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Responsabilité sociale des entreprises et comportements citoyens : application au cas de la Mutuelle / Corporate social responsibilty and organizational citizenship behaviour : the case of the mutual company

Tahri, Najoua 10 December 2011 (has links)
Les débats sur la performance globale, le développement durable ou encore la RSE se multiplient, suscitant l'intérêt de l'ensemble des corps sociaux quant aux impacts économiques, sociaux et environnementaux des activités des entreprises sur leurs différentes parties prenantes. L'objet de cette recherche est de développer un modèle expliquant la relation entre la RSE perçue par les salariés et la performance sociale à partir des attitudes des salariés. En se basant sur la théorie de l'identification organisationnelle et la théorie de l'échange social, nous proposons et testons un modèle présentant l'influence de la perception de la RSE sur les attitudes et les comportements des salariés au travail. Nous avançons que la RSE peut pousser les salariés à adopter des comportements citoyens. A ce titre, le modèle met en évidence les leviers pour déployer des mesures RSE favorisant les comportements responsables de la part des salariés. / Global performance, sustainable development and corporate social responsibility (CSR) issues are at the heart of the debate on the impact of firms (economic, social and environmental) on their stakeholders. Our research tackles these issues. Drawing on organizational identification and social exchange theories, we develop and test a framework that explains the relationship between CSR as perceived by the employees and social performance based on their attitudes. We argue that CSR can encourage organizational citizenship behaviours and highlight the drivers for taking CSR measures that promote responsible behaviour among employees.
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Responsabilité Sociale de l’Entreprise et Développement Durable : les représentations sociales des salariés d’une multinationale. Contenus des représentations sur la RSE et facteurs d’influence : Une étude internationale : France, Mexique, Pologne / Corporate Social Responsibility and Sustainable Development : the social representations of employees within a multinational corporation : An international study : France, Mexico, Poland

Bertrand, Laure 12 September 2014 (has links)
Cette recherche, d’inspiration qualitative et interprétativiste, s’intéresse à la diversité des représentations dont fait l’objet la RSE, Responsabilité Sociale de l’Entreprise, et à la façon dont ce concept contribue à la création de sens dans les organisations, en particulier pour les salariés. Cette recherche a un double objectif : d’une part, comprendre en profondeur les contenus des Représentations Sociales des salariés sur la RSE (définitions, opinions, images, associations d’idées); d’autre part, mettre en évidence l’influence du contexte social des salariés sur la formation et les contenus de ces représentations de la RSE.L’étude se déroule au sein de la même entreprise, le Groupe Danone, multinationale agro-alimentaire, dans 3 filiales pays différentes : la France, le Mexique, la Pologne. La population est majoritairement issue de la fonction Marketing. Les données sont recueillies, en anglais et en français, par entretiens approfondis auprès de 49 salariés sur les 3 pays. Les discours des salariés sont analysés par analyse de contenu, avec l’appui du logiciel NVivo9, inspiré de la Théorie enracinée.Cette recherche témoigne de la plasticité du concept de RSE, chaque salarié pouvant le décliner de façon personnalisée. Elle met en évidence les points communs et les différences, dans l’importance relative que les interviewés accordent aux différentes dimensions et Parties Prenantes de la RSE : salariés, fournisseurs, consommateurs, communautés, Environnement. Enfin, cette recherche montre comment ces représentations de la RSE se forment en s’ancrant dans divers référentiels préexistants, liés par exemple à l’entreprise elle-même, aux spécificités du pays, au système de valeurs du salarié ou au métier exercé. / This qualitative research, grounded in the interpretivist paradigm, examines the diverse interpretations of Corporate Social Responsibility (CSR) and how this concept contributes to creating Sense within organizations, more particularly among their employees. The purpose of this research is twofold. Firstly, it aims at exploring the content of the employees’ social representations of CSR (definitions, opinions, images, associations of ideas). Secondly, it aims at highlighting how the employees’ social context influences their representations of CSR.This study takes place within the same company, the Danone group (a multinational agri-food company), and within 3 different foreign subsidiaries: France, Mexico and Poland. The population predominantly originates from Marketing departments. The data was collected in English and in French, through in-depth interviews conducted with 49 employees in the three countries. The employees’ discourses were analysed with the content analysis method and with the help of the NVivo9 software, based on the principles of the grounded theory.This research demonstrates the flexibility of the CSR concept, as each employee is able to customise this concept. It also highlights the similarities and the differences in the importance attributed by the interviewees to the various dimensions and stakeholders of CSR, i.e. employees, providers, consumers, communities and the Environment. Finally, this research shows how representations of CSR emerge within pre-existing frameworks such as the company itself, the specificities of the country, the employee’s personal values or the profession in question.
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Responsabilité sociale des entreprises et capitalisme en république populaire de Chine : quelles transformations du rapport salarial ? / Corporate social responsibility and capitalism in the people’s republic of China : What transformations of the wage-labour nexus ?

Séhier, Clément 08 December 2015 (has links)
Cette thèse interroge le rôle de la responsabilité sociale des entreprises (RSE) dans l’évolution des conditions de travail et, plus largement, dans la dynamique de la forme du rapport salarial dans l’industrie chinoise exportatrice. La RSE est appréhendée dans une perspective institutionnaliste et replacée dans le contexte de transition de la Chine vers un système capitaliste. Depuis les années 2000, le durcissement des luttes sociales dans l’industrie incite les pouvoirs publics à élaborer des institutions plus protectrices des travailleurs. La RSE peut ainsi être appréhendée dans le prolongement de l’objectif gouvernemental de construction d’un compromis social plus favorable aux travailleurs. Nous dégageons trois types d’approches de la RSE. Chaque idéal-type est par la suite examiné au prisme d’un modèle d’analyse en termes de "potentiel régulatoire", visant à étudier la capacité de normes privées à influer sur les règles au sein des entreprises, et plus largement sur les institutions du rapport salarial. Nous montrons que l’approche "mise en conformité", la plus répandue dans l’industrie chinoise, a très largement échoué à modifier les comportements et tend à reproduire la domination des firmes multinationales dans les chaînes globales de valeur. Deux types de dispositifs moins répandus s’insèrent davantage dans les problématiques rencontrées par les acteurs. L’approche "experte" associe l’amélioration des conditions de travail à l’optimisation de l’organisation productive. Enfin, des "ONG" de défense des travailleurs du sud de la Chine et de Hong Kong développent des dispositifs de RSE « participative », visant à établir des mécanismes de négociation collective dans les ateliers. / This thesis questions the role of Corporate Social Responsibility (CSR) in the evolution of working conditions and, more broadly, in the transformation of the wage-labour nexus in the Chinese industry relying massively on cheap workforce. We use an institutionalist framework to put CSR in the Chinese context of transition from a socialist to a capitalist system, showing that during the last decade, rising pressure from Chinese workers has convinced the Chinese government that institutions more protective of workers should be created. We differentiate three approaches to CSR, based on the intentions of the actors and on the instruments implemented. We examine the capacity of each approach to influence labour relations within the factories, and more broadly, to contribute to the construction of a new social compromise. We show that the "compliance" approach, the most widespread in the Chinese industry, has largely failed to improve working conditions, and tends instead to reproduce the buying practices of multinational corporations in global value chains. We are also interested in two types of instruments that are less common, but closer to the concerns of the Chinese industry. The "expertise" approach developed by consulting companies, but also by the government and by the International Labour Office, combines the objective of improving working conditions to the optimisation of production. Finally, some labour "NGOs" from Hong Kong and the Guangdong province are developing programs of "participatory" CSR, aiming at establishing collective bargaining mechanisms within factories, thus bypassing some of the political obstacles to their activities.
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Three essays on financial constraints and corporate social actions

Hmaittane, Abdelmajid 07 1900 (has links) (PDF)
La présente thèse se compose de trois essais qui portent sur la relation entre les actions sociales de l'entreprise et ses contraintes de financement. Elle utilise un large panel de 17 362 observations sur des entreprises américaines et ce entre 1991 et 2007. Le premier essai examine l'effet de l'engagement social de l'entreprise sur son accès aux capitaux externes. Les résultats montrent d'une part qu'un niveau élevé d'actions sociales discrétionnaires affecte négativement l'accès au financement externe pour les entreprises financièrement contraintes, alors qu'elles sont sans effet pour les entreprises non contraintes. D'autre part, les résultats obtenus révèlent qu'un niveau élevé de faiblesses sociales a un effet négatif sur l'accès au financement externe à la fois pour les entreprises financièrement contraintes et celles non contraintes. Dans le deuxième essai, on évalue l'impact des contraintes de financement de l'entreprise sur l'investissement de celle-ci dans les activités sociales. Les résultats obtenus montrent que les contraintes de financement affectent négativement les actions sociales discrétionnaires et que la sensibilité de celles-ci aux cash flows est plus faible pour les entreprises financièrement contraintes. En conséquence, les contraintes de financement amène les entreprises au moins à réduire leur engagement dans les activités sociales. De plus, les résultats indiquent que les actions sociales non-discrétionnaires ne sont pas affectées par l'accès aux marchés financiers. Le troisième essai étudie l'impact des actions sociales sur la valeur de l'entreprise étant donné le niveau d'accès au financement externe de celle-ci. Les résultats obtenus révèlent que les actions sociales peuvent être destructrices ou protectrices de valeur. Quand l'entreprise est contrainte financièrement, nous avons trouvé que l'effet réducteur de valeur des activités sociales discrétionnaires est tempéré, alors que l'effet protecteur des non-discrétionnaires est plus prononcé. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Actions Sociales, Forces, Faiblesses, Contraintes de financement, Investissement, Cash flows, Valeur de l'entreprise.
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La responsabilité sociale de l'entreprise et son impact sur l'identité organisationnelle: une étude de cas auprès d’une firme comptable

Lemyre McCraw, Christina 14 May 2013 (has links)
Nous nous sommes intéressés à l’impact que peut avoir la responsabilité sociale de l’entreprise (RSE) sur le processus de construction d’une identité organisationnelle chez les employés. Nous avons mis l’accent sur la pertinence, selon nous, des auteurs et concepts suivants, qui portent sur l’identité organisationnelle et la RSE: 1) les quatre principes de l’identification de l’individu à un groupe d’Ashforth et Mael (1989) ; 2) la conception de l’identité organisationnelle d’Albert et Whetten (1985) ; et 3) la théorie des parties prenantes de Freeman (1984). Notre hypothèse de travail consistait à énoncer qu’il se construit dans les récits – échangés par les employés d’une entreprise qui adhère à des principes de responsabilité sociale – une identité qu’on peut qualifier d’organisationnelle. Nous avons opté pour une méthodologie qualitative. Douze (12) entrevues semi-dirigées au sein de la firme comptable RSM Richter (qui constitue notre cas à l’étude) ont été conduites. Notre analyse des verbatim montre en effet que la RSE favorise l’identification des employés à leur entreprise. Elle montre également que les valeurs associées à la RSE façonnent, jusqu’à un certain point, l’identité organisationnelle.
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La responsabilité sociale de l'entreprise et son impact sur l'identité organisationnelle: une étude de cas auprès d’une firme comptable

Lemyre McCraw, Christina January 2013 (has links)
Nous nous sommes intéressés à l’impact que peut avoir la responsabilité sociale de l’entreprise (RSE) sur le processus de construction d’une identité organisationnelle chez les employés. Nous avons mis l’accent sur la pertinence, selon nous, des auteurs et concepts suivants, qui portent sur l’identité organisationnelle et la RSE: 1) les quatre principes de l’identification de l’individu à un groupe d’Ashforth et Mael (1989) ; 2) la conception de l’identité organisationnelle d’Albert et Whetten (1985) ; et 3) la théorie des parties prenantes de Freeman (1984). Notre hypothèse de travail consistait à énoncer qu’il se construit dans les récits – échangés par les employés d’une entreprise qui adhère à des principes de responsabilité sociale – une identité qu’on peut qualifier d’organisationnelle. Nous avons opté pour une méthodologie qualitative. Douze (12) entrevues semi-dirigées au sein de la firme comptable RSM Richter (qui constitue notre cas à l’étude) ont été conduites. Notre analyse des verbatim montre en effet que la RSE favorise l’identification des employés à leur entreprise. Elle montre également que les valeurs associées à la RSE façonnent, jusqu’à un certain point, l’identité organisationnelle.
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La responsabilité sociale des entreprises : une approche par la défaillance du marché

Dugal, Louis 23 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdorales, 2015-2016 / Plusieurs grandes entreprises clament haut et fort qu’elles agissent de manière socialement responsable, mais de quoi s’agit-il? Est-ce que chercher à maximiser les profits des actionnaires est la meilleure façon de favoriser les intérêts de la société? Est-ce le rôle de l’entreprise d’en faire plus pour la société que ce que la loi prescrit? Ces questions font l’objet du présent mémoire. L’objectif est de présenter trois des principales théories qui traitent de ces questions, de les analyser ainsi que de les comparer les unes avec les autres de manière à se faire une meilleure idée de ce que signifie pour une entreprise d’être socialement responsable. Il est question de la théorie des actionnaires de Milton Friedman, de la théorie des parties prenantes d’Edward Freeman et finalement de l’approche centrée sur la défaillance des marchés de Joseph Heath. À la lumière de ces théories, nous suggérons qu’une entreprise socialement responsable doit être administrée par des gestionnaires qui cherchent à maximiser les profits des actionnaires, mais que ces premiers doivent, dans la mesure du possible, respecter l’esprit des lois et ne pas chercher à exploiter les défaillances du marché.
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La qualité de la gouvernance des entreprises publiques américaines et la probabilité d'occurrence d'événement(s) de gouvernance négatif(s) : une étude sur la capacité prédictive des cotes de gouvernance émises par les agences de notation privées

Brisebois-Lemelin, Maxime January 2015 (has links)
On peut remonter aux ouvrages de Bowen (1953) et Friedman (1962) pour discerner les fondements de ce qui constitue aujourd’hui la performance sociale des entreprises. Au fil des années, certains chercheurs, tels Johnson (1971), Carroll (1979, 1999), Wood (1991) et Spicer (1978) tentent de créer des modèles permettant d’évaluer la qualité de la performance sociale des firmes, menant ainsi aux premiers balbutiements de ce qui allait devenir l’investissement socialement responsable. Alors que plusieurs scandales corporatifs surviennent au début du 21e siècle, tels ceux d’Enron, d’Adelphia et de WorldCom, le concept d’investissement socialement responsable commence à se raffiner; différentes dimensions permettant de le quantifier sont créées et on assiste ici au début des critères ESG (environnement, social, gouvernance). Plusieurs essaient alors d’établir une relation entre la performance ESG et la performance financière des firmes en se fiant à différentes variables substitutives permettant de l’évaluer (Van Beurden & Gössling, 2008, Margolis et al., 2007), toutefois c’est avec l’avènement de banques de données professionnelles comme celle de Kinder, Lydenberg & Domini (KLD) qu’un portrait plus complet de la performance ESG est disponible pour les entreprises publiques. La présente étude s’intéresse à la dimension de gouvernance des entreprises publiques américaines. Plus précisément, on cherche ici à savoir si la qualité de la gouvernance telle qu’évaluée par KLD entretient un lien avec la probabilité d’occurrence d’événements de gouvernance négatifs recensés dans le Wall Street Journal (WSJ). Les hypothèses de travail sont déclinées de manière à déterminer si la qualité de la gouvernance entretient une relation avec la fréquence, l’amplitude ainsi que la durée du traitement médiatique de ces événements. Pour ce faire, un modèle logistique similaire à celui de Zavgren (1985) est utilisé, et la cote de gouvernance de KLD est construite selon la méthode suggérée par Bouslah et al. (2011). Outre cette cote, on contrôle également pour la taille, l’industrie et le risque des entreprises, ainsi que pour les variables d’information publique macroéconomiques telles que suggérées par Ferson & Schadt (1996). Un test de robustesse est également fait afin de contrôler pour le niveau de couverture médiatique totale des entreprises. Les résultats suggèrent que la qualité de la gouvernance d’une firme est généralement liée de manière négative et significative à sa probabilité de faire face à un événement de gouvernance négatif. La relation inverse semble exister en ce qui concerne certaines variables d’entreprise, soit la taille et le risque. Aucune relation stable à travers les différentes régressions n’est décelée concernant l’industrie ainsi que les variables de contrôle d’économie. Les relations décelées sont généralement robustes au niveau de couverture médiatique totale des entreprises, qui elle-même a une relation très significative avec la probabilité d’une firme de voir un événement de gouvernance négatif la concernant être médiatisé. Les implications pratiques de ce papier sont nombreuses, notamment car on illustre ici qu’il existe un certain contenu informationnel à la cote de gouvernance de KLD. De plus, il est démontré que la qualité de la gouvernance des firmes, entre autres variables, peut être indicatrice de la probabilité d’événements néfastes la concernant. Des tests similaires à ceux de la présente étude pourraient être performés avec différentes variables de performance sociale et provenant de différents fournisseurs autres que KLD afin de vérifier si les relations établies ici restent significatives selon la banque de données utilisée. Des études événementielles telles que suggérées par Botosan (1997), Diamond & Verrecchia (1991) et Gunthorpe (1997) pourraient être faites dans le but de déceler s’il existe une ou des relations entre la dissémination d’information dans les médias comme le WSJ et l’effet qu’elle peut avoir sur la performance des entreprises. L’implication pratique la plus importante de l’étude demeure cependant que le niveau de qualité de la gouvernance des entreprises publiques américaines contient de l’information quant à leur capacité d’éviter de faire face à des événements de gouvernance négatifs médiatisés, et, donc, qu’elle devrait être suivie au même titre que n’importe quel indicateur de performance extra-financière.
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Corporate social responsibility and shareholder activism

Wei, Jiaying 22 June 2018 (has links)
Motivés par des articles et des discussions récentes sur les valeurs monétaires par rapport aux valeurs sociales, j'ai un grand intérêt à étudier l'impact des valeurs sociales ou de la responsabilité sociale des entreprises (“CSR”) sur les valeurs des entreprises. Le chapitre un et le chapitre deux étudient tous deux l'activisme des actionnaires sur les questions de CSR, tout en ayant des objectifs différents. Le premier chapitre étudie les propositions d'actionnaires déposées par des fonds socialement responsables (“SRIs”) en utilisant un échantillon collecté à la main. Le premier chapitre fournit des statistiques descriptives sur ces propositions et examine les caractéristiques de l'entreprise cible. Deuxièmement, à l'aide de la méthodologie de l'étude des événements, il examine la réaction du marché autour du dépôt de la proposition et constate une réaction positive du marché à ces propositions. Troisièmement, il examine l’horizon à plus long terme et étudie l’impact à long terme de ces propositions sur la valeur marchande, la performance opérationnelle et la performance sociale des entreprises. Le deuxième chapitre étudie un échantillon plus large de propositions d'actionnaires déposées par différentes parties, notamment des investisseurs institutionnels (par exemple, fonds de pension, fonds SRI), des syndicats, des fondations, des groupes religieux et des particuliers. Le chapitre deux se concentre plus sur l'identification de l'impact des différents déclarants sur le résultat de la proposition, et les résultats montrent que les investisseurs institutionnels tels que les fonds SRI et les fonds de pension sont des déclarants plus performants. Si une proposition est déposée par des fonds SRI ou des fonds de pension, elle a beaucoup plus de chances de réussir et recevoir des votes plus favorables. La réaction du marché aux activités de dépôt de propositions est également positive pour ces déposants et a également une incidence à long terme sur les entreprises cibles. Le chapitre trois étudie la performance des fonds SRI. En choisissant une période de temps particulière (c’est-à-dire la crise financière), elle tente de séparer la performance des investissements des fonds des rendements générés par des groupes spécifiques d’entreprises (c’est-à-dire les entreprises ayant de bonnes notes CSR). Les résultats montrent que ces SRIs génèrent des rendements inférieurs à ceux des fonds conventionnels pendant la crise, alors que ces entreprises obtiennent en moyenne des rendements plus élevés pendant la crise, comme le suggèrent d'autres études (Lins et al. 2017). Cependant, ce résultat ne persiste pas après la crise financière dans l'échantillon correspondant. La volatilité des flux des SRIs est inférieure à celle des fonds conventionnels. L'analyse de la sensibilité des flux dans une régression linéaire par morceaux montre que les SRIs attirent plus de flux que les fonds conventionnels après avoir contrôlé divers autres facteurs. Une analyse plus poussée montre que les SRIs ont tendance à avoir un horizon d'investissement plus long et à vendre moins pendant la crise. Il aborde également les raisons potentielles et les motivations des investisseurs en examinant les flux de fonds SRI, les sensibilités aux performances des flux, horizons des investisseurs et les activités de vente pendant la crise. / Motivated by papers and recent talks on monetary values versus social values, I have great interest in studying how social values or corporate social responsibility (“CSR”) could impact firm values. Recent studies have shown that there are mainly three potential channels, through which CSR affects firm value. Firstly, employees help create firm value. Employee welfare is part of CSR (measured by MSCI ESG KLD Statistics, known as KLD scores), and employee satisfaction improves firm value shown by positive long-term abnormal stock market returns. (eg. Edmans 2011) Secondly, customers strongly link to firm value. Product quality and safety are part of CSR, and product characteristics are the main reasons directly linked to customer purchasing decisions, especially for firms in manufacturing and retail industries. Moreover, part of the customers may be socially conscious and are sensitive to firms’ actions towards environmental, community or human rights issues. They may form updated opinion of the firm based on their CSR activities and thus influence their purchasing decisions. Papers find that firms with more customer awareness benefit more from CSR. (eg. Servaes and Tamayo 2013) Thirdly, investors are associated with firm value. Investors, especially socially-conscious investors help discipline the firms’ CSR activities. Shareholder proposal is one good venue where they raise their voice and engage in the firms. Investors could use exit strategy to sell their shares, and changes in investment flows could affect firms’ value. (eg. Bialkowski & Starks 2016) The third channel, investors’ engagements in CSR issues in the firm and their association with firm value implications, as well as the related SRI investment performance are the main focus of this dissertation.
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Le discours de responsabilité sociale des compagnies pétrolières et son application dans le secteur du transport de produits pétroliers

Vignola, Guylaine January 2008 (has links) (PDF)
La responsabilité sociale de l'entreprise est une notion managériale née dans les années 50 et de plus en plus intégrée dans le discours des entreprises. Plus de 65 % des grandes compagnies à travers le monde ont produit un rapport de responsabilité sociale en 2005. Les compagnies pétrolières n'échappent pas à cette tendance. Ce mémoire cherche à analyser plus à fond en quoi consiste ce discours afin de le confronter avec les actions de ces mêmes firmes. En effet, lorsque nous observons le comportement des compagnies pétrolières, nous remarquons que certaines de leurs actions semblent entrer en contradiction avec leurs propos. C'est notamment le cas si nous nous penchons sur la question du transport des produits pétroliers. En effet, le retrait de ce secteur d'activité pourtant névralgique dans l'industrie pétrolière dénote un manquement flagrant à toute forme de responsabilité sociale puisque les conséquences de ce désengagement sont une augmentation des risques pour la sécurité du public et pour l'environnement de même qu'une diminution des conditions de travail et de la qualité des moyens de transport utilisés. Nous voyons dans cette recherche, à travers une étude documentaire qui nous permet de définir notre cadre conceptuel, ce que l'on entend par la notion de responsabilité sociale de l'entreprise. À partir d'une étude statistique et d'une analyse de cas, nous voyons comment le désinvestissement des compagnies pétrolières dans le transport de produits pétroliers nous laisse conclure à un fossé entre le discours des firmes et leur comportement. Enfin, le désengagement des entreprises de ce secteur est selon nous imputable à l'interprétation que donnent les pétrolières de la liberté entrepreneuriale et de la notion même de responsabilité sociale. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Responsabilité sociale de l'entreprise, Éthique, Morale, Entreprises pétrolières, Transport de produits pétroliers, Accidents pétroliers, Oléoduc du Saint-Laurent.

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