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La contestation conservatrice aux États-Unis. L’influence des talk-shows radiophoniques conservateurs sur le conservatisme de l’après-Reagan (1988-2010) / Conservative dissent in the US. The influence of conservative talk radio on post-Reagan conservatism (1988-2010)

Mort, Sebastien 10 December 2012 (has links)
Phénomène apparu à la fin des années quatre-vingt avec l’animateur Rush Limbaugh, le talk-show radiophonique conservateur américain a joué un rôle important dans la vie politique du pays. Cette recherche en retrace les différentes phases de 1988 à 2010 pour lui rendre sa place dans l’histoire politique américaine des dernières. Elle défend la thèse que le talk-show radiophonique conservateur a constitué un puissant instrument de contestation et a joué un rôle historique dans la reconquête du pouvoir par les Républicains.Dans un premier temps, le contexte politique et médiatique de la résurgence du conservatisme dans les années soixante est revisité pour situer le talk-show radiophonique dans la tradition communicationnelle du mouvement conservateur et défendre l’idée que l’émergence du phénomène en tant que force politique au début des années 1990 constitue « le deuxième rendez-vous des conservateurs avec les médias alternatifs »Dans un deuxième temps, la recherche se propose d’analyser les phases et cycles du talk-show conservateur dans son âge d’or ainsi que les figures de ses éditocrates dominants. Il s’agit d’établir que le contournement des médias de référence par le talk-show s’est opéré en tandem avec l’élite républicaine au moyen d’une « relation spéciale » qui s’est nouée au cours de la campagne présidentielle de 1992 et renforcée très nettement au cours du premier mi-mandat de Bill Clinton. Afin de définir ces phases, la recherche s’appuie sur Rush Limbaugh comme figure fondatrice du genre, puis se concentre sur Hannity, Ingraham et Savage, nouveaux animateurs d’envergure nationale qui émergent au tournant du siècle. Dans un dernier temps, la forme et le contenu du talk-show radiophonique sont explorés afin de mettre en évidence les modalités de la contestation. La thèse se concentre sur l’analyse du dispositif et la rhétorique des talk-shows à proprement parler, en se focalisant sur ceux qui ont façonné le genre et sa notoriété. Elle analyse le discours des quatre animateurs de manière comparative afin de montrer que les talk-shows radiophoniques conservateurs déploient une stratégie de « contenu sur mesure ». / A new media genre that appeared in the late eighties, conservative talk radio in the US has played a significant role in the country’s politics. This research explores the history of the medium from 1988 to 2010. It argues that, throughout the period, conservative talk radio has been a powerful instrument of dissent and has played a very significant role in the Republican ascendancy of the mid-1990s. First, this research revisits the political and media context of the resurgence of conservatism in the 1960s in order to situate the genre in the communication tradition of the conservative movement and entertain the argument that the emergence of conservative talk radio as a political force in the early nineties represents “conservatives’ second rendezvous with alternative media.”Second, this dissertation analyses the phases of conservative talk radio during its golden age as well as its dominant pundits. It argues that conservative talk radio shows circumvented traditional media by establishing a “special relationship” with the Republican establishment as early as Bill Clinton’s first presidential campaign in 1992. In order to define such phases, this research focuses on Rush Limbaugh as the founding figure of the genre and then concentrates on Sean Hannity, Laura Ingraham and Michael Savage, the new hosts who emerged at the turn of the century. Last, the form and content of conservative talk radio programs are explored in order to show how dissent is engineered. This research then analyzes the apparatus and rhetoric of the programs, focusing on those that shaped the genre and made it famous. It explores the content of the four shows comparatively in order to demonstrate that the hosts unfurl a strategy of “tailored content.”
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De la norme à l'insulte : la transformation du concept de libéralisme aux États-Unis depuis 1964

Lemieux, Miguel 10 1900 (has links) (PDF)
De l'époque du New Deal au milieu des années 1960, le libéralisme américain connait une période de domination politique et intellectuelle. L'ensemble de la classe politique applique ses principes ou hésite sérieusement à les remettre en question. Cette idéologie va cependant connaître un long déclin faisant en sorte que le libéralisme va en venir à inspirer, au pays de l'oncle Sam, soit la honte, soit le mépris. L'objectif de notre mémoire sera donc d'expliquer comment, aux États-Unis, le concept de libéralisme a pu passer, en l'espace de quelques décennies, de la norme à l'insulte. Nous y défendrons la thèse voulant que la signification du libéralisme aux États-Unis ne soit pas figée dans le temps. Nous démontrerons qu'au cours de certaines périodes charnières de l'histoire américaine récente, le contexte politique et social a été favorable aux adversaires du libéralisme qui ont ainsi été en mesure, lors de chacune de ces occasions, de transformer le sens de ce concept en des termes de plus en plus péjoratifs. Pour ce faire, nous commencerons par démontrer clairement en quoi la définition du libéralisme diffère aux États-Unis par rapport à celle qu’il possède dans le reste du monde. Par la suite, à l'aide d'une approche relativement récente dans le champ d'étude de la politique américaine, l'American Political Development (APD), nous élaborerons une synthèse des principales significations qui ont pu être associées au concept de libéralisme depuis 1964. Cette démarche nous permettra de mettre en relief de quelle façon certains événements ou acteurs politiques ont marqué l'évolution de ce concept aux États-Unis au cours des quelques cinquante dernières années. Enfin, nous mettrons en perspective nos conclusions avec la nouvelle réalité issue de l'élection de Barack Obama à la présidence des États-Unis en novembre 2008. Nous verrons qu'en dépit de cette nouvelle donne, le libéralisme américain a encore beaucoup à faire pour prétendre aspirer au prestige intellectuel dont il a jadis pu se réclamer. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : États-Unis, politique américaine, libéralisme, conservatisme, démocrates, républicains, État-providence.
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La conversation républicaine, sine qua non de la démocratie américaine, première victime de la guerre au terrorisme

André, Marie-Kettlie 03 1900 (has links) (PDF)
Se présentant comme une démocratie modèle fondée sur un contrat sans cesse renégocié au travers de la conversation républicaine, les États-Unis se sont dotés d'un système politique respectueux des droits de la personne et garant des libertés civiles dans tous les secteurs d'expression sociale. Ce régime, imparfait à sa naissance, a progressé de façon lente, mais constante. Même à la fin du XXe siècle, il n'avait pas encore atteint son plein épanouissement. La démocratie américaine reste perfectible! Bien sûr, des forces restreignent la réalisation du projet initial. Même si, dès 1789, elle a permis d'élaborer la Constitution et, plus tard, ses principaux amendements, la conversation républicaine, SINE QUA NON de la démocratie, n'a jamais pu fonctionner pleinement. L'exclusion d'importantes parties de la population (infortunés, minorités ethniques, femmes) donne une idée des lacunes qu'elle a plus ou moins comblées avec le temps. Déjà limitée en temps de paix, durant les conflits, la conversation républicaine est confrontée à des « mesures de guerre » porteuses de censure et d'autres procédures transformant la communication en propagande et l'information en désinformation. Propagande et désinformation promeuvent alors les intérêts des élites politiques et économiques. La guerre ralentit donc considérablement la mise en pratique des idéaux et elle entraîne même la régression de ce régime. Ces constats de ralentissement, d'arrêts ou de reculs nous interpellent sur la place de la pratique démocratique aux États-Unis. Nous nous sommes demandée si ce pays, très souvent en guerre, s'est effectivement doté d'une démocratie dont le fonctionnement et la progression normale auraient été malencontreusement stoppés par de nombreux épisodes guerriers ou si, au contraire, le recours récurrent aux mesures de guerre porteuses d'entraves au bon fonctionnement de la conversation républicaine n'est pas, finalement, le scénario rêvé par l'Establishment pour faciliter et rendre incontestable, la gestion efficace du système économique et financier dont cette puissance mondiale est devenue le champion? Pour répondre à cette question, nous avons suivi une approche chronologique qui nous permet de procéder à une analyse des faits et des idéologies qui ont légitimé les guerres. Nous avons étudié les épisodes guerriers qu'ont connus les États-Unis, de la Révolution de 1776 aux conflits locaux qui ont failli « faire éclater » la « guerre froide ». Évidemment, nous avons particulièrement insisté sur la « guerre au terrorisme » menée par Georges W. Bush, au lendemain des attentats du 11 septembre 2001. Nous en arrivons à croire qu'en lançant cette Guerre, le Président des États-Unis, conseillé par les Néoconservateurs, a contraint les Américains à abandonner leur idéal de « conversation républicaine ». L'examen précis du contexte de la guerre au terrorisme étaye notre hypothèse. Il souligne le caractère instrumental de cette guerre, et rend compte ainsi de l'impraticabilité de « la conversation républicaine ». Pour garantir la pratique efficace du capitalisme sauvage, l'idéal de « conversation républicaine » a été transformé en un simple outil de propagande, un symbole publicitaire, un thème central de campagne de relations publiques! Nous concluons en soulignant que la guerre au terrorisme dans laquelle Bush a précipité les États-Unis a un impact considérable sur la façon d'interpréter l'histoire de cette grande puissance. Loin d'être « une grande démocratie » temporairement malmenée par quelques conflits, depuis la guerre au terrorisme, nous percevons l'histoire de ce pays comme celle d'une oligarchie qui ne peut fonctionner efficacement que dans un état de guerre permanente où l'idéal démocratique de « conversation républicaine » est remplacé par celui de l'American way of life, sorte de culte de la consommation propice à l'enrichissement des managers et des financiers américains. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Communication, États-Unis, espace public, guerre, guerre au terrorisme, démocratie, conversation républicaine, censure, désinformation, répression, sceau de secret, secret d'État, propagande, sécurité nationale, intérêts public et national, Destinée Manifeste, pragmatisme managérial de Thayer-Ravault, instrumentalisme de Habermas.
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Le Congrès républicain (1994 – 2006)- Révolutions conservatrices, contradictions électorales, évolutions institutionnelles / The Republican Congress (1994-2006)- Conservative revolutions, electoral contradictions, institutional evolutions

Meyer, Alix 24 November 2012 (has links)
Le Congrès des Etats-Unis est une institution méconnue, mal comprise et souvent dénigrée, y compris par ses propres membres. On le dit en crise, inadapté aux exigences du monde moderne. L’objectif est donc d’évaluer les forces et les faiblesses objectives du Congrès contemporain pour le réinsérer dans la dynamique des freins et contre-pouvoirs au coeur du système politique américain. La période retenue s’étale de la victoire des Républicains menés par Newt Gingrich en 1994 jusqu’aux élections de mi-mandat de 2006 et au retour des Démocrates.  De la présidence Clinton à Bush, ces douze années offrent un contexte institutionnel varié. Elles forment une trajectoire historique fascinante de la rhétorique révolutionnaire qui accompagne les victoires de 1994 à la résignation d’une défaite marquée par une certaine corruption institutionnelle, partisane et idéologique. Le cœur de notre étude vise à étudier les conséquences institutionnelles du retour à un équilibre partisan dans les deux chambres du Congrès. La compétition entre les deux partis a été accompagnée par la polarisation du système politique. Notre étude retrace les débuts de l’entrée dans une nouvelle ère sur la colline du Capitole. On cherchera à combiner une approche politique et institutionnelle en analysant plus particulièrement trois domaines de l’action politique particulièrement révélateurs: les finances via la procédure budgétaire, la réforme de l’Etat providence, et les relations avec le judiciaire via les nominations des Juges d’Appel fédéraux, lieu privilégié de frictions entre la Maison-Blanche et le Sénat. À cette perspective institutionnelle, il s’agira d’ajouter une étude sociologique de cohorte des membres du Congrès, nécessaire pour comprendre les ressorts de l’action institutionnelle.  Au-delà des membres de la chambre, l’étude d’une période dominée par le parti de l’éléphant nous permettra de plonger au cœur du mouvement conservateur. Après avoir présenté les racines historiques de l'idéologie conservatrice qui domine au sein du Parti républicain, il s'agira de révéler comment un mouvement contestataire a transformé l’institution du Congrès mais aussi comment l’institution a transformé le mouvement conservateur et le Parti républicain.  Dans un contexte international de renforcement du pouvoir exécutif, l’étude du Congrès doit permettre de redécouvrir certaines leçons sur les modalités de fonctionnement d’un système démocratique. Il s’agit de montrer qu'au-delà des questions techniques, des jeux de procédures obscures, dans la tension qui anime le Congrès, se joue l’avenir du concept de démocratie représentative ; de rétablir un certain équilibre dans la perception du système américain : système plus complexe qu’il n’apparaît dans les médias et même parfois la littérature. On ne peut se contenter d’étudier la présidence impériale sans prêter attention au vortex qui siège, toujours, au coeur de la constitution. Ainsi, sans  faire un panégyrique du pouvoir législatif, il s’agira de remettre en cause la tentation d’un Césarisme plus ou moins démocratique qui chercherait à faire du Congrès une chambre d’enregistrement des volontés de l’exécutif. / The United States Congress is often disparaged including by its own members. The critics of the institution decry the gridlock on Capitol Hill and Congress's alleged inability to deal with the challenges of the modern world. The unpopularity of today's Congress calls into question its ability to represent the American people. In that context it is necessary to try to assess whether or not Congress is truly dysfunctional. To that end, this study proposes to study a period of twelve years from 1994 to 2006 during which the Republican party dominated the institution. In 1994, under the leadership of Newt Gingrich, the Republicans returned to the majority in the House of Representatives for the first time in forty years. In 2006, after another midterm election, the Republican majorities in the House and the Senate were soundly defeated. Drawing on the long and tortuous history of the relationship between the Republican party and conservatism, the new majorities proposed large-scale change that amounted to a conservative revolution. They had initially laid out a clearly conservative agenda that insisted on balancing the budget and reducing the size of government. A detailed study of their fiscal policy and their attempts at entitlement reform over the period actually leads us to conclude that they eventually governed over ever larger deficits and a growing federal government whose policies were adjusted to favor different portions of the population. It is therefore necessary to try to account for the discrepancy between the initial goals and the eventual results. This entails studying first the evolution of the Republican members of Congress themselves to see whether the policy changes can be explained by the members becoming more moderate. Another explanation centers on the relationship between the members of the Congress and their constituents. The Republican majorities could have been forced to moderate their positions by the voters themselves in the elections of 1996, 1998, 2000, 2002 and 2004. Here the complex interplay that implies the interpretation of election results comes into play. Over the past decades, the American political system has been polarizing clearly. The growing ideological gap between the two parties and their bases calls into question the institutional stability of an institution built on the necessity to compromise. Especially since both parties have polarized while the margins of the majorities have grown more narrow. It is thus essential to look at the constraints set up by the institutional system. The arcane nuances of the legislative process directly impinges on the content of legislation. Indeed, if the majority rules decisively over the House of Representatives, in the Senate, the minority can very easily block most initiatives. The growing recourse to procedural shortcuts offered by the budget process is a testament to that fact.Finally, the relationship with the president of the United States is very much a factor in the equation. The twelve years of Republican domination in Congress covers two very different periods. Until January 2001, they had to battle with President Clinton in a context of divided government. Following George W. Bush's election in 2000, they started working under the command of the White House. The stark contrast in the way Senate republicans dealt with the two presidents when it came to their judicial nominees for the Federal Courts of Appeal offers an excellent opportunity to evaluate the continuing yet variable strength of the system of checks and balances set up by the U.S. Constitution. A deeper understanding of the workings of the contemporary Congress might allow for a more nuanced vision of the institution as much more than a roadblock on the road of presidential leadership and, perhaps, lead to a better appreciation of the way its members are trying or failing to fulfill their constitutional duty.
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Le conservatisme américain en mouvement : enquête sur le Tea Party en Pennsylvanie / American conservatism on the move(ment) : a study of the Tea Party in Pennsylvania

Douzou, Marion 05 December 2017 (has links)
La Pennsylvanie est un État complexe dans sa géographie économique, urbaine et raciale et, partant, dans les comportements électoraux de ses citoyens. Cette thèse examine la manière dont le Tea Party s’y est organisé et les modes de mobilisation qu’il a adoptés. Fort d’une tradition conservatrice souvent sous-estimée, l'État de William Penn constitue un bon observatoire pour étudier l'évolution et les mutations du mouvement conservateur et de son bras armé électoral, le Parti républicain. L’observation de terrain démontre que le Tea Party ne peut pas être appréhendé indépendamment d’une large galaxie de groupes nationaux et locaux, de think tanks, de médias avec lesquels il entretient des relations souvent conflictuelles.La thèse met en lumière la mutation d’un mouvement social médiatisé en une mobilisation politique dont les efforts se concentrent à l’échelle fédérée et locale. Rétifs à toute institutionnalisation, les groupes locaux voudraient restituer aux citoyens des processus de décision que l’appareil républicain aurait confisqués à son profit. Stratégie d’entrisme, pressions sur les élus, travail idéologique d’organisations de terrain, action concertée au Congrès ont fait glisser le centre de gravité du GOP vers un conservatisme pour lequel la capacité à nouer des compromis pour gouverner est disqualifiée. En dépit d’une force militante en recul, la nébuleuse Tea Party soumet idéologiquement le mouvement conservateur et le Parti républicain à de fortes pressions qui ne sont pas étrangères à la confusion qui caractérise la situation politique actuelle du pays. / Pennsylvania is a complex state in its economic, urban, and racial geographies, accordingly complex is the electoral behavior of its citizens. This thesis examines the ways in which Tea Party groups in Pennsylvania mobilized and organized. The often overlooked conservative tradition of William Penn’s state makes it an excellent case study to examine the evolution and mutations of the conservative movement and of its electoral arm, the Republican party. The fieldwork conducted in this thesis shows that the Tea Party cannot be understood without taking into account a great number of national and local groups, think tanks, and media personalities with whom it often has chaotic relationships.This work focuses on the evolution of a visible social movement into a political mobilization that targets the state and local levels. Local Tea Party groups, who are opposed to any form of institutionalization, fight to snatch power from the hands of the GOP establishment to give it back to the voters. Gradual infiltration of the Republican party, constant pressure on elected officials, ideological work conducted by advocacy organizations, and concerted action in Congress have driven the GOP towards a brand of conservatism that rejects any idea of compromise in governing. Despite a drop in the number of activists, the Tea Party movement has subjected the conservative movement and the Republican party to heavy ideological pressure, which partly explains the current confusion in the country’s political landscape.
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Les coalitions politiques et l'orientation du changement économique et politique aux États-Unis : la Grande Dépression et la Grande Récession comparées

Laperrière, Éric 07 1900 (has links)
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L'intégration politique des mormons aux États-Unis : de Reed Smoot à Mitt Romney / The Political Integration of the Mormons in the United States : from Reed Smoot to Mitt Romney

Charles, Carter 12 December 2013 (has links)
L’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, ou « Église mormone », émargea au cours de la première moitié du XIXe siècle dans une Amérique en proie à des mutations sociales et religieuses. Joseph Smith, son prophète-fondateur, l’inscrivit dès le départ dans une radicalité doctrinale en « protestant » les fondamentaux du christianisme tels qu’ils avaient été définis et acceptés auparavant. Il s’attira de ce fait le courroux des « Églises établies », en particulier de celles du protestantisme évangélique. Malgré une américanité foncière, sa religion fut affublée de l’étiquette « un-american » et ses disciples furent persécutés, poussés à édifier leur « Sion » sur la « Frontière », puis dans l’Ouest, à la périphérie de la société américaine. Contrairement à bien d’autres groupes religieux ou de mouvements utopiques, les « mormons » réussirent à transformer leur marginalisation en force, développant par la même occasion des particularismes qui firent d’eux un « peuple à part ». Or, ils s’éveillèrent aussi à l’évidence que pour échapper aux persécutions, ils devaient se positionner au cœur de l’action politique du pays. L’investiture de Mitt Romney par le Parti républicain pour l’élection présidentielle de 2012 témoigne de leur réussite. Mais comment cela fut-il possible ? Romney fut aussi l’objet d’une formidable opposition religieuse au cours de la phase des primaires du Parti qui n’est pas sans rappeler celles fomentées par les protestants contre les catholiques Al Smith (1928) et John F. Kennedy (1960). Comment expliquer ce refus de voir un mormon à la Maison blanche ? Nous répondons dans cette thèse à ces questions, et à bien d’autres, notamment en illustrant le fait que Romney, J. F. Kennedy et Al Smith eurent un prédécesseur en Reed Smoot, apôtre mormon dont l’élection en 1902 au Sénat fédéral fut à l’origine du plus grand procès politico-religieux d’Amérique. / The Church of Jesus Christ of Latter-day Saints, or “Mormon Church,” emerged during the first half of the 19th century while America was undergoing social and religious changes. Right from the outset, Joseph Smith, the prophet-founder, set the Church in a radical opposition, “protesting” the dogma of traditional Christianity as they had been defined and accepted for centuries. He attracted the ire of the “established Churches” of Evangelical Protestantism. In spite of the profound Americanness of his religion, it was labeled un-american and his followers were persecuted, driven out, and forced to build their “Zion” on the Frontier, and then in the West, on the margins of American society. Unlike several other religious groups and utopian movements, the “Mormons” managed to turn their marginalization into strength, developing thereby traits that made them “a peculiar people.” Yet, they also realized that to escape persecutions, they had to be at the center of the nation’s politics. The nomination of Mitt Romney by the Republican Party for the 2012 presidential election testifies to their success. How did that come about? Romney was also the object of a sturdy religious opposition during the Party’s primaries that reminded the ones set up by the Protestants in the cases of Al Smith (1928) and of John F. Kennedy (1960). How does one account for this refusal to see a Mormon in the White House? In this dissertation, we answer these questions, and to many more, particularly as we illustrate the fact that Romney, J. F. Kennedy and Al Smith had a predecessor in Reed Smoot, a Mormon apostle whose election in 1902 to the U.S. Senate set the tone for the greatest religiously and politically-motivated trial ever in American history.

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