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L'utilisation du PC-ADP (Pulse-Coherent Acoustic Doppler Profiler) dans un écoulement turbulent en rivière peu profonde

Cassista, Annie January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La séquence d'utilisation de la terre Pachirini, au site de la place d'Armes des Trois-Rivières (CcFd-19) : fin XVIᵉ - fin XVIIIᵉ siècles

Duguay, Françoise 03 August 2023 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 24 juillet 2023) / Notre thèse s'appuie sur une réflexion amorcée en lien avec une mention historique connue de tous : celle de Laviolette, le père fondateur des Trois-Rivières, et la date de 1634. Le questionnement quant à cet énoncé est basé sur le fait que les évènements surgissent rarement du néant. Il a conduit à utiliser des données archéologiques (vestiges structuraux, strates de sols et collection), ethno-historiques, historiques et biophysiques, afin de reconstruire une séquence évènementielle étoffée et d'identifier les acteurs en présence, ainsi que leurs activités. Le site archéologique d'échantillonnage pour éclairer notre questionnement gravite autour de la terre initialement concédée en 1648 à Charles Pachirini, un chef algonquin ; cette ancienne propriété est intégrée au parc de la place d'Armes (code Borden : CcFd-19 ; lieu classé en 1960). Les données archéologiques et ethno-historiques concordent pour démontrer la présence de deux groupes ethniques à cet emplacement, depuis au moins la fin du XVIᵉ siècle : Autochtones et Français. En effet, les Trois-Rivières servaient de lieu de regroupement estival à diverses nations algonquiennes ce qui permettaient les échanges entre elles, mais aussi avec des groupes iroquoiens. Ces échanges peuvent impliquer le transfert de biens, mais aussi de trais culturels et de technologie. Les Français y viennent à prime abord en été pour le commerce des fourrures, avant d'y implanter un poste de traite fortifié en 1634. Un bourg prendra ensuite forme, à partir des années 1650. La terre Pachirini est incluse dans cette évolution car partiellement scindée en censives urbaines attribuées à des colons français, notamment en bordure de la rue Saint-Louis, ce qui permettra l'émergence d'une spécialisation dans l'utilisation de l'espace. Trois de ces lots ont fournis des indices archéologiques, ceux initialement attribués à : Barthelémy Bertaut, Jacques Aubuchon et Michel Pelletier dit Laprade. L'emplacement connu sous le toponyme de « place d'Armes » deviendra la première place du marché, lieu où l'on peut se procurer biens, denrées et services. Le tout se fait en parallèle avec une utilisation de l'emplacement par les peuples autochtones, qui y disposent d'un bâtiment fixe et où ils installent également des campements du printemps jusqu'à l'automne. Cela fait de la place d'Armes un centre de rencontre et d'échange, dont l'accès est relativement public. Le tout se poursuit depuis les années 1650 jusqu'à la fin du XVIIIᵉ siècle, moment où la décision est prise de déplacer la place du marché vers l'ouest et de retirer l'ensemble du bâti sur la terre Pachirini initiale. L'inclusion de données archéologiques permet d'apprécier le fait que la trame événementielle des Trois-Rivières est beaucoup plus complexe que ne le laisse croire une prémisse réductrice, imprimée tel un dogme dans l'historiographie locale. Par contre, la notion d'espace public se poursuit quant à elle à travers les siècles et ce jusqu'à ce jour, car la place d'Armes demeure un lieu d'accès public, sous la forme d'un parc municipal. L'aspect collectif semble y avoir primauté et s'être perpétué dans l'inconscient collectif, sans faire l'objet d'une évaluation critique sur la nature de cet état de fait. / Our thesis is constructed around the well-known historical assertion that Laviolette is the founding father of Trois-Rivières, in 1634. Something in the story seemed to be missing, for such events rarely occur out of the blue. Questioning this statement led to the use of archaeological data (structural remains, soil strata, artifacts and ecofacts), as well as ethnohistorical, historical and environmental data in order to trace an expanded sequence of events, in an effort to identify the people involved and their activities. Our archaeological sample was collected on a piece of land conceded in 1648 to an Algonkian chief, Charles Pachirini, land which is now included in Place d'Armes park (Borden code: CcFd-19; protected by law since 1960). Archaeological and ethnohistorical data demonstrate that two ethnic groups, First Nations and French, had shared the use of this area from at least the end of the XVIth century. Indeed, Trois-Rivières used to be a traditional summer gathering centre for various Algonkian nations, who also had contacts with Iroquoians. Such gatherings were used for the exchange of goods, but most probably also of cultural traits as well as technology. French traders first came into the mix to initiate fur trade, which led to the establishment of a fortified trading post in 1634. A village started developing during the 1650's, a process which included space use specialization on Pachirini's land after plots were allotted to French settlers. Three of these plots are included in our archaeological sample, the ones initially allocated to: Barthelémy Bertaut, Jacques Aubuchon and Michel Pelletier dit Laprade. The park now named "Place d'Armes" would become Trois-Rivières' first market place, where one could acquire goods, food and services. Such activities took place alongside Aboriginal groups, who had the use of a permanent building and could also build encampments there during summer; such common usage qualifies Place d'Armes as a public space. The pattern went on from the 1650's to the end of the XVIIIᵗʰ century, when the market place was transferred westward, leading to the dismantling of all buildings from what used to be Pachirini's land. Including archaeological data in the historical sequence's modelling brings forth the fact that Trois-Rivières' history is far more complex than the reductive premise that has become dogma. However, the notion that the area called "Place d'Armes" is considered a public space has lived on through the ages, even to this day, since the municipal park is still a common gathering place. It is as if the notion of a public space has made its way into the collective unconscious mind, as a primordial idea never submitted to a critical assessment of its cause.
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Caractérisation de l'écoulement turbulent en rivière à lit de graviers peu profonde Stratégie d'échantillonnage, interpolation et structure spatiale

Roy, Mathieu January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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La mise en valeur du domaine foncier des Ursulines de Trois-Rivières : évolution du site et influence sur la ville

Aleman, Cynthia Eunice 07 March 2020 (has links)
Explorant les liens étroits qui existent entre la société civile et une communauté religieuse, la présente recherche analyse la relation entre la propriété foncière et le développement des bâtiments du monastère des Ursulines de Trois-Rivières. Aujourd’hui, l’avenir de ce patrimoine bâti, avec le déclin de sa communauté originelle, s’intègre dans une problématique commune à l’ensemble du patrimoine religieux québécois : la reconversion des lieux intégrant des nouveaux usages questionne quel est le patrimoine matériel et immatériel à préserver. Le mémoire cherche à éclairer les processus de développement du territoire et d’urbanisation de Trois-Rivières en accordant une attention particulière au rôle structurant dela communauté des Ursulines dans la formation du paysage culturel urbain de cette ville. Également, la recherche tentera d’exposer des pistes de requalification du site ou de changement de vocation en fonction de ce que ce patrimoine nous révèle. Le mémoire explore la morphogenèse du domaine foncier et du monastère de cette communauté en s’inspirant des approches analytiques de Saverio Muratori et de l’École italienne sur la morphologie urbaine. La méthodologie analyse l’évolution des lieux à travers les continuités et les ruptures (construction/démolition, feux/reconstruction, agrandissements, etc.) dans le processus de production de l’espace engendré à plusieurs échelles. L’étude de cas cherche à comprendre comment les terrains et les bâtiments, propriétés de la communauté, ont évolué pour soutenir le développement du monastère et leurs missions. La recherche vise également à saisir comment ces actions ont influencé les cycles de construction sur le site et l’urbanisation de cette portion de la ville de Trois-Rivières. Quelle est la nature de la relation entre la fluctuation des ressources de la communauté religieuse des Ursulines et l’évolution de leur domaine foncier? La question de recherche initiale envisage qu’il existe une interaction dynamique entre les ressources de la communauté religieuse, le développement de leurs biens fonciers et l’évolution de la ville de Trois-Rivières. Les opérations foncières structurent le processus de production de l’espace relié aux Ursulines et interpellent plusieurs disciplines; l’architecture, l’histoire, mais aussi la géographie et l’urbanisme, ce qui impose une approche interdisciplinaire. Une analyse morphologique diachronique des biens fonciers et de leur cartographie permettra d’apporter un nouveau regard sur la façon dont une communauté religieuse gère ses propriétés afin de mener sa mission sociale et religieuse.L’évolution des lieux sera le reflet des attentes du milieu, entre sauvegarde éclairée ou disparition progressive. / By exposing how closely related society and the religious community are, the present case study explores the dynamics surrounding the land tenancy and the development of the buildings forming the monastery of the Ursulines of Three-Rivers. Today, the future threatens the survival of their heritage and this issue is a common one for many religious communities in the province of Quebec : the conversion and change of purpose begs the question as to what parts of their heritage must be preserved. By studying the structuring role of this Catholic institution in the formation of the urban cultural landscape of Three-Rivers, the research will undeniably contribute to understanding the processes of the urban morphology of Quebec. The study will attempt to establish guidelines for a possible future requalification of the site and a likely change of use for the buildings following the decline ofthe religious community. Inspired by the diachronic methodology and the analytical approaches created by Saverio Muratori and the Italian school of urban morphology, the research exposes the morphology of their estate and their monastery. The morphology of the building, the site and the city exposes periods of continuity and rupture through time (construction/demolition, fires/reconstruction, expansion, etc.). The case study seeks to describe and understand how the land and properties supported the development of nuns’ monastery missions and affected the urbanization of their surroundings. The research explores how the amount of support through cash, resources and other means for the building of the Ursulines’ Monastery and the maintenance of their educational and charitable missions is directly tied to the number of deeds and the material transformations of the Ursuline’s properties in the city and the countryside. Is there a relation between the community’s resources fluctuation and the evolution of their estate? The initial research question foresees the existence of a dynamic interaction between the resources of the community, the development of their estate and the evolution of a part of the city. The exchanges represented by the deeds on the Ursulines’estate structure the production of space. An interdisciplinary approach is inevitable as architecture, history, and geography are closely related disciplines. Subsequently, material evidence is used to make a qualitative assessment aiming to contribute to the operational history. This study method provides an opportunity to reflect on the heritage of religious communities and the feasibility of hypothetical projects using research knowledge as well as sound architectural reasoning. Indeed, the evolution of the site will reflect of the local will, between enlightened and informed preservation or progressive disappearing.
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Trois-Rivières et le Festival international de la poésie : l'inscription de la poésie dans la ville industrielle

Cochard, Magali January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Trois-Rivières et le Festival international de la poésie : l'inscription de la poésie dans la ville industrielle

Cochard, Magali January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Auscultation topographique du pont Laviolette à Trois-Rivières

Corbin, Maxime 16 January 2024 (has links)
Titre de l'écran-titre (visionné le 11 janvier 2024) / Avec les années, la taille des navires ne cesse d'augmenter. Ceci pose un problème pour la navigation marchande, car de nombreux obstacles peuvent limiter le passage de ces navires de plus grande taille. Lorsqu'un navire a pour destination le port de Montréal, le pont Laviolette est l'obstacle aérien principal à considérer. C'est dans ce contexte que l'Administration portuaire de Montréal (APM) a lancé le projet d'auscultation du pont Laviolette. Cette auscultation a pour but d'analyser la variation du dégagement vertical dynamique sous le pont sur une période d'un an. Pour y parvenir, quatre antennes GNSS, un distancemètre laser, un distancemètre radar et une station météorologique ont été installés sur le pont. Ces instruments ont permis de quantifier les mouvements du pont en fonction de facteurs tels le vent, la température et la circulation automobile ainsi que leur incidence sur le dégagement vertical dynamique. Les résultats démontrent que la différence de température entre l'hiver et l'été cause des variations altimétriques atteignant 6 cm au sommet du pont et 3 cm au niveau de la chaussée du pont. C'est toutefois le niveau d'eau du fleuve Saint-Laurent qui est le facteur ayant le plus d'influence. Le fleuve varie d'environ 3 m entre la crue des eaux et son niveau le plus bas. Deux modèles indépendants du dégagement vertical dynamique ont été comparés. Le premier considère que le pont a une hauteur fixe et fait uniquement varier le niveau du fleuve. Le deuxième utilise les mesures du distancemètre radar installé sous le pont ce qui donne des dégagements qui tiennent aussi compte des mouvements du pont. En général, l'écart entre les deux modèles est de quelques cm et cet écart varie légèrement en fonction des saisons. En appliquant une correction thermique au premier modèle, l'écart entre les deux techniques est réduit de 1,6 cm. / As time goes on, the size of vessels keeps increasing. This causes a problem for the merchant navy, as many obstacles can limit the passage of these larger vessels. When a ship sets sail for the Port of Montreal, the Laviolette Bridge is the main aerial obstacle. It is why the Montreal Port Authority launched the Laviolette Bridge monitoring project. The purpose of this monitoring is to analyze the variation of the dynamic vertical clearance under the bridge over a period of one year. To achieve this, four GNSS antennas, a laser range finder, a radar range finder and a weather station were installed on the bridge. These instruments helped to quantify the bridge's movement according to factors such as wind, temperature and traffic, as well as their impact on the dynamic vertical clearance. The results show that the temperature difference between winter and summer causes altimetric variations reaching 6 cm at the top of the bridge and 3 cm at the deck level. The water level of the St. Lawrence River is by far the most influential factor. The water level can vary up to approximately 3 m due to seasonal fluctuations. Two independent vertical clearance models were compared. The first one considers that the bridge has a fixed height and that only the water level varies. The second model uses the radar range finder installed under the bridge, which measures vertical clearances that also take into account the movements of the bridge. In general, the two models agree within a few cm and this difference slightly varies according to the seasons. By applying a thermal correction to the first model, the gap between the two models is reduced by 1.6 cm.
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Les Forges du Saint-Maurice : les débuts de l'industrie sidérurgique au Canada, 1730-1883 / Débuts de l'industrie sidérurgique au Canada, 1730-1883

Samson, Roch 24 April 2018 (has links)
Les Forges du Saint-Maurice témoignent de l'implantation de la sidérurgie ancienne en Nouvelle-France au XVIIIe siècle, à quelques kilomètres au nord de Trois-Rivières. Leur fondation donne lieu à l'établissement d'une « usine à fers » ou de « grosses forges », suivant les désignations de l'époque, au coeur de la forêt de la Mauricie où abonde, sous forme de veines de surface, le minerai de fer « des marais » ou « des savanes ». L'entreprise, fondée par le seigneur François Poulin de Francheville en 1730, prend d'abord l'allure d'une petite forge utilisant le procédé de réduction directe du minerai. Mais, entre 1736 et 1739, grâce à l'implication financière du ministère de la Marine, on remplace cette modeste installation par un « établissement de forge complet » comportant haut fourneau et forges, suivant son concepteur le maître de forges champenois Olivier de Vézin, qui adopte le procédé de réduction indirecte du minerai utilisant le charbon de bois comme combustible. Cet établissement donne naissance à la première communauté industrielle au Canada qui ne disparaîtra qu'en 1883. Cette thèse a pour but d'étudier les Forges du Saint-Maurice comme une industrie issue de l'univers particulier de la sidérurgie ancienne dont elle constitue une réplique dans le milieu colonial du XVIIIe et du XLXe siècle. Elle s'appuie sur les résultats de la recherche historique et archéologique entreprise au sein de Parcs Canada depuis la création du lieu historique national des Forges-du-Saint-Maurice en 1973. L'approche théorique s'inscrit dans un courant scientifique qui vise à comprendre et à caractériser les formes industrielles de production qui se manifestent avant l'Industrialisation comme telle. Cette thèse propose de rendre raison de la mise en oeuvre, du fonctionnement, de l'évolution et du destin de la première industrie sidérurgique au Canada en examinant toutes les dimensions nécessaires aux opérations de l'entreprise dans le contexte évolutif de ses 150 années d'existence. Une telle démarche conduit à mieux comprendre la sidérurgie ancienne et les conditions de la viabilité de ce milieu industriel dans le contexte colonial canadien. Dans une portée plus générale, cette thèse contribue à un domaine d'études qui tend à renouveler l'histoire de l'industrialisation et en particulier celle de l'industrie avant l'Industrialisation. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Les abords de la maison Francheville aux Forges du St-Maurice : stratégie de fouille

Cloutier, Céline 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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L'impact de Trois-Rivières sur sa zone péri-urbaine

Nobert, Yves 23 February 2022 (has links)
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