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Regard communicationnel sur le sentiment de solitude à travers Internet : des nouvelles solitudes numériques à "l'être-seul-ensemble" / Communication look at the feeling of loneliness through the Internet : from new digital solitudes to...

Pierdon, Baptiste 28 November 2018 (has links)
Hannah Arendt définit la solitude selon trois modes différents, le premier se nomme « solitude » et recouvre les situations où nous sommes avec nous-mêmes.En philosophie, cette dichotomie ontologique permet à l’homme de prendre conscience de lui-même, et de dialoguer avec lui-même. La solitude permet la formation de la pensée. Le second mode définit par Arendt se nomme l’esseulement. Ce mode s’illustre par le fait que l’on peut se sentir très seul au milieu d’une foule.Enfin, le dernier mode exposé par la philosophe correspond à ce qu’elle spécifie d’isolement. Ce mode apparaît quand la personne est concernée par les choses du monde. Ce mode revêt un aspect politique. La personne se retrouve isolée quand les autres (avec qui elle partage le même souci du monde)se détournent d’elle. A partir de l’analyse donnée par Arendt nous allons mettre en parallèle cette distinction des formes de solitudes avec notre surexposition numérique et notre profusion de relations numériques dans nos sociétés de communications.Internet est devenu, dans notre vie, en très peu de temps une part de nous-mêmes.Quotidiennement nous nous rendons dans le monde virtuel pour différentes raisons. Nous souhaitons partager avec nos amis réels nos émotions,nos expériences, nos souvenirs sur des réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter. Nous cherchons des « bonnes affaires », nous faisons nos courses, nous nous rendons sur des forums virtuels pour « discuter », nous utilisons des messageries en ligne pour continuer des conversations interrompues plus tôt ou encore pour entretenir un lien avec une personne chère qui se trouve éloignée.Certains utilisent Internet pour rencontrer des personnes, pour se faire des amis,vivre une vie normale et réelle dans le monde virtuel. La question de la solitude n’a jamais été aussi présente qu’aujourd’hui, la faute à notre société individualiste qui défait les liens entre les personnes. C’est dans ce contexte qu’Internet apparaît un peu comme un sauveur. Internet offrirait la possibilité de rapprocher les gens,de faire naître de nouvelles relations sociales, de créer des amitiés, de donner la possibilité aux personnes se sentant seules de sortir de la solitude. Mais Internet apporte-t-il réellement une solution au problème de la solitude ? Change-t-il fondamentalement le rapport que les individus vont avoir entre eux à l’avenir ? Quel impact sur les relations sociales réelles et/ou virtuelles qu’ont les individus ? / Hannah Arendt defines solitude according to three different modes, thefirst is called "Solitude" and covers the situations in which we are with ourselves.In philosophy, this ontological dichotomy allows man to become self-conscious,and to dialogue with himself. Solitude allows the formation of thought. Thesecond mode defined by aren't is called the horror. This mode is illustrated by thefact that one can feel very alone in the midst of a crowd. Finally, the last modeexposed by the philosopher corresponds to what it specifies isolated. This modeappears when the person is concerned with the things of the world. This mode hasa political aspect. The person finds himself isolated when the others (with whomshe shares the same concern of the world) turn away from her. From the analysisgiven by Arendt we will put in parallel this distinction of forms of solitudes withour digital overexposure and our profusion of digital relations in our society.The Internet has become, in our life, in a very short time a part ofourselves. Every day we go to the virtual world for different reasons. We want toshare with our real friends our emotions, our experiences, our memories on socialnetworks like Facebook or Twitter. We search for "bargains", shop, go to virtualforums to "chat", use online messaging to continue interrupted conversationsearlier, or maintain a connection with a loved one find distant. Some people usethe Internet to meet people, to make friends, to live a normal and real life in thevirtual world. The question of loneliness has never been more present than it istoday, the fault of our individualistic society that undoes the bonds betweenpeople. It is in this context that the Internet appears a little like a savior. TheInternet offers the opportunity to bring people together, to create new socialrelationships, to create friendships, to give people who feel lonely out of solitude.But does the Internet really solve the problem of loneliness? Does itfundamentally change the relationship that individuals will have with each otherin the future? What impact on the real and / or virtual social relationships thatindividuals have?
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Les relations numériques de travail / Digital work practice and labour law

Larher, Yann-Maël 31 May 2017 (has links)
Phénomène émergent, l’usage des réseaux sociaux en ligne et des outils informatiques mobiles croît de façon exponentielle et tend à se généraliser. Leur développement envahit peu à peu tous les espaces de vie, marquant plus particulièrement celui des entreprises, le monde du travail. La question du rapport entre les nouvelles technologies et le droit du travail n'est pas nouvelle, elle date de l'introduction de l'informatique dans la sphère sociale, notamment dans les relations collectives. Pour autant, l'examen de la doctrine et de la jurisprudence récentes témoigne largement de nouvelles problématiques juridiques quant à l'utilisation de moyens de communication sans limite de temps et d'espace. L’usage d’internet, et plus spécifiquement des réseaux sociaux dans l’entreprise déséquilibre les relations de travail en confrontant le pouvoir de l’employeur aux droits et libertés émergents et intimement liés aux nouvelles pratiques salariales. Ces nouveaux rapports invitent à remodeler la législation sociale pour une garantie des droits et libertés qui se veut effective. Les réseaux sociaux d’entreprises interrogent enfin sur le renouvellement du dialogue social dans l’entreprise dans une société démocratique de l’information. Brouillant les anciens cadres de référence, les nouvelles technologies de la communication invitent à une réflexion sur le devenir du droit du travail. / An emerging phenomenon, online social network and mobile apps usage has increased exponentially and is becoming widespread. Their exponential adoption offers a multitude of possibilities which is gradually invading living spaces, and in particular the professional world. The link between new technologies and employment law is not really new and dates from the arrival of IT (Information Technology) into the professional world, especially in collective relationships. However, recent doctrine and jurisprudence examinations surface new legal issues in regards to the use of new communication means that don’t have any time and space limits. Internet usage, and more precisely social network usage within companies, destabilises employment laws and leads to a confrontation between employer rights and the employees’ emerging rights and freedoms according to new practices. Companies’ relationship to social networks resurface questions about the renewal of industrial relationships inside a company that belongs to a democratic information-based society. Reshaping old frameworks, and new communication technologies encourages a wider reconsideration of future employment laws.

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