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Les femmes chrétiennes de Rome aux 1er et 2e siècles

Lasanté, Michèle 13 April 2018 (has links)
Ce mémoire intitulé Les femmes chrétiennes de Rome aux 1er et 2e siècles présente les premières Romaines membres de communautés chrétiennes et la place qu'elles y ont occupée. Il aborde d'abord le sujet par une analyse contextuelle qui se traduit elle-même par une étude démographique de ces communautés et une description socioculturelle de la société romaine en ce qui concerne la place réservée aux femmes. Vient ensuite le portrait de ces femmes qui sont aujourd'hui connues par leur nom grâce à certains auteurs chrétiens, particulièrement l'apôtre Paul pour le premier siècle, de même que Tertullien et Irénée pour le second. Des informations plus générales sur la présence des femmes dans les mouvements chrétiens complètent le tour d'horizon. L'ensemble de cette démarche permet de constater le rôle primordial qu'ont joué les femmes dans l'implantation et l'évolution de la nouvelle religion ouverte aux païens et qui allait devenir religion d'État à la fin du 4 e siècle.
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Les femmes chrétiennes dans l'Empire romain des deuxième et troisième siècles : de la quête d'autonomie à la dépendance

Dumais, Martine 11 April 2018 (has links)
Jusqu'à maintenant, les femmes chrétiennes ont été étudiées selon trois axes de recherche: la théologie, l'histoire et l'anthropologie historique. Ces trois avenues historiographiques ont permis de dégager des constats qui se révèlent vrais, mais ne reflètent qu'une portion de la réalité, soit celle que les chercheurs s'en réclamant ont examinée. En effet, aux deuxième et troisième siècles, le christianisme a été source d'égalité pour les femmes; en dehors de cette religion, ces femmes gréco-romaines ont pu avoir accès à plus de liberté; et oui, le christianisme a été source d'une plus grande dépendance des femmes. A notre tour, nous analyserons les représentations des femmes chrétiennes à partir des sources contemporaines (chrétiennes et païennes). Il s'agit d'abord de voir si l'évolution historique a engendré une perception unique des femmes chrétiennes ou si les visions ont été multiples. Puis nous confronterons ces visions des femmes chrétiennes avec celles de la femme romaine en général afin de cerner un aspect important de l'histoire des mentalités de l'Empire romain. Car à l'image de l'évolution vécue par les femmes gréco-romaines dont elles font partie, les femmes chrétiennes ont pu manifester plus d'autonomie, mais une autonomie limitée par le désir d'une société de garder le contrôle. Face à un désir bien visible des femmes chrétiennes d'être entendues qui amène une transgression des interdits de l'ordre social établi, les hiérarchies ecclésiastiques, sociales et même domestiques, s'unissent dans un même combat: conserver le contrôle sur les actions et les pensées des femmes en renforçant les balises mises de l'avant pour les situer dans la société. L'évolution interne de l'Église amène le passage d'une multiplicité de modèles féminins à un modèle par excellence, phénomène qui eut un impact important sur la condition des femmes. Car ce n'est pas seulement les autorités religieuses chrétiennes qui veulent mettre un frein à la quête d'autonomie des femmes, il en va de même pour la société gréco-romaine qui voit d'un mauvais oeil les femmes prendre plus de place. Dans une période d'instabilité à plusieurs niveaux, le monde gréco-romain ne peut donner son aval à un bouleversement supplémentaire de la collectivité. En ce sens, les raisons requérant les soumissions familiales, religieuses et même politiques des femmes chrétiennes et païennes sont intimement liées. / Québec Université Laval, Bibliothèque 2013
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Se nettoyer à Rome (IIème s. av. J.-C. – IIème s. apr. J.-C.) : pratiques et enjeux / Getting clean in Ancient Rome (2d century BC – 2d century AD)

Blonski, Michel 20 January 2012 (has links)
On étudie ici comment les Romains de la fin de la République et du début de l’Empire envisagent les opérations de nettoyage corporel. En suivant plusieurs questions pratiques (de quoi se nettoie-t-on ? dans quel but ? où le fait-on, avec quels moyens et comment ?) et en se fondant sur des analyses anthropologiques, archéologiques et lexicologiques, on délimite les domaines dans lesquels les Romains rangent les catégories du sale, du soin corporel et de la juste présentation de soi. Le vocabulaire de la saleté, en particulier, permet de circonscrire un ensemble varié de réalités indésirables : il n’y a pas « une » mais « des » saletés – tout est fonction de contextes – et le lexique reflète cette diversité.La justification de la propreté, au contraire, se fonde sur des prescriptions morales remarquables par leur permanence et leur cohérence tout au long de la période. La propreté doit être entendue comme la traduction concrète de la notion plus large de soin ; et réciproquement, la saleté traduit celle de négligence. Par conséquent, être un bon citoyen, et au-delà, un être humain véritable, cela passe par la propreté – avec une insistance telle qu’elle fait de cet état un marqueur de reconnaissance sociale. Plus on est propre et « brillant », plus on se situe en haut des hiérarchies civiques. Ces prescriptions morales aboutissent à l’émergence de cette réalité bien romaine qu’est le balneum : le lieu privilégié de l’entretien de ce modèle civique, au croisement entre univers moraux, cosmétiques et médicaux. Elles sont appuyées par un ensemble de techniques spécifiques accordant une place privilégiée au frottement du corps, à l’aide d’huile ou de détergents. / This thesis investigates how the Romans envision the operations related to body cleansing at the end of the Republic and the beginning of the Empire. Starting from practical questions – What has to be cleaned? For which purpose? Where does this operation take place? How is it completed? – and leveraging on approaches stemmed from anthropology, archeology and lexicology, we delimitate categories that the Romans link to concepts such as dirtiness, body care or appropriate self-presentation. The terminology of dirtiness, in particular, reveals a manifold set of undesired realities, which nonetheless never appears totally consistent; Depending on the context, there is not one, but several types of dirtiness. On the contrary, the justification of cleanliness is based on a whole range of moral prescriptions which are remarkable by their continuity and their consistency throughout the whole period. It appears that the concept of cleanliness should be understood within the frame of the broader notion of self care. Conversely, dirtiness more generally relates to self negligence. Consequently, being a good citizen, or even living as a genuine human being requires to be clean, to a point where cleanliness becomes a social marker: A clean and “shiny” appearance indicates a higher social status. Hence the growing importance of the balneum as a Roman institution – the place where this model is maintained, across civic, medical and cosmetic representations, through the development of techniques primarily based on body rubbing using oil and detergents.

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