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Contrôle d'exécution pour robots mobiles autonomes: architecture, spécification et validation

DE MEDEIROS, Adelardo A.D. 19 February 1997 (has links) (PDF)
Le travail présenté dans le mémoire traite des problèmes liés au contrôle d'exécution des actions des robots mobiles autonomes. Une première partie présente l'architecture de contrôle globale et la compare à d'autres approches. On décrit les niveaux hiérarchiques qui la constituent et leurs rôles dans le fonctionnement du système. Le niveau inférieur, composé d'un ensemble de modules, rassemble les fonctions de perception, de modélisation et d'action du système. La seconde partie présente le niveau exécutif. L'exécutif doit suivre l'exécution des fonctions, résoudre les conflits entre modules, accomplir certaines actions réflexes et maintenir une information sur l'utilisation des ressources non partageables du robot. Il peut être vu comme un ensemble d'automates, qui interagissent et changent d'état selon les requêtes qui arrivent du niveau supérieur et les répliques qui proviennent des modules. La mise en oeuvre de l'exécutif utilise le système à base de règles KHEOPS. La compilation faite par KHEOPS permet, à partir d'un ensemble de variables d'entrée et de sortie et des règles qui les relient, d'obtenir un arbre de décision équivalent et de profondeur connue, ce qui garantit un temps d'exécution borné pour l'exécutif. La compilation permet aussi de garantir certaines propriétés logiques des automates mis en place. La troisième partie présente les relations entre le niveau fonctionnel (modules et exécutif) et la couche immédiatement supérieure, le niveau tache. Ce niveau est basé sur le système PRS, qui transforme des taches de haut niveau d'abstraction en procédures d'actions reconnues par le niveau fonctionnel et surveille leur exécution. Le mémoire présente une équivalence entre un sous-ensemble de PRS et les réseaux de Pétri colorés, ce qui permet de faire une vérification du niveau tache quand l'équivalence existe. Enfin, on présente quelques rés ultats de la mise en oeuvre expérimentale de ces travaux avec le robot Hilare 2.
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Conception et contrôle de robots à géométrie variable : applications au franchissement d'obstacles autonome

Paillat, Jean-Luc 15 November 2010 (has links) (PDF)
Les travaux de cette thèse se placent dans le cadre de la robotique mobile terrestre. Un prototype innovant de robot à géométrie variable capable de franchir divers obstacles (escaliers, trottoirs...) est présenté et analysé. Le retour d'expérience nous donne des pistes pour évoluer vers un robot autonome. L'étude de la déformation d'un robot muni de n degrés de liberté est présentée et formalisée comme un problème de satisfaction de contraintes. L'objectif est d'actionner les articulations du robot tout en conservant la tension de la chenille qui transmet l'effort des moteurs de propulsion. Des outils d'analyse par intervalles sont utilisés pour proposer une solution. Un autre aspect du contrôle d'un robot à géométrie variable est ensuite étudié pour fournir une méthode autonome de déformation lors de phases de franchissement d'obstacles. Un réseau de neurones est entraîné via un algorithme génétique dans le but de franchir un escalier. Le prototype existant nous permet de valider expérimentalement ces résultats.
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Architectures de contrôle comportementales et réactives pour la coopération d'un groupe de robots mobiles

Adouane, Lounis 11 April 2005 (has links) (PDF)
Contrôler un système multi-robots hautement dynamique au sein duquel évolue un grand nombre d'entités autonomes réactives est un challenge à la fois scientifique et technologique en plein essor. En effet, ceci exige non seulement d'utiliser des entités robotiques les plus élémentaires possibles mais nécessite également au niveau du contrôle, de s'éloigner davantage des conceptions centralisées et cognitives. La démarche consiste à focaliser la conception du contrôle sur l'individu élémentaire constituant le système multi-robots en prenant en compte les différentes interactions locales de cet individu avec les autres entités robotiques avec lesquels il est censé coopérer. Des effets de masse maîtrisés peuvent être ainsi obtenus et vont permettre d'augmenter à la fois la vitesse, la flexibilité et la robustesse d'exécution des tâches complexes entreprises. Les travaux de recherche présentés dans ce mémoire partent du principe d'une conception ascendante (Bottom-Up) des architectures de contrôle et ce afin de briser la complexité inhérente aux systèmes multi-robots. Plus spécifiquement, nous proposons un Processus de Sélection d'Action Hiérarchique appelé PSAH qui permet à l'échelle du robot de coordonner l'activité d'un ensemble de primitives élémentaires (comportements) d'une manière hiérarchique et flexible, et à l'échelle du groupe de robots d'atteindre une coordination entre robots favorisant des buts globaux. Les performances du PSAH ont été améliorées par la suite via l'adjonction d'un mécanisme de fusion d'actions approprié conduisant à un nouveau processus de sélection appelé PSAHH (PSAH-Hybride). Les formalismes des algorithmes génétiques ont été utilisés par la suite pour proposer une méthodologie permettant l'obtention des paramètres prépondérants pour le fonctionnement du PSAHH. La validation des résultats s'est effectuée au travers d'expérimentations sur des mini-robots ALICE et plus largement sur un ensemble d'études statistiques réalisées sur un grand nombre de données obtenu grâce au simulateur MiRoCo (Mini-Robotique Collective). Ce simulateur a été conçu et développé dans le cadre de nos travaux de thèse dans le but de simuler d'une manière précise et rigoureuse des systèmes multi-robots à forte dynamique d'interaction.
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La carte bayésienne : un modèle probabiliste hiérarchique pour la navigation en robotique mobile

Diard, Julien 27 January 2003 (has links) (PDF)
Qu'est-ce qu'une carte ? Quelle est son utilité ? Qu'est-ce-qu'un lieu, un<br />comportement ? Qu'est-ce-que naviguer, se localiser et prédire, pour un<br />robot mobile devant accomplir une tâche donnée ?<br /><br />Ces questions n'ont pas de réponses uniques ou évidentes à ce jour, et<br />restent centrales à de nombreux domaines de recherches.<br /><br />La robotique, par exemple, souhaite y répondre en vue de la synthèse de<br />systèmes sensori-moteurs performants. Les sciences cognitives placent ces<br />questions comme essentielles à la compréhension des êtres vivants, de leurs<br />compétences, et au-delà, de leurs intelligences.<br /><br />Notre étude se situe à la croisée de ces disciplines. Nous étudions tout<br />d'abord les méthodes probabilistes classiques (Localisation Markovienne,<br />PDMPOs, MMCs, etc.), puis certaines approches dites "bio-inspirées"<br />(Berthoz, Franz, Kuipers). Nous analysons les avantages et inconvénients<br />respectifs de ces approches en les replaçant dans un cadre général de<br />programmation des robots basé sur l'inférence bayésienne (PBR).<br /><br />Nous proposons un formalisme original de modélisation probabiliste de<br />l'interaction entre un robot et son environnement : la carte bayésienne.<br /><br />Dans ce cadre, définir une carte revient à spécifier une distribution de<br />probabilités particulière. Certaines des questions évoquées ci-dessus se<br />ramènent alors à la résolution de problèmes d'inférence probabiliste.<br /><br />Nous définissons des opérateurs d'assemblage de cartes bayésiennes,<br />replaçant ainsi les notions de "hiérarchie de cartes" et de développement<br />incrémental comme éléments centraux de notre approche, en accord avec les<br />données biologiques. En appuyant l'ensemble de notre travail sur le<br />formalisme bayésien, nous profitons d'une part d'une capacité de traitement<br />unifié des incertitudes, et d'autre part, de fondations mathématiques<br />claires et rigoureuses. Notre formalisme est illustré par des exemples<br />implantés sur un robot mobile Koala.
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Contributions à la planification et à la commande pour les robots mobiles coopératifs

Defoort, Michael 22 October 2007 (has links) (PDF)
Ce travail se place dans le cadre de la navigation autonome d'une flottille de robots mobiles non holonomes. Notre objectif est de doter un système multi-robots à la fois d'une architecture de planification de trajectoire flexible et d'une architecture de poursuite de trajectoire performante et robuste.<br />Le premier chapitre est consacré à la présentation du contexte.<br />Le deuxième chapitre est dévolu au développement d'un algorithme de planification de trajectoire admissible pour un robot mobile suffisamment flexible pour pouvoir être étendu au cadre multi-robots.<br />Dans le troisième chapitre, deux mécanismes de coordination sont développés. Pour le premier, les conflits sont résolus via un superviseur. Le second permet la génération en ligne des trajectoires optimales de chaque robot de manière décentralisée à partir uniquement des informations disponibles.<br />Le quatrième chapitre concerne la commande par modes glissants d'ordre quelconque. L'efficacité de l'algorithme est mise en lumière à travers des résultats expérimentaux sur un moteur pas à pas.<br />Dans le cinquième chapitre, deux algorithmes de commande par modes glissants avec action intégrale sont synthétisés et implémentés sur le robot Pekee. Ces techniques assurent la stabilisation et/ou le suivi de trajectoire malgré la présence de perturbations et d'incertitudes.<br />Le dernier chapitre décrit un mécanisme décentralisé de coordination de type ``meneur/suiveur''. Il permet de s'affranchir de la connaissance de la position absolue de l'ensemble des robots et d'éviter les collisions entre robots. Enfin, nous présentons des résultats expérimentaux sur une flottille de trois robots Miabot.
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Sélection et contrôle de modes de déplacement pour un robot mobile autonome en environnements naturels

Peynot, Thierry 18 July 2006 (has links) (PDF)
Le déplacement entièrement autonome d'un robot mobile en environnements naturels est un problème encore loin d'être résolu. Il nécessite la mise en oeuvre de fonctionnalités permettant de réaliser le cycle perception/décision/action, que nous distinguons en deux catégories : navigation (perception et décision sur le mouvement à réaliser) et locomotion (réalisation du mouvement). Pour pouvoir faire face à la grande diversité de situations que le robot peut rencontrer en environnement naturel, il peut être primordial de disposer de plusieurs types de fonctionnalités complémentaires, constituant autant de modes de déplacement possibles. En effet, de nombreuses réalisations de ces derniers ont été proposées dans la littérature ces dernières années mais aucun ne peut prétendre permettre d'exécuter un déplacement autonome en toute situation. Par conséquent, il semble judicieux de doter un robot mobile d'extérieur de plusieurs modes de déplacement complémentaires. Dès lors, ce dernier doit également disposer de moyens de choisir en ligne le mode le plus approprié. Dans ce cadre, cette thèse propose une mise en oeuvre d'un tel système de sélection de mode de déplacement, réalisée à partir de deux types de données : une observation du contexte pour déterminer dans quel type de situation le robot doit réaliser son déplacement et une surveillance du comportement du mode courant, effectuée par des moniteurs, et qui influence les transitions vers d'autres modes lorsque le comportement du mode actuel est jugé non satisfaisant. Nous présentons donc : un formalisme probabiliste d'estimation du mode à appliquer, des modes de navigation et de locomotion exploités pour réaliser le déplacement autonome, une méthode de représentation qualitative du terrain (reposant sur l'évaluation d'une difficulté calculée après placement de la structure du robot sur un modèle numérique de terrain), et des moniteurs surveillant le comportement des modes de déplacement utilisés (évaluation de l 'efficacité de la locomotion par roulement, surveillance de l'attitude et de la configuration du robot...). Des résultats expérimentaux de ces éléments intégrés à bord de deux robots d'extérieur différents seront enfin présentés et discutés.
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Contribution à la planification de mouvements en robotique

Taix, Michel 22 March 2011 (has links) (PDF)
Les travaux présentés dans ce manuscrit d'Habilitation à Diriger des Recherches concernent la problématique de la planification de trajectoires pour un système robotique. Nous présentons des méthodes et des algorithmes qui calculent automatiquement des trajectoires géométriques sans collision et qui prennent en compte les contraintes du système pour effectuer une tâche. Dans une première partie, nous nous intéressons aux robots mobiles à roues. Nous avons développé une algorithmique pour calculer, si elle existe, une trajectoire pour un robot articulé en terrain accidenté qui garantit les contraintes de validité (stabilité, contraintes mécaniques et non collision). Afin d'améliorer la robustesse de notre approche, il est apparu nécessaire de prendre en compte le lien entre planification, localisation et exécution. Nous proposons une méthode pour définir automatiquement les amers pertinents à sélectionner le long de la trajectoire et étudions les conditions de leurs enchaînements. Nous transformons ainsi une planification de trajectoire géométrique en une suite de tâches référencées capteurs. Nous nous sommes ensuite intéressés au problème de recouvrement de surface pour lequel c'est la tâche robotique qui amène à définir implicitement une trajectoire. Nous avons développé une nouvelle approche incluant la gestion automatique des zones de fourrière. Dans une deuxième partie, nous avons étendu la problématique hors du champ de la robotique à roues. Nous avons commencé par combiner les avantages de différentes techniques de planification probabiliste afin de résoudre plus e cacement le problème des passages étroits. Il est alors apparu intéressant de faire coopérer un opérateur humain avec un algorithme de recherche probabiliste. Nous proposons une variante basée sur les Rapidly-exploring Random Trees pour construire un RRT-Interactif qui améliore le guidage d'un opérateur lors d'une tâche d'assemblage dans un environnement virtuel. Pour mieux comprendre le mouvement h umain, nous avons appliqué des principes moteurs neurobiologiques pour le contrôle du geste d'atteinte des robots humanoïdes. Nous montrons que cette approche permet de générer des mouvements réalistes qui respectent les caractéristiques du mouvement humain et qu'il est ensuite possible de synthétiser les mouvements d'atteinte par une combinaison de primitives motrices. Pour conclure, il nous semble intéressant d'étendre nos travaux, d'une part en planifiant des mouvements réalistes par rapport au mouvement humain en vue de l'introduction de mannequins numériques ; d'autre part, en planifiant des mouvements pour des objets déformables car de nombreux problèmes pratiques ne peuvent pas être résolus en considérant des objets rigides.
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Study on the Use of Vision and Laser Range Sensors with Graphical Models for the SLAM Problem / Étude sur l'exploitation de la vision et d'un télémètre laser avec des modèles graphiques probabilistes appliqués au problème de la cartographie et localisation simultanées

Paiva mendes, Ellon 12 July 2017 (has links)
La capacité des robots mobiles à se localiser précisément par rapport à leur environnement est indispensable à leur autonomie. Pour ce faire, les robots exploitent les données acquises par des capteurs qui observent leur état interne, tels que centrales inertielles ou l’odométrie, et les données acquises par des capteurs qui observent l’environnement, telles que les caméras et les Lidars. L’exploitation de ces derniers capteurs a suscité le développement de solutions qui estiment conjointement la position du robot et la position des éléments dans l'environnement, appelées SLAM (Simultaneous Localization and Mapping). Pour gérer le bruit des données provenant des capteurs, les solutions pour le SLAM sont mises en œuvre dans un contexte probabiliste. Les premiers développements étaient basés sur le filtre de Kalman étendu, mais des développements plus récents utilisent des modèles graphiques probabilistes pour modéliser le problème d’estimation et de le résoudre grâce à techniques d’optimisation. Cette thèse exploite cette dernière approche et propose deux techniques distinctes pour les véhicules terrestres autonomes: une utilisant la vision monoculaire, l’autre un Lidar. L’absence d’information de profondeur dans les images obtenues par une caméra a mené à l’utilisation de paramétrisations spécifiques pour les points de repères qui isolent la profondeur inconnue dans une variable, concentrant la grande incertitude sur la profondeur dans un seul paramètre. Une de ces paramétrisations, nommé paramétrisation pour l’angle de parallaxe (ou PAP, Parallax Angle Parametrization), a été introduite dans le contexte du problème d’ajustement de faisceaux, qui traite l’ensemble des données en une seule étape d’optimisation globale. Nous présentons comment exploiter cette paramétrisation dans une approche incrémentale de SLAM à base de modèles graphiques, qui intègre également les mesures de mouvement du robot. Les Lidars peuvent être utilisés pour construire des solutions d’odométrie grâce à un recalage séquentiel des nuages de points acquis le long de la trajectoire. Nous définissons une couche basée sur les modèles graphiques au dessus d’une telle couche d’odométrie, qui utilise l’algorithme ICP (Iterative Closest Points). Des repères clefs (keyframes) sont définis le long de la trajectoire du robot, et les résultats de l’algorithme ICP sont utilisés pour construire un graphe de poses, exploité pour résoudre un problème d’optimisation qui permet la correction de l’ensemble de la trajectoire du robot et de la carte de l’environnement à suite des fermetures de boucle.Après une introduction à la théorie des modèles graphiques appliquée au problème de SLAM, le manuscrit présente ces deux approches. Des résultats simulés et expérimentaux illustrent les développements tout au long du manuscrit, en utilisant des jeux des données classiques et obtenus au laboratoire. / A strong requirement to deploy autonomous mobile robots is their capacity to localize themselves with a certain precision in relation to their environment. Localization exploits data gathered by sensors that either observe the inner states of the robot, like acceleration and speed, or the environment, like cameras and Light Detection And Ranging (LIDAR) sensors. The use of environment sensors has triggered the development of localization solutions that jointly estimate the robot position and the position of elements in the environment, referred to as Simultaneous Localization and Mapping (SLAM) approaches. To handle the noise inherent of the data coming from the sensors, SLAM solutions are implemented in a probabilistic framework. First developments were based on Extended Kalman Filters, while a more recent developments use probabilistic graphical models to model the estimation problem and solve it through optimization. This thesis exploits the latter approach to develop two distinct techniques for autonomous ground vehicles: oneusing monocular vision, the other one using LIDAR. The lack of depth information in camera images has fostered the use of specific landmark parametrizations that isolate the unknown depth in one variable, concentrating its large uncertainty into a single parameter. One of these parametrizations, named Parallax Angle Parametrization, was originally introduced in the context of the Bundle Adjustment problem, that processes all the gathered data in a single global optimization step. We present how to exploit this parametrization in an incremental graph-based SLAM approach in which robot motion measures are also incorporated. LIDAR sensors can be used to build odometry-like solutions for localization by sequentially registering the point clouds acquired along a robot trajectory. We define a graphical model layer on top of a LIDAR odometry layer, that uses the Iterative Closest Points (ICP) algorithm as registration technique. Reference frames are defined along the robot trajectory, and ICP results are used to build a pose graph, used to solve an optimization problem that enables the correction of the robot trajectory and the environment map upon loop closures. After an introduction to the theory of graphical models applied to SLAM problem, the manuscript depicts these two approaches. Simulated and experimental results illustrate the developments throughout the manuscript, using classic and in-house datasets.
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SLAM collaboratif dans des environnements extérieurs / Collaborative SLAM for outdoor environments

Contreras Samamé, Luis Federico 10 April 2019 (has links)
Cette thèse propose des modèles cartographiques à grande échelle d'environnements urbains et ruraux à l'aide de données en 3D acquises par plusieurs robots. La mémoire contribue de deux manières principales au domaine de recherche de la cartographie. La première contribution est la création d'une nouvelle structure, CoMapping, qui permet de générer des cartes 3D de façon collaborative. Cette structure s’applique aux environnements extérieurs en ayant une approche décentralisée. La fonctionnalité de CoMapping comprend les éléments suivants : Tout d’abord, chaque robot réalise la construction d'une carte de son environnement sous forme de nuage de points.Pour cela, le système de cartographie a été mis en place sur des ordinateurs dédiés à chaque voiture, en traitant les mesures de distance à partir d'un LiDAR 3D se déplaçant en six degrés de liberté (6-DOF). Ensuite, les robots partagent leurs cartes locales et fusionnent individuellement les nuages de points afin d'améliorer leur estimation de leur cartographie locale. La deuxième contribution clé est le groupe de métriques qui permettent d'analyser les processus de fusion et de partage de cartes entre les robots. Nous présentons des résultats expérimentaux en vue de valider la structure CoMapping et ses métriques. Tous les tests ont été réalisés dans des environnements extérieurs urbains du campus de l’École Centrale de Nantes ainsi que dans des milieux ruraux. / This thesis proposes large-scale mapping model of urban and rural environments using 3D data acquired by several robots. The work contributes in two main ways to the research field of mapping. The first contribution is the creation of a new framework, CoMapping, which allows to generate 3D maps in a cooperative way. This framework applies to outdoor environments with a decentralized approach. The CoMapping's functionality includes the following elements: First of all, each robot builds a map of its environment in point cloud format.To do this, the mapping system was set up on computers dedicated to each vehicle, processing distance measurements from a 3D LiDAR moving in six degrees of freedom (6-DOF). Then, the robots share their local maps and merge the point clouds individually to improve their local map estimation. The second key contribution is the group of metrics that allow to analyze the merging and card sharing processes between robots. We present experimental results to validate the CoMapping framework with their respective metrics. All tests were carried out in urban outdoor environments on the surrounding campus of the École Centrale de Nantes as well as in rural areas.
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MARIE, une architecture d'intégration de composants logiciels hétérogènes pour le développement de systèmes décisionnels en robotique mobile et autonome

Côté, Carle January 2011 (has links)
""Aujourd'hui, la création de systèmes décisionnels en robotique mobile et autonome requiert l'intégration de nombreuses capacités motrices, sensorielles et cognitives au sein de chacun des projets réalisés. Ces capacités sont généralement issues de différents domaines de recherche, comme par exemple la navigation autonome, la planification, les interactions humain-machine, la localisation, la vision artificielle et le contrôle d'actionneurs, pour ne nommer que ceux-ci. D'un point de vue logiciel, deux défis de taille sont issus de ce besoin d'intégration : 1) la complexification de l'analyse des requis pour choisir, construire et interconnecter les différents composants logiciels qui permettent la réalisation de ces capacités, et 2) l'interconnectivité limitée des composants logiciels disponibles dans la communauté robotique causée par le fait qu'ils sont typiquement hétérogènes, c'est-à-dire qu'ils ne sont pas complètement compatibles ou interopérables. Cette thèse propose une solution principalement au défi d'interconnectivité limité en se basant sur la création d'une architecture d'intégration logicielle appelée MARIE, qui permet d'intégrer des composants logiciels hétérogènes utilisant une approche de prototypage rapide pour le développement de systèmes décisionnels en robotique mobile et autonome. Grâce à cette approche, la réalisation de systèmes décisionnels complets pourrait se faire plus tôt dans le cycle de développement, et ainsi favoriser l'analyse des requis nécessaires à l'intégration de chacun des composants logiciels du système. Les résultats montrent que grâce au développement de l'architecture d'intégration logicielle MARIE, plus de 15 composants logiciels provenant de sources indépendantes ont été intégrées au sein de plusieurs applications robotiques (réelles et simulées), afin de réaliser leurs systèmes décisionnels respectifs. L'adaptation des composants déjà existants dans la communauté robotique a permis notamment d'éviter la tâche souvent ardue de réécrire le code nécessaire pour chacun des composants dans un seul et même environnement de développement. Les résultats montrent également que grâce à une méthodologie d'évaluation logicielle appelée ARID, nous avons pu recueillir de l'information utile et pertinente à propos des risques associés à l'utilisation de MARIE pour réaliser une application choisie, sans devoir construire une application de test et sans avoir recours à de la documentation complète de l'architecture logicielle ni celle de l'application à créer. Cette méthode s'inscrit ainsi dans la liste des outils qui permettent de faciliter l'analyse des requis d'intégration reliés à la création de systèmes décisionnels en robotique mobile et autonome.""

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