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The seed and the soil : gender and cosmology in Turkish village society /Delaney, Carol Lowery, January 1991 (has links)
Texte remanié de: Th. Ph. D.--University of Chicago, 1984.
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Bioéthique : la problématique de la connaissance et le principe du moindre mal en éthique médicaleGaspard, Robert 23 February 2022 (has links)
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D'une matrice à l'autre: dialogique de la filiation et de la parentalité dans la gestation pour autruiCailleau, Françoise 23 September 2011 (has links)
La présente recherche porte sur les processus de filiation et de parentalité chez les couples demandeurs d'une aide médicale à la procréation nécessitant le recours à une mère porteuse.Pour aborder la spécificité et la complexité de ces situations, nous avons élaboré un modèle théorique paradigmatique qui propose un rapport dialogique entre les concepts de filiation et de parentalité. Cette modélisation se présente sous forme matricielle. Elle permet de connecter des savoirs issus de diverses disciplines et ouvre sur la possibilité de repenser nos schémas conceptuels de la filiation et la parentalité à l'ère des modifications des conditions de la reproduction, de la gestation et de la naissance. / Doctorat en Sciences Psychologiques et de l'éducation / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Pratiques et représentations sociales des intervenantes et intervenants en santé face aux étapes de reproduction chez la femmeLemelin, Sara 23 February 2022 (has links)
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Le statut moral de l'embryon humain, une approche attentive à la question des fondements de l'éthiqueKeating, Bernard 23 February 2022 (has links)
La question du statut moral de l'embryon humain dépasse largement la problématique de l'avortement. La pratique de la fécondation in vitro a en effet amené à poser avec acuité la question du respect dû à l'embryon dès son origine. Les avis sont des plus partagés. Les uns affirment que l'embryon, puisqu'il est issu de parents humains, ne saurait être autre chose qu'une personne avec les droits que cela implique. D'autres soutiennent qu'il ne suffit pas de naître de parents humains pour être une personne, il faut présenter les caractéristiques propres à la personne. Enfin, certains soulignent que la personnalité se construit dans les relations humaines, on ne saurait se contenter de considérer le substrat biologique. C'est par la parole de l'autre que nous sommes appelés à l'humanité. Contrairement à une opinion partagée par beaucoup, l'opposition de L'Église Catholique à l'avortement ne repose pas sur la conviction que l'embryon est une personne dès la fécondation. L'Église avoue son ignorance sur la question. Sa doctrine morale repose plutôt sur le respect dû au processus de la génération en général, et sur le devoir de prudence qui s'impose à l'égard d'un être humain qui pourrait bien être une personne. L'analyse des diverses positions sur le sujet nous conduit à nous interroger sur le fondement en raison des normes morales. C'est seulement à ce prix, nous semble-t- il, qu'il sera possible d'apporter une certaine lumière sur une question obscurcie par une polémique stérile. Au terme de l'analyse des différentes façons de fonder les normes chez Thomas d'Aquin, Emmanuel Kant et Jürgen Habermas nous adoptons la version habermassienne du principe d'universalisation: «une norme ne peut prétendre à la validité que si toutes les personnes concernées sont d'accord (ou pourraient l'être) en tant que participants à une discussion pratique sur la validité de cette norme.» Après avoir défini l'embryon comme un radical Indéfinissable, nous concluons qu'accepter de traiter la vie humaine dans l'obscurité de ses débuts, comme un objet, Implique d'avoir déjà accepté un respect relatif de la personne. L'opposition de L'Église à l'avortement et à la fécondation in vitro ne repose pas sur la conviction que l'embryon est une personne dès la fécondation, mais sur le respect du processus de la génération et sur le devoir de prudence à l'égard d'un être humain qui pourrait bien être une personne. L'analyse des diverses positions nous conduit à nous interroger sur le fondement en raison des normes morales. Au terme de l'analyse des modes de fondation des normes chez Thomas d'Aquin, Emmanuel Kant et Jürgen Habermas, nous adoptons la version habermassienne du principe d'universalisation: une norme ne peut prétendre à la validité que si toutes les personnes concernées sont d'accord en tant que participants à une discussion pratique sur la validité de cette norme. Après avoir défini l'embryon comme un radical indéfinissable, nous concluons qu'accepter de traiter la vie humaine dans l'obscurité de ses débuts, comme un objet, implique d'avoir déjà accepté un respect relatif de la personne.
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La reproduction humaine et l’éducation à la sexualité en Tunisie et en d’autres pays francophones : analyse des manuels et des conceptions d’enseignants / Human Reproduction and Sex Education in Tunisia and other francophone countries : analysis of textbooks and teachers’ conceptionsAbdelli, Sami 12 July 2011 (has links)
Nos connaissances scientifiques sur la reproduction humaine et l’éducation à la sexualité se renouvellent très rapidement. Leur transposition didactique également, en fonction de l’évolution de pratiques sociales liées à la santé sexuelle, à des comportements sociaux, mais aussi en interaction avec des représentations sociales et des valeurs. L’objectif de notre recherche est donc de clarifier ces interactions et d'identifier ce qui empêche ou retarde l'introduction, dans l'enseignement d'un pays, des dernières connaissances scientifiques sur la reproduction humaine et l’éducation sexuelle. Une première approche historique et épistémologique est relative à l’influence des facteurs culturels sur l’éducation à la sexualité dans le cadre de la culture arabo-islamique, sans oublier pour autant le cadre culturel occidental. Par ailleurs, une deuxième approche didactique porte sur l’analyse d’une part des programmes et manuels scolaires tunisiens (depuis 2004 jusqu’à nos jours), et d’autre part sur une analyse comparative des conceptions des enseignants en Tunisie et dans six pays francophones (Maroc, Algérie, Liban, Burkina Faso, Sénégal et la France). Afin de permettre un choix raisonné des contenus d’enseignement, nous avons trouvé utile l’approche suivante : l’étude de l’interaction entre les programmes, les manuels et les attentes des futurs enseignants. C’est dans cette perspective que nous avons tenté d’identifier les attentes et les interrogations des futurs enseignants tunisiens sur l’enseignement de l’éducation à la sexualité. Le dernier chapitre de cette thèse analyse les conceptions d'enseignants dans sept pays francophones (Algérie, Burkina Faso, France, Liban, Maroc, Sénégal, Tunisie) sur la reproduction humaine et l’éducation à la sexualité. Notre contribution se veut une porte d'entrée à ce vaste domaine toujours en évolution, qu'est la sexualité dans une perspective éducative et citoyenne ; elle veut poser la question du statut moral et culturel de la sexualité dans notre société. En effet, l'analyse des conceptions des enseignants nous a conduits à caractériser la notion de « rapport à la culture » qui se rapproche du concept de « rapport au savoir ». La mise en évidence de l’incidence de la culture musulmane sur le sujet traité nous a permis de tirer des conclusions quant au lien entre la culture et les conceptions / Our scientific knowledge about Human Reproduction and Sex Education is constantly changing. Its didactic transposition is also changing according to the evolution of social practices linked to reproductive health, social behaviours, and in its interaction with values. The aim of our research is therefore to clarify these interactions and to identify the factors that prevent or promote the introduction of the lastest scientific knowledge on Human Reproduction and Sex Education into a country’s teaching syllabus. Firstly, a historical and epistemological approach was used to study the influence of cultural factors on sex education in the Arabic-Muslim culture, without neglecting the Western culture. Secondly, a didactic approach was used to critically analyse Tunisian school textbooks on Human Reproduction and Sex Education (from 2004 to 2011), and equally to carry out a comparative analysis of teachers' conceptions in Tunisia and in six francophone countries (Morocco, Algeria, Lebanon, Burkina Faso, Senegal and France). In order to choose an appropriate teaching content, we thought it wise to use the approach of studying the interaction between the syllabus, the textbooks and the student teachers’ expectations on the teaching of human reproduction and sexuality. It is in this perspective that we attempted to identify the expectations and worries of student teachers on issues related to the teaching of sex education. The last chapter of this work analyses the conceptions of teachers in seven francophones countries (Algeria, Burkina Faso, France, Lebanon, Morocco, Senegal, Tunisia) on Human Reproduction and Sex Education. This work intends to make its contribution to the vast and constantly evolving domain of Human sexuality, especially in the perspective of citizenship education. It intends to discuss the question of culture and moral status of sexuality in our society. In fact, the analysis of teachers' conceptions about sex education led us to characterize the notion of "relation to culture" which approaches the concept of "relation to knowledge". Highlighting the impact of Muslim culture on the topic has permitted us to draw conclusions about the link between culture and conceptions
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Approches didactique et pédagogique de la biologie humaine au lycée en Tunisie : étude exploratoire, en contexte culturel tunisien, de l’intégration de l’autocorrection et de l’auto-évaluation en classe de terminale dans les cours sur la reproduction humaine / Didactical and pedagogical approaches to human biology in Tunisian high school : exploratory study in Tunisian cultural context, of self-correction and self-assessment integration in twelfth grade in courses on human reproductionFarhane, Fadhila 24 June 2016 (has links)
Notre travail s’inscrit dans le champ de la didactique de la Biologie en général et celui de la reproduction humaine en particulier. Nous nous intéressons spécialement à une « tentative » d’autonomisation des apprenants - plus exactement des élèves - tunisiens en classe de terminale scientifique par le biais de l’autocorrection/auto-évaluation dans l’apprentissage de la reproduction humaine et l’éducation à la sexualité. Le choix de notre sujet de recherche plonge ses racines dans les méthodes et procédés utilisés dans les apprentissages scolaires en rapport avec l’appartenance des apprenants, tout comme les enseignants, à une société arabo-musulmane, où, parler de reproduction reviendrait à parler de sexualité qui est un terme « sale », « vulgaire », « honteux » et l’évoquer pourrait bien être contre la morale, donc une attaque à la pudeur. Mais, cette conception qui empêcherait les élèves, jeunes adolescents, de parler ouvertement de sexualité et de reproduction, est-elle d’ordre religieux ? Ou qu’elle n’est qu’une construction sociale ? La pratique religieuse fait-elle obstacle à l’évocation des questions se rapportant à la sexualité dans la mesure où celle-ci n’est aucunement abordée au sein des familles où les parents sont musulmans pratiquants ? L’Islam comme religion incitant à la pudeur et la chasteté, fait-il de la sexualité un tabou ? Grace à des questionnaires nous avons tenté d’apporter de l’éclairage à tous ces questionnements. De par notre ancienne expérience professionnelle d’enseignante de Sciences de la Vie et de la Terre, nous avons remarqué chez les apprenants une réticence manifeste, qui s’exprime par un manque, voire une absence de participation lors de la construction des savoirs allant jusqu’à s’abstenir de poser des questions. Rien qu’un silence assourdissant qui règne dans la salle de classe lors de l’apprentissage de la reproduction humaine. Nous entendions une voix muette mais opprimée me disant : « Allez, faites vite ! Et pourvu de ça finisse ! ». Cette passivité jouait, éventuellement en faveur d’un paradigme éducatif purement transmissif. Notre idée première était de contraindre, d’une manière ou d’une autre, les apprenants à communiquer entre eux autour de ce thème « problématique » qu’est la reproduction humaine. Cette initiative était aussi bien dans le but de tenter de briser des obstacles éventuels qui pourraient s’interposer d’une part entre les apprenants des deux sexes et l’enseignant et, d’autre part, entre les apprenants et le savoir, que de laisser aux apprenants l’occasion de corriger eux-mêmes leurs propres erreurs, peut-être ne les reprennent-ils plus. Tant de questionnements nous sont venus à l’esprit : bien que non habitués aux pratiques autocorrectives/auto-évaluatives, les élèves tunisiens sont-ils en mesure de porter des jugements corrects à leurs propres travaux ? Si, travaillant en petits groupes dans l’élaboration d’un cours en vue de co-construire un savoir, seront-ils plus performants dans leurs auto-évaluations quant à ce même savoir ? Autocorrection et auto-évaluation, seraient-elles synonymes de remédiation efficace d’erreurs ? Notre expérimentation a porté sur 71 élèves de trois classes de terminale scientifique que nous avons mixées et répartis en trois groupes présentant la même répartition des moyennes en SVT en classe de troisième (niveau précédent). Ces trois groupes étaient : - « A.Auto » et noté « AA » formés des élèves ayant participé à la construction du cours et se sont auto-corrigés et auto-évalués suite à un test préliminaire; - « B.Auto » et noté « BA » composés des élèves ayant reçu un cours magistral, mais se sont auto-corrigés et auto-évalués par suite du même test préliminaire; - « Trad » et noté « T » cet échantillon correspond aux élèves qui ont reçu un cours et une correction traditionnels, comme habituellement. ... / This work falls within the field of Biology didactics in general and that of human reproduction more particularly. We are more specifically interested in a learners’ empowerment attempt that is more precisely related to Tunisian final year science students through self-correction/self-evaluation in the learning of human reproduction and sex education. The choice of our research topic is rooted in the methods and processes used in school learning in connection with learners’ as well as teachers’ belonging to a Muslim Arab society, where, speaking about reproduction would be to talk about sexuality which is a “dirty”, “vulgar”, “shameful” word. If just mentioned, it might be against morality, so an attack against decency. But is this design -that prevents students, young teenagers, to talk openly about sexuality and reproduction- religious? Or is it just a social construct? Is religious practice an obstacle when it comes to issues related to sexuality that there is no way to raise them in families where parents are practicing Muslims? Does Islam as a religion inciting to modesty and chastity, consider sex a taboo? Thanks to some questionnaires we tried to highlight all of these questions.From our old professional experience as a teacher of Life and Earth Sciences, we noticed in learners an obvious reluctance, expressed by a lack of participation in the construction of knowledge and even beyond that to refrain from asking questions. Nothing heard in the classroom but a deafening silence when it comes to learning human reproduction. We heard a silent but oppressed voice saying “Come on, hurry up! And provided it to end!”. This passivity was playing, possibly for a purely transmissive educational paradigm. Our main focus was to force learners, one way or another, to communicate with each other around the "problematic" theme; human reproduction. This initiative was rather designed to try to break any obstacles that might interpose, in the one hand, between students of both sexes and teachers and in the other, between learners and knowledge, than to give learners the opportunity to self-correct their own mistakes, which, perhaps, they would never make again. So many questions came to our mind: although not accustomed to self-correcting/ self-evaluative practice, are Tunisian students able to provide correct judgments of their own work? If they work in small groups in the development of a course to co-construct knowledge, will they perform better in their self-assessments related to that particular knowledge? Would self-correction and self-assessment be synonyms to effective remediation of errors?Our testing focused on 71 students from three final year science classes we have mixed and divided into three groups with the same distribution of averages SVT third class (the previous level). These three groups were:- "A.Auto" and rated "AA" trained students who participated in the construction of the course and have self-corrected and self-assessed following a preliminary test;- "B.Auto" and noted "BA" composed of students who received a lecture, but have self-corrected and self-assessed following the same preliminary test;- "Trad" and rated "T" This sample corresponds to students who received a traditional course and a correction, as usual....
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