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Bill C-36: The Creation of Canada's 2001 Anti-Terrorism Act

Leppington, Kristen Nicole 06 August 2021 (has links)
Bien que les attentats du 11 septembre 2001 aient pris place aux États-Unis, la réaction du gouvernement canadien a été de proposer la Loi C-36 (la Loi anti-terroriste), une loi qui apporte plusieurs changements au Code criminel canadien et modifie d'autres lois. L´adoption de cette loi s'est faite dans un temps record. Afin de mieux comprendre cette rapidité (du 11 septembre à sa sanction royale en 99 jours) et de mieux cerner la relation avec un événement survenu à l´étranger, ce mémoire cherche à expliquer les facteurs internes et externes qui ont influencé le moment choisi et le contenu de la loi. / Though the terrorist attacks of September 11th, 2001, took place on foreign soil, the Canadian government reacted to this event by proposing Bill C-36 (the Anti-terrorism Act), an omnibus bill outlining multiple changes to the existing Canadian Criminal Code and other acts. With an aim to better understand this anomaly of Canadian public policy in both its record speed (from 9/11 to its Royal Assent in 99 days) and its relation to a foreign catastrophe, this thesis seeks to explore both the internal and external factors that influenced the timing and the content of Bill C-36.
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La position de la Fédération de Russie dans les événements survenus en Crimée, 2013-2014 : contextes géopolitiques et justifications d'ordre politique, historique et culturel

Pawliw, Kim 05 June 2024 (has links)
En 2013-2014, l’Ukraine s’est vue tiraillée entre deux options : un rapprochement envers l’Union européenne par la signature d’un accord d’association ou un rapprochement envers la Fédération de Russie par l’acceptation de diverses aides financières. Suite aux manifestations proeuropéennes de l’Euromaïdan et au départ du président ukrainien prorusse, le Conseil suprême de la Crimée a tenu un référendum d’autodétermination afin d’acquérir son indépendance de l’Ukraine et de se faire incorporer à la Fédération de Russie. L’Organisation des Nations Unies n’a pas reconnu cette incorporation, la qualifiant d’illégitime. Dans ce contexte, les dirigeants russes ont tenté de justifier leurs actions en Crimée. L’objectif premier de la recherche était de caractériser et d’analyser la rhétorique des principaux acteurs russes cherchant à légitimer l’incorporation de la Crimée à la structure politique et administrative de la Fédération de Russie suite à la déclaration d’indépendance de la péninsule. La méthode utilisée, soit l’analyse de contenu, a permis d’identifier deux types de rhétoriques caractérisant les justifications des dirigeants russes et de leurs alliés : une rhétorique légale et une rhétorique identitaire. Les processus de construction de ces rhétoriques ont été analysés en identifiant les contextes, les acteurs et les idéologies qui ont contribué à leur formation. La rhétorique légale a fait référence à l’interprétation du droit international, notamment des principes d’autodétermination des peuples et d’intégrité territoriale des États, tandis que la rhétorique identitaire a fait référence à une interprétation de l’histoire russe cherchant à démontrer les liens unitaires entre d’une part la Fédération de Russie et l’Ukraine et, d’autre part, la Fédération de Russie et la Crimée. Afin d’approfondir l’analyse, la recherche a répertorié la manière dont ces rhétoriques se sont incarnées dans la réalité à travers diverses actions, qu’il s’agisse de sessions à l’ONU ou d’événements patrimoniaux, comme l’érection de monuments. / In 2013-2014, Ukraine was torn between two options: rapprochement with the European Union by signing an association agreement or rapprochement with the Russian Federation by accepting financial aid. After the pro-European protests known as the Euromaidan, and the departure of the pro- Russian president, the Supreme Council of Crimea held a referendum on self-determination in order to gain independence from Ukraine and to be incorporated into the Russian Federation. The United Nations did not recognize the incorporation and qualified it as illegitimate. In this context, the Russian leaders tried to characterize their action in Crimea as legitimate. The primary objective of this research is to characterize and analyze the rhetoric of the main Russian actors who presented Crimea’s incorporation into the political and administrative structure of the Russian Federation, following the declaration of the peninsula’s independence, as legitimate. Using content analysis in carrying out the research, two types of rhetoric adopted by the Russian leadership were identified: a legal rhetoric and an identity rhetoric. The construction process of both were analyzed in the course of the research through the identification of contexts, actors and ideologies that contributed to their development. The research learned that the legal rhetoric concerned the interpretation of international law, especially the principles of self-determination and territorial integrity of States. Whereas the identity rhetoric concerned the interpretation of Russia’s history in order to demonstrate the existence of unity between the Russian Federation and Ukraine and between the Russian Federation and Crimea. To gain additional information on both, the research also observed how they were expressed in specific situations, such as during UN sessions or during heritage events, for example the erection of monuments.
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Les conséquences géopolitiques du traité d'Apamée en Asie Mineure

Payen, Germain 11 January 2025 (has links)
Thèse en cotutelle, doctorat en histoire : Université Laval, Québec, Canada, Université de Paris-Sorbonne, Paris, France. / Cette thèse considère les suites de la paix d’Apamée sur le plan des relations politiques entre les États d’Anatolie et sur l’évolution de la place tenue par cette péninsule dans l’ordre géopolitique méditerranéen. Le traité d’Apamée, conclu en 188 avant notre ère entre la puissance romaine et le royaume séleucide, fut un acte diplomatique majeur pour l’Asie Mineure et l’ensemble de la région anatolienne, libérés de la domination des Séleucides. Jusqu’ici, l’historiographie traditionnelle a abordé ce sujet selon deux perspectives, à savoir l’apparition de l’impérialisme romain en Orient et la vie politique et administrative des cités égéennes. À l’inverse, cette étude se concentre sur les principales puissances politiques de la région anatolienne : les royaumes. Dans le cadre de cet espace fragmenté et diversifié, des modifications de l’équilibre géopolitique régional peuvent être mises en relation avec le bouleversement de l’ordre méditerranéen, par le croisement de sources grecques, latines et orientales, ainsi qu’en faisant usage de procédés développés par le courant de la World History. L’évolution ultérieure de la situation mise en place à Apamée est étudiée jusqu’au point de disparition d’une Anatolie dirigée par des souverains non incorporés dans l’horizon impérial des grandes puissances étrangères, situation à laquelle les ultimes défaites de Mithridate VI du Pont et de Tigrane d’Arménie face à Rome mirent un terme définitif. / The geopolitical aftermath of the treaty of Apamea in Asia Minor This thesis examines the effects of the peace of Apamea with regard to the political relations between the Anatolian states and analyses the importance that this region played in Mediterranean politics following this accord. The treaty of Apamea, concluded in 188 BC between Rome and the Seleucid kingdom, became a diplomatic milestone for Asia Minor and the entirety of Anatolia, then freed from Seleucid domination. The study of this subject has a long tradition in modern historiography, which consists of works focused on either the appearance of Roman imperialism in the East, or the political and administrative lives of the Greek cities. This study is specifically devoted to the central political powers of the Anatolian peninsula; that is to say, the independent kingdoms of Anatolia. The changes seen on the geopolitical balance of this fragmented region can be linked to the profound modifications on the scale of the whole Mediterranean. The sources considered include Greek, Latin and oriental documents and artefacts, as well as some “World History” theoretical approaches. The further evolution of the Apamean order can then be followed up until the disappearance of any powerful local power outside the foreign nations incorporated into imperial rule. The simultaneous defeats of Mithridates VI of Pontus and Tigranes of Armenia against Rome mark the end of this situation where independent kingdoms in this region pursued their own autonomous foreign policies.
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Le lobbying du Conseil inuit circumpolaire et la dichotomie discursive du gouvernement Harper au sujet des changements climatiques : le chaînon manquant

Vézeau, Nicolas 17 April 2018 (has links)
Ce mémoire a comme objets la gouvernance internationale des changements climatiques et de la santé, la politique étrangère canadienne en Arctique, de même que le pouvoir d'influence des Organisations non-gouvernementales (ONG). L'observateur attentif des négociations internationales sur les changements climatiques (CC) aura remarqué que le gouvernement canadien dirigé par Stephen Harper tient deux discours différents. D'une part, il y a le scepticisme avoué qui caractérise la position de la délégation canadienne dans les négociations entourant la Convention cadre des Nations unies pour les changements climatiques (CCNUCC); d'autre part, le discours sur les CC dans le cadre de la politique arctique du gouvernement, qui est plus volontariste et témoigne d'une plus grande préoccupation. Au-delà des apparences, peut-on quantifier cette dichotomie discursive? En effet, à la suite d'une analyse de contenu des discours du gouvernement Harper faite à l'aide des logiciels informatiques QDA Miner et Tropes (Chapitre 4), il apparaît que ce dernier fait référence au concept de développement durable, à la santé environnementale et à l'urgence d'agir pour atténuer les CC 2,41 fois plus fréquemment dans le corpus Arctique que dans le corpus dit de gouvernance internationale des CC. L'analyse des co-occurrences révèle aussi que pour le corpus Arctique, le gouvernement Harper est plus volontariste, prend des engagements et mobilise un style narratif, alors que dans le corpus de la gouvernance internationale des CC, il se dégage de ses responsabilités, n'engage pas son gouvernement et apparaît comme plus prosélyte. Qu'est-ce qui peut bien pousser le gouvernement canadien à prononcer deux discours différents au sujet des changements climatiques? Au troisième chapitre, l'analyse de la genèse et de la nature du discours du Conseil Inuit circumpolaire (CIC) permettra d'apprécier les stratégies qu'il a déployées dans ses multiples entreprises internationales de lobbying, depuis sa création par Eben Hopson en 1977. Le développement du discours du CIC peut être divisé en deux phases. La première porte sur les revendications territoriales et la participation des Inuit à la gouvernance de l'extraction des ressources naturelles; la seconde, soit celle que nous étudierons dans ce mémoire, vise le respect de l'environnement arctique pour des raisons de santé publique. Pour cette deuxième phase du développement discursif du CIC, nous avons schématisé les quatre étapes de sa stratégie de lobbying, soit : 1) l'appui sur des conclusions scientifiques, 2) un argumentaire basé sur les droits de l'Homme et la santé publique, 3) l'utilisation des organismes internationaux afin de se faire entendre auprès des gouvernements visés et enfin, 4) les pressions sur le gouvernement canadien afin que ce dernier matérialise ses préoccupations de santé environnementale dans des textes de lois et des conventions internationales. Afin de montrer l'impact du CIC sur le discours du gouvernement, le cinquième chapitre fera le pont entre la dichotomie discursive mesurée quantitativement et qualitativement au chapitre 3, et les pressions discursives schématisées au chapitre 4. Pour y arriver, un cadre théorique de relations internationales élaboré à partir des cadres théoriques de Bas Arts (2003) et de Correll et Betsill (2001) sur le pouvoir discursif des ONG est employé. Ce cadre nous a permis d'évaluer que le niveau de pressions discursives sur le gouvernement canadien par le CIC est élevé, et d'affirmer que ce dernier a bel et bien exercé un pouvoir discursif sur le gouvernement.
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De l'empire à la nation : l'Imperial Order Daughters of the Empire de 1939 à 1972

Buteau, Daniel 25 April 2018 (has links)
Malgré le déclin subit par les idéologies impérialistes dans le Canada de l'après seconde guerre mondiale, l'Impérial Order Daughters of the Empire, association féminine bénévole canadienne à buts impérialistes et patriotiques, a réussi à survivre et à garder une importance relative dans la société canadienne de 1939 à 1972. En restant éveillé aux signes de l'évolution de la société canadienne, le groupe a réussi à adapter son discours, ses structures et son oeuvre aux changements que connaît un pays en constante redéfinition de son sentiment nationaliste. A travers quatre périodes distinctes, nous voulons démontrer le cheminement de ce groupe, qui l'amène à survire dans un milieu qui renie ses buts d'existence, mais aussi à connaître de profondes transformations. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Comprendre les (non) interventions militaires de la France en Afrique subsaharienne à l'aide de la théorie cohabitationniste

Zoungni, Fiacre 13 December 2024 (has links)
Malgré la fin de la colonisation dans les années 1960 en Afrique, la France est demeurée présente sur le continent par le biais de plusieurs accords et conventions signés avec ses anciennes colonies afin d’établir des coopérations dans plusieurs domaines (économique, monétaire, politique, culturel, défense). Grâce à une politique militaire particulière, la France intervient militairement dans plusieurs conflits civils en Afrique subsaharienne. Dans le même temps, elle se refuse parfois à intervenir dans d’autres. La problématique de cette recherche est d’expliquer les raisons pour lesquelles la France intervient militairement dans certains conflits civils en Afrique subsaharienne et pourquoi elle se refuse à intervenir dans d’autres. Pour résoudre cette énigme, cette thèse développe la théorie de la cohabitation ou la théorie cohabitationniste basée sur le principe transactionnel de la délégation du pouvoir développé par les néo-institutionnalistes du choix rationnel qui vise à évaluer la performance démocratique des régimes politiques. Cette théorie, composée de deux modèles, affirme qu’à cause des contraintes institutionnelles et politiques qui naissent durant les périodes de cohabitation, il est difficile pour un gouvernement français d’initier une intervention militaire en Afrique subsaharienne. Cette situation, propre aux régimes semi-présidentiels, explique certains refus de la France à intervenir militairement dans certains conflits civils. Par contre, en période de gouvernement unifié, il est plus aisé de déclencher une intervention militaire puisqu’il y a une cohérence et une concordance des politiques gouvernementale et présidentielle. De façon empirique, nous avons démontré que le refus de la France à intervenir en Côte d’Ivoire en 1999 après le coup d’État militaire, en République Centrafricaine après les mutineries de 1998 et 2001, était en substance lié au conflit institutionnel engendré par la troisième cohabitation (1997 – 2002). Durant cette période, nous avons noté qu’en dépit du fait que plusieurs questions écrites aient été envoyées au gouvernement par des parlementaires français pour connaitre l’attitude de la France par rapport à ces instabilités politiques, l’option d’une intervention militaire n’a pas été retenue. En revanche, après les élections présidentielles des 21 avril et 5 mai 2002 et les élections législatives des 9 et 16 juin 2002, la France a amorcé une nouvelle ère de gouvernement unifié. C’est durant cette période que le gouvernement français a pu initier l’Opération Licorne en envoyant des troupes armées en Côte d’Ivoire en 2002 et l’Opération Boali en 2003 en République Centrafricaine. / Despite the end of colonization in the 1960s in Africa, France remained present on the continent through several agreements and conventions signed with its former colonies in order to establish cooperation in several fields (economic, monetary, political, cultural, defense). Thanks to a particular military policy, France intervenes militarily in several civil conflicts in sub-Saharan Africa. At the same time, it sometimes refuses to intervene in others. The problematic of this research is to explain the reasons why France intervenes militarily in certain civil conflicts in sub-Saharan Africa and why it refuses to intervene in others. To solve this enigma, this thesis develops the theory of cohabitation or cohabitationist theory based on the transactional principle of the delegation of power developed by the neoinstitutionalist rational choice that aims to assess the democratic performance of political regimes. This theory, composed of two models, states that because of the institutional and political constraints that arise during periods of cohabitation, it is difficult for a French government to initiate a military intervention in sub-Saharan Africa. This situation, peculiar to the semi-presidential regimes, explains France's refusal to intervene militarily in certain civil conflicts. On the other hand, in times of unified government, it is easier to trigger a military intervention since there is a coherence and a concordance of government and presidential policies. Empirically, we have shown that the refusal of France to intervene in Côte d'Ivoire in 1999 after the military coup and in the Central African Republic after the mutinies of 1998 and 2001, was in essence linked to the institutional conflict engendered by the third cohabitation (1997 - 2002). During this period, we noted that despite the fact that several written questions were sent to the government by French parliamentarians to know the attitude of France with regard to these political instabilities, the option of a military intervention was not selected. On the other hand, after the presidential elections of 21 April and 5 May 2002 and the legislative elections of 9 and 16 June 2002, France has entered a new era of unified government. It was during this period that the French government was able to initiate Operation Licorne by sending armed troops to Côte d'Ivoire in 2002 and Operation Boali in 2003 to the Central African Republic.
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The attitudes of the Quebec press to American imperialism : 1895-1903

Brothman, Brien 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Conserver l'influence acquise : les États-Unis face à des dictatures amies en péril

Béliveau-Beaulac, Victor Amadeus 13 December 2024 (has links)
La Maison-Blanche a toujours entretenu des relations diplomatiques privilégiées avec des dictateurs. Si l’avènement de ces amitiés est un truisme en vertu des avantages mutuels qu’elles confèrent aux deux parties en présence, lorsqu’une insurrection secoue un dictateur ami à l’interne, la décision de la Maison-Blanche d’opérer une rupture ou d’opter pour le prolongement de cette relation l’est beaucoup moins. De la Guerre froide au Printemps arabe, la Maison-Blanche a – à plusieurs reprises – tantôt continué d’appuyer des dictateurs amis en péril, tantôt choisi d’en abandonner d’autres, pourtant confrontés à des circonstances analogues. Comment expliquer cette dichotomie décisionnelle dans la politique étrangère de la Maison-Blanche dans ce type de crise? Notre recherche avance qu’il y a un calcul lié à la recherche constante de la conservation maximale de l’influence acquise (CMIA) permettant de décrypter cette apparente contradiction. Pour tester la validité théorique de cette hypothèse, nous l’appliquons à un échantillon de six cas empiriques à savoir : Batista à La Havane en 1959, Pahlavi à Téhéran en 1979, Mobutu à Kinshasa en 1990-1991, Suharto à Jakarta en 1998, Aliyev à Bakou en 2005 et enfin Moubarak au Caire en 2011.
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Les fonctionnaires belges au service de la Perse, 1898-1915

Donckier De Donceel, Annette January 1973 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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The EU Foreign policy towards the korean peninsula crisis, 1993-2006

Doh, Jong Yoon 09 December 2011 (has links)
The EU’s notable transformation over the past five decades is obviously an event of modern state concepts. However, the EU’s matter of concern has placed too much emphasis on economic and trade issues, while its capability and power have achieved remarkable growth with far-reaching ramifications in both economic and political affairs. This also means that studies of the EU foreign policy have hardly reached North East Asia because of geographical limit between them, the EU’s weak institutional capacity and vestige of the Cold War. Therefore the EU and the Korean Peninsula did not have chance to build a critical relationship. This time could be defined as ‘standstill’ between Europe and the Korean Peninsula or ‘quiet diplomacy’. 1993 marked a turning-point in relations between the EU and the Korean Peninsula. Firstly, European countries have launched the Maastricht Treaty since they had signed in 1992. The Treaty implies the EU’s more strengthened international role in the political and economic area in accordance with its increased capability and reinforced power. Secondly, North Korea announced its intention to withdraw from the NPT on 12 March 1993 and then the Korean Peninsula was compelled to face a political crisis. Since the EU took unofficial Humanitarian Aids for North Korea in 1994-1995, KEDO and the EU in 1997 agreed to the terms and conditions of the accession to KEDO of its nuclear regulatory body. This was the first challenge of the EU political engagement of the Korean Peninsula question. In the context, this research seeks to answer the question of “What are the EU priorities in its strategy for Korean Peninsula?” that includes broadly the EU’s regional strategy for North East Asia in line with its foreign policy agenda. To tell the conclusion, the EU’s intervention to North Korea was firstly encouraged in dimension of economic interests through vitalization of international trade after the Korean Peninsula would be reunified. The EU considered that Asian nuclear market is an important factor in order to build nuclear technical standard as well as to obtain commercial interests although the European nuclear firms did not obtain chance enough to construct for North Korea nuclear facilities construction. The EU’s political incentives for political change-seeking in North East Asia must also be considered. Actually, the EU diplomatically opened the door of Pyongyang and led the isolated regime to a channel that communicates with international community although the EU did not take a seat at Six-Party Talks to engage itself in the Korean Peninsula question. As a result, the EU could increase the image of a ‘peaceful mediator’ or an ‘honest blocker’ in the term of ‘reputation’ through engagement continued for the Korean Peninsula Crisis. The EU’s foreign policy has been partly successful in context that Europe succeeds in promoting its existence as a global actor. Therefore, its foreign policy would gradually be reinforced to bolster the EU’s credibility and influence in the Korean Peninsula. The EU’s role is surely reduced in the Korean Peninsula issues with the termination of the KEDO project. However, the EU’s role is expected to be performed in different ways under its confidence and capability. The EU’s next engagement depends on where its new incentives will be, and then its question will be how to realize them in accordance with its institutional conditions and actual capacity. / Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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