearance of a slight UI, while obstetric factors such as a vaginal childbirth is associated with the appearance of a severe UI.Conclusion: The UI is a dynamic condition with possible periods of worsening and of partial or total improvement. The analysis of risk factors associated with the UI must incorporate a differentiation of the type and severity. Data on the epidemiology of UI in women between 45 and 60 years are still too few. Other longitudinal studies including a larger number of women are essential to confirm our results and to better counselling women with UI symptoms.
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Analyse coût-bénéfice de la thérapie cognitive-comportementale de l'insomnie

Hudon, Olivier 22 November 2018 (has links)
L’insomnie, en plus d’être invalidante pour les personnes qui en souffrent, peut engendrer des coûts pour la société. Le traitement de l’insomnie pourrait donc s’avérer rentable en diminuant les coûts associés à cette problématique. Le présent mémoire rapporte une analyse coût-bénéfice de la thérapie cognitive-comportementale de l’insomnie (TCC-I). Une base de données recueillies entre 2002 et 2005 a été utilisée pour effectuer cette étude. Les résultats de 74 participants ayant complété six séances de TCC-I ont été analysés, afin d’observer si la rémission de l’insomnie pouvait engendrer une diminution de l’utilisation des soins de santé, du nombre d’absences au travail et de la consommation de médicaments pour dormir. L’objectif de l’étude était d’évaluer si la TCC-I pouvait engendrer une réduction des coûts associés à l’insomnie plus élevés que les coûts de la TCC-I, démontrant que le traitement est bénéfique monétairement chez les participants en rémission. Les analyses statistiques ont démontré que les personnes en rémission rapportaient significativement moins de consultations chez un professionnel de la santé et d’absences au travail attribuables à l’insomnie. Lorsqu’une valeur monétaire était attribuée aux variables de l’étude, les dépenses associées au groupe non-rémission totalisaient 1495 $, comparé à 744 $ pour le groupe rémission, ce qui représentait une différence de coûts de 751 $. Prenant en considération que les coûts d’une TCCI étaient estimés à 490 $, une économie de 261 $ était observée trois ans après la fin du traitement chez les personnes ayant atteint une rémission de leur insomnie. Les résultats de cette étude démontrent donc que la TCC-I peut s’avérer rentable à long-terme chez les participants ayant atteint une rémission.
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Étude qualitative sur l'effet du méthylphénidate sur la fonction cognitive des patientes en rémission d'un cancer du sein

Selihi, Zineb 06 November 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 31 octobre 2023) / CONTEXTE : L'apparition de troubles cognitifs à la suite de traitements anticancéreux touche une proportion substantielle des patientes ayant un cancer du sein, affectant principalement les fonctions exécutives, la vitesse de traitement de l'information, la mémoire épisodique et la mémoire de travail. Le méthylphénidate pourrait contribuer à améliorer la qualité de vie de ces patientes. OBJECTIF: Explorer l'effet du méthylphénidate sur l'expérience de la perception des troubles cognitifs et leurs conséquences sur le vécu des patientes traitées pour un cancer du sein non métastatique. MÉTHODOLOGIE : Volet qualitatif d'une étude clinique randomisée à double insu comparant les effets du méthylphénidate versus un placebo sur l'expérience subjective des difficultés cognitives et d'autres symptômes suite aux traitements oncologiques chez des femmes en rémission d'un cancer du sein non métastatique. Les participantes furent évaluées à l'aide d'entrevues individuelles semi-structurées. Les entrevues ont été retranscrites intégralement. Une analyse thématique des verbatims basée sur le modèle de Wilson et Cleary a été réalisée. RÉSULTATS: Neuf (9) participantes ont reçu le méthylphénidate et onze, le placebo. Avant l'intervention, les participantes percevaient une atteinte de leurs capacités intellectuelles, une fatigabilité physique, de l'anxiété et de l'irritabilité. Elles ont clairement décrit que leurs difficultés cognitives affectaient de façon marquée leur vie familiale, sociale et professionnelle. Après l'intervention, les participantes recevant le méthylphénidate étaient plus nombreuses que les autres à rapporter une amélioration: de la concentration, de la capacité à effectuer plusieurs tâches à la fois, de l'énergie, du bien-être émotionnel, du rendement au travail, de l'organisation des tâches, du confort et de la qualité de vie liée à la santé. CONCLUSION : Le méthylphénidate entraine une amélioration réelle dans l'expérience de vie des patientes, d'où la pertinence d'une étude de phase III afin d'évaluer l'efficacité du méthylphénidate chez les patientes traitées pour un cancer du sein . / BACKGROUND: A substantial proportion of breast cancer patients develop cognitive disorders following cancer treatment, mainly affecting executive function, information processing speed, episodic memory and working memory. Methylphenidate could help improve these patients' quality of life. OBJECTIVE: To explore the effect of methylphenidate on the experience of perceived cognitive impairment and its consequences on the experience of patients treated for non-metastatic breast cancer. METHODOLOGY: Qualitative component of a double-blind randomized clinical trial comparing the effects of methylphenidate versus placebo on the subjective experience of cognitive difficulties and other symptoms following oncological treatments in women in remission from non-metastatic breast cancer. Participants were evaluated using individual semi-structured interviews. Interviews were transcribed in full. A thematic analysis of verbatims based on Wilson and Cleary's model was performed. RESULTS: Nine (9) participants received methylphenidate and 11 received placebo. Before the intervention, the participants perceived an impairment of their intellectual abilities, physical tiredness, anxiety and irritability. They clearly described how their cognitive difficulties markedly affected their family, social and professional lives. After the intervention, participants receiving methylphenidate were more likely than others to report improvements in: concentration, multitasking, energy, emotional well-being, work performance, task organization and comfort, and health-related quality of life. CONCLUSION: Methylphenidate brings about a real improvement in patients' experience of life, hence the relevance of launching a Phase III study to assess the efficacy of methylphenidate in patients treated for breast cancer.
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Examen des trajectoires de rétablissement chez les adolescentes atteintes d'anorexie mentale

Bernard, Catherine 14 September 2022 (has links)
L’anorexie est un trouble de santé mentale complexe touchant principalement les adolescentes et les jeunes femmes. Ce trouble est considéré comme la troisième maladie chronique la plus fréquente chez les 15-19 ans. La prévalence plus élevée chez les adolescentes s’avère particulièrement préoccupante, considérant l’importance des conséquences physiques, psychologiques et financières qui découlent de cette maladie. L’hétérogénéité des caractéristiques des adolescentes présentant une anorexie mentale ressort depuis plusieurs années dans la littérature, notamment sur le plan affectif et comportemental (Hodge, Meilleur, Taddeo & Frappier, 2019; Lavender et al., 2013; Westen & HarndenFischer, 2001; Wildes et al., 2011). L’hétérogénéité se reflète également dans les trajectoires de rétablissement de la maladie qui fluctuent de manière importante selon l’individu touché (American Psychiatric Association, 2013). L’étude des trajectoires de rétablissement ainsi que leur caractérisation constituent un intérêt récent partagé parmi la communauté scientifique, afin de mieux comprendre les particularités des trajectoires, ajuster les soins offerts et favoriser un meilleur pronostic (Berona, Richmond & Rienecke, 2018; EspelHuynh et al., 2020 ; Lebow et al., 2019). À ce jour, le poids constitue la variable de prédilection sur laquelle reposent les trajectoires de rétablissement (Berona, Richmond & Rienecke, 2018; Lebow et al., 2019; Makhzoumi et al., 2017; Wade et al., 2020). Or, l’évolution du poids ne permet pas de brosser un portrait complet de l’évolution de la maladie qui se définit par différents autres symptômes. Ainsi, c’est dans ce contexte que la présente étude s’intéresse à documenter et caractériser les trajectoires de rétablissement chez les adolescentes atteintes d’anorexie mentale selon trois marqueurs de rémission : le poids, la restriction alimentaire et l’exercice physique excessif. Trois trajectoires de rétablissement distinctes ont été trouvées à partir de la modélisation semi-paramétrique basée sur l’approche des trajectoires par groupe chez un échantillon de 126 adolescentes. Le premier groupe est caractérisé par un indice de masse corporelle initialement faible et une réponse rapide à l’intervention sur les trois marqueurs de rémission. Le deuxième groupe se comporte de manière similaire qu’au premier groupe, à l’exception d’un indice de masse corporelle plus élevé en début d’intervention. Le troisième groupe est caractérisé par un indice de masse corporelle initialement modéré et une absence de réponse à l’intervention. En ce qui a trait aux prédicteurs des trajectoires, seul le type de traitement (hospitalisation vs traitement à l’externe) diffère significativement entre les trois groupes. En effet, les groupes ne se distinguent pas sur l’ensemble des variables sociodémographiques et psychologiques mesurées. Ainsi, il s’avère pertinent d’étudier d’autres types de variables pour les études futures, tels que les variables familiales et celles liées à l’intervention. Dans leur ensemble, les résultats démontrent l’hétérogénéité des trajectoires de rétablissement chez les adolescentes atteintes d’anorexie mentale. En plus, l’intégration de plusieurs marqueurs de rémission a permis d’établir un portrait plus complet de l’évolution des symptômes de l’anorexie mentale.
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Fonctionnement de la mémoire autobiographique dans un contexte de traumatisme psychique / Autobiographical memory functioning in a context of psychological trauma

Billoux Peyrot des Gachons, Sophie 31 March 2016 (has links)
Le traumatisme psychique définit le choc émotionnel d'un individu à la suite à d'un évènement traumatique. Dans certains cas, la symptomatologie psychotraumatique s'installe et perdure entrainant l'apparition d'un Trouble de Stress Post Traumatique. La littérature décrit amplement les désordres mnésiques qui accompagnent la maladie et notamment l'altération de la mémoire autobiographique. Ce système de mémoire complexe renferme l'histoire de notre passé sur laquelle s'appuie notre individualité présente et nos aspirations futures. Cependant, l'origine du dysfonctionnement de la mémoire autobiographique reste confuse, cette altération pourrait être un facteur prémorbide, la conséquence de l'exposition traumatique ou celle de la maladie. Les recherches restent incertaines sur les relations existantes entre le dysfonctionnement de la mémoire autobiographique et le traumatisme psychique. Tout au long de ce travail, nous caractériserons le fonctionnement de la mémoire autobiographique dans le contexte d'un traumatisme psychique. Les deux premières études permettront d'analyser la mémoire autobiographique suite à une exposition traumatique unique et suite à des expositions répétées. La dernière étude nous éclairera sur le fonctionnement de la mémoire autobiographique chez des sujets en rémission partielle d'un trouble de stress post traumatique. / Psychological trauma defines the emotional shock experienced by an individual following a traumatic event. In some cases, the psychotraumatic symptomatology develops and persists, leading to the onset of posttraumatic stress disorder. The literature has widely described the memory impairment associated with the disease, especially dysfunction of autobiographical memory. This complex memory system contains the story of our past, on which our present identity and future aspirations are based. However, it remains unclear whether this deficit is due to premorbid autobiographical memory dysfunction, to the trauma exposure itself, or to the subsequent development of posttraumatic stress disorder symptomatology. Research has not yet clarified the relationship between autobiographical memory dysfunction and psychological trauma. Throughout this work, we will define autobiographical memory function in the context of psychological trauma. The first two studies will analyze autobiographical memory function following a single traumatic exposure and following repeated exposures. The final study will shed light on how autobiographical memory functions among participants with posttraumatic stress disorder in partial remission.

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