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Les sociétés minières canadiennes d'exploration et de développement du secteur de l'or : les impacts de leurs activités en Afrique de l'Ouest

Keita, Fodé-Moussa January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire analyse le dynamisme des entreprises minières canadiennes d'exploration et de développement, aussi appelées juniors, dans le secteur de l'or, chez les États d'Afrique de l'Ouest, notamment au Ghana. C'est un sujet peu abordé dans la littérature, et encore moins en français. La pertinence de cette recherche prend tout son sens lorsqu'on se rend compte que près des deux-tiers de ces entreprises minières dans le monde sont enregistrées au Canada et que certaines d'entre elles mènent des activités chez des États dont les appareils administratifs, politiques et judiciaires sont fragilisés. Ces États ont donc peu de moyens de superviser les activités de ces entreprises. Le cadre d'analyse est celui de l'économie politique internationale basée sur les travaux de Susan Strange et de ses collaborateurs. Le but de l'analyse est de nous faire voir que les entreprises canadiennes d'exploration et de développement minier dans le secteur de l'or dominent, au moins en partie, ce segment de l'économie parce qu'elles profitent d'un climat incitatif économique et financier facilité par l'État canadien, ce dernier cherchant à maintenir, et si possible améliorer, sa position favorable au sein de l'économie mondiale que le secteur des ressources minières lui permet d'occuper. Aussi, les juniors canadiennes du secteur de l'or ayant plus aisément accès aux sources de capitaux, deviennent plus dynamiques et peuvent sous certaines conditions avoir des impacts sur la stabilité des États hôtes et leurs communautés. Ce sont les programmes d'actions accréditives, les exemptions fiscales fédérales et provinciales, les subventions dans la recherche, l'accès à un secteur économique affilié de pointe et surtout l'apport de la bourse de Toronto qui facilitent le financement des juniors. Or, ces dernières ont une obligation de performance envers leurs investisseurs qui les forcent parfois à exploiter les failles administratives des États africains pour atteindre leurs objectifs. Les conséquences sur le terrain sont mutliples : dommages causés à l'environnement, mauvaise gestion des sites miniers, inconduites vis-à-vis des autorités de l'État, tension avec les communautés locales, faillite. L'État africain demeure sans ressources dans cette sittuation où une relation asymétrique avec l'État canadien et la junior est constatée. Une piste de solution existe dans les efforts que font certaines places boursières dans la surveillances des activité des entreprises. Plus globalement, la mise en place d'instance où États producteur et consommateurs d'or, les institutions financières et les entreprises échangeraient de l'information sur le marché et les niveaux de production peut être envisagée. Cela permettrait aux États africains d'avoir une influence sur l'industrie sans être handicapés par leur manque actuel de moyens. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Entreprise minière, Or, Ghana, Code minier, Responsabilité sociale des entreprises.
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Responsabilité sociale et recrutement : une dynamique porteuse mais complexe

Lévesque, Sophie January 2008 (has links) (PDF)
Dans le contexte actuel, soit une économie du savoir, les ressources humaines sont de plus en plus considérées comme un avantage concurrentiel puisqu'elles permettent à l'entreprise non seulement d'atteindre ses objectifs, mais aussi de dominer la compétition. Conséquemment, les gestionnaires déploient un éventail de stratégies des plus créatives pour que leur entreprise se démarque des compétiteurs et ainsi favorise l'attractivité auprès des candidats potentiels. Dans cette perspective, nous nous sommes attardées au concept de responsabilité sociale de l'entreprise qui, selon plusieurs récentes études américaines, représente une plus value aux yeux des individus à la recherche d'un emploi et, par le fait même, d'un employeur de choix. Afin de mieux comprendre la relation entre ces deux variables et d'évaluer le potentiel d'attractivité de chacune des dimensions composant la responsabilisation sociale de l'entreprise, nous avons décidé de conduire des entrevues semi-dirigées avec des employés récemment embauchés de Cascades, une entreprise québécoise et chef de file en matière de gestion responsable. Nous voulions ainsi mettre à l'épreuve un modèle largement utilisé qui soutient que les relations avec les employés, la communauté, les femmes et les minorités, ainsi que le respect de l'environnement et la qualité des services et produits offerts dans une perspective de développement durable influencent favorablement la réputation organisationnelle, donc l'attractivité. Nos résultats ont corroboré en partie cette modélisation. En effet, l'ajout d'une variable de contrôle, soit la familiarité, a démontré que le degré de connaissance d'une personne envers une entreprise influençait de façon positive l'évaluation de la réputation organisationnelle. De plus, certaines contraintes socio-économiques telles que le taux de chômage et des facteurs individuels comme le niveau d'éducation et l'âge peuvent augmenter ou diminuer l'intérêt d'une personne envers la responsabilité sociale d'une entreprise et la réputation organisationnelle au cours d'un processus de recherche d'emploi. Il y a donc des variables modératrices à prendre en compte lorsque l'on analyse la relation entre la responsabilité sociale et l'attractivité organisationnelle. Cette recherche permet donc de conclure que l'adoption d'un style de gestion responsable peut augmenter l'attraction lorsque certaines conditions sont rencontrées. De plus, il apparaît que les jeunes adultes sont plus réceptifs et disposés à favoriser une entreprise qui affiche une performance sociale manifeste. Les principales limites de cette étude sont la généralisation limitée des résultats puisque notre échantillon se limite à une seule entreprise, ainsi que le recours à des données « post hoc » qui pourrait être biaisées suite à une évolution du discours ou de récentes expériences suite à l'embauche. Cependant, cette étude s'ancre dans la réalité corporative, contrairement aux autres études dans ce domaine qui procédaient par des simulations avec des étudiants en voie de graduer en gestion. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Attractivité organisationnelle, Responsabilité sociale des entreprises, Stratégie, Avantages concurrentiels.
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Responsabilité et réparation face à de nouveaux risques sociaux, environnementaux et sanitaires : le cas des cultures transgéniques au Québec

Boulanger, Nathalie January 2008 (has links) (PDF)
Ce mémoire de maîtrise traite de la responsabilité et de la réparation pour les dommages liés aux innovations technologiques dans le cas des cultures transgéniques au Québec. Nous y étudions le rôle du droit dans le contexte interdisciplinaire propre aux sciences de l'environnement, en interrogeant la capacité du droit québécois de la responsabilité de permettre la réparation des dommages liés aux cultures transgéniques -voire de contribuer à l'internalisation des coûts liés à ces cultures -et de favoriser une attitude de précaution dans un contexte d'incertitude scientifique. Cette question n'avait jusqu'alors pas été étudiée dans le contexte du droit québécois. Elle est abordée à l'aide d'un cadre conceptuel qui, centré sur la notion de responsabilité, fait le pont entre la théorie juridique de la responsabilité, l'éthique de la responsabilité et l'approche sociologique des risques technologiques. .Après avoir documenté l'état des connaissances quant aux risques de dommages écologiques, sanitaires et socio-économiques liés aux cultures transgéniques, nous analysons comment les recours du Code civil du Québec et de la Loi sur la qualité de l'environnement s'appliqueraient à ces dommages. Pour ce faire, nous utilisons la méthode analytique propre aux sciences juridiques, en nous basant sur les textes législatifs, les règles d'interprétation, la jurisprudence et les textes de doctrine. Certaines difficultés d'application de ces recours sont soulignées, notamment la preuve d'une faute dans les cas de contamination génétique en l'absence de règles de coexistence des cultures, la preuve du lien de causalité dans les cas de dommages à la santé en l'absence d'étiquetage et de traçabilité des OGM, la preuve de la faute (ou l'exemption de responsabilité) lorsque les risques technologiques font l'objet d'incertitudes ou ont été insuffisamment étudiés, de même que la prise en charge des dommages diffus, graduels, graves ou irréversibles. Par la suite, nous analysons le droit existant dans une perspective critique et interdisciplinaire, afin de déterminer s'il est adéquat eu égard aux types de risques liés aux cultures transgéniques. Nous constatons que la pollution génétique pose non seulement des problèmes de coexistence entre les différents types de cultures, mais qu'elle doit également être analysée en tenant compte du caractère hégémonique qu'elle confère aux OGM brevetés et du caractère potentiellement irréversible de leur présence dans l'environnement et l'alimentation. Compte tenu de l'ensemble de ces risques, nous soulignons qu'il serait souhaitable de questionner le brevetage du vivant ou, minimalement, d'adopter des dispositions visant à protéger les agriculteurs contre les poursuites pour violation de brevet. Nous proposons également des mesures, inspirées de dispositions adoptées ou proposées à l'étranger, visant à prévenir la contamination génétique et à favoriser la réparation des dommages qui y sont liés. Nous abordons ensuite la responsabilité dans un contexte d'incertitude ou d'insuffisance des connaissances scientifiques. Nous constatons que la possibilité de dommages graves ou irréversibles affectant les générations futures appelle à l'application du principe de précaution. À l'aide du droit comparé, nous identifions les principales caractéristiques d'un régime de responsabilité favorisant une attitude de précaution en présence d'incertitude scientifique et permettant l'internalisation des coûts dans le respect du principe d'équité intra/intergénérationnelle. Nous soulignons enfin que l'adoption d'un tel régime n'est pas suffisante et que la précaution qui s'impose se doit d'être une responsabilité exercée a priori, collectivement et de manière démocratique, par la mise en place de politiques globales intégrant les exigences sociales et environnementales. L'attitude de précaution devrait également permettre de questionner la pertinence des cultures transgéniques en comparant leurs impacts avec ceux des autres options possibles de manière à faire des choix maximisant les bénéfices pour la santé, l'environnement et la société. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Responsabilité civile, Responsabilité environnementale, Principe de précaution, OGM, Cultures transgéniques, Dommages, Risque, Incertitude.
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Les représentations de la responsabilité sociale de l'entreprise et du développement durable dans les discours des entreprises et des associations patronales québécoises et canadiennes

Najlaoui, Haykel January 2008 (has links) (PDF)
L'engouement pour le concept de développement durable connaît aujourd'hui une montée spectaculaire. Tout ou presque se formule en termes de «durable», «soutenable» ainsi que «responsable», à commencer par les discours des ONG et des groupes de pression, des organisations internationales, des gouvernements et enfin des entreprises. Ce nouveau paradigme transforme les rôles des acteurs de développement et lance aux entreprises le défi d'assumer de nouvelles responsabilités. Ce constat nous a mené à questionner ce concept et ce qu'implique sa mise en oeuvre par les entreprises. L'objectif de cette recherche est d'identifier les représentations de la responsabilité sociale et du développement durable des entreprises québécoises et canadiennes. Il est également question de déterminer comment s'intègrent les composantes des deux concepts dans ces représentations. Par le biais d'une analyse de contenu des mémoires d'entreprises déposés à l'occasion de deux consultations publiques sur la responsabilité sociale de l'entreprise et sur le développement durable, effectuée avec le support du logiciel «ATLAS.ti», nous avons identifié quatre représentations de la RSE et trois représentations du développement durable. Les représentations de la RSE vont d'une responsabilité limitée aux intérêts des actionnaires à une responsabilité de préserver l'environnement pour les générations futures. Ces représentations interpellent entre autres des notions comme l'éthique corporative, la stratégie de l'entreprise et la réglementation. Les représentations du développement durable varient en fonction des dimensions économique, sociale et environnementale, et leur intégration. Quant à notre deuxième objectif, les composantes de développement durable et de la responsabilité sociale nous mènent à considérer la concertation, la reddition de comptes et la certification comme étant les composantes d'un processus par lequel les entreprises comptent mettre en oeuvre le développement durable. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Développement durable, Responsabilité sociale et environnementale de l'entreprise, Parties prenantes, Réglementation, Marché, Reddition de comptes et certifications.
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L'incidence de l'image organisationnelle : de la réputation organisationnelle et de la performance sociale des entreprises sur l'attraction organisationnelle

Bérubé, Catherine January 2008 (has links) (PDF)
De nos jours, les entreprises sont non seulement en compétition en ce qui a trait à leurs produits et services, mais elles le sont aussi par rapport à leur première source d'avantage concurrentiel: leurs ressources humaines. Pour recruter et sélectionner du personnel de choix, les entreprises doivent être en mesure de recueillir un maximum de candidatures. C'est dans cette optique que l'attraction organisationnelle figure parmi les enjeux importants des organisations. À l'heure actuelle, les recherches au sujet de l'attraction organisationnelle ont essentiellement été réalisées auprès d'échantillons composés d'étudiants. Dans le cadre de notre enquête, 72 chercheurs d'emploi d'une agence de placement ont été questionnés. En s'appuyant sur les théories du signal, la théorie de l'identité sociale et de la compatibilité candidat/organisation, une hypothèse générale a été formulée : l'image organisationnelle, la réputation organisationnelle et la performance sociale des entreprises ont une incidence positive sur l'attraction organisationnelle. Afin de limiter la variance commune entre les méthodes, plusieurs indicateurs de la réputation et de la performance sociale ont été mesurées avant l'entrevue, tandis que la variable dépendante (attraction organisationnelle) et l'image organisationnelle ont été mesurées après. Les corrélations entre les variables sont toutes significatives. De plus, une analyse de régression hiérarchique a permis de révéler que la réputation organisationnelle était l'élément le plus significatif pour susciter l'attraction de candidats, suivie par l'image organisationnelle. Quant à la performance sociale des entreprises, elle ne s'est pas avérée être un des prédicteurs de l'attraction. La corrélation positive entre ces deux dernières variables permet néanmoins de conclure que la performance sociale a une incidence positive sur l'attraction organisationnelle, confirmant ainsi partiellement l'hypothèse à l'égard de ces variables. Ces résultats soutiennent les conclusions des quelques études antérieures réalisées auprès d'étudiants. En outre, ils confirment l'importance pour les organisations de se doter d'une image positive et distinctive (notamment par les traits organisationnels) : elles seront ainsi perçues comme des employeurs de choix (image de l'employeur) et l'attraction de candidats s'en trouvera accrue. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Attraction organisationnelle, Image organisationnelle, Réputation organisationnelle, Performance sociale des entreprises, Traits organisationnels, Image de l'employeur.
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L'évaluation de la performance financière des fonds mutuels socialement et environnementalement responsables américains

Bennouna Louridi, Fayçal January 2008 (has links) (PDF)
Intégrer la dimension sociale et/ou environnementale dans les décisions d'investissements affecte-t-il la performance fmancière ? Cette question a fait l'objet de nombreuses études empiriques dont les conclusions sont divergentes pour diverses raisons dont des causes méthodologiques. Dans le cadre de cette étude, nous cherchons à déterminer si le marché américain accorde une prime lorsque les investisseurs choisissent des placements en intégrant des critères de responsabilité sociale et/ou environnementale. Pour ce faire nous comparons la performance financière des fonds mutuels socialement et/ou environnementalement responsables (FMSER) avec celle d'indices ou de fonds mutuels conventionnels qui ne prennent pas en compte des considérations sociales ou environnementales. Ainsi, dans un premier temps, nous les comparons à un indice général de marché (S&P500) et à un indice qui intègre la performance sociale et environnementale (DSI 400). Dans un deuxième temps, nous comparons la performance fmancière des FMSER à celle d'indices de marché spécifiques ayant les mêmes allocations d'actifs (actions, obligations ou équilibrés). Et finalement, nous comparons leur performance en les combinant à des fonds conventionnels comparables disponibles sur le marché ayant la même allocation d'actifs et des tailles similaires d'une part, et en les combinant d'autre part, à des fonds conventionnels comparables offerts par la même institution financière. Pour comparer la performance financière des FMSER avec des indices, des indices comparables, des fonds conventionnels comparables, des fonds conventionnels offerts par la même institution, nous utiliserons les mesures traditionnelles de performance financière à savoir: le ratio de Treynor, le ratio de Sharpe, l'alpha de Jensen et le ratio de Sortino. D'une manière générale les résultats ont montré, d'une part, que le marché américain n'accorde pas de prime aux investisseurs appliquant des critères socialement responsables; et d'autre part, qu'investir avec des considérations sociales et/ou environnementales n'engendre pas des coûts additionnels. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Investissement socialement responsable, Performance financière, Fonds mutuels socialement et/ou environnementalement responsables, Responsabilité sociale des entreprises.
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Représentations et pratiques de responsabilité sociale et de développement durable dans la petite entreprise : profils de dix-huit dirigeants

Des Rochers, Thérèse January 2009 (has links) (PDF)
Comment savoir si des principes de développement durable et de responsabilité sociale sont en voie de s'institutionnaliser dans les petites entreprises. Une étude menée auprès de 18 petites entreprises (PE) au Québec recense les représentations de responsabilité sociale de l'entreprise (RSE) et de développement durable (DD) des propriétaires dirigeants, pour tenter de découvrir, d'abord, si ces concepts sont à l'oeuvre, et ensuite, en quoi les représentations, s'il y a lieu, orientent des actions. Pour le savoir, les pratiques s'apparentant à ces deux notions ont également été inventoriées, et les symétries entre représentations et actions ont été relevées. La notion de RSE fait l'objet d'une plus grande convergence représentationnelle que le DD, particulièrement à l'égard des employés. Le concept de DD s'avère encore embryonnaire ou trop flou pour être bien discerné d'autres concepts écologiques ou sociaux, mais la méconnaissance du terme ne semble pas affecter la progression d'un certain éveil face aux tensions entre l'économie et l'environement. Le rôle de l'État est analysé dans le cadre des pratiques des dirigeants. Menée sous l'éclairage de la théorie des représentations, la recherche confirme que la conceptualisation de l'une et l'autre notion est aussi fonction des intérêts et des idéaux sociaux des dirigeants. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Développement durable, Petite entreprise, Pratiques de développement durable, Pratiques de responsabilité sociale, Responsabilité sociale de l'entreprise, Représentations, Rôle de l'État.
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Les institutions de microfinance font-elles face à un arbitrage entre les performances financières et le degré de portée sociale?

Guiraud, Linda Christelle January 2009 (has links) (PDF)
La réalisation simultanée des objectifs financiers et sociaux assignés aux institutions de microfinance représente un véritable défi. Afficher de bonnes performances financières (bonne rentabilité) et avoir un degré de portée sociale élevé (servir les plus pauvres) peuvent faire l'objet de contradictions. Dès lors ces « banques des pauvres » sont confrontées à un arbitrage qui peut engendrer une dérive de mission, leur raison d'être. Pour vérifier l'existence de ce fait nous avons procédé à une analyse de la relation entre performances financières et degré de portée sociale à partir d'un échantillon de 48 institutions de la zone économique UEMOA, de 2002 à 2004. Nos résultats ont montré que cette relation est neutre mais nous avons pu confirmer la présence d'un arbitrage qui découle de la volonté des institutions de réduire leur portefeuille à risque. Néanmoins nous n'avons pas pu détecter qu'un portefeuille à risque plus élevé va de pair avec une clientèle plus pauvre par conséquent une dérive de mission n'est pas justifiée. On peut donc conclure que les institutions de microfinance peuvent bel et bien réaliser leur double objectif de résultat et remplir ainsi leur « promesse ultime ». ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Microfinance, Arbitrage, Performances financières, Degré de portée sociale, Dérive de mission.
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L'intégration de la responsabilité sociale de l'entreprise par les organisations d'économie sociale du secteur des services financiers

Guy, Jérôme January 2009 (has links) (PDF)
L'objectif de ce mémoire est de comprendre comment les organisations d'économie sociale du secteur des services financiers intègrent le concept et les outils de la RSE. Dans cette étude, nous avons analysé les rapports de développement durable des organisations d'économie sociale du secteur des services financier. Notre cadre théorique comprend les champs de l'économie sociale, de la RSE et de la divulgation d'information sociale. Nous avons choisi d'étudier les représentations sociales des organisations d'économie sociale du secteur des services financiers à l'aide de l'analyse du discours basée sur une stratégie de codification. Nous concluons que les organisations étudiées intègrent le concept de RSE et ses outils. Nous reconnaissons un discours favorable à la RSE et au développement durable. Une conception de la RSE basée sur la gestion des parties prenantes et la triple reddition de compte. De plus, nous observons une tentative de démontrer une cohérence entre la RSE, le développement durable et l'économie sociale. Nous remarquons une forte intégration des recommandations de la GRI. Notre constat est que l'intégration des outils de la RSE se fait en continuité avec les pratiques traditionnelles des entreprises d'économie sociale. Nous n'avons pas observé de pratiques innovantes permettant de croire que les organisations d'économie sociale étaient des chefs de file dans la production de rapports de développement durable. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Développement durable, Économie sociale, RSE, Rapport de développement durable, Analyse du discours, Secteur des services financiers.
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La RSE et le discours de développement durable du groupe Royal Dutch/Shell

Laprise, Patrick January 2009 (has links) (PDF)
Cette étude de cas traite du discours de développement durable de la compagnie pétrolière anglo-néerlandaise Shell. Frappé au milieu des années 1990 par des scandales touchant à son comportement envers l'environnement et envers certaines communautés, le groupe pétrolier géant a produit à partir de 1997 des Rapports de développement durable, distincts de ses rapports financiers. Cette recherche porte sur le contenu des rapports de développement durable publiés de 1997 à 2005 inclusivement. À partir d'une méthode d'analyse qualitative inspirée de la théorisation ancrée, nous avons analysé le discours porté par les rapports hautement publicisés. Nous avons orienté notre analyse de ce discours à l'aide d'une conception tri-dimensionnelle de la responsabilité sociale et environnementale des entreprises (RSE). Le concept de légitimité et la théorie qui s'est développée à partir de celui-ci, que nous avons revisités notamment à travers des auteurs classiques tels Max Weber et Alain Touraine et à travers la littérature la plus récente, ont servi de fondation à notre cadre d'analyse. Nos questions de recherche visent à tester l'hypothèse selon laquelle l'entreprise se légitime par le discours de responsabilité sociale et environnementale à la fois parce qu'elle se rapproche des intérêts de la société par ce discours, mais aussi parce qu'elle influence les valeurs et les croyances en vigueur, grâce notamment au potentiel discursif de cet acteur. Nous avons fait ressortir dans nos conclusions que les thèmes traités dans les rapports de développement durable servent à remplir le fossé de légitimité qui se crée entre les attentes de la société et les objectifs de l'entreprise avec un discours qui non seulement vise à améliorer l'image que la société a de l'entreprise, mais également à transformer les valeurs environnementales de la société, ce qui va à l'encontre du respect de l'environnement et du bien commun et sert avant tout les intérêts de certains membres de la classe dirigeante. Un tel comportement s'avère également nuisible aux idéaux portés par le développement durable et la théorie de la RSE. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Environnement, Développement durable, Responsabilité sociale et environnementale de l'entreprise, Légitimité, Shell, Pouvoir, Domination, Société, Régulation, Institutions sociales privées, Institutions, Pétrolières, Touraine, Discours, Communication.

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