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Les céramiques à glaçure plombifère antiques en Gaule méridionale et dans la vallée du Rhône (Ier s. av. J.-C – IIIe s. apr. J.-C) / The lead-glazed roman ceramics in the southern Gaul and the Rhone Valley (first century B.C - third century A.D)

Gohier, Pauline 16 December 2016 (has links)
Cette thèse a pour objectif premier de fournir une documentation complète des différentes céramiques à glaçure plombifère antiques signalées dans les contextes archéologiques de Gaule méridionale et de la vallée du Rhône. L’inventaire a mis en lumière l’existence de six groupes de production de céramiques à glaçure plombifère durant une période comprise entre la fin du Ier s. av. J.-C et le milieu du IIIe siècle apr. J.-C. Ces céramiques proviennent d’Asie Mineure, d’Italie septentrionale, des ateliers de Lyon et de Saint-Romain-en-Gal, du centre de la Gaule, d’Italie centrale et de l’atelier du Capitou (Hérault). Chaque catégorie de céramique fait l’objet d’une étude détaillée. Ce travail s’est focalisé surtout sur les céramiques à glaçure plombifère d’Italie centrale. Un nouveau classement typologique est ainsi proposé à partir de céramiques issues des contextes gaulois et romains. Certaines formes récurrentes indiquent l’existence d’un commerce - certes réduit - de ce type de céramique en Méditerranée occidentale au cours des IIe et IIIe siècles. L’étude des ateliers du Latium, couplée à des analyses archéométriques et aux dernières découvertes archéologiques, permet de localiser avec précision les centres de production de céramiques à glaçure plombifère dans la région de Rome (Nuovo Mercato Testaccio et Janicule).Cette étude apporte une meilleure connaissance de la fabrication, de la chronologie, des lieux de production, de la diffusion et du statut de cette catégorie de céramique si particulière. L’échelle géographique et chronologique large permet d’entrevoir les transferts de la technique de la glaçure des ateliers d’Orient à ceux d’Occident. / This PhD thesis aims firstly at providing full documentation about the various lead-glazed potteries reported in the southern Gaul and the Rhone Valley contexts. The inventory has pointed out the existence of six ceramic production groups over a period spending between the end of the first century B.C and the middle of the third century A.D. Ceramics come from Minor Asia, northern Italy, Lyon and Saint-Romain-en-Gal’s workshops, the center of Gaul, central Italy and Capitou's workshop (Hérault). Each ceramic category is the subject of a detailed study. This work is mainly dedicated to lead-glazed ceramics of central Italy. Investigation of consumer contexts leads to re-examine the classification of these ceramics and changes dating. A new typological classification is proposed. Some recurrent forms indicate the existence of a real trade - even reduced - of this type of ceramic in western Mediterranean area during the second and third century. The work done on Lazio's workshops, coupled with archaeometric analyses and recent archaeological discoveries, allowed the precise location of lead-glazed ceramic production centres in the Rome area (Nuovo Mercato Testaccio and Janiculum).This study of lead-glazed potteries from the southern Gaul and the Rhone valley, and more generally of the western Mediterranean basin, provides a better understanding of the production, chronology, productions sites, trade and status of this so peculiar category of ceramic. This research work based on large geographical and chronological scale, allows us to understand the process of glaze technology transfer from Eastern workshops to those of the Western workshops.
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Construire des charpentes autrement : le Midi rhôdanien à la fin du Moyen-Âge / Other ways to build wood frameworks : the south side of the Rhone Valley at the end of the middle age

Bouticourt, Emilien 22 October 2014 (has links)
Les édifices médiévaux du Midi rhodanien apparaissent souvent comme dépourvus de charpente ou simplement couverts de structures en bois sans grand intérêt technique. Cette idée s’appuie sur un constat indubitable : le paysage architectural de la région est essentiellement minéral. Très tôt, l’art du maçon a été favorisé par un sous-sol inépuisable en pierre à bâtir et des forêts relativement limitées dans la production de bois d’œuvre de qualité. Longtemps passés sous silence, les ouvrages charpentés existent et dénotent une singularité méconnue. L’objectif de ce travail est donc de mettre en lumière les charpentes de toit et de plancher réalisées dans ce territoire peu propice à leur réalisation. Il vise à apporter des éléments nouveaux permettant de nuancer l’idée d’une architecture sans bois. Il cherche à mettre en évidence une autre manière de concevoir les charpentes, sans doute moins monumentales que celles des régions riches en forêts mais tout aussi innovantes. La démonstration s’appuie sur des vestiges appartenant principalement aux XIVe et XVe siècles, dont la réalisation indique l’existence d’un secteur du bâtiment particulièrement actif et révélant des savoir-faire particuliers. Les charpentiers ont ainsi su pallier certaines difficultés d’approvisionnement en mettant en œuvre des formes et des techniques originales. / Most of the medievial buildings on the south side of the Rhone Valley turn out to be without roof frameworks or simply covered by wooden structures showing little technical interest. This idea is supported by an unmistakable observation: the architectural landscape of the region is mostly mineral. From early times, masonry work developed thanks to an unlimited building-stone reserve in the subsoil, and furthermore forests produced little high-quality lumber. Even though they have long been ignored, timber roof structures exist and (they) bring out remarkable singularities. The purpose of this study is to bring to light roof frameworks and floor frameworks which were built in an area little suited to their construction. It aims to bring new evidence that allows to moderate the notion of a wooden- free architecture. The study seeks to point out another way of designing of roof frames, undoubtedly less monumental than the ones built in areas with extensive forests, and yet equally innovative. The theory is based on remains dating back from the 14th to 15th centuries, the study of which proves the existence of a particularly active building sector, and reveals specific skills. Carpenters thus managed to overcome wood supply difficulties by implementing original shapes and techniques.
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Vivre et produire dans les campagnes de la colonie de Valence (IIe s. av. J.-C. - VIe s. apr. J.-C.) / Living and producing in the country of the colony of Valence (IInd B.C. - VIth A.C.)

Gilles, Amaury 12 February 2016 (has links)
Durant l’Antiquité, Valence bénéficie du prestigieux statut de colonie romaine, au même titre qu’Arles, Vienne et Lyon. Sa position au confluent du Rhône et de l’Isère et au carrefour de plusieurs itinéraires terrestres - Voie d’Agrippa, Voie des Alpes - lui conférait un rôle stratégique et économique considérable. Cette région, au cœur de la moyenne vallée du Rhône, occupe une position charnière qui lui assure, au moins depuis le Premier Âge du fer, un rôle d’intermédiaire entre le bassin méditerranéen et le monde celtique.Elle bascule dans l’orbite de Rome en même temps que la Gaule méridionale, soit dès la fin du IIe s. av. J.-C. Valence est fondée dans un deuxième temps, vraisemblablement entre 46 – 36 av. J.-C. et acquiert son statut de colonie de droit romain peut-être dès cette date avancée selon P. Faure et N. Tran (2013). La fondation d’une colonie romaine s’accompagne d’une division du sol public, matérialisée par une centuriation afin qu’il soit distribué aux membres du corps civique nouvellement créé comprenant plusieurs milliers de colons. Dans ce contexte historique précis, ces citoyens sont principalement des vétérans de l’armée romaine alors constituée majoritairement d’Italiens. Ce phénomène a donc un impact démographique et culturel considérable pour la vie des populations locales. Le statut juridique avantageux conféré à ces communautés leur assure également des avantages économiques importants stimulant les productions agro-pastorales et artisanales. Les travaux consacrés aux provinces gauloises ont montré que les siècles suivants ne sont pas exempts de mutations économiques et culturelles importantes qui touchent les structures de peuplement et de production. Partant de ce constat, j’ai choisi d’aborder cet impact culturel et économique à travers la culture matérielle (vestiges architecturaux, objets de la vie quotidienne) et l’analyse de l’occupation du sol. Le cadre chronologique et spatial retenu doit permettre d’observer de manière dynamique l’évolution des modes de vie et des activités agro-pastorales et artisanales dans les campagnes de la cité de Valence. L’examen des caractéristiques de plusieurs centaines d’établissements ruraux doit permettre de proposer une lecture diachronique et complexe de l’occupation et l’exploitation de ce territoire, d’aborder les rapports qu’entretient la colonie avec l’espace rural. L’approche chronologique et fonctionnelle des bâtiments et des objets de la vie quotidienne permet d’apprécier plus finement l’évolution dans le temps des techniques, des modes de vie, mais aussi de relever la diversité des situations locales à une même période. / During the Antiquity, Valence is known as a roman colony like Lyon, Arles or Vienna, settled in the middle Rhône valley at the confluent of the Rhône and the Isère, and also at the crossroads of alpine route and the Via Agrippa. This strategic position confers to the colony an important role in the economy of the roman Gaul. Since the early Iron Age, this area is a link between the mediterranean and the celtic worlds.Even if the region is conquered by Rome since the end of the II c. B.-C., the colony is founded later, perhaps between 46 and 36 B.-C. and maybe already own his prestigious status of colonia of roman rights according to P. Faure and N. Tran hypothesis (2013). As a consequence of the foundation, the public soil is divided, centuriated, and distributed to thousands of new citizens.In this specific historical context, the citizens are chosen among the veterans of the roman army, who were Italians at this time. This decision should have huge demographic and cultural consequences on local communities. The legal status of the citizens gives them considerable economics advantages that stimulate the local economy. The studies devoted to the gallic provinces have shown that the following centuries see numerous changes affecting settlements and economic structures.Considering this historical context, I have chosen to evaluate the cultural and economic impact of this foundation by studying settlement patterns and material culture (architectural remains, objects of the daily life) between the II c. B.-C. to the VIth c. B.-C.The study of few hundreds of settlements allows us to introduce a complex and diachronic view of the settlements, their economic roles and relations with the colony.The chronological and functional study of the buildings and daily life objects allow us to assess finely the evolution through time about craftsmen’s techniques, lifestyle and highlight regional differences during a same period.

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