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Serbian Orthodoxy on crossroads-between tradition(alism) and civic society : imaginaries of Serbian nation, West and 'Universal' Values in Orthodoxy (Pravoslavlje) Journal, published by the Serbian Orthodox Church in the period 1991-2010 / L'Orthodoxie serbe au carrefour - entre tradition(alisme) et société civique : les imaginaires de la nation serbe, de l'Occident et des valeurs dites universelles véhiculées dans le monde occidantal construites au sein de la revue "Orthodoxie" (Pravoslavlje), publiée par l'Eglise Orthodoxe Serbe dans la période 1991-2010

Jovanov, Dejan 05 October 2015 (has links)
Dans cette thèse je démontre comment les imaginaires de la nation serbe, de l’Occident et des valeurs universelles (démocratie, droits de l’homme et tolérance) véhiculées au sein de la revue ‘Orthodoxie’ (publiée par l’Eglise Orthodoxe Serbe) ont pour but final la préservation de la position sociale de l’Eglise et de ses intérêts en tant qu’une institution religieuse au sein de la société serbe. Cette ‘résistance’ aux changements construit des imaginaires sociaux qui nous appréhendons comme des représentations sociales et ont tendance à (re)devenir la vision dominante de la société serbe. J’étudie le discours de la revue ‘Orthodoxie’ et des acteurs qui y contribuent afin de montrer le processus des créations des imaginaires sociaux et leurs tentatives de se présenter au public et dans la sphère publique comme les courants de pensée dominants concernant la nation serbe, l’Occident et les valeurs ‘universelles’. J’ai répondu aux questions suivantes : - comment la tradition nationale « se traditionalise », la culture nationale s’idéalise et l’identité nationale se sacralise ? - comment l’imaginaire de l’Europe et de la culture européenne/occidentale (‘EUX’) se construisent en opposition à l’imaginaire de la nation serbe (‘NOUS’) ? - comment les valeurs de la démocratie, des droits de l’homme et de la tolérance sont imaginées à travers une telle construction opposée (‘EUX’ versus ‘NOUS’) ? / In this thesis I demonstrate how do the imaginaries of Serbian nation, of Occident and of ‘universal’ Values (democracy, human rights, tolerance), constructed in the journal published by the SOC serve as factors of conservation and protection of the social position of the Church, its social and political interests in the sense of national religious institution in the Serbian society. The ‘resistance’ to change allows the construction of social imaginaries that we comprehend as social representations with a tendency to become (again) or to impose them as a dominant vision of the Serbian society. I studied the discourse in the ‘Orthodoxy’ journal and the social actors that published their articles in order to demonstrate the process of the creation of social imaginaries and the tentative to present them publicly/in the public sphere as dominant currents of social thoughts on Serbian nation, Occident and ‘universal’ values. I answered to the following questions:- The way national tradition is “traditionalized”, national culture is idealized and national identity is sacralized.- How the imaginary of Europe and European/western culture (‘THEM) are constructed in an opposition to the imaginary of a Serbian nation (‘US’)?- How the values of democracy, human rights and tolerance are imagined through this opposed imaginary construction (‘US’ vs ‘THEM’)?
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L'intégration politique des mormons aux États-Unis : de Reed Smoot à Mitt Romney / The Political Integration of the Mormons in the United States : from Reed Smoot to Mitt Romney

Charles, Carter 12 December 2013 (has links)
L’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, ou « Église mormone », émargea au cours de la première moitié du XIXe siècle dans une Amérique en proie à des mutations sociales et religieuses. Joseph Smith, son prophète-fondateur, l’inscrivit dès le départ dans une radicalité doctrinale en « protestant » les fondamentaux du christianisme tels qu’ils avaient été définis et acceptés auparavant. Il s’attira de ce fait le courroux des « Églises établies », en particulier de celles du protestantisme évangélique. Malgré une américanité foncière, sa religion fut affublée de l’étiquette « un-american » et ses disciples furent persécutés, poussés à édifier leur « Sion » sur la « Frontière », puis dans l’Ouest, à la périphérie de la société américaine. Contrairement à bien d’autres groupes religieux ou de mouvements utopiques, les « mormons » réussirent à transformer leur marginalisation en force, développant par la même occasion des particularismes qui firent d’eux un « peuple à part ». Or, ils s’éveillèrent aussi à l’évidence que pour échapper aux persécutions, ils devaient se positionner au cœur de l’action politique du pays. L’investiture de Mitt Romney par le Parti républicain pour l’élection présidentielle de 2012 témoigne de leur réussite. Mais comment cela fut-il possible ? Romney fut aussi l’objet d’une formidable opposition religieuse au cours de la phase des primaires du Parti qui n’est pas sans rappeler celles fomentées par les protestants contre les catholiques Al Smith (1928) et John F. Kennedy (1960). Comment expliquer ce refus de voir un mormon à la Maison blanche ? Nous répondons dans cette thèse à ces questions, et à bien d’autres, notamment en illustrant le fait que Romney, J. F. Kennedy et Al Smith eurent un prédécesseur en Reed Smoot, apôtre mormon dont l’élection en 1902 au Sénat fédéral fut à l’origine du plus grand procès politico-religieux d’Amérique. / The Church of Jesus Christ of Latter-day Saints, or “Mormon Church,” emerged during the first half of the 19th century while America was undergoing social and religious changes. Right from the outset, Joseph Smith, the prophet-founder, set the Church in a radical opposition, “protesting” the dogma of traditional Christianity as they had been defined and accepted for centuries. He attracted the ire of the “established Churches” of Evangelical Protestantism. In spite of the profound Americanness of his religion, it was labeled un-american and his followers were persecuted, driven out, and forced to build their “Zion” on the Frontier, and then in the West, on the margins of American society. Unlike several other religious groups and utopian movements, the “Mormons” managed to turn their marginalization into strength, developing thereby traits that made them “a peculiar people.” Yet, they also realized that to escape persecutions, they had to be at the center of the nation’s politics. The nomination of Mitt Romney by the Republican Party for the 2012 presidential election testifies to their success. How did that come about? Romney was also the object of a sturdy religious opposition during the Party’s primaries that reminded the ones set up by the Protestants in the cases of Al Smith (1928) and of John F. Kennedy (1960). How does one account for this refusal to see a Mormon in the White House? In this dissertation, we answer these questions, and to many more, particularly as we illustrate the fact that Romney, J. F. Kennedy and Al Smith had a predecessor in Reed Smoot, a Mormon apostle whose election in 1902 to the U.S. Senate set the tone for the greatest religiously and politically-motivated trial ever in American history.
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Tradition et innovations dans la construction de l'identité chez les Shamaye (Gabon) entre 1930 et 1990

Matimi, Jean-Christophe 24 April 2018 (has links)
Depuis une dizaine d'années, on assiste parmi les historiens à la naissance d'une nouvelle forme de traitement de la question ethnique en Afrique. On récuse l'habitude de considérer les ethnies comme des phénomènes qui s'imposent à nous tels quels (donc immuables), alors que l'ethnie serait d'abord un phénomène historique donc changeant à travers l'époque et le milieu. Notre étude du processus de formation de l'identité shamaye s'inscrit dans cette pratique nouvelle de l'étude des ethnies africaines. Elle s'attèle à rechercher à travers le temps, les "racines d'identification" des Shamaye à travers le questionnement du comportement des Shamaye qui ainsi définissent leur identité collective. Autour d'un support méthodologique central, les récits de vie, nous avons diversifié nos approches (parmi lesquelles l'analyse historiographique a pris une place importante) et nous sommes arrivé à la conclusion que, ces soixante dernières années, l'identité shamaye s'est construite autour d'un subtile mélange entre éléments "traditionnels" et éléments nouveaux, qui sont autant des innovations culturelles que de comportements empruntés ailleurs. Concrètement, ce travail a montré que l'identité shamaye est d'abord un fait de discours. Un premier discours, d'abord "étranger" aux Shamaye, est le texte écrit qui aligne une série d'éléments linguistiques, historiques et anthropologiques qui leur confère une identité. Récemment, avec le progrès de la scolarisation, les Shamaye ont "découvert" ce discours et l'ont adopté et intégré dans leurs stratégies identitaires qu'on peut qualifier de stratégies de survie politique. L'identité shamaye est aujourd'hui ouvertement perceptible dans leur propre discours historique. Le discours historique (identitaire) qui insiste sur les lieux de mémoire communs au groupe est rendu nécessaire par la compétition politique et sociale contemporaines. Il a pour matrice l'unité originelle du groupe, sa dislocation et son unité retrouvée à travers les comportements unificateurs des Shamaye. L'identité c'est aussi un ensemble de comportements propres aux Shamaye, observables dans des circonstances et au sein des structures bien précises comme le lignage. Ce dernier transmet la parenté et réunit ses membres autour de la descendance et du souvenir d'un ancêtre commun et d'une devise commune. Les distances géographiques s'effacent rapidement au profit des liens lignagers même quand ces derniers ne sont pas mis en évidence. Le mariage est une des occasions où on peut observer les stratégies identitaires des Shamaye. Ces soixante dernières années, les Shamaye ont sauvegardé les mêmes circuits matrimoniaux dont la pérennité étonne. Les sociétés initiatiques sont des entités où on observe la différenciation entre les Shamaye et leurs parents Bakota. Chaque ethnie pratique d'un discours sur l'origine de ces sociétés et des chants qui lui sont propres. L'identité shamaye se manifeste par un ensemble d'emblèmes et de symboles. Il s'agit d'abord du nom propre qui, au Gabon, constitue à côté de la langue le premier élément de différenciation ethnique. L'analyse de l'idéologie des symboles politiques Kumômbuka et Kumukaka a permis d'observer deux pouvoirs qui se complètent. L'étude des symboles religieux a révélé que les Shamaye distinguent les éléments d'essence pratique (parce qu'ils exaucent les voeux des humains) de ceux d'essence morale et philosophique. L'usage que les Shamaye font de ces symboles s'adaptent aux tâches nouvelles imposées par la commercialisation et l'urbanisation de la vie. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Fascisme et antifascisme dans l'immigration italienne en Belgique, 1922-1940

Morelli, Anne January 1984 (has links)
Doctorat en philosophie et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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