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The West Indian novel and its background /

Ramchand, Kenneth. January 2004 (has links)
Texte remanié de: Th. Ph. D.--Edinburgh, GB--University of Edinburgh, 196? / Contient une bibliogr. des titres parus entre 1854 et 2001. Bibliogr. p. 251-271. Index.
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Le roman antillais : personnages, espace et histoire : fils du chaos /

Simasotchi-Bronès, Françoise. January 2004 (has links)
Texte remanié de: Th. doct.--Litt. française--Paris 3, 2000. Titre de soutenance : Personnages romanesques et sociétés antillaises. / Bibliogr. p. 329-337.
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Le Quatrième siècle d'Édouard Glissant : écrire l'enracinement. Figures, parcours et enjeux

Denommé, Amélie 12 1900 (has links)
Le roman Le Quatrième siècle, considéré comme un pilier de l’œuvre de l’écrivain martiniquais Édouard Glissant, est une réinvention du passé et de l’histoire des Antilles, tout en présentant une dimension moins étudiée : celle de l’enracinement dans le nouveau pays, de la création d’une communauté singulière et métissée. Glissant suggère que, malgré l’abolition de l’esclavage, beaucoup de chemin reste encore à faire et que la construction d’une identité passe par des ancrages solides et multiples dans le pays. Afin d’explorer ce thème, cette étude analyse la construction du parcours figuratif de l’enracinement dans Le Quatrième siècle. L’étude de divers personnages et de certains éléments du paysage, en particulier la mer, les mornes et la plaine, permettent de mieux cerner l’écriture de l’enracinement dans cette œuvre. En effet, par le biais de l’onomastique, des figures emblématiques de la colonisation, de la déconstruction des relations de pouvoir et du symbolisme de l’espace, Glissant met en scène les limites du marronnage, créant plutôt un imaginaire centré sur la définition de la collectivité à travers un lent processus d’enracinement et d’appropriation de l’espace. / The novel Le Quatrième siècle, considered as a pillar of the work of the Martinique writer Édouard Glissant, is a reinvention of the past and history of the Antilles, while presenting a less studied dimension : that of taking root in the new country, the creation of a singular and mixed-race community. Glissant suggests that, in spite of abolition, a long road still lies ahead and that the construction of an identity passes by solid and multiple anchoring in the country. In order to explore this topic, this study analyzes the construction of the figurative course of enrooting in Le Quatrième siècle. The study of various characters and certain elements of the landscape, in particular the sea, the mountains and the plain, make it possible to better determine the process of taking root in this novel. Indeed, through onomastic means, the emblematic figures of colonization, the deconstruction of the relations of power and the symbolism of space, Glissant sets the limits of marronnage, creating a universe centered on the definition of community through a slow process of enrooting and the appropriation of space.
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Le Quatrième siècle d'Édouard Glissant : écrire l'enracinement. Figures, parcours et enjeux

Denommé, Amélie 12 1900 (has links)
Le roman Le Quatrième siècle, considéré comme un pilier de l’œuvre de l’écrivain martiniquais Édouard Glissant, est une réinvention du passé et de l’histoire des Antilles, tout en présentant une dimension moins étudiée : celle de l’enracinement dans le nouveau pays, de la création d’une communauté singulière et métissée. Glissant suggère que, malgré l’abolition de l’esclavage, beaucoup de chemin reste encore à faire et que la construction d’une identité passe par des ancrages solides et multiples dans le pays. Afin d’explorer ce thème, cette étude analyse la construction du parcours figuratif de l’enracinement dans Le Quatrième siècle. L’étude de divers personnages et de certains éléments du paysage, en particulier la mer, les mornes et la plaine, permettent de mieux cerner l’écriture de l’enracinement dans cette œuvre. En effet, par le biais de l’onomastique, des figures emblématiques de la colonisation, de la déconstruction des relations de pouvoir et du symbolisme de l’espace, Glissant met en scène les limites du marronnage, créant plutôt un imaginaire centré sur la définition de la collectivité à travers un lent processus d’enracinement et d’appropriation de l’espace. / The novel Le Quatrième siècle, considered as a pillar of the work of the Martinique writer Édouard Glissant, is a reinvention of the past and history of the Antilles, while presenting a less studied dimension : that of taking root in the new country, the creation of a singular and mixed-race community. Glissant suggests that, in spite of abolition, a long road still lies ahead and that the construction of an identity passes by solid and multiple anchoring in the country. In order to explore this topic, this study analyzes the construction of the figurative course of enrooting in Le Quatrième siècle. The study of various characters and certain elements of the landscape, in particular the sea, the mountains and the plain, make it possible to better determine the process of taking root in this novel. Indeed, through onomastic means, the emblematic figures of colonization, the deconstruction of the relations of power and the symbolism of space, Glissant sets the limits of marronnage, creating a universe centered on the definition of community through a slow process of enrooting and the appropriation of space.
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Refondation du monde et stratégies discursives dans l'œuvre d'Édouard Glissant

Colin-Thébaudeau, Katell 11 April 2018 (has links)
La recherche se fonde sur un corpus de six romans de l'écrivain martiniquais Edouard Glissant, dont la parution s'échelonne sur près de quatre décennies, de 1958 à 1993 : La Lézarde, Le Quatrième siècle, Malemort, La Case du commandeur, Mahagony et Toutmonde. Elle se propose de montrer que dans et par son œuvre, Glissant s'est livré à ce que nous considérons comme une véritable refondation du monde, avec la volonté d'édifier quelque chose de grand et d'atteindre à une vérité. La boulimie scripturale soutient chez l'écrivain l'idée d'édifier une énorme construction et d'y intégrer un matériau multiforme, fait parfois des éléments les plus imprévus ou les plus contestables. Écrivain de tous les paradoxes, Edouard Glissant inventorie le réel antillais. Parti d'une revendication nationaliste avec La Lézarde qui a obtenu le Renaudot, l'écrivain s'efforce, dans Le Quatrième siècle, d'inventer à partir d'une grande fiction généalogique, les mythes fondateurs et les légendes de la Nation qu'il vient de créer. Mais, cette œuvre qui s'écrit subit les tribulations de l'itinéraire de son créateur. Après le bilan romancé que Glissant dresse dans Mahagony, il décide de réorienter les axes de son œuvre, d'abord vers le bassin caraïbe, puis dans le sens du tout-monde. Il apparaît donc que l'Histoire est bien là, et que cette histoire hante la fiction glissantienne. Le monde créé se présente donc comme déterministe, ou surdéterminé. Il est celui de la traite négrière, de l'esclavage et de la départementalisation, ainsi que de la volonté de mettre fin à des notions de centre et de périphérie. On rappellera que l'œuvre romanesque donne constamment le relais à l'essai et à la poésie. Ainsi conçue, l'œuvre de Glissant est une puissante et extraordinaire machine à produire du sens, de la représentation et de la fiction. Aussi l'écrivain ne se contente-t-il pas de proposer qu'il créé comme offrande à son lecteur. Par une batterie de stratégies discursives, expression qui référera autant que possible à la fois au texte et à son contexte de production, Glissant s'efforce d'imposer à son lecteur le sens et l'ordre du monde nouveau. Ainsi, le titre, les épigraphes, Pintertextualité, la mise en abyme, le métatexte, viennent parasiter le roman, paralysant la lecture critique et dictant au lecteur le propre commentaire de l'auteur sur son œuvre. L'analyse rigoureuse des ouvrages montrera que cette entreprise solitaire et laborieuse se retraduit significativement en projet grandiose et mégalomaniaque. À l'intérieur de la formule romanesque qu'il inaugure, il recycle des éléments traités par les uns et les autres, depuis une certaine emphase lyrique et symbolique jusqu'aux rebondissements merveilleux inspirés du conte.
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Quand le roman se veut essai : la traversée du métatexte dans l’œuvre romanesque de Abdelkébir Khatibi, Patrick Chamoiseau et V.Y. Mudimbe

Hél-Bongo, Olga 18 April 2018 (has links)
En nous fondant sur un corpus de six romans, dont deux de Abdelkébir Khatibi (La mémoire tatouée, 1971, et Amour bilingue, 1983), deux de Patrick Chamoiseau (Écrire en pays dominé, 1997, et Un dimanche au cachot, 2007), et deux de V.Y. Mudimbe (Entre les eaux, 1973, et L'écart, 1979), notre recherche doctorale voudrait interroger la densité et la diversité des textes romanesques de ces écrivains polymorphes au point de contenir en eux tous les genres. Le roman, chez Khatibi, Chamoiseau et Mudimbe, se veut essai, tout comme les essais peuvent aménager en leur sein de la fiction. Dans les séquences ou segments essayistiques, les personnages s'analysent, évaluent les discours, les idées émises dans et sur les romans qu'ils sont en train d'écrire. Khatibi thématise le langage, l'écriture, le personnage écrivain qui médite, pense, rêve et doute en intellectuel, en philosophe, en artiste, en amoureux. Le roman invite à interroger le fréquent vertige qui saisit les personnages, la dérive de la diégèse vers des séquences métatextuelles qui brisent la linéarité du récit, et contribuent à « multiplier la conscience » dans une tentative de déchiffrement des signes. Sous le couvert des jeux de langage, Chamoiseau revisite les préoccupations obsédantes des écrivains antillais : l'histoire, la mémoire, l'oubli, la quête de soi, et l'exploration des possibilités d'écriture. Par le métatexte qu'il dissémine dans les romans, il traduit sa maîtrise des règles du jeu et des enjeux. Jouant avec le thème et la position de dominé dans le champ, la scénographie de l'écrivain qui se fait "Marqueur de paroles" et "Guerrier de l'imaginaire" montre un écart entre énonciation et énoncé, Chamoiseau asseyant sa position de dominant au sein de l'institution et s'affiliant à toutes les grandes célébrités de la littérature mondiale, dont Aimé Césaire, Saint-John Perse, Edouard Glissant, William Faulkner. Chez Mudimbe, le métatexte transforme le roman en objet de discussion sur l'altérité, les paradoxes des sciences humaines en Afrique, la libération de l'Afrique, le tiraillement identitaire du sujet, les stéréotypes du regard occidental de l'Afrique. L'essai dans le roman génère une duplicité énonciative, à la fois quête d'un miroir et histoire de la quête se réfléchissant.

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