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L'éveil du Spoutnik : la réaction du Congrès américain au lancement du satellite soviétique, 1957-1958

Vigneau, Sarah 26 September 2019 (has links)
Durant les années 1950, la Guerre froide entre les États-Unis et l’Union soviétique est bien amorcée. Alors que les puissances s’affrontent déjà dans une course à l’armement nucléaire, l’URSS envoie le 4 octobre 1957 le premier satellite artificiel en orbite de la Terre et déplace le combat sur un nouveau front : l’espace. Cet événement sans précédent marque certainement la population américaine et, bien évidemment, le gouvernement en place. Dans un contexte d’affrontement avec les Rouges, le Congrès des États-Unis, quoique divisé par les opinions des démocrates et des républicains, réagit promptement en cherchant à comprendre la signification d’un tel accomplissement, la raison d’un probable retard américain et les actions à entreprendre afin d’assurer une place au premier rang pour la nation dans la course à l’espace.
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Le Rhin inférieur et l'espace frontalier rhénan au Ier siècle de notre ère : entre représentation d'une frontière romaine et situation frontalière d'un environnement fluvial

Simard Morin, Mélissa 13 April 2018 (has links)
Tableau d’honneur de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, 2007-2008. / Au début du Ier siècle de notre ère, à la suite de l'échec romain de la conquête de la Germanie transrhénane, une frontière administrative fut établie sur le Rhin inférieur. Deux tendances historiographiques orientèrent l'étude de cette région frontalière : d'abord, la conception classique des frontières romaines aborda le Rhin en tant que limite linéaire, fixe et militaire, puis, à partir de la fin des années 1980, le secteur rhénan fut plutôt étudié en tant que zone frontalière favorisant les interactions entre les deux rives. Alors que les études classiques sur la frontière linéaire s'appuyaient généralement sur les témoignages littéraires, les travaux récents sur la zone frontalière rhénane examinent principalement la documentation matérielle et abordent rarement l'apport des sources littéraires. Le présent mémoire de maîtrise cherche ainsi à démontrer l'existence au sein de la littérature ancienne d'une représentation de la frontière rhénane en tant que zone de convergence. L'objectif est donc de prouver que les deux représentations frontalières du Rhin inférieur, soit en tant que limite et en tant que zone, se retrouvent chez les auteurs anciens, sans toutefois avoir la même fonction ; ces représentations seraient en fait complémentaires plutôt qu'en opposition. Cette nouvelle approche de la frontière rhénane permet ainsi de concevoir chez les auteurs anciens un possible reflet à la fois de la réalité frontalière de la région et de la représentation sociale romaine du fleuve.
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La perception de la menace nucléaire soviétique par l'Office of Reports & Estimates, 1946-1950 : pourquoi ont-ils raté la bombe?

Demers, Marc 11 April 2018 (has links)
En 1950, la Central Intelligence Agency (CIA) fut le théâtre d'une profonde réorganisation, trois années seulement après son implantation. L'origine de cette tourmente s'appelait Joe-1, la première bombe atomique soviétique. La victime qui paya le prix pour ce manque d'efficacité fut l’Office of Reports and Estimates (ORE). Responsable d'estimer - entre autres - l'avancement de l'Union soviétique en matière d'armement nucléaire, l'ORE fut rapidement démantelé et condamné sans réserve par la communauté américaine du renseignement. Pourtant, l'ORE était un des fleurons des services secrets américains par la qualité de son personnel issu des grandes universités et des prestigieuses académies militaires. Que s'est-il passé? Où l'ORE a-t-il commis une faute? Que savait-il exactement sur le programme atomique soviétique? Quelle était sa perception de la menace stratégique soviétique? Pour répondre à ces questions, il nous faut retourner aux sources et analyser les estimations d'intérêt national (NIE) que l'ORE produisait à un rythme quasi industriel. C'est alors que nous verrons que l'ORE a péché par excès de confiance; par triomphalisme. Pour l'ORE, nul ne pouvait surpasser les Etats-Unis dans sa marche vers le progrès, il se trompa. / When the CIA's Office of Reports and Estimates (ORE) was dismantled in 1950; many were eager - in the U.S. Intelligence Community - to condemn its performance without reservation. Although many reasons were cited for reorganizing the CIA'S analytical structure, the failure to accurately predict the explosion of Joe-1, the first Soviet atomic bomb in 1949 was the foremost point. But ORE was the brainchild of highly trained militaries and recognized scholars. It was one of the «state of the art» agencies of the American secret services. What went wrong? What exactly did ORE say about the Soviet atomic energy program9 What evidence was available, and how did ORE make use of this material9 What was ORE's perception of the Soviet nuclear threat9 To answer those questions, we must go back in time, back to the roots of this dilemma that lies in the national interest estimates (NIE), which ORE produced at an industrial rate. It is then that we will see ORE's own mistake, its excessive confidence in the American way of life: its triumphalism. Because for ORE, nothing can surpass America in any domain, time will tell differently. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2014
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Le bassin du fleuve Sénégal : vers une gestion participative? : implication des populations dans la gestion des ressources du bassin et évolution des relations entre riverains

Auclair, Audrey 19 April 2018 (has links)
Après l’instauration de l’Organisation de Mise en Valeur du fleuve Sénégal (OMVS) en 1972, d’ambitieux projets d’aménagements hydroagricoles furent réalisés en réponse aux sécheresses consécutives et à une pression démographique accrue. Ces mutations, qui visaient l’intensification de la production agricole dans le bassin, auraient dû répondre aux besoins des populations locales, mais eurent comme corollaire le bouleversement des modes de subsistance traditionnels et du fragile équilibre séculaire s’étant instauré entre agriculteurs, pasteurs et pêcheurs. La mise au ban forcée d’un savoir ancestral et l’accroissement des inégalités socioéconomiques constituèrent rapidement un terreau fertile à la montée des tensions, qui culminèrent avec le conflit sénégalo-mauritanien de 1989. En réponse aux vives critiques reçues, l’OMVS tenta de pallier ces lacunes en adoptant une tangente participative au tournant des années 2000. Le présent mémoire s’intéresse à cette démarche inclusive et vise à identifier les impacts d’une telle approche sur les relations entre communautés riveraines.--Résumé de l'éditeur.
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La tournée africaine du général De Gaulle, du 20 au 27 août 1958, considérée comme une relance de la politique coloniale française en Afrique noire, vue à travers le Monde, le Figaro, l'Aurore, l'Humanité

Ndjoyi, Lucien Blaise 25 April 2018 (has links)
La tournée africaine du général de Gaulle, effectuée du 20 au 27 août 1958, la veille du référendum constitutionnel de septembre qui était tenu dans la Métropole et dans les colonies, n'avait jusqu'ici fait l'objet d’aucune étude systématique. Plusieurs historiens, politiciens ou administrateurs des colonies et autres, ont évoqué ce voyage, mais toujours dans le cadre d'une étude générale qui porte le grand titre ambigu" de "décolonisation de l'Afrique noire". Mais aucun n'a fait ressortir le but réel de cette tournée, qui, loin de revêtir un aspect émancipateur comme on l'a toujours pensé, va plutôt permettre à de Gaulle et aux gouvernants français, grâce â une domestication en apparence librement consentie, de perpétuer le pacte colonial aux seules colonies qui restaient a la France en 1958: celles de l'Afrique noire. Cette année (1958) est une période très troublée en France à cause de la crise franco-algérienne qui est à son paroxysme et d'une manière indirecte va influencer la "nouvelle" politique française en Afrique noire. Cette crise algérienne marque aussi le grand tournant de la f i n de la IVe république et donne naissance à la Ve avec le retour de de Gaulle. La suite logique des crises coloniales étant devenue un tourment aux yeux des gouvernants français, la probabilité de voir l'Afrique noire, dernière chance de la survie du colonialisme français, prendre la relève de l'Algérie dans ces conflits coloniaux, était déjà perçue dès 1957. L'utilisation de la presse, constituée ici par le Monde, le Figaro, l'Aurore et l'Humanité, comme source de base était primordiale. En effet les quotidiens sont les documents les plus adéquats pour étudier la perception d'un événement par l’opinion publique, surtout que cette presse sélectionnée présente l'opinion des diverses couches socio-politiques impliquées ou qui subissent ces événements. Plus encore ces mêmes quotidiens ont permis à de Gaulle et son groupe de manipuler l'opinion publique française, africaine et même internationale, ceci pour atteindre leur but qui est en fait la relance du colonialisme français, synonyme de grandeur de la France. Une grandeur qui, pour les gouvernants français, est inéluctablement liée à l'existence de colonies françaises. Ainsi soula couverture d'une mission "civilisatrice" non périmée, les gouvernants français s'adressant aux Africains, vont p~6ner une politique dite de renouveau, dont la toile de fond reste cependant la même: la conservation des colonies africaines dans le giron français. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Les tergiversations de la superpuissance : les États-Unis face à la désintégration de la Yougoslavie et la guerre en Bosnie-Herzégovine, 1990-1995

Morel, Jean-François 12 April 2018 (has links)
La désintégration violente de la Yougoslavie a été l'un des principaux problèmes de politique étrangère auxquels les États-Unis ont été confrontés durant la période dite de « l'après-guerre froide ». Les guerres en ex-Yougoslavie ont duré pendant plus de trois ans, d'abord en Slovénie, ensuite en Croatie et en Bosnie-Herzégovine, avant qu'une intervention menée par les États-Unis ne vienne mettre fin aux hostilités et aboutissent aux accords de Dayton de novembre 1995. Cette thèse vise à expliquer pourquoi cette intervention a mis tant de temps à se matérialiser. Notre hypothèse est que la politique étrangère des États-Unis dans l'ex-Yougoslavie a reflété les intérêts stratégiques des États-Unis tels que définis par les décideurs politiques, mais qu'elle a aussi été tributaire de considérations de politique intérieure. Premièrement l'administration du président George H.W. Bush percevait la crise yougoslave essentiellement comme un problème européen. Ainsi, l'administration Bush a développé une stratégie de contournement laissant aux Européens la responsabilité de trouver une solution politique aux guerres en Slovénie, en Croatie et en Bosnie-Herzégovine. Si la position du gouvernement Bush fut largement déterminée par son évaluation des intérêts stratégiques américains dans les Balkans, elle fut aussi influencée par le contexte des élections présidentielles de 1992. Suivant la fin de la guerre froide, les électeurs américains étaient moins préoccupés par les crises internationales et souhaitaient que leur gouvernement porte plus d'attention aux problèmes internes. Dans ces circonstances, il était difficile pour le président Bush de justifier une intervention militaire dans les Balkans, spécialement parce qu'elle aurait été la troisième de son mandat après celle du Panama en 1989 et la guerre contre l'Irak en 1991. Durant la campagne électorale de 1992, Bill Clinton, l'aspirant démocrate, critiqua le président Bush pour sa gestion de la crise yougoslave appelant entre autres à des bombardements aériens des positions des Serbes pour les forcer à négocier. Une fois arrivé à la Maison-Blanche cependant, Clinton a poursuivi la politique de contournement de son prédécesseur et refusé de prendre la responsabilité de trouver une solution politique aux guerres en ex-Yougoslavie. Mais après les élections de mi-mandat de 1994, les intérêts stratégiques des États-Unis se sont alignés aux considérations de politique intérieure pour permettre une intervention américaine. D'abord et avant tout, l'administration Clinton est venue à la conclusion que la poursuite de la guerre en Bosnie menaçait sérieusement la crédibilité de l'OTAN et que sans un processus de paix dans les Balkans, il serait difficile de sauver l'Alliance atlantique et de la transformer afin qu'elle puisse assumer de nouvelles responsabilités dans l'Europe de l'après-guerre froide. Mais les considérations de politique intérieure ont aussi été essentielles pour que le président Clinton prenne la décision de favoriser un règlement de paix en Bosnie. En prenant action à ce moment, Clinton voulait aussi contrecarrer des initiatives émanant du Congrès, en particulier celles du sénateur du Kansas Robert Dole, l'opposant pressenti du président Clinton en vue des élections de 1996. / The violent disintegration of Yugoslavia was one of America's most serious foreign policy problems during the period dubbed as the "post-Cold War era". The wars in the former Yugoslavia raged on for more than three years, first in Slovenia and later in Croatia and Bosnia-Herzegovina, before an intervention run by the United States put a stop to the fighting and led to the Dayton accords of November 1995. This dissertation aims to explain why this intervention had been so long in the making. Our thesis is that American foreign policy in the former Yugoslavia reflected the United States' strategic interests as defined by policymakers, but was simultaneously dependent on domestic political considerations. First, when dealing with the Yugoslav crisis, the administration of President George H.W. Bush viewed it as essentially a European problem. Therefore, the Bush administration developed a strategy of circumvention, leaving to the Europeans the responsibility to find a political solution to the wars in Slovenia, Croatia, and Bosnia-Herzegovina. If the position of the Bush government was largely the result of its evaluation of America's strategic interests in the Balkans, it was also influenced by the context of the 1992 presidential elections. Following the end of the Cold War, American voters were less preoccupied by international crises and hoped their government would pay more attention to domestic problems. In that context, it was hard for President Bush to justify a military intervention in the Balkans, especially because it would have been the third of its term, after the one in Panama in 1989 and the war against Iraq in 1991. During the 1992 electoral campaign, Bill Clinton, the Democratic contender, criticized President Bush's handling of the Yugoslav crisis, calling for aerial bombardments of Serbs' positions to force them to negotiate. Once in the White House though, Clinton essentially pursued his predecessor's policy of circumvention and refused to take the responsibility to find a political solution to the wars in the former Yugoslavia. After the mid-term election of November 1994 however, America's strategic interests aligned with domestic political considerations to allow an American intervention. First and foremost, the Clinton administration came to the conclusion that continuous fighting in Bosnia seriously threatened NATO's credibility and that without a peace process in the Balkans, it would be difficult to salvage the Atlantic Alliance and transform it to take on new responsibilities in post-Cold War Europe. Domestic political considerations were also instrumental in President Clinton's decision to push for a peace settlement in Bosnia. By taking action at this time, Clinton wanted to block initiatives emanating from Congress, mostly those of Kansas Senator Robert Dole, his likely rival in the upcoming 1996 presidential elections.
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La réintégration de l'Afrique du Sud dans la communauté internationale : l'exemple des relations avec l'Union Européenne

Royé, Isabelle 22 March 2001 (has links) (PDF)
La condamnation internationale du régime d'apartheid a incontestablement joué en faveur du processus de transition démocratique déclenché sur le territoire sud-africain à partir des années 90. Ce processus a débouché sur le transfert effectif du pouvoir politique aux représentants de la majorité de la population sud-africaine par la mise en oeuvre d'un régime constitutionnel fondé sur l'Etat de droit. Aujourd'hui, le principal défi auquel est confronté le pays réside dans la réduction des disparités sociales qui font la spécificité du pays. Caractérisé par un dynamisme économique similaire à celui des pays émergents mais dont le taux de pauvreté avoisine celui des pays les plus pauvres, l'Afrique du Sud constitue en effet un pays à double visage. Cette réalité rejaillit inévitablement sur la perception que peuvent en avoir les autres membres de la communauté internationale et la réintégration de l'Afrique du Sud dans la société des nations procède d'un besoin d'assistance et d'une volonté de coopération. Le statut particulier et dérogatoire de l'Etat au sein des Etats ACP témoigne de cette position ambiguë et contradictoire qu'il occupe sur le continent africain. De façon concomitante, l'Accord de Commerce, de Développement et de Coopération conclu avec la Communauté européenne le 11 octobre 1999 encadre une relation commerciale fondée sur le libre-échange entre les partenaires et qui respecte les nouvelles règles de l'OMC. Cette relation prend une dimension particulière dans le contexte de la réforme du partenariat entre les Etats membres de la Communauté européenne et les Etats ACP. En définitive, l'étude des relations entre l'Afrique du Sud et la Communauté européenne met en exergue les nouveaux défis de la coopération Nord-Sud dans le contexte de mondialisation qui caractérise aujourd'hui l'économie internationale
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La politique internationale de l'Union européenne : analyse d'un instrument identitaire / The European Union's International Politic : analysis of an Identity Instrument

Guiorguieff, Johann 12 December 2013 (has links)
Le renforcement de la dimension internationale de l'action de l'Union européenne est fondamentalement lié à l'exercice d'affirmation identitaire. La consécration de l'Union en tant que véritable acteur international exige qu'elle démontre sa capacité d'influencer les relations internationales conformément à ses éléments fondamentaux. Son développement institutionnel et matériel doit donc permettre de déterminer et de projeter les traits essentiels de son identité sur la scène internationale. Le développement institutionnel de la politique internationale de l'Union implique de concilier sa dualité juridique, historique et politique. L'évolution de la dimension externe de l'action de l'Union européenne est, en ce sens, marquée par la perspective d'unification de son action extérieure. Ce processus repose sur un effort d'identification et de détermination identitaire quant à l'image que l'Union entend projeter sur la scène internationale. L'exécution matérielle de la politique internationale de l'Union s'inscrit dans le prolongement de ces réalisations et confirme la réussite de l'Union européenne à faire accepter son existence au plan international. Elle met en relief l'affirmation de sa singularité identitaire dans la prise en compte de sa nature et dans le modèle d'acteur international qu'elle entend incarner. Dans ce cadre, son adhésion à un modèle d'acteur civil des relations internationales s'appuie sur le travail identitaire réalisé au plan interne. Son affiliation à ce modèle se confond avec la recherche d'une adhésion universelle à sa politique internationale et demeure limitée par la nécessaire sauvegarde de l'originalité identitaire de l'Union européenne. / The enforcement of the international dimension of the European Union's action is fundamentally bound to the assertion of its identity. Its recognition as a true international actor request that it shows its ability to influence international relations in accordance with its fundamentals elements. The framework of its institutional and material development must help to determine and project its identity essential features in the international system. The institutional development of the EU's international politic involves to reconcile its institutional, historic and politic duality. Within this context, the perspective of unify EU's external action leave its mark on the development of its external dimension. This process rest upon a work on identity identification and determination as for the picture European Union intend to project on international scene. Material execution of EU's international politic follows on from these fulfillments and confirms EU's success to impose its international existence. This execution emphasizes assertion of its identity singularity trough the way its nature is taking into consideration and through the model of international actor EU intends to become. In this context, EU's commitment to a model of a civilian actor in international relations is based on an identity determination work made in its internal framework. EU's affiliation to this model is merged with the search of a universal support to its international politics and is limited by the necessary preservation of its identity originality.
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Guerres de cabinets, ou, Petite histoire de l'impuissance de la Belgique dans la question nationale en Europe centrale, orientale et balkanique, 1918-1924

Herremans, Bertrand 22 October 2007 (has links)
<p>La thèse aborde les interrogations, les positions de principe, les ambitions et les réalisations bien plus modestes de la diplomatie belge, en interaction avec les milieux politiques et une partie de la société du temps, quant à la question des nationalités en Europe centrale, orientale et balkanique (1918-1924). Les sept pays retenus sont la Pologne, la Tchécoslovaquie, l’Autriche, la Hongrie, la Yougoslavie, la Roumanie et la Bulgarie.<p>Par question des nationalités, il faut entendre trois aspects indissociables :la question de la modification des frontières dans cette partie du Vieux Continent (disparition des empires au profit des Etats précités), celle des territoires disputés entre lesdits Etats et enfin celle des minorités nationales.<p>Pour expliquer les différentes postures de chacun, l’étude envisage une multitude de facteurs de politique intérieure ou extérieure, principalement les peurs du socialisme et du séparatisme, mais aussi la question des rapports des individus (psychologie) et des groupes (cercles de connaissances, partis,…).<p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Beyond cold monsters : a cognitive-affective theory of international leadership

Beauregard, Philippe 27 August 2019 (has links)
Le leadership est un processus d’influence sociale à travers lequel un acteur qui préconise une position sur un enjeu international entraîne d’autres acteurs à converger vers cette même position. Cette conception du leadership comme un processus de coopération a été négligée dans l’étude de la politique internationale. De plus en plus de faits empiriques révèlent que les États-Unis ne sont pas le seul État qui puisse produire des leaders internationaux, et que les décideurs d’autres États peuvent aussi s’ériger en meneurs. Pourquoi est-ce qu’une personne est motivée à devenir leader? Pourquoi est-ce que les autres acceptent de suivre ce leader, et non quelqu’un d’autre, ou encore choisissent de refuser la position du meneur? Pour expliquer comment le processus de leadership fonctionne, je développe une théorie cognitive-affective du leadership international. Mon argument est que les meneurs ont la volonté de prendre les devants à cause de leurs fortes convictions, et cherchent à persuader les autres acteurs que leur position est représentative de la communauté dont ils font partie. Ceux et celles qui suivent le meneur se rallient à sa position lorsque leurs croyances émotionnelles sont alignées avec celles du leader, lorsque la position et le comportement du leader sont représentatifs de la communauté, et lorsque des mécanismes de persuasion et de résonance émotionnelle les amènent plus près de la position du meneur. Pour vérifier cette théorie, je me concentre sur le processus de leadership entre les puissances transatlantiques : les États-Unis, l’Allemagne, la France, et le Royaume-Uni. J’étudie la coopération entre les décideurs transatlantiques sur des enjeux cruciaux lors de quatre cas de conflits intraétatiques internationalisés: la reconnaissance de la Slovénie, la Croatie et la Bosnie comme États souverains, la médiation pour la paix lors de la guerre entre la Russie et la Géorgie, les sanctions économiques contre la Russie pendant le conflit en Ukraine, et la construction d’une coalition pour réaliser des frappes aériennes contre l’État islamique en Irak et en Syrie. / Leadership is a process of social inflence through which an actor advocating for a position on an international issue induces followers to converge on the same position. Leadership in this sense, as a process of cooperation, has been neglected in the study of international politics. An accumulating body of evidence reveals that the United States is not the only state that can produce international leaders, and that policymakers from other states can also take the lead. Why is someone willing to take the lead? Why are other actors willing to follow this leader and not someone else, or just refuse to agree with the leader’s stance? To explain how the leadership process works, I develop a Cognitive-Affective Theory of international leadership. My argument is that leaders are willing to take the lead because of their strong convictions, and seek to persuade their followers that their position is representative of the wider community of which they are part. Followers rally behind the leader when their emotional beliefs align with the leader, when the leader’s position and behavior are representative of the community, and when mechanisms of persuasion and emotional resonance bring them closer to the leader’s position. In order to test this theory, I concentrate on the leadership process among transatlantic powers: the United States, Germany, France, and the United Kingdom. I study the cooperation between transatlantic policymakers on crucial issues that emerged during four cases of internationalized intrastate conflicts: recognition of Slovenia, Croatia and Bosnia as new sovereign states, peace mediation in the war between Russia and Georgia, economic sanctions against Russia during the Ukraine conflict, and construction of a broader coalition conducting air strikes against the Islamic State in Iraq and Syria.

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